Эпизоды

  • Le 3 octobre 2024, Myriam Palomba était l’invitée de Mike Borowski, sur GPTV ACTU !

    Myriam Palomba est une journaliste et directrice de rédaction française, connue pour son travail dans la presse people. Elle a occupé des postes clés dans des magazines tels que Public et est également active dans la production de contenu digital. Myriam Palomba se distingue par son franc-parler et son regard critique sur les médias et la politique.

    Chikirou et Mélenchon dans la tourmente

    La députée LFI de Paris, Sophia Chikirou, proche de Jean-Luc Mélenchon, est mise en examen pour escroquerie aggravée et abus de biens sociaux. Accusée de surfacturation via son agence Mediascop lors de la campagne présidentielle de 2017, elle clame son innocence : « Mediascop n’a pas surfacturé, il n’y a pas eu de détournement de fonds publics ». Néanmoins, elle aurait perçu 64 000 € de dividendes sur 76 000 € de bénéfices en 2016 et 65 000 € en 2017, soulevant des doutes sur le rôle de Mediascop, active principalement durant les élections pour un unique client : La France Insoumise.

    LFI au cœur d’un scandale financier

    Cette affaire ravive les soupçons sur la gestion financière de LFI. Bastien Lachaud, ancien trésorier de l’association LFI, est également mis en examen pour faux, prêt illicite de main-d’œuvre et escroquerie. Ces révélations fragilisent l’image d’un parti qui se positionne comme le champion de la transparence et de la moralité politique. L'enquête avait démarré en 2018 suite à des signalements de la Commission des comptes de campagne et Tracfin. Les perquisitions au siège de LFI, chez Mélenchon et ses collaborateurs, ont provoqué des tensions retransmises en direct, illustrant le caractère explosif de l'affaire. Mélenchon défend toutefois Chikirou, évoquant un acharnement judiciaire.

    Sous le feu des projecteurs

    Cette affaire remet en cause la crédibilité de LFI. Les scandales touchant l'entourage de Mélenchon dévoilent les failles d’un parti prônant la justice sociale, mais tolérant des pratiques financières opaques. Les sympathisants de droite y voient une preuve que LFI n'est pas différent des autres partis, malgré son discours moraliste. Ces révélations interviennent alors que la gauche radicale française est déjà fragilisée par des accusations de fraudes et des tensions internes. Cette crise pourrait-elle affaiblir définitivement LFI ou n'est-ce qu'un nouvel épisode des démêlés judiciaires entourant Mélenchon et ses proches ? Seul l’avenir le dira, mais la situation actuelle pourrait marquer un tournant pour le couple Mélenchon-Chikirou.

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  • Le 3 octobre 2024, Marie-Pascale Remy était l’invitée de Nicolas Stoquer, sur GPTV ACTU !

    Marie-Pascale Remy est une auteure et conférencière spécialisée dans la connaissance de soi et la spiritualité. Après une expérience de mort imminente en 1989, elle a orienté sa recherche vers l’enseignement de Rudolf Steiner, ce qui a profondément influencé son parcours. Elle a écrit plusieurs ouvrages sur le développement personnel, l’ange gardien, et les mythes du féminin.

    Une ombre qui nous suit

    Le double n’est pas seulement une ombre intérieure contre laquelle nous luttons. Il nous accompagne à la naissance et nous quitte à notre mort, tissant des liens invisibles avec notre quotidien. Ce double interfère dans nos rapports sociaux, rendant les relations plus complexes qu’il n’y paraît.

    Le double manipule nos perceptions, créant des malentendus et des interprétations erronées. Lorsqu’il s’insinue dans les échanges, il devient difficile de discerner l’intention réelle de l’autre. Ces projections, nourries par nos propres faiblesses et peurs, nous poussent à réagir non pas à l’autre, mais à son double. Comprendre cette dynamique, c’est découvrir une part essentielle de soi-même, mais c’est aussi reconnaître que cette ombre agit subtilement sur nos pensées et nos actions. Comment apprivoiser cette force intérieure, qui se manifeste par nos comportements les plus destructeurs ?

    Le masque du double

    Le double nous accompagne dès la naissance et nous suit jusqu’à notre dernier souffle. Mais son influence ne se limite pas à être cette ombre inquiétante qui rôde dans notre psyché. Il est bien plus complexe : il s’infiltre dans nos rapports sociaux, se glissant dans nos interactions quotidiennes. Que de fois nous avons été trompés par cette apparence trompeuse, aveuglés par le double de l’autre, incapables de distinguer l’authenticité de l’être derrière cette façade.

    Ce phénomène subtil rend les relations humaines encore plus complexes. Lorsque nous pensons faire face à l’autre, il se peut que nous soyons en réalité en confrontation avec son double, cette copie déformée qui émerge dans les moments de tension. Une lutte invisible se joue alors, où les deux doubles s’affrontent, masquant la véritable nature des conflits.

    Les conflits invisibles

    Nombre de malentendus et de conflits proviennent de ce double, agissant à notre insu. Les querelles les plus véhémentes, que ce soit au sein d’un couple ou d’une équipe de travail, sont souvent le fruit de ces forces inconscientes en jeu. Ces « querelles de doubles » empoisonnent nos vies sans que nous en soyons toujours conscients.

    Ces querelles de doubles engendrent des tensions qui dépassent la simple incompréhension. Il ne s’agit plus seulement de désaccords personnels, mais de clashes psychiques, où l’être véritable est éclipsé par cette force intérieure qui influence nos comportements. Il est essentiel de reconnaître ces manifestations pour ne pas se laisser entraîner dans une spirale destructrice.

    Pour découvrir les mécanismes cachés qui influencent nos vies, explorez nos analyses plus poussées dans la revue mensuelle Géopolitique Profonde !

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  • Le 3 octobre 2024, François Costantini était l'invité de Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, pour La Matinale sur Géopolitique Profonde !

