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Le 7 mars 2025, Mike Borowski vous attendait pour un sujet explosif, sur Géopolitique Profonde.
Xavier Niel : un empire bâti sur un passé trouble
Xavier Niel, magnat des télécoms et fondateur de Free, est l’un des hommes les plus puissants de France. Pilier du capitalisme numérique et acteur-clé des médias, il est aussi un proche du pouvoir. Mais derrière son image de visionnaire, son passé trouble ressurgit.
Le 9 mars, un reportage d’Off Investigation reviendra sur ses débuts dans le Minitel rose et ses condamnations pour proxénétisme, révélant un parcours où sexe et argent ont pavé la route du succès.
Minitel rose : exploitation sordide et controverses
Dans les années 1980, Niel se lance dans le Minitel rose, secteur lucratif mais sulfureux. Off Investigation révèle des pratiques sordides, où des annonces explicites auraient servi d’appâts, exploitant les pires fantasmes pour générer des profits colossaux.
Loin d’un simple service de rencontres pour adultes, ce business repose sur des méthodes controversées. Aujourd’hui, l’homme qui détient une part significative de la presse française et influence l’opinion publique a bâti sa fortune sur une industrie trouble.
Une condamnation passée sous silence
En 2004, Niel est accusé de proxénétisme aggravé et de recel d’abus de biens sociaux. Il est placé en détention provisoire pendant un mois. Ses investissements dans des peep-shows et sex-shops, où la prostitution était pratiquée, éveillent les soupçons.
Si l’accusation de proxénétisme est finalement abandonnée faute de preuves directes, il est reconnu coupable de recel d’abus de biens sociaux et condamné en 2006 à deux ans de prison avec sursis et 350 000 euros d’amende.
À l’époque, cette condamnation fait peu de bruit. Les médias, habituellement friands de scandales, restent silencieux. Quelques années plus tard, Niel rachète plusieurs titres de presse, dont Le Monde, assurant son influence sur l’information en France.
Un réseau trouble au sommet du pouvoir
Niel n’est pas un homme isolé. Financier clé de la campagne d’Emmanuel Macron en 2017, il évolue dans un cercle où figurent Daniel Cohn-Bendit, Olivier Duhamel et d’autres personnalités éclaboussées par des affaires de mœurs.
Cohn-Bendit a tenu des propos ambigus sur des attouchements sur mineurs. Olivier Duhamel a dû se retirer après la révélation de ses actes incestueux. Macron, propulsé par ce réseau, se montre complaisant envers ces figures.
Ce schéma révèle un entrelacement de pouvoir, d’influence et d’omerta médiatique, où la pédocriminalité et le proxénétisme ne sont pas des accidents de parcours mais des réalités couvertes par le silence.
L’immunité par le contrôle des médias
Pourquoi Niel jouit-il d’une telle impunité ? Parce qu’il contrôle une partie essentielle du paysage médiatique français. Co-actionnaire du groupe Le Monde,
Le reportage d’Off Investigation pourrait briser ce silence. Mais combien de temps avant que les révélations ne soient éclipsées par un contre-feu médiatique ? La puissance de Niel ne repose pas uniquement sur sa fortune, mais sur un réseau qui lui assure une protection de fer.
Face à cette machine de propagande, la seule arme est l’information libre et indépendante. Découvrez les vérités cachées derrière les décisions qui façonnent le monde avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde.
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Le 7 mars 2025, Marc-Gabriel Draghi et Philippe Herlin étaient les invités de La Matinale, animée par Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.
Marc Gabriel Draghi est un juriste français spécialisé dans l’histoire du droit. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur la question monétaire et l’histoire du capitalisme, dont Le règne des marchands du temple, Le grand reset en marche ! et La Grande Narration : Vers la mort des Nations.
Philippe Herlin est un économiste français spécialisé dans les questions monétaires et financières. Dans son dernier livre, Bitcoin : Comprendre et investir, il décrypte les enjeux économiques et techniques de cette cryptomonnaie révolutionnaire.Un projet européen délirant de 800 milliards d’euros
Macron a livré un message sans ambiguïté : l’Europe entre en économie de guerre, et c’est aux citoyens de payer la facture. Ursula von der Leyen a annoncé un plan de financement militaire européen à hauteur de 800 milliards d’euros, une somme abyssale qui ne repose sur aucun fondement économique viable. La France et l’Allemagne veulent, en parallèle, exploser leurs budgets militaires, malgré des finances publiques déjà exsangues.
Ce projet ne vise pas seulement à soutenir l’Ukraine, mais à ancrer durablement l’Union européenne dans une logique d’affrontement avec la Russie. Or, les États européens sont surendettés, affaiblis par la crise énergétique et victimes d’une politique inflationniste suicidaire. Face à cet abîme financier, la seule issue trouvée par Bruxelles et Paris est de ponctionner l’épargne des citoyens sous couvert de “solidarité européenne”.
L’épargne des Français en ligne de mireLes signaux ne trompent pas. Depuis des mois, les taux d’emprunt souverains s’envolent, mettant les finances publiques sous pression. Dans le même temps, la BCE assouplit curieusement sa politique monétaire, facilitant ainsi la confiscation déguisée de l’épargne privée. Macron prépare le terrain : après avoir laminé la classe moyenne avec l’inflation et la fiscalité, il s’attaque désormais à l’épargne populaire pour financer la machine de guerre européenne.
Cette stratégie s’appuie sur un discours anxiogène : la “menace russe” est agitée en permanence pour faire accepter des sacrifices inédits. Pourtant, la véritable menace vient des décisions mêmes de Bruxelles et de l’Élysée, qui plongent l’Europe dans une spirale économique infernale. La France, ruinée, finance une guerre qu’elle ne peut pas se permettre, au prix de la destruction du pouvoir d’achat des citoyens.
L’Europe dans la tourmente, l’Amérique en embuscadePendant que l’Europe s’enfonce dans une stratégie de surarmement et d’austérité imposée, les États-Unis profitent de la situation. La guerre commerciale entre les deux blocs s’intensifie : Washington, refusant de voir l’UE jouer un rôle autonome, multiplie les sanctions et les restrictions sur les exportations européennes. L’industrie européenne est étranglée, incapable de rivaliser face aux subventions massives du plan Biden.
L’Europe s’est enfermée dans un jeu où elle ne maîtrise plus rien. Privée de son accès à l’énergie russe, incapable de financer son propre modèle sans taxer ses citoyens, elle devient un vassal stratégique des États-Unis, tout en prétendant défendre une souveraineté militaire illusoire.
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Le 6 mars 2025, Georges Clément, Serge Federbusch et Franck Layre Cassou étaient les invités de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !
Georges Clément est le président du comité Trump France. Il milite pour le rapprochement entre les droites françaises et américaines, cherchant à renforcer les relations transatlantiques autour de valeurs conservatrices et nationalistes. En 2019, il publie Les Peuples contre les États : La Souveraineté Confisquée, un essai dans lequel il dénonce la centralisation du pouvoir au détriment de la volonté populaire, plaidant pour une restitution des droits aux nations et aux citoyens.
Serge Federbusch, essayiste et homme politique, fondateur d’Aimer Paris, critique des élites et de la gestion publique. Il est l'auteur de Le Sabre et l’Esprit.
Franck Layré-Cassou, passionné d’histoire et napoléonien, est un ancien candidat de Reconquête!, aujourd’hui militant du Rassemblement National.
