Эпизоды
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Food Thérapie, c'est bientôt fini.
Dans cet épisode, je vous partage mon petit bilan après 3 ans à la tête de ce podcast, ainsi que ma gratitude envers vous, chers auditeurs, pour avoir écouté et enrichi son contenu.
Un épisode bonus vous attend le mois prochain avec une chouette invitée !
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je m’étais déjà intéressée à l’alimentation pendant la grossesse, si vous vous souvenez de mon épisode avec Raphaëlle, mais nous avions davantage parlé des envies, des dégoûts, et du rapport au corps, Quant au post partum, avec Zoé, nous avions parlé du mois d’or, de la préparation des petits plats pour le premier mois post partum, de l’importance d’être entourée et de bien se nourrir pour prévenir au maximum une éventuelle dépression.
Aujourd’hui, c’est à mon tour d’attendre un bébé et d’être concernée de pres par le sujet. Evidemment, pendant ma grossesse, l’alimentation tient une grande place :
j’ai du m’adapter pendant les nausées du 1er trimestre et manger + qu’à ma faimj’ai des envies, aujourd’hui, qui peuvent paraitre bizarres mais j’écoute mon corps, et ce dernier me réclame des boîtes de maquereaux !je m’amuse à imaginer ce que mon bébé pense de mes petits plats, car oui, le goût se développe déjà, in uteromais surtout, je me demande si j’ai bien tous les besoins nécessaires pour moi, pour mon bébé, et ce qu’il va nous falloir, à nous deux, après : pour restaurer mon corps qui aura vécu le plus grand exploit de sa carrière, pour réconforter une maman sujette à la chute hormonale, à l'absence de sommeil, sensible à l’anxiété et à la dépression, pour passer les bons nutriments dans mon lait maternel…. bref, je me pose des questions que beaucoup d’entre vous, j’en suis certaine. peuvent ou pourront se poser.
J’ai demandé à Margaux Cannoni Chevalier, co-fondatrice de Jolly Mama la marque spécialisée dans la nutrition autour de la maternité, de nous parler des besoins en projet grossesse, prénatal, post partum et allaitement.
De quoi avons-nous besoin, convient-il de se supplémenter, que peut-on manger en post-partum pour récupérer et restituer les tissus d’un corps un peu meurtri ?
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Quand on est une femme, les hormones, le cycle menstruel, les symptômes, les courbes de poids… tout ça, c’est notre quotidien, du début de la puberté jusqu’à la fin.
On nous demande pas si l’on mange bien ou à notre faim, on nous demande de rester dans les clous, dans les standards. On se construit comme ça, avec les médias, mais aussi, il faut le dire, avec le corps médical. Pas étonnant, alors, que des troubles du comportement alimentaires apparaissent quand on est encore une ado, sans même qu’on s’en rende compte, parfois.
On se met à faire du sport pour “compenser”.
On fait des régimes à répétition. On suit des fitgirls sur Insta, et on entend parler que de l’aspect nutrition ou forme physique… mais est-qu’on sait comment se porte leur cycle menstruel ?
Vous me direz, c’est intime… oui et non. C’est le signe que tout fonctionne bien. Parce qu’avoir ses règles, et ne pas les avoir, ce n’est pas anodin. Une aménorrhée, c'est le signe que quelque chose cloche. Et parfois, c’est une piste essentielle de diagnostic, dans certains parcours liés à la fertilité.
C’est justement l’une d’entre vous, qui a découvert qu’elle souffrait d’aménhorrée hypothalamique alors qu’elle était en parcours PMA, qui m’a suggéré cette thématique et mon invitée. Florence GILLET est coach en nutrition corps-esprit et elle accompagne les femmes qui souffrent d’aménhorrée, qu’elle connaît bien.