    François Costantini est Docteur en Science politique de l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne et Diplômé de l'Institut d'Études Politiques de Paris. Professeur associé à l'Université Saint-Joseph de Beyrouth et membre du Centre de Politique Étrangère de la Sorbonne, il est spécialisé dans les enjeux géopolitiques contemporains. Auteur de plusieurs ouvrages de référence, il a notamment publié "Les relations internationales en fiches", un livre essentiel pour comprendre les grandes dynamiques mondiales actuelles, ainsi que "Le Liban : Histoire et destin d’une exception", qui analyse en profondeur les spécificités historiques et politiques du pays du Cèdre.

    Une poudrière sur le point d'exploser

    La situation au Proche-Orient est aujourd'hui plus préoccupante que jamais. Après des décennies de tensions et de guerres, la région se dirige vers un nouvel embrasement général. Les affrontements à Gaza et les bombardements sur le Liban ont coûté la vie à de nombreux civils, renforçant la méfiance entre les acteurs de la région. Cette situation rappelle les Balkans au début du XXe siècle, où une étincelle déclencha une guerre totale en Europe.

    L'absence d'une stratégie diplomatique claire des puissances occidentales et la montée des tensions internes posent la question : le Proche-Orient deviendra-t-il au XXIe siècle ce que les Balkans furent au XXe ? Un embrasement général affecterait l’ensemble de la région, voire le monde entier.

    L’Iran face à la menace

    La possibilité pour l’Iran de devenir une puissance nucléaire a toujours été source de tensions. Israël pourrait mener des frappes préventives contre les installations nucléaires iraniennes. Une telle opération, “Flèche de Galilée”, comporterait néanmoins d’énormes risques pour l’armée israélienne, malgré sa supériorité technologique.

    En réponse, l’Iran a lancé 180 missiles sur Israël, marquant un tournant dans l’intensité des hostilités. Cette riposte a surpris la communauté internationale et révélé les difficultés qu’Israël pourrait rencontrer pour contenir un conflit sur plusieurs fronts. Israël a promis de “riposter dans tout le Moyen-Orient”, laissant présager une escalade régionale. Les États-Unis, alliés traditionnels de Tel-Aviv, devront décider s’ils s’engagent pleinement aux côtés d’Israël ou s’ils privilégient une stratégie défensive pour éviter un embrasement total. Le risque d’une escalade incontrôlée est palpable, et l’avenir du Proche-Orient pourrait se jouer dans les semaines à venir.

    Les grandes puissances face à l’escalade

    La Russie, alliée de l'Iran, pourrait-elle intervenir pour protéger ses intérêts ? L’Iran, qui a renforcé ses liens avec Moscou, pourrait espérer un soutien direct ou une protection diplomatique contre des sanctions. Quant à la Chine, bien que Pékin ait des intérêts économiques dans la région, elle pourrait éviter un engagement direct.

    Une déstabilisation du Proche-Orient aurait des répercussions sur les échanges commerciaux mondiaux, ce qui attirerait l’attention de la Chine. Une intervention russe ou chinoise bouleverserait les équilibres géopolitiques et pourrait conduire à un nouveau conflit mondial.

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  • Le 2 octobre 2024, Maître Christophe Gérard était l’invité de Mike Borowski, pour évoquer le fléau de la maltraitance animale, sur GPTV.

    Maître Christophe Gérard, connu pour ses nombreuses batailles juridiques contre la cruauté envers les animaux, œuvre depuis des années pour faire évoluer la législation française en faveur du bien-être animal. Grâce à son expertise et sa passion inébranlable, il lutte contre toutes les formes de maltraitance en France.

    Mais derrière ce combat, se cache une question centrale : la France est-elle prête à prendre la défense des animaux au sérieux ?

    Une législation trop laxiste face à une maltraitance généralisée

    Chaque année, plus de 9 504 infractions pour actes de cruauté envers les animaux sont signalées. Pourtant, ce chiffre n’est que la pointe de l’iceberg. La réalité est bien plus sombre. Les sanctions sont dérisoires : une amende de 450€ pour une atteinte involontaire à l'intégrité ou à la vie d'un animal, et seulement 1 500€ pour une atteinte volontaire. Des peines qui semblent bien faibles comparées aux souffrances infligées et à la gravité des actes.

    La maltraitance animale prend plusieurs visages. Bien que la violence domestique envers les animaux soit médiatisée, elle n’est que l’arbre qui cache la forêt. La cruauté est souvent systémique, enracinée dans des pratiques industrielles et scientifiques : expérimentations en laboratoires, tests cosmétiques, ou encore l’élevage intensif.

    L’abattoir de Limoges a récemment été pointé du doigt pour ses méthodes cruelles d’abattage. Et si cette affaire a fait la une, combien d’autres atrocités restent encore dissimulées derrière les portes closes des laboratoires et des fermes-usines ?

    Le statut des animaux : une évolution encore trop lente

    Pendant des siècles, l’animal a été vu comme un simple objet de propriété, sans droit ni reconnaissance de sa sensibilité. Pourtant, certaines civilisations anciennes comprenaient déjà le lien sacré qui unit l’homme et l’animal. Les Égyptiens, par exemple, honoraient leurs chats comme des divinités.

    Aujourd'hui, malgré quelques avancées, la législation française continue à tergiverser sur le statut des animaux. Sont-ils doués de sensibilité ou de simples biens meubles ? Cette ambiguïté persiste et empêche une réelle reconnaissance de la souffrance animale dans nos lois et mentalités.

    L'indifférence des politiques et le rôle crucial des associations

    Face à ces enjeux, le silence des politiques est assourdissant. Où sont les écologistes, censés défendre la cause animale en première ligne ? Protègent-ils leurs intérêts électoraux plutôt que leurs valeurs proclamées ?

    Cette inertie politique laisse un vide qu’occupent certaines associations comme L214, qui dénoncent les abus et révèlent, vidéos à l’appui, les atrocités commises dans les abattoirs, laboratoires et élevages industriels. Leur action salutaire, souligne également la défaillance de l'État à prendre ses responsabilités.

    Outre L214, d'autres voix s'élèvent pour dénoncer les abus de la part d'éleveurs, ou même de propriétaires particuliers qui adoptent des animaux, notamment des chiens, pour les mauvaises raisons : défendre la maison, combler des complexes, et bien pire encore.