Trump impose la paix en Ukraine en humiliant Zelensky
De retour au pouvoir, Trump met fin à l’escalade en Ukraine. Il convoque Zelensky à Washington et lui impose un constat brutal : les États-Unis ne financeront plus la guerre. Acculé, Zelensky admet la nécessité de négocier avec Poutine.
Les négociations sous Trump consacrent la reconnaissance de la Crimée et du Donbass comme russes. Privée du soutien américain, l’Europe suit le mouvement. Le complexe militaro-industriel, grand bénéficiaire du conflit, voit son influence réduite.
Trump démontre ainsi que la guerre était une instrumentalisation géopolitique orchestrée par l’État profond. La paix était possible dès le début, mais interdite par les élites mondialistes.
Une purge massive pour écraser l’État profond
Trump s’attaque aussi à la bureaucratie. Dès son retour, il licencie des milliers de fonctionnaires fédéraux, mettant fin au règne des technocrates progressistes.
Il cible les départements de l’éducation, de la justice et de l’environnement, bastions du wokisme. Les universités perdent leurs financements pour les programmes de diversité et inclusion.
Il va plus loin en supprimant la reconnaissance du genre « non-binaire » et en interdisant aux mineurs de changer de sexe. Les lobbies LGBT, surpuissants sous Biden, sont mis en échec. La politique identitaire, outil de division, s’effondre.
Un protectionnisme agressif qui fait trembler l’Europe
Trump relance sa politique de taxes douanières contre l’Europe, l’accusant de profiter d’un libre-échange asymétrique. Ces taxes frappent les secteurs automobile et agroalimentaire, forçant l’UE à revoir sa stratégie économique.
Ce retour au nationalisme économique réduit la dépendance américaine vis-à-vis de la Chine et de l’UE. Les multinationales sont contraintes de relocaliser leur production aux États-Unis.
L’Europe, affaiblie par son mondialisme, subit le choc. Macron et Scholz dénoncent une hostilité, mais n’ont aucun levier contre un Trump qui n’a plus rien à négocier.
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Le 6 mars 2025, Mike Borowski dénonçait l’engagement irresponsable de Macron qui entraîne la France dans une escalade militaire en Ukraine, accélère la militarisation de l’Europe sous commandement français et précipite une guerre économique contre les États-Unis et la Russie, sur GPTV.
Macron engage la France dans une guerre qui ne dit pas son nom
Emmanuel Macron prépare l’opinion publique à une implication militaire accrue en Ukraine. Il dramatise la situation en affirmant que la Russie menace l’Europe, imposant l’idée d’une invasion imminente.
Il justifie cette escalade par des accusations floues contre Moscou : cyberattaques, manipulations électorales, assassinats politiques, sans preuves concrètes. Il cherche avant tout à légitimer une guerre larvée, exigeant des Français qu’ils se mobilisent et acceptent les sacrifices à venir.
Plus grave encore, il évoque une présence militaire européenne en Ukraine. Officiellement après un accord de paix, mais cette idée ouvre la porte à une intervention directe. La confrontation entre l’Europe et la Russie devient une possibilité réelle, sous couvert de garantir un ordre inexistant.
L’Europe devient une armée sous commandement français
Avec le retrait des États-Unis, Macron veut s’imposer comme chef militaire de l’Europe. Il ne se contente plus d’exiger des hausses de budgets, il ambitionne une armée européenne sous direction française, alignée sur Paris et Berlin.
Il aborde aussi la question nucléaire, suggérant que la dissuasion française pourrait protéger d’autres pays européens. Cela renforce son projet de domination stratégique et accroît le contrôle de la France sur la défense du continent.
Derrière ces ambitions, une réalité inquiétante : des investissements massifs dans la militarisation européenne, financés par des coupes dans les budgets sociaux. Une politique qui ne sert ni les Français ni les Européens, mais les intérêts stratégiques de l’Élysée.
Une guerre économique contre les États-Unis et la Russie
L’illusion d’une Europe unie s’effondre. Washington, se désengageant de l’Ukraine, prépare une guerre commerciale contre l’Europe. Donald Trump veut imposer des taxes douanières exorbitantes, affaiblissant encore une économie européenne déjà fragile.
De son côté, Moscou renforce ses alliances avec Pékin et consolide son économie. La France n’a pas les moyens de riposter efficacement aux pressions économiques américaines et aux sanctions contre la Russie, laissant l’Europe piégée entre un allié hostile et un adversaire déterminé.
La confiscation des avoirs russes est un acte de guerre économique aux conséquences lourdes. Moscou répliquera, et d’autres puissances comme la Chine surveillent cette manœuvre risquée. L’Europe prouve ainsi qu’aucun pays n’est à l’abri d’un tel coup de force, ce qui érode la confiance dans son système financier et accélère la transition vers de nouveaux blocs économiques hors de son contrôle.
Macron ne protège pas la France, il l’isole et l’entraîne dans une guerre aux dimensions militaire et économique qui dépasse largement le conflit ukrainien.
Pour approfondir votre compréhension et vous armer face aux crises à venir, accédez dès maintenant à votre revue mensuelle Géopolitique Profonde !
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Le 6 mars 2025, Oskar Freysinger, Andy Bussaglia et Youssef Hindi, étaient les invités de La Matinale, animée par Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.
Youssef Hindi est écrivain, chercheur indépendant et historien de l’eschatologie messianique. Il étudie notamment les origines des idéologies modernes, leur évolution et leur influence sur la politique et la géopolitique contemporaines. Il a récemment publié son dernier ouvrage, co-écrit avec Pierre-Antoine Plaquevent Israël et la guerre mondiale des religions : Géopolitique et millénarisme.
Oskar Freysinger, ex vice-président de l’UDC et parlementaire suisse, a également exercé la fonction de Secrétaire d’État. Aujourd’hui écrivain et chroniqueur, son dernier ouvrage s'intitule Animalia ( éditions Serena).
Andy Bussaglia est un expert en finance et gestion de patrimoine. Titulaire d’un Master II en Finance, il analyse les marchés et contribue à nos publications. Il intervient aussi en tant que chroniqueur financier dans des médias spécialisés.
Trump-Zelensky : une alliance forcée sous la menace
Volodymyr Zelensky, sous pression de Donald Trump, doit accepter un nouvel équilibre dicté par Washington. Trump affiche clairement son retrait progressif du conflit ukrainien, mettant fin au soutien inconditionnel amorcé sous Biden.
L’Ukraine, affaiblie, perd son principal appui logistique et financier. Zelensky tente de rassurer ses alliés, mais l’Europe ne peut compenser l’absence américaine. Pendant ce temps, Macron pousse à une militarisation accélérée et évoque l’envoi de troupes européennes en Ukraine, une déclaration explosive qui expose l’Europe à un affrontement direct avec la Russie.
800 milliards d’euros pour la guerre : qui va payer ?
Face au retrait américain, Ursula von der Leyen annonce un plan massif de 800 milliards d’euros pour renforcer l’armement européen. Mais d’où viendra cet argent ?
La France envisage de puiser dans l’épargne des citoyens, une mesure rappelant la crise chypriote de 2013, où les comptes bancaires avaient été ponctionnés. Cette idée n’est plus un tabou dans les cercles de pouvoir, et l’Europe pourrait suivre cet exemple, imposant aux épargnants un financement forcé de la militarisation.
Privées du soutien américain, les nations européennes doivent désormais autofinancer leur défense, au risque de déclencher une crise sociale majeure, impactant les classes moyennes et les retraités.