Dans cet épisode, on va voir qu’il ne s’agit pas que des femmes souffrant d’anorexie ou des sportives de haut niveau, on va parler de l’erreur de diagnostic de l’amenhorree hypothalamique souvent confondue avec le syndrome des ovaires polykistiques, et on va voir en quoi consiste la méthode ALL IN. Car oui, bonne nouvelle, l’aménhorrée hypothalamique se soigne et sans picouse !
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Après une longue pause, je suis heureuse de vous retrouver pour ce qui sera la dernière saison de Food Thérapie avec quelques épisodes venant boucler 3 années de contenus autour de ce sujet passionnant (en tous cas, il l’a été pour moi). Merci à chacune et chacun d’entre vous de votre écoute et d’avoir contribué à faire vivre ce podcast qui m’a tant apporté.
Vous n’avez pas pu passer à côté du phénomène Matcha : il a envahi Instagram avec le fameux “latte art” ainsi que nos cafés et salons de thé préférés. Pour autant, j’observe que d’un matcha à l’autre il semble y avoir un monde. Pas si simple de tomber sur le bon thé matcha ! Son amertume excessive ou encore son aspect verdâtre peuvent décourager les moins téméraires.
Et question bienfaits, si on entend dire que c’est du café en mieux, qu’en est-il vraiment ? Existe-t-il de réels bienfaits sur la santé ? Le rituel de préparation a-t-il des vertus apaisantes ? Est-ce qu’il y a plus qu’une boisson chaude dans le fait de préparer, offrir et boire un thé matcha ?
Camille Becerra est la fondatrice de la marque ANATAÉ, du thé matcha produit au Japon. Elle répond à mes questions et nous dit tout sur la boisson qui révolutionne nos habitudes sociales et aussi, vous le verrez, gustatives.
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The Serious Gut est est une entreprise spécialiste du microbiote, qui vous aide à améliorer votre santé intestinale, mentale et immunitaire grâce au pouvoir incroyable des bactéries.
C'est la première société qui se concentre sur une véritable offre de probiotiques de qualité, made in france & vegan, mais surtoutpersonnalisés pour VOS besoins afin d’en maximiser l'efficacité (j’insiste sur ce point, et vous verrez qu’on y reviendra dans cet épisode). Il suffit de remplir un petit quiz en ligne, pour qu'on vous oriente vers la cure adaptée. Pour ceux/celles qui voudraient allez plus loin ils proposent aussi des options pour faire un bilan de l'état de son microbiote.
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J’ai rencontré Anne-Sophie pasquet via Marion Pezard, la voix du podcast Healthy Living et naturo, avec qui j’ai déjà échangé sur son podcast et aussi sur Food Thérapie.
Anne-Sophie est également naturopathe et a une affinité particulière avec la digestion : ce sujet la passionne et partage tout un tas de bonnes astuces d’hygiène de vie sur son instagram.
On va justement discuter ensemble de ce qu’est la naturopathie, comment un accompagnement naturo peut nous aider lorsqu’on a mal au ventre, et puis on va aussi répondre à la question suivante : à quel moment on consulte un naturopathe ?
On va voir -et c’est important - qu’un accompagnement au naturel n’exclue pas un diagnostic médical, au contraire il en a besoin et s’en nourrit.
je vous laisse avec notre échange sous la chaleur caniculaire bordelaise…
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Quand on imagine des bactéries, on pense plutôt à un manque d’hygiène, aux maladies… à faire le ménage ! Et pourtant, si on associe bactérie à microbes ET à du négatif, on passe à côté d’une grande vérité : les bactéries, c’est littéralement la vie !
Ces micro-organismes vivants sont présents dans notre microbiote (oui, la racine est la même que microbe !) et sans elles, mes chers amis, nous ne sommes RIEN.
C’est de leur bonne santé, de leur bonne alimentation, de leur diversité, que dépend notre santé à nous, dans sa globalité.
Si vous écoutez souvent Food Thérapie, alors vous savez de quoi je vous parle : on a déjà évoqué le microbiote en long en large et en travers !
Le lien entre ce dernier et la santé mentale n’est plus à prouver, et cet axe bidirectionnel est aussi fondamental que passionant.