    Certains font le travail, comme la chaîne YouTube Esprit Dog, afin d'éduquer non pas les chiens, mais les propriétaires et futurs propriétaires pour qu'ils adoptent les bonnes pratiques. Mais la législation a malheureusement beaucoup de mal à évoluer. On en revient toujours au même : la déconnexion des politiques avec le monde réel.

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  • Le 2 octobre 2024, Jean-Luc Robert était l’invité de Mike Borowski, sur GPTV Actu, pour évoquer la côte de popularité en chute libre de Kylian Mbappé.

    Jean-Luc Robert est un auteur et conférencier français, reconnu pour ses analyses critiques sur les dérives sociétales, notamment celles liées à la santé mentale et à la neurodiversité. Ancien psychologue spécialisé dans les troubles du comportement chez les enfants, il se consacre désormais à l’écriture et à la vulgarisation pour dénoncer les excès de la médicalisation. Son dernier livre, “Neuro divers +”, aborde les enjeux du surdiagnostic chez les jeunes et les adultes, alertant sur la marchandisation de la santé mentale.

    Kylian Mbappé : quel modèle pour la jeunesse ?

    Avec son talent et son parcours exceptionnel, Kylian Mbappé est un modèle d’excellence pour des millions de jeunes Français. Son influence dépasse le cadre sportif : chaque tweet, interview ou geste du joueur du Paris Saint-Germain est analysé et inspire la jeunesse. Cette visibilité lui impose une grande responsabilité : incarner des valeurs positives et être un exemple à suivre.

    Mais où s’arrête la responsabilité du sportif, et où commence celle de la figure publique aux opinions politiques ? Sa popularité s’est transformée en pouvoir social et politique. Ses propos influencent les jeunes sur des sujets sensibles, qu’il en ait conscience ou non.

    Un tweet pour Nahel, un silence pour Philippine : les prises de position controversées de Mbappé

    Suite à la mort de Nahel, Mbappé a rapidement exprimé son soutien sur les réseaux sociaux. Ce tweet a suscité des réactions variées. Mais pourquoi ce silence concernant la mort tragique de Philippine ?

    Cette différence de traitement choque de nombreux Français. La sélection de ses élans de compassion soulève une question : Mbappé est-il guidé par des préférences idéologiques ou ethniques ?

    S’il se pose en porte-parole de la jeunesse, son engagement soulève alors une question essentielle : prône-t-il une France unie ou contribue-t-il à la division ?

    Sport et politique : l’épineuse question de l’engagement sélectif

    Mbappé n’est pas la seule personnalité publique à faire polémique. Omar Sy, par exemple, a suscité des critiques pour avoir dénoncé la différence de traitement médiatique entre la guerre en Ukraine et les conflits africains, provoquant des accusations de racisme anti-blanc.

    Ce phénomène soulève une question majeure : les personnalités publiques doivent-elles s’engager sur tous les sujets, ou peuvent-elles choisir les causes qu’elles défendent ? Et sur quels critères ?

    Sport et politique : une fracture profonde de la société française

    Les prises de position de Mbappé reflètent les fractures d’une France divisée. Certains soutiennent les délinquants comme « victimes du système », tandis que d’autres défendent les victimes innocentes des violences. En devenant des acteurs politiques, les sportifs influencent cette polarisation. La France semble tiraillée entre deux visions opposées de la justice et de l’identité nationale.

    Ainsi, des questions émergent : Les sportifs doivent-ils s’engager citoyennement ? Ou rester dans leur rôle d’athlètes ? Leur parole unit-elle ou divise-t-elle ?

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  • Pour ce nouveau micro-trottoir, GPTV Investigation donne la parole aux Français face à la hausse des impôts.

    Michel Barnier partage ses objectifs entre économies sur les dépenses publiques et hausse des taxes et impôts. Désormais, il est clair que les contribuables seront fortement impactés.

    La hausse des impôts : un ras-le-bol général face aux annonces de Michel Barnier

    La fiscalité en France est un sujet brûlant depuis des années. Les récentes annonces de Michel Barnier sur une potentielle hausse des impôts ont ravivé les tensions, suscitant un sentiment de lassitude générale. De nouvelles taxes pourraient s’ajouter à un système fiscal déjà parmi les plus lourds du monde.

    La pression fiscale, pesant sur ménages et entreprises, alimente un sentiment de ras-le-bol et d’injustice.

    La France : le pays le plus taxé d’Europe

    La France détient le titre peu enviable de pays le plus taxé d’Europe, avec un taux de prélèvements obligatoires atteignant 45,4 % du PIB, contre une moyenne de 40 % dans l’UE (Eurostat 2022). Cela inclut une TVA à 20 %, des impôts sur le revenu progressifs (jusqu’à 45 %), et des cotisations sociales élevées.

    De plus, la taxe foncière, pouvant augmenter de plus de 50 % dans certaines communes, pèse sur les propriétaires. L’inflation galopante qui, selon l’INSEE, a atteint 5,8 % en août 2023 sur un an, touchant surtout les ménages modestes.

    Comment faire des économies ?

    La question des économies est au centre des débats. Certaines allocations, comme l’Aide Médicale d’État (AME), qui a coûté 1,2 milliard d’euros en 2022, sont critiquées. De plus, les montants consacrés à l’immigration et à l’aide au développement (plus de 12 milliards d’euros en 2021) suscitent des interrogations, notamment dans un contexte de difficultés pour de nombreux citoyens.

    La contribution nette de la France à l’Union européenne, près de 9,5 milliards d’euros annuels (Commission européenne 2021), renforce le sentiment de frustration des contribuables. La répartition de ces budgets est remise en question, notamment face à la réduction des services publics ou à la baisse des remboursements de soins.

    Quelle perspective pour l’économie française ?

    L’avenir économique de la France est incertain. La pression fiscale s’intensifie, laissant présager un avenir difficile pour les classes moyennes, qui peinent à maintenir leur niveau de vie. Le déficit public, de 4,9 % du PIB en 2022, couplé aux promesses d’austérité européenne, renforce les inquiétudes sur l’équilibre des finances.

    Le rapport entre recettes fiscales et dépenses publiques se détériore, alimentant les craintes de voir la dette publique devenir incontrôlable.