L’Europe en mutation
Tandis que Bruxelles s’engage dans une fuite en avant militariste, l’Allemagne et l’Autriche amorcent un virage conservateur. Friedrich Merz (CDU/CSU) coupe les financements aux ONG militantes comme Greenpeace ou Attac, dénonçant leur influence politique. Berlin rompt avec l’ère Scholz pour adopter une ligne plus souverainiste et pragmatique.
L’Autriche suit cette dynamique avec un gouvernement inédit réunissant conservateurs, populistes et écologistes. En Brandebourg et au Burgenland, la polarisation politique s’accentue, illustrant une recomposition européenne.
Cette tendance s’observe aussi en Suisse, où la droite souverainiste a triomphé lors des élections valaisannes.
Gaza, l’oubli stratégique
Pendant que l’Occident se focalise sur l’Ukraine et la Russie, la crise à Gaza s’aggrave. Les bombardements continuent, la situation humanitaire devient dramatique, et le chaos s’installe.
Les médias vous mentent à propos de cette guerre comme ils vous mentent sur tous les autres conflits ! Informez-vous réellement grâce à votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !
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Le 5 mars 2025, Charles Onana et François Martin étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski sur Géopolitique Profonde.
Charles Onana est un journaliste d’investigation, politologue et essayiste franco-camerounais, spécialiste des conflits en Afrique des Grands Lacs. Il a publié plusieurs ouvrages controversés sur le génocide rwandais et l’implication internationale dans les guerres de la région. Dans Holocauste au Congo : L’Omerta de la communauté internationale, il dénonce l’invasion du Congo par des forces liées à Paul Kagame et le silence complice des puissances occidentales. Il developpe ces thèmes lors de l’émission.
François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable sur plus de 100 pays et maîtrise six langues et est connu pour ses analyses pénétrantes sur des sujets internationaux complexes.
Une tragédie aux millions de victimes
La République Démocratique du Congo subit l’une des pires crises humanitaires de l’histoire contemporaine. Depuis les années 1990, les conflits armés ont causé des millions de morts et de déplacés, dans une indifférence internationale quasi totale.
Des rapports de l’ONU et d’ONG dénoncent des violences impliquant des groupes armés congolais et étrangers. Certains parlent d’un génocide silencieux, sans réponse internationale malgré des preuves accablantes de crimes de guerre et contre l’humanité.
Le rôle des puissances étrangères
Des documents suggèrent l’implication de puissances étrangères dans cette instabilité. Les États-Unis, la France et d’autres pays sont accusés d’avoir fermé les yeux, voire soutenu certains acteurs régionaux pour des raisons stratégiques.
Paul Kagame, président du Rwanda, est un allié clé de Washington. Son influence en RDC via l’armée rwandaise et des groupes armés affiliés est largement documentée. Les puissances occidentales lui accorderaient un soutien pour des raisons sécuritaires et économiques, notamment face aux groupes terroristes.
Les ressources minières au cœur des tensions
La RDC possède un sous-sol parmi les plus riches du monde : coltan, cobalt, or, diamant. Ces ressources sont cruciales pour les industries technologiques et énergétiques mondiales. Des groupes armés financent leurs activités par l’exploitation illégale de ces minerais, perpétuant un cercle de violence.
Les grandes puissances, des États-Unis à la Chine, ont des intérêts stratégiques en RDC. Certaines multinationales sont accusées de se procurer des minerais issus de zones contrôlées par des groupes armés, soulevant des questions éthiques et de responsabilité internationale.
Ne restez pas spectateur de cette tragédie orchestrée par les élites occidentales, informez-vous avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde.
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Le 5 mars 2025, dans un micro-trottoir exclusif, Mickaël donnait la parole aux citoyens sur la fermeture de C8. Entre indignation et inquiétudes pour la liberté d’expression, leurs réponses sans filtre, sur GPTV Investigation !
Une non-reconduction aux motifs réglementaires
La non-reconduction de la fréquence TNT de C8 dépasse le simple cas de Cyril Hanouna et TPMP. Officiellement, cette décision repose sur des motifs réglementaires : la chaîne, détenue par Canal+, n’aurait pas respecté certains engagements, notamment en matière de diversité des programmes. Cette annonce survient alors que le contrat arrivait naturellement à son terme. Il ne s’agissait donc pas d’une sanction illégale, mais d’un choix de non renouvellement.
Malgré cet argument technique, beaucoup dénoncent un manque de transparence et l’absence de consultation du public. L’idée qu’un média disparaisse sans que les téléspectateurs aient leur mot à dire inquiète quant à la liberté d’expression et l’indépendance des médias. Pour certains, cette décision ne relève pas seulement du respect des règles audiovisuelles, mais d’une volonté d’écarter une chaîne dont les contenus dérangeaient certains cercles du pouvoir.
Une inquiétude pour la liberté d’expression
L’affaire C8 illustre une tension croissante sur la liberté d’expression en France. Si la chaîne était critiquée pour ses prises de position et ses émissions polémiques, sa disparition de la TNT soulève une question plus large : jusqu’où s’étend le contrôle des autorités sur les médias ? Certains jugent la décision justifiée au regard du cahier des charges, d’autres y voient un signal préoccupant.
De plus en plus de voix dénoncent un climat où seules les opinions conformes aux cadres institutionnels sont tolérées. La non-reconduction de la fréquence de C8 renforce l’idée d’un durcissement du paysage médiatique, où les chaînes trop contestataires risquent d’être écartées. Ce contexte alimente une défiance croissante envers les instances de régulation et les décideurs politiques.
Un choix qui n’est pas dénué de politique
Si la décision repose sur des critères réglementaires, elle est aussi politique. C8 rassemblait un large public, notamment autour de Cyril Hanouna, dont l’influence médiatique était indéniable. Son éviction de la TNT est perçue par certains comme une manière d’écarter une voix discordante du débat public.
Ce choix ne se limite pas à un simple ajustement technique : il s’inscrit dans un contexte plus large de concentration des médias et de restriction des espaces d’expression libre. Avec la disparition de C8 du paysage audiovisuel gratuit, une question se pose : quel autre média pourrait être privé de sa plateforme sous couvert de régulation ? Beaucoup craignent un paysage médiatique de plus en plus verrouillé, où seules certaines lignes éditoriales restent acceptables.
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Le 5 mars 2025, Mike Borowski analysait le discours de Donald Trump devant le Congrès des États-Unis, sur Géopolitique Profonde.
L’Amérique paye, l’Europe profite
Donald Trump a marqué les esprits lors de son discours de 1h30 devant le Congrès. Il a dénoncé le coût humain et financier du conflit en Ukraine, critiquant l’Europe pour son manque d’investissement militaire. Selon lui, les États-Unis ont dépensé plus de 350 milliards de dollars pour soutenir Kiev, contre seulement 100 milliards pour l’Europe, un déséquilibre inacceptable.
Trump a fustigé les dirigeants européens qui achètent toujours du gaz et du pétrole russes tout en prônant un soutien total à l’Ukraine. Il a rappelé que sous son administration, il avait contraint les membres de l’OTAN à augmenter leurs dépenses militaires et dénoncé une situation où l’Europe finance indirectement Moscou tout en comptant sur Washington pour armer Kiev.
Vers un retournement stratégique ?
L’un des moments forts du discours a été la révélation d’un rapport de Volodymyr Zelensky. Selon Trump, le président ukrainien serait prêt à négocier, ce qui contraste avec l’intransigeance affichée par Kiev ces derniers jours. Il affirme aussi que la Russie envoie des signaux indiquant une disposition à conclure un accord de paix.