C’est fou de se dire qu’en mangeant de bonnes choses, on peut potentiellement améliorer son état de santé de base, non ?!
Aujourd’hui, on va rentrer encore plus dans le vif du sujet puisque j’accueille Emilie Maret à mon micro. Emilie est Co-fondatrice de The Serious Gut, une plateforme à vocation scientifique qui utilise la technologie, des chercheurs du CNRS, pour étudier notre microbiote afin de nous aiguiller sur nos besoins. En effet, en terme de bactéries, on nait et on n’est pas tous égaux ! Chaque individu a son ADN et son microbiote différent, il est donc logique de se dire que nos besoins diffèrent. Emilie va étudier notre profil, nos besoins, afin de proposer une cure de probiotique adaptée. Attention, on rentre vraiment dans le vif du sujet, on va même parler d’analyse de selles. Alors si vous êtes sensibles des oreilles, vous êtes prévenus, en revanche si vous êtes sensibles du bidou : cet épisode est fait pour vous.
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C’est Sofiane, alias So_foodiee sur Instagram, qui nous dit tout sur le fonctionnement de l'indice glycémique et surtout quelle alimentation adopter, quelles astuces mettre en place pour éviter les poussées glycémiques, et l’hypoglycémie.
Comment ça marche ? Pourquoi l’ordre dans lequel nous mangeons les aliments est important ? Qu’est-ce que le vinaigre de cidre vient apporter dans tout cela ? Pourquoi cet indice doit être surveillé pour notre santé ?
Je vous laisse découvrir notre échange !
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L’avantage, c’est que l’abonnement est résiliable à tout moment, donc vous n’êtes pas forcé de commander tous les mois !
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Encore un truc d’hurluberlu vous allez me dire ? Et pourtant, si l’alimentation est le bon carburant que l’on peut décider de mettre dans notre moteur, il va de soi que c’est aussi du côté des produits naturels et des bons vieux remèdes de grand-mère qu’on peut dénicher de véritables pépites, qui ont l’effet d’une baguette magique sur notre bien-être !
Aujourd’hui, j’avais envie de me pencher sur le vinaigre de cidre : peut-être que, comme moi, vous utilisez du vinaigre pour faire le ménage ou que vous êtes un fan de vinaigrette maison. Et peut-être que, comme moi - parce que maintenant aucune astuce bien-être de vous échappe ! - vous avez remarqué qu’on parle beaucoup du vinaigre de cidre comme un atout santé.
Rien de nouveau sous le soleil: c’est vraiment THE remède de grand-mère par excellence.
Puisqu’il y a une marque, en particulier, qui revient beaucoup sur nos réseaux, j’ai décidé de lui parler tiens !
C’est Marina Lemaire, co-fondatrice d’Archie, une marque de vinaigre de cidre bio, fabriqué en Normandie, et non filtré, que j’accueille à mon micro.
Ensemble, on fait le point sur cette potion magique, ses usages, ses vertus,avec un focus sur les bienfaits digestifs, le microbiote mais aussi le microbiome.
Bref, un épisode ARCHI sympa (il fallait que je la fasse), que je vous laisse découvrir. Belle écoute !
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Food Thérapie, ce n’est pas Sport Thérapie mais c’est bien une vision de vie holistique, qui prend la santé dans sa globalité : mentale et physique.
C’est vrai que je n’ai pas beaucoup parlé de sport dans ce podcast, à part sur le rôle de l’alimentation de la performance.
En fait, c’est bien cet aspect “performance” que je voulais éviter : je trouvais qu’Instagram était déjà suffisamment culpabilisant, avec ce culte du corps ou tout simplement cette injonction à faire du sport, à avoir une vie dite “saine”.
Je me suis même posée la question du podcast : est-ce qu’il ne serait pas un peu contre-productif, est-ce qu’il ne créerait pas cette comparaison inévitable chez certain ?