    La fin du bouclier énergétique : une facture qui explose

    Le bouclier énergétique, mis en place en 2021 pour limiter la hausse des prix de l’énergie, arrive à son terme. Cette mesure avait plafonné les coûts du gaz et de l’électricité, offrant un répit temporaire. Avec sa fin prévue fin 2024, la facture énergétique risque d’exploser, avec une hausse de 10 à 15 % pour l’électricité en 2025, et une augmentation déjà observée de 60 % sur le gaz en deux ans.

    La fin du bouclier énergétique représente une épreuve supplémentaire pour le pouvoir d’achat des Français, déjà affaibli par l’inflation et la fiscalité. Les inquiétudes grandissent quant à la capacité des ménages à faire face à ces dépenses, alors que les aides gouvernementales semblent de plus en plus limitées.

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  • Le 2 octobre 2024, Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu décryptaient l’actualité brûlante de l’attaque de l’Iran sur Israël. Une émission spéciale de GPTV ACTU pour comprendre les racines de ce conflit historique et les conséquences d’une escalade sans précédent !

    La riposte millimétrée de l’Iran : une frappe qui brise les défenses israéliennes

    La guerre eschatologique menée par Israël s’intensifie. Après des offensives contre Gaza pour « éradiquer le Hamas » et des frappes ciblées au Liban contre le Hezbollah, l’Iran a riposté. Environ 200 missiles ont été lancés contre Israël, dont certains d’un type jamais utilisé : des missiles hypersoniques.

    Contrairement aux frappes de Tsahal sur des zones civiles, cette attaque iranienne vise des objectifs militaires. Bien que les dégâts soient considérables, une seule victime est à déplorer : un Palestinien.

    Israël, espérant une riposte iranienne pour légitimer ses attaques, ne s’attendait pas à une telle précision. La défense anti-aérienne israélienne, le Dôme de Fer, présenté comme impénétrable, a été franchie. Trois bases aériennes majeures ont été ciblées : Nevatim (abritant les F-35), Hatzerim, et des installations du Mossad. Cette attaque remet en question la supériorité aérienne israélienne. La stratégie iranienne prouve sa capacité à frapper précisément, sans massacrer de civils, contrairement à Israël qui bombarde sans distinction.

    Un monde en alerte : l’escalade militaire mondiale se profile

    Les États-Unis, ayant accordé 8 milliards de dollars à Israël, sont sur le pied de guerre. Leurs alliés européens, notamment la France, emboîtent le pas : l’Élysée a annoncé la mobilisation « de moyens militaires au Moyen-Orient pour parer la menace iranienne ». C’est le début d’une escalade militaire risquant d'impliquer les grandes puissances mondiales. Le Moyen-Orient devient le théâtre d’une guerre globale.

    Benjamin Netanyahu a déclaré : « L’Iran a commis une grave erreur ce soir et en paiera le prix ».

    Les tensions s’aggravent, et cette attaque iranienne, la deuxième en six mois, met en lumière le risque d’embrasement. Un conflit de cette envergure verrait l’implication des États-Unis, de la France, du Royaume-Uni, de la Russie, et d’autres acteurs internationaux, transformant cette crise régionale en confrontation globale.

    Vers une guerre eschatologique : prophéties et ambitions d’Israël

    L’ombre d’un conflit eschatologique se profile. Rav Ron Chaya, rabbin extrémiste, évoquait une troisième guerre mondiale imminente, déclenchée par Israël pour entraîner les États-Unis. Selon ces visions, cette guerre précéderait la venue du Mashia’h, marquant la fin des temps.

    Israël viserait à établir le « Grand Israël » et reconstruire le Troisième Temple, prélude à la résurrection des morts et à une paix absolue sur le monde.

    Mais à quel prix ? Des massacres, des villes en ruines, un Proche-Orient en flammes. Des analystes, tels Youssef Hindi, ont pointé cette guerre de nature eschatologique menée par Israël. Cette stratégie de chaos pour créer un nouvel ordre, où Israël serait l’élu, amène à questionner les motivations profondes de l’État hébreu.

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  • Le 2 Octobre 2024, Bernard Monot, économiste et ancien député européen, est l’invité de La Matinale animée par Nicolas Stoquer et Raphael Besliu, sur Géopolitique Profonde.

    Bernard Monot : l’économiste qui tire la sonnette d’alarme sur l’Union Européenne

    Ancien député européen et économiste de renom, il s’est imposé comme l’un des analystes les plus critiques de l’Union européenne. Dans son ouvrage L’Eurovision pour les peuples : De l’échec de l’Europe fédérale au succès de l’Europe des patries, notre invité dénonce sans détour la dérive fédéraliste de l’UE, qui selon lui précipite la France et l’Europe vers une ruine économique, politique, et culturelle.

    Face à un système bruxellois jugé « sclérosé« , il plaide pour une alternative audacieuse : une Europe des nations souveraines, libérées des contraintes fédéralistes. Son livre, véritable « bouclier anti-krach », ne se contente pas de pointer les faiblesses structurelles de l’UE ; il propose des solutions concrètes pour une restructuration basée sur le patriotisme et la volonté politique des peuples.

    Michel Barnier : « La France doit se serrer la ceinture »

    Michel Barnier dresse un tableau sombre de l’économie française, qualifiée de catastrophique. Sa solution : alourdir la fiscalité sur les plus riches. Les grandes entreprises pourraient voir leurs impôts augmenter, et une contribution exceptionnelle des Français les plus fortunés est envisagée. Cependant, cette proposition suscite des contestations : la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises (CPME) s’y oppose fermement, préconisant plutôt une réduction des dépenses publiques.

    Ces mesures fiscales risquent d’aggraver la situation. Face à une pression fiscale accrue, les grandes entreprises et les Français aisés pourraient quitter le pays, accélérant l’effondrement économique. Une fuite massive de capitaux et de talents priverait la France des ressources nécessaires pour redresser son économie, transformant la situation budgétaire en crise systémique.

    France, contributeur net : vers une déroute à la grecque ?