Alors que la guerre s’enlise, ces déclarations pourraient marquer un tournant. Aux États-Unis, l’opinion publique se lasse d’un conflit interminable, et en Europe, des voix appellent à la diplomatie. Si ces informations se confirment, la pression pour entamer des négociations sérieuses augmentera.
Un discours aux multiples facettes
Au-delà de la guerre en Ukraine, Trump a abordé d’autres sujets majeurs. Il a dénoncé l’immigration massive, critiqué la montée du wokisme dans les institutions et réaffirmé sa volonté de restaurer la souveraineté américaine face à la Chine et aux élites mondialisées. Son ton direct et combatif visait à asseoir son image de leader fort et pragmatique.
L’évocation de l’Ukraine s’inscrit dans cette stratégie : Trump veut apparaître comme un faiseur de paix, capable de mettre fin à un conflit coûteux pour les contribuables américains. Son discours a été salué par ses partisans, tandis que ses opposants l’accusent de se rapprocher de Moscou.
Un pari risqué mais stratégique
En suggérant que la paix est proche, Trump prend un pari audacieux. L’administration Biden et les faucons de Washington plaident pour un soutien inconditionnel à l’Ukraine. Mais Trump mise sur un changement d’opinion : après deux ans de guerre et de lourdes dépenses, les Américains veulent-ils continuer ou revenir à la stabilité ?
S’il parvient à convaincre qu’il est le seul à pouvoir mettre fin au conflit, il renforcera sa stature internationale. À l’inverse, s’il est perçu comme trop conciliant avec la Russie, ses adversaires exploiteront ce point pour l’attaquer. Quoi qu’il en soit, son discours marque une rupture avec la ligne actuelle de Washington et relance le débat sur la meilleure stratégie à adopter face à la crise ukrainienne.
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Le 5 mars 2025, Finn Andreen et Gilles Lartigot étaient les invités de La Matinale, animée par Raphaël Besliu sur Géopolitique Profonde.
Finn Andreen est un entrepreneur et auteur suédois basé en France, spécialiste des rapports de force mondiaux. Il publie régulièrement des analyses géopolitiques et économiques sur les dynamiques internationales.
Gilles Lartigot, auteur et conférencier français, est connu pour son militantisme en faveur d’une consommation alimentaire saine et pour ses ouvrages : EAT – Chronique d’un fauve dans la jungle alimentaire , et EAT 2 – Des morts et des vivants, et son dernier livre, La jungle alimentaire.
L’Ukraine abandonnée par Washington, un tournant décisif
Le voyage de Zelensky à Washington marque un revers stratégique majeur. Sous la pression de Donald Trump et d’une opinion publique lassée, l’administration américaine stoppe l’aide financière à Kiev. Trump veut imposer un cessez-le-feu et négocier directement avec Moscou. Ce retrait brise le front occidental et place l’Europe face à un dilemme : assumer seule le conflit ou reconnaître l’échec de sa politique belliciste.
Les élites européennes, paniquées, dissimulent cette débâcle par un discours martial. Au Sommet de Londres, la priorité est claire : réarmer l’Europe, compenser le retrait américain et trouver de nouveaux financements. Mais avec des économies affaiblies et des dettes colossales, la solution envisagée est explosive : ponctionner l’épargne des citoyens pour financer un budget militaire en pleine expansion.
L’Europe sous tension, entre fuite en avant et servitude financière
Face au désengagement américain, l’UE se radicalise. La doctrine affichée est : « préparer la paix par la force ». Une rhétorique qui masque une réalité plus brutale : prolonger la guerre en Ukraine pour justifier une politique toujours plus coercitive. Explosion des budgets militaires, endettement massif, suppression des souverainetés nationales au profit d’une gouvernance centralisée.
En France, le projet d’atteindre 5 % du PIB pour la défense se précise. Cette montée en puissance se fera au détriment des contribuables et des épargnants, menaçant la stabilité économique du pays. Plutôt qu’assurer la sécurité, cette militarisation accélérée enferme l’Europe dans une spirale où les peuples deviennent otages d’une élite prête à sacrifier leur prospérité pour une guerre sans fin.
Trump impose sa loi, l’affrontement économique s’intensifie
Tandis que l’Europe s’enferme dans une logique militaire, Trump change de stratégie. Il amorce une nouvelle guerre économique en augmentant brutalement les taxes douanières, frappant la Chine mais aussi les alliés traditionnels comme le Canada. Ce protectionnisme assumé annonce un bouleversement des équilibres commerciaux.
Plutôt que l’isolement, cette politique vise un objectif clair : redéfinir les rapports de force et imposer un nouvel ordre économique. En retirant son soutien militaire à l’Ukraine et en durcissant sa posture commerciale, Trump met l’Europe face à ses contradictions. Livrée à elle-même, dépendante d’un système financier affaibli, elle risque de plonger dans une crise politique et sociale sans précédent.
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Le 4 mars 2025, Philippe Prévost, Jean Michel Vernochet et Patrick Pasin étaient les invités de La Grande Émission de Géopolitique Profonde, animée par Mike Borowski !
Philippe Prévost, historien, essayiste et spécialiste des relations franco-canadiennes et des crises de l’Église, démontre les manipulations historiques autour du catholicisme et de la République. Dans Vraie et fausse laïcité, il analyse l'impact de la laïcité sur l’effacement des racines chrétiennes de la France et comment ce principe a été détourné pour servir un projet idéologique hostile à la tradition catholique.
Jean-Michel Vernochet, ancien grand reporter et géopolitologue, connu pour sa critique de l’oligarchie mondialiste et son analyse des politiques européennes, est l'auteur de nombreux ouvrages, dont La France en flammes : des gilets jaunes à Notre-Dame de l’apocalypse, il explore les enjeux de l’intégration européenne.
Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français, connu pour ses critiques sur la géopolitique, la santé publique et la souveraineté individuelle.
La laïcité, une arme contre le sacré
La laïcité républicaine ne se limite pas à la séparation entre l’Église et l’État. Derrière un principe de neutralité, elle impose une idéologie matérialiste reléguant la spiritualité à la sphère privée. Depuis la Révolution française, la République a imposé une morale d’État, remplaçant les fondements chrétiens par un rationalisme froid.
Les lois de 1905 ont amorcé une éviction systématique du religieux, permettant à l’État de redéfinir les normes morales. L’école fut le premier champ de bataille : la suppression de l’enseignement religieux ne visaient pas la neutralité mais l’imposition d’une nouvelle doctrine. Aujourd’hui, toute tentative de réintroduire un héritage chrétien est dénoncée comme une menace.
Une hostilité assumée contre le catholicisme
Si la République était neutre, elle appliquerait la laïcité à toutes les religions avec la même rigueur. Or, son acharnement vise essentiellement le catholicisme. Tandis que les églises se vident et que les fêtes chrétiennes disparaissent, d’autres traditions religieuses bénéficient d’une tolérance bienveillante.
Ce ciblage n’est pas anodin. Le catholicisme incarne des valeurs structurantes échappant au contrôle de l’État. Contrairement aux autres religions, son identité est enracinée dans l’histoire de France.
La destruction du catholicisme passe par la fermeture des églises, l’interdiction des signes chrétiens et la criminalisation de certaines positions doctrinales. La République promeut une culture de l’indifférenciation, assimilant le catholique pratiquant à un réactionnaire.