J’ai découvert, comme beaucoup de femmes, les bienfaits de travailler l’hypopressif pour le confort digestif, menstruel.
Et surtout, j’ai découvert Anaïs Jazmine et son très médiatique Stomach Vaccum. Une sorte de danse du ventre qui permettrait d’obtenir un “Ventre plat”.
Si l’esthétique est importante pour se sentir bien, se trouver jolie et avoir confiance en soi, c’est cette nouvelle vision du sport qui m’intéresse : nous sommes de plus en plus à faire du sport pour se faire du bien. Point. Pas pour “MAIGRIR".
C’est donc Anaïs Jazmine, que j’accueille aujourd’hui, pour parler du rôle du sport sur notre santé, et en lien avec l’alimentation.
Après une pause nécessaire, je suis RAVIE de relancer le podcast avec cet épisode, cette thématique, cette invitée.
Venez me dire sur Instagram ce que vous en avez pensé !
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KoRo est une startup basée à Berlin, spécialisée dans la vente en ligne de fruits secs, de noix, d’épices, de snacks, de super aliments, de pâtes, de riz, de sauces et de purées d’oléagineux.
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Si vous suivez ce podcast depuis son début, et que vous n’avez manqué aucun épisode, alors peut-être vous rappelez-vous de mon premier épisode, l’épisode 2 en fait, Ayurveda : l’alimentation pour réguler notre état émotionnel ?
J’avais interviewé mon amie Pauline, qui pratique l’Ayurveda depuis des années à Barcelone.
Depuis, de nombreux épisodes se sont intéressés aux maux du ventre. Nous avons compris une chose : le lien fondamental, prouvé scientifiquement, entre intestins et cerveau.
Lorsque l’on comprend cela, il est alors pratiquement impossible de revenir en arrière, intolérable de se voir dissocier notre état mental de nos souffrances physiques, lorsque nous consultons un médecin.
Appréhender l’individu dans sa globalité, de manière holistique, mais aussi dans son individualité et prendre en compte tout ce qui fait qu’il est lui, à ce moment T, c’est le principe de l’ayurveda.
Lorsque j’ai eu entre les mains l’ouvrage de Lucie Joao et Marie-France Farré, équilibrer sa digestion grâce à l’ayurveda, je me suis dit qu’un épisode qui se focalise davantage sur le ventre avec cette philosophie de vie, pourrait être intéressant.
J’ai beaucoup aimé la phrase suivante, dans ce livre plein d’explications intéressantes et de recettes appétissantes : quand un sujet devient mainstream, il est vite résumé à des clichés et diffusés dans sa version caricaturale. Cela part generalement d’une bonne intention : simplifier les concept pour les rendre accessibles au plus grand nombre. Certes ! Mais on se retrouve aujour’hui avec des aberrations érigées en valeurs et appliqueés en dogmes.
Je discute aujourd’hui de digestion avec Marie-France Farré, Accompagnatrice vers la pleine santé et le mieux-être et LUCIE JOAO, praticienne en ayurveda.
Retrouvez-les sur Instagram : @ayurveda.paysbasque et @mariefrancefarre
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Pour participer à la collecte de dons organisée par RUTABAGO à l'occasion du Fair Friday, je vous invite à cliquer ici JUSQU’AU 17 décembre 2021.
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Si c’est le fondateur d’une marque que j’interviewe, c’est avant tout un sujet que je mets en avant : celui de l’alimentation pour la dignité, pour se réinsérer dans la société, pour agir, pour aider, pour sortir de la précarité.
Dans la continuité de Jérémie Ballarin et du Wanted Café et ses repas suspendus, ou de Nathalie Georges qui avec zéro moyen cuisine pour tout son pallier du 6e étage dans sa chambre de bonne, Rutabago propose chaque année une campagne pour contrecarrer le Black Friday. Ça s’appelle le FAIR FRIDAY, et ça consiste en une collecte de dons pour proposer des repas avec de bons produits bio, dont des personnes en situation de précarité, adhérentes à une épicerie solidaire, pourront bénéficier à l’année.