    Michel Barnier tire la sonnette d’alarme sur l’endettement public français, qui atteint 3 228 milliards d’euros, soit 112 % du PIB. Une situation explosive qui pourrait mener à une banqueroute imminente. Le service de la dette occupe déjà la première place du budget national, et un défaut de paiement devient de plus en plus plausible. La France pourrait-elle alors connaître un scénario « à la grecque » ou « à la chypriote », se retrouvant sous tutelle de l’UE ou du FMI ? Cette question s’impose alors que les indicateurs économiques sont au rouge.

    En tant que principal contributeur net au budget de l’UE, la France finance les politiques bruxelloises tout en étant soumise à leurs contraintes. Comme la Grèce avant elle, la France risque un dérapage budgétaire si elle poursuit dans cette voie. Entre une dette publique incontrôlée et une compétitivité en chute, le spectre d’un krach économique se profile de plus en plus.

    Pour éviter cette issue, un changement radical est nécessaire : sortir du « carcan bruxellois », retrouver une souveraineté monétaire et adopter une politique économique nationale forte pour contrer les dérives fédéralistes. Seule une rupture franche avec le modèle actuel de l’UE permettra à la France d’échapper à une chute à la grecque et de regagner sa liberté économique.

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  • Le 1er octobre 2024, Yves Pozzo Di Borgo était l’invité de Mike Borowski, sur GPTV !

    Yves Pozzo di Borgo est un homme politique français. Membre du Sénat de France de 2004 à 2017, il a représenté la ville de Paris pour l’Union Centriste. Il a également été conseiller de Paris et a occupé diverses fonctions au sein du Nouveau Centre et de l’UDI.

    Barnier charge le peuple de l’addition !

    Le dernier discours de Michel Barnier a laissé un goût amer aux Français. Dès les premiers instants, les députés du NFP (Nouveau Front Populaire) ont manifesté leur mécontentement en brandissant leurs cartes d’électeurs, dénonçant le décalage entre le nouveau gouvernement et le véritable résultat des législatives.

    Dès le début, Barnier évoque la « dette colossale » qui pèse sur le pays. Il affirme : « Notre responsabilité, c’est d’alléger le fardeau et de retrouver des marges de manœuvre budgétaires. » Mais quelle responsabilité ? Celle du peuple ou des dirigeants ? La réponse ne laisse aucun doute : les Français devront payer pour les erreurs des élites.

    Dans un discours teinté d’ironie, Barnier propose de « demander une participation » aux grandes entreprises et « un effort » aux plus fortunés. Il annonce aussi une revalorisation de 2% du SMIC dès le 1er novembre, soit environ 27 euros de plus par mois. Selon lui, cela permettra à chacun de « vivre de son travail ».

    L’eldorado de Big Pharma

    Un autre point surprenant du discours : la santé mentale. Barnier souhaite en faire une « grande cause nationale » d’ici 2025. Pourtant, il semble oublier les milliers de soignants licenciés pendant la période Covid. Comment garantir un « accès à des services publics de qualité » lorsque les professionnels sont poussés hors du système ?

    Derrière cette déclaration se cache un plan plus complexe : une augmentation des diagnostics de troubles mentaux, impliquant plus de médecins et donc plus de médicaments. La santé mentale devient le nouvel eldorado des géants de la pharma. Avec la « dette colossale » à rembourser, cette stratégie pourrait servir à la fois la « crise sanitaire » et le marché lucratif de la médicamentation.

    L’échec criant de la politique migratoire

    Barnier évoque ensuite le meurtre de Philippine, une jeune femme assassinée par un immigré clandestin. Un cas symbolisant l’échec de la politique migratoire en France. Barnier promet des peines courtes et « immédiatement exécutées » et annonce la création de nouvelles places de prison. Mais qu’en est-il des actes ?

    Il souhaite également « contrôler l’immigration », alors que plus de 100 000 obligations de quitter le territoire sont prononcées chaque année. De nombreux migrants en situation irrégulière restent en France sans réaction concrète de l’État. Combien de drames faudra-t-il pour que les dirigeants réagissent ? Le discours de Barnier révèle l’impuissance politique face à la crise migratoire.

    Des mots pour masquer l’inaction

    En conclusion, Michel Barnier tente d’adopter un ton apaisant. Il appelle à plus de fraternité, réaffirme la position de la France aux côtés de l’Ukraine et son engagement au Proche-Orient, et termine par un appel au cessez-le-feu à Gaza.

    Il conclut son discours : « Prenons soin de la République, elle est fragile. Prenons soin de l’Europe, elle est nécessaire. Prenons soin de la France et des Français. » Merci Michel, ces paroles nous rassureront sûrement pour la nuit.

    Ne vous contentez pas des discours creux ! Découvrez une analyse complète de la situation politique et économique de la France dans la revue mensuelle Géopolitique Profonde !

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  • Le 1er octobre 2024, Sarah Frikh était l'invité de Mike Borowski, sur GPTV ACTU !

    Sarah Frikh est une journaliste, consultante en harcèlement et cyberharcèlement. Elle est également présidente de l’association « Réchauffons nos SDF » qui a aidé près d’une centaine de femmes et enfants et fait plus de 200 mises à l’abri. Elle a lancé en 2017 une pétition sur change.org pour demander des centres d’hébergement pour les femmes SDF, qui a recueilli plus de 404 000 signatures. Elle alerte régulièrement sur la situation de ces personnes en difficulté sur les réseaux sociaux et organise des actions concrètes pour leur venir en aide.

    Le crime parfait

    L’affaire Delphine Jubillar est l’un des dossiers criminels les plus troublants des dernières années. La nuit du 15 au 16 décembre 2020, Delphine Jubillar, infirmière et mère de deux enfants, disparaît mystérieusement de son domicile à Cagnac-les-Mines.

    Les éléments contre Cédric Jubillar, son mari, sont basés sur ses déclarations contradictoires et son comportement suspect. Les enquêteurs soulignent ses versions des faits incohérentes. Cependant, l’absence de preuves matérielles freine le dossier. Cédric est en détention depuis juin 2021, mais le procès tarde, laissant planer le doute sur la nuit de la disparition.