L’inversion des valeurs et le vide spirituel
L’éradication du christianisme laisse un vide que l’État tente de combler par une morale artificielle. Ce ne sont plus des principes transcendants qui dictent l’éthique, mais des lois fluctuantes adaptées aux idéologies du moment.
Cette inversion des valeurs favorise matérialisme, déconstruction de la famille et nihilisme. Privé de repères, l’individu devient vulnérable à la culture du divertissement et à la consommation de masse.
La République n’accepte qu’une seule spiritualité : celle conforme à ses dogmes. Pourtant, la déchristianisation entraîne individualisme, effondrement moral et atomisation sociale. Une société sans Dieu est une société sans âme, vulnérable aux dérives totalitaires.
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Le 4 mars 2025, Mike Borowski révélait que l’INSEE a enregistré 69 970 décès en janvier 2025, soit 8,4 % de plus qu’en 2024, un chiffre supérieur au pire mois du Covid, tandis que la natalité s’effondre. Les effets des injections et un agenda de dépopulation ne font plus aucun doute.
Une surmortalité inexpliquée mais prévisible
L’INSEE annonce un chiffre alarmant : 69 970 décès en janvier 2025, soit 3 000 de plus que le pire mois du Covid. Pourtant, aucune épidémie majeure, vague de froid ou catastrophe naturelle ne peut expliquer cette hécatombe. Les causes avancées – vieillissement de la population, conséquences du Covid long, saturation du système de santé – ne suffisent pas à justifier une telle augmentation.
Les maladies cardiovasculaires, AVC, thromboses, cancers fulgurants et troubles neurodégénératifs explosent. Depuis trois ans, des médecins alertent sur les effets secondaires des injections : myocardites, péricardites, troubles immunitaires et hormonaux. Les autorités les qualifient de "rares", mais les chiffres suggèrent un impact massif et prolongé.
Chute des naissances et effondrement démographique
Parallèlement, la natalité s’effondre. Depuis 2022, la France connaît une baisse historique des naissances, atteignant en 2024 le plus bas niveau depuis la Seconde Guerre mondiale.
Les explications officielles (crise économique, nouvelles aspirations des femmes) ne suffisent pas à justifier cette chute brutale. Les signaux inquiétants s’accumulent :
Hausse des fausses couches et complications de grossesse.Dérèglements menstruels signalés après les injections.Baisse de la fertilité masculine avec un effondrement du nombre et de la qualité des spermatozoïdes.Ce phénomène est mondial. En Allemagne, en Italie, au Royaume-Uni et aux États-Unis, la démographie s’effondre après des campagnes massives d’injections. Une coïncidence ?
Pourquoi cacher ces chiffres ?
Les données de l’INSEE sont publiques, mais aucun grand média n’en parle. Pourquoi ? Parce que les conclusions dérangent.
Admettre que la surmortalité et l’effondrement de la natalité sont liés aux injections, c’est reconnaître une catastrophe sanitaire et une responsabilité politique et pharmaceutique énorme.Une volonté de réduction de la population ?
Depuis des décennies, certaines élites mondialistes défendent une réduction démographique, sous couvert d’écologie ou de gestion des ressources. Des figures comme Bill Gates et Klaus Schwab évoquent la nécessité de "contrôler" la croissance de la population mondiale.
Si cet agenda était appliqué, à quoi ressemblerait-il ?
Une surmortalité croissante sous couvert de crises sanitaires.Une chute des naissances sous prétexte d’évolution sociétale.Une censure médiatique empêchant toute remise en question.Les chiffres ne mentent pas. Quelque chose d’anormal se produit, et ceux qui refusent de voir la réalité seront les prochaines victimes.
Découvrez les vérités cachées derrière ces chiffres inquiétants avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !
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Le 4 mars 2025, Sylvain Ferreira et François Martin étaient les invités de La Matinale de Géopolitique Profonde, animée par Raphaël Besliu !
Sylvain Ferreira est un historien militaire français, spécialisé dans l’art de la guerre et son évolution de 1850 à 1945. Il s’intéresse particulièrement à l’impact de l’ère industrielle sur les combattants et a contribué à plusieurs revues d’histoire militaire. Auteur et concepteur de jeux de stratégie, il a récemment publié La bataille de Marioupol : 25 février – 20 mai 2022.
François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable sur plus de 100 pays et maîtrise six langues et est connu pour ses analyses pénétrantes sur des sujets internationaux complexes.
L’Europe choisit l’escalade militaire et rejette la paix
Plutôt que d’opter pour la diplomatie, les dirigeants européens s’engagent dans une confrontation directe avec la Russie. Tandis que les États-Unis amorcent un retrait progressif, Emmanuel Macron et Keir Starmer plaident pour un soutien militaire accru à l’Ukraine. Leur doctrine de la paix par la force masque une montée en puissance offensive.
Macron a proposé une trêve d’un mois, affichée comme une initiative diplomatique. Pourtant, cette pause vise à renforcer l’arsenal ukrainien et à accroître la pression sur Moscou. Cette stratégie prolonge la guerre sous prétexte de la stopper, augmentant les risques d’un conflit généralisé.
L’illusion d’une armée européenne face à une Russie surpuissante
Face au désengagement américain, certains prônent une armée européenne. Mais cette ambition est illusoire : aucune nation européenne ne peut rivaliser avec la puissance militaire russe. L’Europe dépend toujours des États-Unis pour son matériel, sa logistique et sa coordination.
Les hausses budgétaires annoncées en France et en Allemagne sont insignifiantes face aux moyens colossaux de la Russie. L’échec de l’Ukraine, malgré des milliards d’aides, le prouve. Poursuivre cette voie condamne l’Europe à un conflit qu’elle ne peut ni gagner ni contrôler.
Une stratégie dictée par les élites mondialistes
Cette fuite en avant ne relève pas d’erreurs stratégiques, mais d’un projet global : maintenir l’Europe sous tutelle atlantiste. Le conflit ukrainien justifie une militarisation accélérée et une intégration accrue sous commandement OTAN, empêchant tout rapprochement avec Moscou.
L’Union européenne devient le terrain d’expérimentation d’un complexe militaro-industriel avide de profits. Tandis que les États-Unis se distancient, l’Europe est poussée vers une impasse. Cette stratégie ne protège pas ses peuples, elle les expose à une catastrophe géopolitique.
Ne soyez pas dupe des manœuvres des élites, anticipez les bouleversements à venir avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !
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Le 3 mars 2025, le Capitaine Hervé Moreau, Antoine Gainot et Patrice Magneron étaient les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.
Le capitaine Hervé Moreau est un ancien officier de gendarmerie qui a quitté son poste pour dénoncer les dérives du système judiciaire français. À travers ses livres Vérité d’un capitaine de gendarmerie et Candidat libre, il expose les dysfonctionnements institutionnels, l’impuissance des forces de l’ordre et l’absence de justice pour les victimes. Engagé et sans compromis, il propose des réformes concrètes pour la sécurité et la justice, tout en assumant les risques de son franc-parler et de son indépendance.
Antoine Gainot est un éditorialiste au sein de la revue « Front populaire », une publication française fondée par Michel Onfray, qui se consacre à une réflexion critique sur les enjeux contemporains en France et en Europe. À travers ses écrits, Antoine Gainot aborde des sujets variés, souvent marqués par une analyse de l’actualité politique et sociétale, et s’inscrit dans une démarche de défense de la souveraineté populaire et de remise en question des dogmes dominants.