Pas du One shot, mais une véritable aide sur le long terme, pour avoir une chance de s’en sortir, et de bien se nourrir.
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L’alimentation intuitive. J’ai réfléchi au terme, sans aller vérifier la définition. Je me suis interrogée sur ma propre alimentation.
Alicia Sicardi, neuroendocrinologue, Diététicienne, chercheuse et autrice “L’alimentation intuitive - le grand livre”, m’a vraiment fait prendre conscience de la source de mon stress actuel.
J’essaye de faire bien, de prendre soin de moi, pour ma santé, par l’alimentation. Et du coup je suis tombée dans un hyper control healthy.
Lui reste-t-il alors quelque chose d’intuitif ? C’est presque ironique quand on sait que les maladies chroniques touchent des personnes anxieuses et hyper sensibles, et que le stress est délètere. Alors on fait comment ?
J’ai demandé à Alicia qu’elle nous en parle. Vous verrez que la définition est finalement assez ouverte, et que c’est finalement une alimentation qui requiert une connexion à soi, à son corps et donc à sa tête, à ses sensations. Et ça, c’est quand même très food thérapie.
Alimentation intuituve, avec Alicia Sicardi, c’est l’épisode 50 du podcast. Belle écoute !
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Moi, je ne suis pas maman, mais bien évidemment, je me suis demandée comment elles mangent, les nouvelles mamans. Et est-ce qu’elles font ATTENTION à leur alimentation, autrement que pour perdre “les kilos de grossesse ?
Est-ce que vous, futures mamans, ou jeunes mamans, vous vous demandez quels sont vos besoins nutritionnels, alors que votre corps traverse le changement le plus important de sa vie ?
À l’heure où l’on connaît le rôle de l’alimentation sur notre microbiote et le rôle du microbiote sur notre santé mentale et son lien avec la dépression, est-ce que vous vous dites : tiens, ce serait peut-être pas mal que je m’alimente correctement pour agir en prévention d’une depression post-partum ou tout simplement pour que mon corps récupère, que j’aie l’énergie suffisante malgré le manque de sommeil, etc ?
J’entends pas beaucoup de “Oui” dans la salle, et autant vous dire que je ne m’attends pas à en entendre. Parce que quand on vient d’acoucher, la priorité c’est pas soi-même, c’est pas son assiette, On n’a “pas le temps”.
Mais… si on anticipait un peu, pendant la fin de grossesse ? Si on tenait compte du facteur alimentation ? Si au lieu de faire des baby showers, si au lieu de recevoir des fleurs et des cadeaux, on demandait un bon plat de lasagnes maison, un gratin de légumes, un dahl de lentilles à nos proches ?
Revoir notre vision des choses, remettre en question les traditions, exprimer un vrai besoin : c’est de là que vient SOROR ; l’entreprise créée par Zoé Colombie, mon invitée. Elle propose une solution simple pour aider la future mère lors du post-partum, une démarche à la fois centrée sur el partage, la sororité, le “care”, et la nutrition, et moi, j’adhère.
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Au travers de mes rencontres, je me suis rendu compte que beaucoup de femmes ont eu un déclic par rapport à l’alimentation lorsqu’elles sont devenues mères.
Certainement parce que c’est le moment où l’on prend l’ampleur de sa responsabilité quant au bien-être d’une autre petite personne qui dépend entièrement de nous.
Je me suis demandée comment une femme enceinte vivait son rapport à l’alimentation : cette période est plein de paradoxes ! Entre les interdits alimentaires, les mythes autour du “je peux manger tout ce que je veux”, les injonctions à “Ne pas prendre de poids”, à prendre du poids aussi, les hormones et les envies de réconfort, je me suis dit que cela devait être difficile de se lâcher la grappe.