    Un mariage tumultueux et un témoin clé

    Le couple Jubillar était en crise. Delphine voulait quitter Cédric et avait une relation extraconjugale, ce qui aurait provoqué la colère de son mari, décrit comme « jaloux et impulsif ». Il aurait espionné sa femme, fouillé ses affaires et surveillé ses échanges.

    Un « confident de Montauban » entre en scène. Ami proche de Delphine, ce témoin mystérieux connaissait de nombreux détails de la vie du couple. Son rôle est aujourd’hui interrogé par les enquêteurs, qui cherchent à savoir s’il savait plus qu'il n’a dit. Secrets de famille et tensions passionnelles entourent cette disparition, laissant penser que la vérité est plus complexe.

    La justice face au doute

    Malgré l’absence de corps ou d’aveux, Cédric Jubillar reste en détention. Sans cadavre ni scène de crime, cette décision divise. Pour certains, l’affaire repose sur des preuves fragiles, comme les cris entendus par des voisines le soir de la disparition ou la position suspecte du véhicule familial. Ces indices, bien que troublants, ne lèvent pas tous les doutes.

    Certaines théories alternatives suggèrent que Delphine aurait pu disparaître volontairement pour fuir, ou qu’elle ait été victime d’une agression extérieure. D’autres pensent que Cédric aurait pu avoir un complice, expliquant l’absence de traces. Cependant, ces hypothèses restent difficilement vérifiables. Le mystère demeure, et le procès sera décisif pour lever le voile sur cette sombre affaire.

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  • Le 1er octobre 2024, Jean-Claude Pascal était l'invité de Nicolas Stoquer, en direct sur la chaîne YouTube de GPTV ACTU !

    Jean-Claude Pascal est un ingénieur français spécialisé en thermodynamique, mais également reconnu pour son intérêt pour l’alchimie et les traditions ésotériques. Fort de son parcours scientifique, il s’est tourné vers l’étude des anciennes pratiques alchimiques, cherchant à établir des liens entre les principes scientifiques modernes et les enseignements mystiques de l’alchimie. Son approche unique combine rigueur scientifique et exploration spirituelle, mettant l’accent sur la transformation intérieure et les mystères de la matière.

    La dormition de la Vierge

    Le terme "dormition" fait référence à l'endormissement profond de la Vierge Marie, différent d'une scène mortuaire traditionnelle. Il s’agit de sa préparation pour l'Assomption, sa montée au ciel en corps et en âme. Marie est représentée sereine, allongée, ses mains croisées symbolisant un état de paix. Dans les œuvres artistiques, la Dormition varie. Le tympan de la Vierge à Notre-Dame de Paris présente un double épisode : la mort de la Vierge, puis son élévation au ciel par deux anges. À l'inverse, le vitrail de Bourges dissocie les moments de montée de l'âme puis du corps, entouré de gloire dans une mandorle. L'absence de distinction entre âme et corps à Notre-Dame accentue la portée mystique et alchimique de l'ascension.

    Dessin inachevé ou message crypté ?

    La Dormition de la Vierge est aussi explorée à travers un dessin de Julien Champagne, artiste lié à Fulcanelli. Il attire subtilement l’œil vers le sarcophage, élément central de la scène, orientant le regard vers une interprétation symbolique profonde. Certains estiment que le dessin inachevé guide l'observateur vers la frise du sarcophage. La question demeure : Champagne a-t-il anticipé les écrits de Fulcanelli dans Le Mystère des Cathédrales, ou le texte s’appuie-t-il sur cette œuvre graphique pour développer une réflexion alchimique ?

    Les sept métaux planétaires

    Le sarcophage du tympan de la Vierge à Notre-Dame présente sept cercles, symbolisant les sept métaux planétaires de la tradition alchimique. Le cercle central représente le soleil, et les six autres évoquent Saturne, la Lune, Jupiter, Mercure, Mars et Vénus, disposés symétriquement. Cette disposition illustre la correspondance entre les planètes et les métaux alchimiques, le soleil étant la source de lumière, et Saturne et la Lune occupant les extrémités.

    Fulcanelli souligne aussi l'importance de la ligne reliant les cercles, faite de quatre croix et trois crosses. Les quatre croix représentent les métaux imparfaits, les crosses les métaux parfaits. La crosse simple évoque le mercure, élément semi-parfait, tandis que les crosses à double spirale renvoient aux deux métaux parfaits. Le jeu d’ombres et de lumière sur ces motifs éclaire la nature des métaux et leur rôle dans le processus alchimique.

    Les symboles cachés de Notre-Dame

    La richesse symbolique du sarcophage pousse à s’interroger sur la finalité des cathédrales gothiques, souvent perçues comme des grimoires de pierre. Les motifs décoratifs sont-ils purement artistiques ou bien une révélation cryptée de secrets hermétiques ? La Dormition de la Vierge sur le portail de Notre-Dame de Paris semble inviter à comprendre les mystères de la transformation, de la renaissance et de l’élévation spirituelle, en accord avec les préceptes de l’alchimie.


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  • Le 1er octobre 2024, Oskar Freysinger était l'invité de Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, en direct sur GPTV !

    Oskar Freysinger est un homme politique suisse, ancien vice-président de l’UDC (Union Démocratique du Centre) et ex-élu au parlement suisse. Il a également exercé la fonction de Secrétaire d’État. Aujourd'hui, il se consacre à l’écriture, la traduction et partage ses analyses en tant que chroniqueur. Freysinger est reconnu pour ses positions fermes et ses interventions sur les questions de souveraineté nationale et de géopolitique.

    Assassinat de Nasrallah : un point de non-retour pour Israël

    Depuis des années, Israël tente de créer les conditions d'une confrontation directe avec l’Iran, et l’élimination de Hassan Nasrallah, chef du Hezbollah, le 27 septembre dernier, marque un tournant décisif. Tel-Aviv se sert du Hezbollah comme prétexte pour justifier ses frappes, espérant une riposte iranienne. Israël estime que l’Iran n’est pas militairement prêt pour un conflit majeur. Cependant, le temps joue en faveur de Téhéran, qui pourrait bientôt se doter de l’arme nucléaire, bouleversant ainsi l’équilibre stratégique de la région. Israël intensifie ses actions pour affaiblir ses adversaires avant qu’il ne soit trop tard.