Patrice Magneron est le président de l’association IDNF (Initiative pour la Défense de la Nation Française), une organisation engagée dans le rapprochement entre militaires et civils. À travers diverses actions et activités, l’IDNF œuvre pour renforcer les liens entre ces deux composantes essentielles de la société, en mettant l’accent sur des valeurs de patriotisme et de défense de l’identité nationale.
Un pays au bord de l’explosion
La France vacille sous une élite politique incapable de garantir la sécurité. Zones de non-droit, immigration incontrôlée, justice laxiste : le pays se dirige vers un chaos imminent. Face à cette menace, l’absence de leadership ferme renforce l’anarchie. Un État qui ne protège pas ses citoyens les abandonne à la violence.
Seul un dirigeant déterminé peut stopper cette dérive. L’histoire montre qu’un pays sans autorité sombre. Il est urgent de restaurer l’ordre, de rétablir une justice efficace et de reprendre le contrôle du territoire.
Pourquoi l’État protège les voyous mais harcèle les Français ?
L’État, au lieu de combattre la criminalité, s’acharne sur les citoyens honnêtes. Amendes abusives, restrictions liberticides, impôts confiscatoires : tout est fait pour briser les individus autonomes. Pendant ce temps, les délinquants multirécidivistes sont relâchés, les quartiers abandonnés aux gangs, et l’insécurité explose.
Ce chaos n’est pas une conséquence de l’incompétence, mais d’une volonté d’instaurer un climat de peur permettant de justifier un contrôle accru sur la population. Seule une politique forte et déterminée pourra renverser cette stratégie et restaurer la sécurité nationale.
Rétablir la France : justice, frontières, autorité
Le redressement du pays repose sur trois piliers :
Une justice ferme : appliquer les peines, punir les criminels et mettre fin à l’impunité.Des frontières contrôlées : stopper l’immigration incontrôlée qui alimente l’insécurité et détruit l’unité nationale.Une autorité affirmée : un chef d’État doit défendre son peuple et refuser les soumissions aux dogmes mondialistes destructeurs.Ne subissez plus le chaos organisé par les élites : imposez la vérité et l’ordre avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde.
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Le 3 mars à 2025, Mike Borowski vous donnait rendez-vous pour un sujet explosif, sur Géopolitique Profonde.
Un film primé, un message clair
Le film Emilia Pérez de Jacques Audiard a marqué l’histoire du cinéma français en remportant sept César, dont celui de meilleur film. Son récit, centré sur un baron de la drogue mexicain qui transitionne pour devenir une femme, dépasse le cadre de la fiction : il illustre une transformation profonde du paysage culturel français.
Jadis marginale, la question transgenre est désormais au cœur du discours dominant, imposée comme une évidence par les institutions médiatiques et politiques. Ce sacre symbolise l’aboutissement d’un projet idéologique qui s’accélère depuis plusieurs années.
Un projet politique assumé
Depuis l’élection d’Emmanuel Macron en 2017, la question trans s’est hissée au premier plan des débats sociétaux. Derrière le prisme de l’inclusion et de la diversité, c’est une refonte complète des repères identitaires qui se met en place. L’État, les médias et les industries culturelles avancent ensemble pour déconstruire le modèle traditionnel de l’homme et de la femme.
Dans les écoles, les administrations et les productions audiovisuelles, la promotion du transgenrisme est devenue systématique, présentée comme une avancée incontournable. Cette dynamique ne relève pas d’un mouvement organique, mais d’une volonté politique appuyée par les élites progressistes, où toute remise en question est taxée de conservatisme.
Un effacement des repères identitaires
Cette évolution dépasse largement le simple combat pour les droits des minorités. Elle s’inscrit dans un projet de société qui vise à effacer toute notion de structure biologique et naturelle de l’identité. La dissolution des catégories traditionnelles ne se limite pas au genre : elle touche la famille, l’éducation et les fondements de la civilisation occidentale.
Cette stratégie repose sur un matraquage culturel, où la moindre opposition est immédiatement diabolisée. Ce que l’on présente comme une simple reconnaissance des identités fluides est en réalité une transformation radicale imposée par le haut, où les figures d’autorité – politiques, médiatiques et artistiques – façonnent un nouveau paradigme sans consultation démocratique.
Un basculement civilisationnel imposé
Le sacre d’Emilia Pérez aux César n’est pas un simple événement cinématographique : il s’agit d’un signal fort d’un basculement sociétal. Cette victoire consacre un nouveau modèle idéologique où le transgenrisme devient la norme à promouvoir et où toute critique est assimilée à une hérésie réactionnaire.
Ce phénomène ne relève pas du progrès naturel, mais d’une volonté d’ingénierie sociale, visant à redéfinir en profondeur les repères civilisationnels. Le comprendre, c’est se donner les moyens d’y résister.
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Le 3 mars 2025, Claude Janvier et Laurent Michelon étaient les invités de La Matinale, animée par Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.
Claude Janvier est un écrivain et essayiste français connu pour ses prises de position tranchées sur des sujets de société et de politique. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages qui explorent les dynamiques de pouvoir et les influences cachées au sein des structures étatiques et supranationales. Son dernier livre se nomme « L’État Profond Français » .
Laurent Michelon, entrepreneur français , est établi en Chine depuis plus de 20 ans, et y a travaillé dans la diplomatie culturelle française et pour plusieurs groupes de communication internationaux. Il est l’auteur du livre « Comprendre la relation Chine-Occident ».
Zelensky humilié, l’Ukraine plus isolée que jamais
Volodymyr Zelensky espérait un soutien américain. Il a reçu une leçon. Lors de sa rencontre avec Donald Trump, ce dernier lui a reproché son refus du cessez-le-feu et l’a accusé de jouer avec la Troisième Guerre mondiale. Loin du soutien espéré, il a été publiquement désavoué.
L’onde de choc dépasse la scène diplomatique. L’aide occidentale s’essouffle. En Europe, des pays comme la Norvège refusent désormais de soutenir militairement l’Ukraine. La fracture entre les alliés se creuse, rendant l’isolement de Kiev de plus en plus évident.
L’Union européenne enchaîne les humiliations
Macron, espérant imposer son leadership, s’est incliné devant Trump. Résultat : les États-Unis imposent une taxe de 25 % sur les importations européennes, fragilisant une économie déjà affaiblie. L’Europe, incapable de tenir tête à la Russie, se retrouve dans une impasse stratégique.
Kier Starmer, nouveau Premier ministre britannique, pensait réaffirmer l’influence du Royaume-Uni. Il a dû constater l’impuissance militaire européenne face à la Russie. Malgré ces revers, Bruxelles continue son hostilité envers Moscou, refusant d’admettre son incapacité à peser dans le conflit.
Trump avance, l’État profond recule
Pendant que l’Europe accumule les échecs, Trump applique méthodiquement son programme : fin du wokisme, durcissement migratoire, remise en cause du chantage climatique. Il impose son agenda sans concession.
Sur le plan international, il évoque l’idée explosive de placer Gaza sous administration américaine. Une décision qui renforcerait encore l’influence des États-Unis au Moyen-Orient. Mais la bataille la plus critique se joue en interne. L’État profond américain semble en déroute, se repositionnant en Europe, où son agenda trouve moins de résistance.
Un monde sous la domination de Trump
Trump impose son influence, humiliant ses adversaires et restructurant l’ordre mondial à son avantage. L’Europe s’enlise, l’Ukraine se retrouve isolée, et l’État profond cherche un nouveau point d’ancrage. Une réorganisation est en cours et son issue marquera l’avenir géopolitique.