Et puis, est-ce que toutes les femmes sont conscientes d’alimenter leur enfant, vraiment, surtout lors d’une premiere grossesse ? Aujourd’hui, la future mère se documente sur ce qu’elle doit amener à la maternité, sur la préparation à l’accouchement, depuis peu, sur la dépression post-partum, mais est-ce qu’elle se soucie de son alimentation ?
Puisque chaque personne et future maman est différente, cet épisode prend la forme d’un témoignage : j’avais envie de connaître l’expérience d’une amie, actuellement enceinte et de discuter de son rapport à l’alimentation avant la grossesse, pendant le projet de grossesse, pendant la grossesse et de l’interroger sur l’après. Nous verrons aussi ensemble quel rôle joue l’alimentation au-delà de l’aspect nutritionnel pendant cette période qui, quoi qu’il arrive, est un chamboulement dans notre vie.
Je reçois Raphaëlle Orenbuch, journaliste et future maman. Elle est la créatrice du podcast Moi, journaliste, et du plus récent “Nés confinés” dans lequel elle donne la parole à des jeunes mères ayant accouchés hors de France, pendant le confinement.
Cet épisode est le premier des 2 épisodes autour de la maternité : dans le prochain, nous nous pencherons sur l’alimentation post-partum et nous y évoquerons son lien dans la prévention de la dépression.
Retrouvez le podcast de Raphaëlle ici : anchor.fm/nes-confines
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Je sais que parfois, il y a des “mouvements” food, et ce régime à base de produits bruts, crus ou peu cuits, bien évidemment bio, vient directement de Californie.
Mais ce mouvement est probablement davantage qu’une mode new age popularisée par des stars américaines.
D’ailleurs, « Raw » ne doit pas se traduire par cru, mais plutôt comme brut, non raffiné, non industrialisé. La « raw food » n’est pas le crudivorisme même s’il en partage quelques notions. Il s’agit de privilégier des aliments non transformés, le moins cuits possible, afin de préserver l’apport en vitamines et nutriments, et certains éléments comme les enzymes.
Vous savez qu’ici sur Food Thérapie, je ne donne pas ou peu mon avis. En revanche, j’aime donner la parole : pour qu'on nous explique, de manière scientifique ou holistique, basée sur l’expérience ou sur des etudes, ce qu’on a vécu et comment on le vit.
Alors, si le contenu de cet épisode vous plait, et que vous êtes curieux de tester la raw food, je vous encourage à vous informer davantage, comme sur tous les sujets partagés dans ce podcast.
J’accueille aujourd’hui la reine de la raw food, Marie-Sophie L. Naturopathe- Naturaw chef, une gourmande qui forme de jeunes recrues à l’école Ferrandi.
Le site de Marie-Sophie L : https://mariesophiel.com/blog-raw-food/
Sur Instagram : @mariesophiel
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La peau assure 4 rôles importants impactant l’ensemble de notre santé :
- Protection contre le milieu extérieur (bactéries, virus…)
- Rôle immunitaire
- Régulation thermique grâce aux poils
- Synthèse hormonale
Notre corps, truffé de capteurs sensoriels, peut grâce à cet organe explorer le monde par l’intermédiaire du sens du « toucher ».
Mais alors, que se passe-t-il quand notre peau nous tiraille ? Quand elle rougit, picotte, brûle, nous fait mal ? Quel message nous envoie-t-elle ? D’où vient l’eczéma ? Peut-il se soigner ?
En fait, l'organisme en fonctionnant produit des déchets acides, des déchets colloïdaux...qui peuvent s'accumuler à long terme et diminuer le fonctionnement des organes émonctoires.
On sait aujourd’hui que l'alimentation raffinée, les graisses, les polluants, les médicaments...passent aussi par ces filtres naturels et peuvent à long terme les encombrer. Alors, apaiser, soulager, gérer son eczéma grâce à l’alimentation, c’est possible ?