    L’assassinat de Nasrallah peut être vu comme une tentative d’accélérer cette confrontation. Pour Netanyahu, l’Iran hésitera à s’engager pour défendre le Hezbollah, mais cette stratégie est risquée et pourrait se retourner contre Israël. Si l’Iran décide de répondre, toute la région risque de sombrer dans un conflit majeur.

    Netanyahu profite du vide américain

    Netanyahu veut provoquer une escalade militaire face à la faiblesse apparente de la présidence américaine. Depuis l’arrivée de Joe Biden, la politique étrangère américaine manque de cohérence, offrant à Israël une marge de manœuvre. Netanyahu sait qu’il peut compter sur le lobby pro-israélien à Washington, le complexe militaro-industriel et les partisans d’une ligne dure au Deep State. Les hésitations américaines face à l’Iran offrent à Tel-Aviv une occasion unique de dicter l’agenda.

    Les liens entre Israël et le pouvoir américain se sont renforcés au fil des décennies. Un conflit ouvert entre l’Iran et Israël serait catastrophique pour les États-Unis, mais la Maison Blanche pourrait se voir contrainte de suivre son allié.

    Israël avant l’Ukraine ?

    Un conflit élargi au Moyen-Orient pourrait changer les priorités des États-Unis. Actuellement, l’attention de Washington est tournée vers l’Ukraine, mais un embrasement de la région pourrait réorienter leur politique. Si la guerre s’étend, l’Ukraine pourrait passer au second plan, car les États-Unis privilégieront la sécurité d’Israël. Un affrontement entre l’Iran et Israël aurait des répercussions bien au-delà de la région, redéfinissant l’échiquier géopolitique mondial.

    Ce basculement des priorités américaines affaiblirait les efforts actuels en Europe de l’Est, créant un vide stratégique que la Russie pourrait exploiter pour renforcer sa position. L’Iran pourrait bénéficier du soutien tacite de la Russie pour affaiblir l’influence américaine.

    Pour mieux comprendre les enjeux stratégiques et les répercussions de ce conflit sur la scène internationale, explorez nos analyses approfondies dans la revue Géopolitique Profonde !

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  • Le 30 Septembre 2024, Fabrice Di Vizio était l'invité de Mike Borowski sur GPTV pour parler de liberté d'expression, de justice et de catholicisme.

    Fabrice Di Vizio : qui est cet avocat controversé ?

    Maître Fabrice Di Vizio s’est fait connaître comme un fervent défenseur des libertés individuelles et un opposant aux mesures sanitaires prises par le gouvernement français durant la pandémie de COVID-19. Avocat inscrit au barreau de Paris, il s’est imposé dans le paysage médiatique grâce à ses prises de position audacieuses et sa volonté de contester ce qu’il considère comme des atteintes aux libertés fondamentales.

    Cependant, ses interventions musclées lui ont valu une suspension de six mois avec sursis par le conseil de l'ordre des avocats. La raison ? Ses critiques acerbes à l’égard du pass sanitaire et de la gestion gouvernementale de la crise, qu’il a qualifiées de dérives liberticides. Cette sanction soulève une question centrale : pourquoi l'expression de certaines idées dérange-t-elle à ce point ?

    Justice sous influence : l’opinion, nouvelle ligne de fracture ?

    Les disparités de traitement selon les opinions défendues soulèvent des questions cruciales sur l'égalité devant la loi. D'un côté, certaines idées bénéficient d’une protection quasi-sacrée ; de l’autre, celles qui remettent en question le discours dominant sont frappées de sanctions professionnelles et de campagnes médiatiques ciblées.

    Comment expliquer que certaines figures publiques puissent proférer des propos radicaux, voire extrêmes, sans craindre la moindre poursuite, alors que d’autres – souvent en porte-à-faux avec le consensus médiatique – se retrouvent exposées à une répression immédiate ? Cette inégalité pointe vers une érosion progressive de la liberté d’expression dans notre pays.

    La laïcité : un écran de fumée pour l’anti-catholicisme ?

    Le catholicisme peut-il encore s’épanouir dans l’espace public en France ? La laïcité, présentée comme un socle de neutralité, ne cacherait-elle pas en réalité une forme d’hostilité envers la foi chrétienne ? Alors que le christianisme a profondément forgé l’âme de la nation française, une tendance semble s'installer : bannissement des crèches de Noël, polémiques autour des processions et des célébrations religieuses chrétiennes...

    Cette christianophobie, dissimulée sous des prétextes de neutralité, questionne : est-elle une simple conséquence d'une volonté de neutralité religieuse, ou plutôt le reflet d’un rejet actif, voire d’une discrimination, à l’encontre du catholicisme ?

    Une nouvelle voie est-elle encore possible ?

    Face à ce qu'ils perçoivent comme les impasses de la laïcité républicaine, certains appellent à une refonte radicale : sortir de ce cadre étriqué pour instaurer une "spiritualité nationale". L’idée ? Renouer avec les racines chrétiennes qui ont façonné l’identité française sans imposer une religion d’État, mais en reconnaissant le rôle unificateur des valeurs chrétiennes dans le tissu social.

    Une vision qui proposerait de transcender la simple séparation entre l’État et la religion, pour créer une cohésion nationale basée sur une spiritualité commune. Cela poserait les bases d’une identité culturelle forte, où l’histoire et les traditions catholiques retrouvent leur place, tout en favorisant l’unité du peuple au-delà des divisions confessionnelles. Cette perspective serait-elle la solution pour revitaliser une France en quête de sens et de repères ?

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  • Le 30 septembre 2024, Marc Daoud était l'invité de Mike Borowski sur GPTV Actu pour aborder un sujet explosif : le projet MK Ultra.
    Ce programme secret mené par la CIA a bouleversé le monde par ses expérimentations douteuses sur la manipulation mentale et ses dérives obscures.

    Marc Daoud est le directeur de publication de Nexus, un magazine bimestriel français qui traite de sujets variés tels que la médecine non conventionnelle, l’écologie, la spiritualité et les théories du complot. Nexus se présente comme un média offrant une information libre, quitte à être inquiétante, et s’efforce de documenter des révélations et des innovations qui dérangent.