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Le 2 mars 2025, Alexis Tarrade, Xavier Moreau et Nikola Mirkovic vous donnaient rendez-vous pour un nouvel épisode de Divergence sur Géopolitique Profonde !
Alexis Tarrade est un acteur clé des relations franco-russes et du soutien aux expatriés en Russie. Ancien président des Républicains en Russie et Biélorussie, il a dirigé l’Union des Français de l’Étranger en Russie et intervient régulièrement dans des débats sur les relations internationales.
Xavier Moreau, ancien officier parachutiste et diplômé de Saint-Cyr, vit en Russie depuis 24 ans. Il dirige LinkIT Vostok et a fondé le centre d’analyse Stratpol. Spécialiste de la géopolitique russe, il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont Nouvelle Grande Russie et Pourquoi la Russie a gagné ?.
Nikola Mirkovic, président de l’association Ouest-Est, mène des missions humanitaires au Donbass et au Kosovo. Auteur de Bienvenue au Kosovo et L’Amérique Empire, il analyse les enjeux entre l’Est et l’Ouest.
L’AfD explose en ex-RDA et bouleverse l’Allemagne
L’Alternative für Deutschland (AfD) progresse fortement dans l’ex-RDA, reflétant un rejet massif des politiques fédérales de Berlin. L’Est, en opposition frontale avec l’Ouest, refuse l’immigration massive, l’inflation et les restrictions énergétiques. L’AfD, diabolisée par l’establishment, devient le dernier recours des citoyens en rupture avec le pouvoir central.
L’élite politique panique. Certains évoquent une dissolution du parti, une menace qui ne ferait qu’alimenter la révolte. Cette fracture Est-Ouest rappelle les tensions historiques de la guerre froide et préfigure un clivage explosif dans l’avenir de l’Allemagne.
Macron humilié par Trump
La rencontre entre Emmanuel Macron et Donald Trump a confirmé l’impuissance française face aux États-Unis. Sur le climat, le commerce et l’Iran, Trump a imposé sa vision sans faire de concessions. Macron, qui espérait un rôle de médiateur, s’est heurté à un mur.
Cette rencontre illustre la vassalisation de la France, incapable de peser sans l’aval de Washington. L’Europe, qui se rêve autonome, reste sous influence américaine. Trump en sort gagnant, Macron affaibli, et l’illusion d’un leadership européen s’effondre une fois de plus.
Roumanie : un coup d’État électoral orchestré par Bruxelles
L’arrestation de Georgescu en pleine campagne électorale illustre une ingérence brutale de l’Union européenne. Sous prétexte de lutte contre la corruption, Bruxelles élimine les opposants et verrouille le pouvoir. Ce modèle de contrôle, déjà appliqué en Hongrie et en Pologne, s’étend désormais à l’ensemble de l’Europe de l’Est.
La démocratie devient un simulacre où seuls les candidats validés par l’UE ont une chance d’accéder au pouvoir. La souveraineté des peuples est écrasée par une technocratie qui ne tolère aucune dissidence.
Ne laissez pas les élites écrire l’histoire à votre place, décortiquez les véritables enjeux avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !
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Le 2 mars 2025, Mike Borowski révélait comment Pierre-Alain Cottineau, assistant familial et militant LFI, a organisé un réseau pédocriminel en Loire-Atlantique, profitant de l’Aide sociale à l’enfance pour livrer des enfants drogués à des prédateurs protégés, dans un système étendu et occulté sur GPTV.
Un réseau pédocriminel infiltré dans l’Aide sociale à l’enfance
L’affaire révèle une infiltration criminelle au sein des structures de protection de l’enfance. Pierre-Alain Cottineau, président de l’association Esprit Arc-en-Ciel et militant LFI, s’est servi de son engagement pour obtenir la garde d’enfants vulnérables. Derrière son activisme, il opérait un réseau structuré, exploitant des victimes sous couvert d’un cadre institutionnel censé les protéger.
Grâce à son statut et ses relations politiques, il a bénéficié d’une impunité totale, lui permettant d’agir sans entraves. Comme dans d’autres affaires, la proximité avec des élus et des groupes militants a joué un rôle clé dans la dissimulation de ses crimes.
Des enfants livrés à un réseau organisé
Les faits sont d’une brutalité inouïe : des enfants placés sous sa responsabilité ont été drogués, agressés et filmés pour être diffusés sur le darknet. Une fillette de 4 ans handicapée et un bébé de 5 mois comptent parmi les victimes identifiées.
Le réseau ne se limite pas à un prédateur isolé. Des pédocriminels de France et de Belgique étaient impliqués, utilisant des messageries cryptées et des circuits logistiques élaborés. L’organisation rappelle d’autres scandales où les institutions ont servi de couverture aux criminels.
Complicités et silence médiatique
Malgré des signalements, Cottineau a conservé son rôle auprès des enfants. Pourquoi l’ASE lui a-t-elle accordé sa confiance malgré des soupçons ? Comment un tel individu a-t-il pu échapper à tout contrôle ? Ces questions restent sans réponse, illustrant l’aveuglement ou la complicité des institutions.
Les médias, habituellement prompts à s’indigner, ont minimisé l’affaire. Aucune grande chaîne d’information ne l’a traitée sérieusement. Ce silence interroge : pourquoi ces crimes sont-ils si souvent occultés par les élites politiques et médiatiques ?
Un schéma criminel bien rodé
Cette affaire suit un schéma récurrent :
Un criminel infiltré dans une institution de confiance.Une couverture militante ou politique qui protège ses actions.Des complicités institutionnelles permettant la persistance des abus.L’ampleur du réseau prouve qu’il ne s’agit pas d’actes isolés, mais bien d’un système où les prédateurs opèrent sous la protection d’institutions censées défendre les victimes.
Pourquoi tant d’impunité ?
Les scandales pédocriminels sont systématiquement étouffés. Dès qu’ils éclatent, une machine médiatique se met en place pour minimiser leur portée et détourner l’attention. Trop souvent, les enquêtes se heurtent à des blocages judiciaires, laissant penser que ces réseaux bénéficient d’appuis haut placés.
Tant que ces affaires ne seront pas traitées comme une priorité absolue, les criminels continueront à agir en toute impunité. Exiger vérité et justice est un impératif pour mettre fin à ces protections indignes.
Sortez de la propagande médiatique et découvrez la vérité sur ces réseaux occultes avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde.
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Le 2 mars 2025, Serge Federbusch était l’invité du Libre Journal de Géopolitique Profonde, animé par Nicolas Stoquer !
Serge Federbusch est un essayiste et homme politique français, connu pour ses positions tranchées sur la politique nationale et son engagement contre le déclin de Paris. Fondateur du mouvement Aimer Paris, il est un critique fervent des élites politiques et des dysfonctionnements de la gestion publique. Il présentera son dernier livre, Le Sabre et l’Esprit .
Macron et l’effondrement de la diplomatie française
Autrefois puissance d’équilibre, la France est devenue un acteur secondaire sur la scène mondiale. L’alignement sur Washington et Bruxelles, la communication infantilisante sur TikTok et l’absence de vision stratégique ont précipité ce déclin. Macron privilégie l’image à l’action, tandis que la politique intérieure se réduit à des jeux de pouvoir, illustrés par l’affaire Richard Ferrand et la complicité tacite du Rassemblement National. La souveraineté et la puissance sont sacrifiées au profit du court-termisme.