Pour répondre à cette question, j’ai demandé à Saskia, eczéma warrior, et à la tête du compte insta Sask and the cities, de nous parler de sa propre expérience. Elle est atteinte d’eczéma depuis toute petite et elle a tout essayé. Grâce à sa curiosité et aussi grâce aux bons conseils de sa mere, médecin nutritionniste, il semble qu’elle ait trouvé la recette qui lui convienne. On en discute dans cet épisode.
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Il est de ces rencontres qui semblent tombées du ciel.
Enfin, si vous croyez comme moi, aux signes, et que vous suivez votre intuition, alors c’est ce que vous auriez pensé aussi, de ma rencontre avec Marion.
Là est notre premier point commun, un prénom. Marion Pezard pour moi, c’est avant tout une voix, comme moi je le suis sûrement pour vous, chers auditeurs. Une voix sans visage d’abord, qui accompagne des moments ou activités particulières, selon nos habitudes, nos journées ritualisées… Marion est créatrice du podcast Healthy Living, dans lequel elle décrypte les tendances bien-être. Certains des sujets qu’elle aborde font d’ailleurs écho à ceux de ce podcast, rien d’étonnant puisque Marion est naturopathe et c’est surtout une grande curieuse à la voix apaisante, aux questions pertinentes.
Nous venons toutes deux du monde du marketing, et si moi je ne l’ai pas complètement quitté, j’ai remarqué que nous avons eu un cheminement similaire dans notre évolution de vie - je n’aime pas parler de changement de vie, car cela implique que les choses resteraient figées alors que tout est toujours mouvement, évolution.
À mesure que je prépare notre rencontre, je me rends compte que les points communs défilent : elle vit désormais dans la région bordelaise, depuis 2020, comme moi. Lorsqu’elle me donne rendez-vous pour l’interview, je m’aperçois que son cabinet se trouve dans la rue voisine à mon domicile. et puis, quelques jours avant, j’écoute un de ses épisodes sur l’endométriose, qu’on vient de me diagnostiquer, et m’aperçois qu’elle mème en souffre et s’est formée dans l’accompagnement des femmes endométriosiques.
Avant d’enregistrer cet épisode, on a beaucoup blablaté, c’est de ces rencontres, non préparées, dont vous ressortez enrichi vous savez ? Je ne pouvais pas passer à côté de tous ces signes et je souhaitais vivement échanger avec Marion autour de son activité de podcasteuse, et surtout, de son rapport au bien-être. Je vous laisse avec notre discussion, et si vous ne le faites pas déjà, à écouter son podcast.
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Le podcast : https://www.healthyliving-podcast.com
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Diet culture : ou culture de la diète, se dit d’un système, d’une société qui prône la minceur et l’associe à la santé voire à la vertu morale. C’est l’idée qu’être mince veut nécessairement dire être en bonne santé. Et qu’être mince vous rendra heureux(se).
La diet culture est un système fondé sur la perte de poids. On va donc y accorder beaucoup de temps, d’énergie et d’argent. La culture de la diète repose aussi sur l’adaptation de nos comportements. Cela implique d’être vigilant sur notre alimentation et une certaine diabolisation de certains aliments considérés trop riches en gras ou encore en sucre.
Ces derniers mois, comme beaucoup, j’ai pris un peu de poids. Je le sais parce que mes jeans sont + serrés et que j’ai fini par me peser. Bien sûr, j’ai voulu les perdre, pour moi, pour me sentir bien, pour retrouver “ma ligne” mon poids de forme. Mais aujourd’hui je me pose la question : est-ce que vraiment cette décision, ce mécanisme me poussant à perdre ces 3 ou 4 kilos, vient de moi, entièrement, sans influence ? Est ce que je peux vraiment, objectivement affirmer que je ne le fais QUE pour moi et non pas pour plaire, pour me sentir bien en maillot cet été sur la plage, pour “correspondre” à ce qu’on attend de moi lorsqu’on est la voix d’un podcast sur l’alimentation et le bien-être ? Non.