La faillite économique, bombe à retardement
Le modèle français repose sur un endettement insoutenable. Chaque euro dépensé pour acheter la paix sociale fragilise davantage l’économie. L’industrie a été démantelée, la compétitivité sacrifiée, et la fiscalité décourage toute relance. La France est un marché sous perfusion de l’UE et de la BCE. Lorsque les marchés cesseront de financer ce modèle, l’effondrement sera brutal.
Choc entre État-nation et mondialisation totalitaire
Le monde est en guerre entre souverainistes et mondialistes. La France, piégée dans des dogmes dépassés, refuse d’admettre la fin du modèle globalisé. La guerre en Ukraine, la crise de Gaza et la rivalité sino-américaine ne sont que des symptômes d’un affrontement bien plus large. Face au retour du protectionnisme, Paris persiste dans une stratégie perdante. L’histoire avance, et ceux qui ne s’adaptent pas disparaissent.
Découvrez les vérités cachées derrière la chute inexorable de la France avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !
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Le 1er mars 2025,Mike Borowski, vous donnait rendez-vous sur Géopolitique Profonde.
L’audience de Volodymyr Zelensky chez Donald Trump a tourné au fiasco diplomatique.
Le président américain n’a pas mâché ses mots, recadrant son homologue ukrainien avec une fermeté jamais vue sur la scène internationale. Derrière cette scène brutale, c’est un changement stratégique majeur qui se dessine : l’abandon progressif de l’Ukraine par Washington.Trump lâche l’Ukraine : un tournant géopolitique majeu
Lors de leur rencontre à la Maison-Blanche, Donald Trump a sèchement reproché à Zelensky de « jouer avec la troisième guerre mondiale ». Le vice-président J.D. Vance a enfoncé le clou, qualifiant le président ukrainien de « dictateur sans élections ». Ce ton traduit un changement profond : l’Ukraine n’est plus une priorité stratégique pour les États-Unis.
En refusant de signer l'accord sur l’exploitation conjointe des ressources minérales ukrainiennes, Zelensky ne fait pas que rompre un partenariat économique, il scelle une rupture politique. Les alliés européens, pris de court, doivent désormais réévaluer leur position face à cette nouvelle donne en Europe de l’Est.
L’effondrement du mythe Zelensky
Présenté comme un héros de la résistance, Zelensky voit son image s’effriter. En remettant en cause la légitimité de son pouvoir et l’absence d’élections en Ukraine, Trump et Vance brisent le vernis démocratique entretenu par Kiev.
Désormais, les critiques fusent sur la gestion autoritaire du pouvoir ukrainien, la répression des opposants et la dépendance totale du régime vis-à-vis des aides occidentales. L’État ukrainien, vendu comme un rempart démocratique contre Moscou, apparaît de plus en plus comme un régime sous perfusion, incapable de survivre sans le soutien des États-Unis et de l’UE.
Un revers pour l’État profond
Ce désaveu de l’Ukraine par Trump est un camouflet pour l’État profond américain, qui pousse depuis des années à l’escalade avec la Russie. L’objectif était de maintenir l’Europe sous tutelle américaine, affaiblir Moscou et enrichir le complexe militaro-industriel.
Trump, en refusant d’impliquer davantage les États-Unis, privilégie le désengagement et le rapprochement avec Moscou. Cette rupture avec la ligne belliciste de Biden pourrait marquer un changement de paradigme et redéfinir l’équilibre des forces en Europe.
Un bouleversement pour l’Europe
L’Europe, longtemps protégée par le parapluie militaire américain, pourrait être la grande perdante de ce réalignement. La France, l’Allemagne et d’autres puissances européennes devront revoir leurs stratégies de défense et envisager de nouvelles alliances, y compris avec des acteurs autrefois perçus comme des adversaires.
Pour Washington, cette réorientation marque une transition vers une politique moins interventionniste. Trump se positionne comme un pragmatique qui met fin aux guerres coûteuses et inutiles, une posture qui pourrait séduire une opinion publique américaine lassée des conflits interminables.
L’époque où Volodymyr Zelensky était acclamé en héros semble révolue. Il incarne désormais l’échec d’une stratégie occidentale, une marionnette sacrifiée au gré des intérêts américains.
Nous entrons dans une nouvelle ère géopolitique, où les alliances se redessinent et où les vérités cachées émergent. L’abandon progressif de l’Ukraine n’est que le début d’un basculement stratégique dont les conséquences restent imprévisibles.
Allez plus loin dans l’analyse et la compréhension des grands bouleversements, grâce à votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde.
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Le 1er mars 2025, Youssef Hindi et Pierre-Antoine Plaquevent étaient les invités de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.
Youssef Hindi est écrivain, chercheur indépendant et historien de l’eschatologie messianique. Ses travaux de recherches sont tournés principalement vers l’étude des origines des idéologies modernes, de leur évolution et leur influence sur la politique et la géopolitique contemporaines.
Pierre-Antoine Plaquevent est un essayiste français, expert en géopolitique et en stratégies d’influence des élites mondiales. Il est reconnu pour ses ouvrages sur la manipulation et la réingénierie sociale orchestrée par les élites globalistes.
Tous deux ont récemment co-écrit et publié l’ouvrage « Israël et la guerre mondiale des religions : Géopolitique et millénarisme » dont ils vont nous parler lors de cette émission. Cet article sert d’introduction.
Un sionisme messianique en pleine expansion
Le conflit israélo-palestinien ne se limite pas à une guerre territoriale. Il s’inscrit dans une dynamique messianique et géopolitique globale, où les ambitions du sionisme millénariste s’entrelacent avec les stratégies impérialistes occidentales.
Loin d’être un simple affrontement entre deux peuples, cette guerre s’impose comme un choc des civilisations orchestré, aux répercussions bien au-delà du Moyen-Orient.
Un sionisme messianique expansionniste
Le projet sioniste, initialement laïc, glisse vers une vision théocratique visant à reconstruire le Troisième Temple de Jérusalem sur l’emplacement d’Al-Aqsa. Cette ambition justifie une politique de déplacement des Palestiniens, perçus comme un obstacle. Depuis des années, l’expansion israélienne s’accélère, favorisée par le chaos dans les États voisins comme l’Irak ou la Syrie, affaiblissant toute opposition régionale.
L’Europe sous influence néoconservatrice
Les gouvernements européens sont sous emprise atlantiste et sioniste. Depuis la guerre en Libye, qui a plongé la région dans l’instabilité, chaque crise suit le même modèle : soutien inconditionnel à Israël, diabolisation de ses adversaires et instrumentalisation du chaos. La guerre en Ukraine renforce cette emprise, empêchant l’émergence d’un bloc indépendant résistant à la domination anglo-saxonne.
Un choc des civilisations manipulé
L’affrontement entre Israël et le monde arabe repose sur une ingénierie géopolitique. L’essor de l’islamisme radical, largement encouragé par des services occidentaux et israéliens, a permis de justifier des décennies de guerre. La menace terroriste, entretenue par des groupes comme Daech, sert de prétexte pour des interventions militaires et un contrôle accru des populations.
L’urgence d’une alternative géopolitique
L’Europe doit rompre avec l’atlantisme et les dogmes néoconservateurs pour retrouver son autonomie diplomatique. Il ne s’agit plus de choisir entre un soutien inconditionnel à Israël ou une soumission à une gauche mondialiste, mais de construire une vision stratégique propre, recentrée sur les intérêts européens.
Ce conflit n’est pas qu’un problème régional : il est un révélateur des forces en jeu dans la reconfiguration du pouvoir mondial.
Décryptez les vérités interdites et libérez-vous du récit officiel avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde.
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