Il est difficile de se détacher totalement de l’apparence. Notre physique, je m’adresse principalement aux femmes - est conditionné depuis des décennies, modelé telle une pâte à modeler, pour plaire aux hommes. On nous fait croire que c’est mieux pour nous et d’une certaine manière, si on s’y refuse, il y a l’idée que nous finirons soit seule, soit en mauvaise santé, non désirable aux yeux de la société. ou tout cela à la fois.
Suivez-moi sur Instagram : @foodtherapie_
Retrouvez Constance sur : @hungryconsti et @no_diet_club
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Dans ce podcast, je traite des sujets selon un concept qui correspond à ma vision de l’alimentation : je la vois comme un alicament, une thérapie, le bon ou le bien en somme.
Mais pour certaines personnes, l’alimentation, c’est le mal. Ou bien un outil pour se punir. Quand on est atteint de TCA - Troubles du comportement alimentaire, on ne voit pas la nourriture comme je la vois moi. On a un rapport conflictuel avec elle, on est amené à la contrôler, à aller dans les excès : soit en s’alimentant trop, ou bien trop peu.
Du coup, me voilà à repenser ma vision des choses. Je me suis demandée si on pouvait guérir des TCA, ou en tous cas, s’il existait la possibilité de renverser la balance, c’est à dire de voir l’alimentation comme une alliée, et non plus l’ennemie.
Dans cet épisode, je vous propose une conversation à coeur ouvert avec Anaïs Da Silva, blogueuse et freelance dans la communication. Sur son compte Instagram, elle parle ouvertement de son anorexie, comment elle la gère au quotidien. Je l’interview alors qu’elle est enceinte de plusieurs mois et lui demande quel impact a ce changement de corps sur elle. On discute des origines de sa maladie, de son cadre familial, de ses expériences de vie, de son passage à l’hôpital Sainte Anne en psychiatrie, de son rapport aux autres, à l’amour, à elle, au corps, à l’amour de soi. Et puis bien sûr, son rapport à la nourriture.
Que se passe-t-il lorsqu’on comprend que la nourriture c’est ce qui nous maintient en vie ? Et surtout, je voulais discuter avec Anais de la notion de plaisir : parvient-elle aujourd’hui à profiter, savourer, se régaler ?
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Il y a quelques années, en lien avec l’essor d’Instagram, notre jargon alimentaire s’est diversifié. On a commencé à parler de super aliments. En même temps qu’on a scrollé parmi des photos ultra léchées et colorées de bowls tout aussi appétissants les uns que les autres.
Açai, spiruline, chlorela, baies de goji… c’est joli mais c’est quoi en fait ? Et réellement, est-ce que ça nous est utile ? Y a t il un véritable intéret nutritionnel ou bénéfique pour notre santé ?
Je sais pas vous, mais parfois j’ai un peu l’impression que c’ets un peu du bullshit tout ça. Que le monde instafood nous glisse des tendances, sans reelle explication. Et ça peut etre bizarre, surtout quand c’ets pas très bon. Parce que là, on ne se parle pas d’une burrata à la truffe.
Dans les méandres d’Instagram, heureusement on fait encore de jolies découvertes. Lucile Champy a commencé à partager des contenus intéressants sur son compte, autour de la nutrition, en particulier sur le sujet des superaliments et des plantes adaptogènes. Des infographies riches et pédagogiques, qu’elle appelle “mini stories éducatives”. Parce qu’éduquer, c’est son rôle : elle est consultante en alimentation, son rôle n’est pas de soigner, mais de conseiller et d’expliquer, pourquoi c’est bien pourquoi c’est mieux, pour toi, pour ton corps, pour ton quotidien, d’intégrer tel type d’aliment.
Avec la superfood, on ne fait pas n’importe quoi. Elle nous explique de quoi il s’agit, comment les utiliser, où les acheter, et pourquoi c’est bon pour nous.
également, parce que la dimension écologique lui tient à coeur, comment consommer des superaliments en faisant attention à la provenance. Super aliments et plantes adaptogènes : de vrais bienfaits ?, c’est le titre de cet épisode. On l’écoute ?
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