    Qu’est-ce que le projet MK Ultra ?

    Le projet MK Ultra, mené par la CIA entre les années 1950 et 1970, visait à développer des techniques de contrôle de l’esprit, inspiré par les expérimentations nazies. Un scientifique nazi recruté via l’opération Paperclip a joué un rôle clé dans ce programme. Mis en œuvre dans des prisons, hôpitaux psychiatriques et centres de recherche, il utilisait des cobayes humains à leur insu, via hypnose, substances psychotropes comme le LSD, et conditionnement psychologique pour manipuler le comportement des individus.

    MK Ultra : arme de manipulation des masses

    Le projet reposait sur la manipulation de l’esprit humain. Pendant la guerre froide, la CIA cherchait à influencer pensées et actions. L’hypnose, le LSD, et la dissociation des personnalités figuraient parmi les méthodes expérimentales. Le but : créer une technologie de contrôle mental pour manipuler des individus ou des foules à des fins politiques. L'héritage de MK Ultra pose des questions éthiques sur le rôle des gouvernements dans le contrôle des populations.

    MK Ultra, biotechnologies et DARPA

    Avec les progrès technologiques, de nouvelles formes de contrôle mental émergent. La DARPA explore des dispositifs cérébraux pour un "cerveau augmenté", comme des puces et interfaces cerveau-ordinateur. Si ces biotechnologies renforcent les capacités humaines, elles soulèvent des questions éthiques sur le contrôle de la pensée et la confidentialité des données. Les neurosciences modernes pourraient ainsi prolonger les manipulations psychologiques de MK Ultra.

    MK Ultra : un héritage controversé

    Malgré son démantèlement, MK Ultra continue de susciter débats et polémiques. Les méthodes de la CIA et les abus de pouvoir interrogent la légitimité des actions gouvernementales. Les parallèles entre manipulations mentales passées et biotechnologies d'aujourd'hui posent une question : jusqu’où les gouvernements iront-ils pour contrôler les individus ?

    MK Ultra reste un exemple puissant de la manière dont la science peut être détournée pour des intérêts obscurs et appelle à une vigilance accrue sur l'usage des neurosciences dans nos sociétés.

    Ne vous laissez plus manipuler: recevez votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.

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  • Le 30 septembre 2024, Corinne Lalo était l'invitée de Nicolas Stoquer pour parler santé et bien-être, sur GPTV Actu.

    Grande reporter, Corinne Lalo est une journaliste reconnue pour son travail sur les questions de santé et d’environnement. Depuis plusieurs années, elle se consacre à dénoncer les dangers invisibles qui menacent notre bien-être, en particulier les perturbateurs endocriniens.

    Son livre « Les perturbateurs endocriniens : Tout ce qu’on ne vous dit pas », réédité aux Éditions Le Cherche Midi, offre un éclairage précieux sur cette question de santé publique souvent passée sous silence. Grâce à ses recherches, elle apporte un éclairage important sur l’impact de ces substances chimiques sur notre organisme.

    Pollution hormonale dans le Bassin d'Arcachon : un désastre pour les huîtres

    Les perturbateurs endocriniens continuent de ravager la faune mondiale. La situation est particulièrement alarmante dans certaines régions françaises, notamment le Bassin d’Arcachon. Les huîtres, sentinelles de la qualité de l'eau, disparaissent progressivement à cause de la pollution hormonale. Le tributylétain, contenu dans les peintures anti-salissures des coques de bateaux, s'avère mortel pour ces mollusques. La contamination touche aussi les poissons, exposés à des niveaux élevés de produits chimiques comme les phtalates et les bisphénols, entraînant leur féminisation, perturbant la reproduction et la balance des sexes.

    Anomalies chez les alligators en Floride : des signes alarmants

    Ce phénomène s’étend au-delà des océans. En Floride, les alligators présentent des anomalies génitales telles que des micropénis, menaçant leur capacité de reproduction et leur survie à long terme. Ces troubles sont liés à des pesticides comme le DDE, sous-produit du DDT. Malgré l’interdiction de ce dernier aux États-Unis depuis plusieurs décennies, sa persistance environnementale continue de nuire à la faune locale.

    Amphibiens et oiseaux : une biodiversité menacée

    Les amphibiens, notamment les grenouilles, souffrent également des perturbateurs endocriniens. L’atrazine, un herbicide courant, provoque des anomalies telles que l’hermaphrodisme, compromettant leur reproduction. Les oiseaux, tels que les ibis blancs, subissent des comportements inédits, notamment des tendances homosexuelles perturbant leur reproduction, symbolisant les effets dévastateurs des perturbateurs endocriniens sur la biodiversité.

    Une bombe hormonale aux conséquences multiples

    Ces exemples reflètent une perturbation alarmante des systèmes endocriniens des animaux, causée par des substances chimiques omniprésentes : pesticides, plastifiants, produits pharmaceutiques, etc. La "bombe hormonale" constitue un danger bien réel. Les répercussions sur la faune, observées dans divers écosystèmes, posent de sérieuses questions sur les impacts potentiels sur la chaîne alimentaire, les écosystèmes et surtout la santé des générations futures.

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  • Le 30 septembre 2024, pour La Matinale de GPTV, Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu évoquaient la situation au Proche-Orient avec Hassen Zenati, puis la liberté scolaire avec Anne Coffinier, présidente de Créer son école-Éduc'France.

    Diplômé de Sciences Po, Hassen Zenati a une riche expérience journalistique. Ancien directeur de l'AFP en Algérie, Égypte et Soudan, il a également dirigé la rédaction du Moyen-Orient depuis Nicosie. Aujourd’hui à la retraite, sa connaissance du terrain lui permet de décrypter les crises du Proche-Orient.

    Anne Coffinier, ancienne élève de l’ENS et de l’ENA, s'est tournée vers l’entrepreneuriat social en fondant "Créer son école". Militante pour une éducation libre, elle a soutenu la création de plus de 800 écoles indépendantes hors contrat pour renouveler le système éducatif français et promouvoir des structures autonomes et agiles.

    Proche-Orient en ébullition : l’assassinat de Hassan Nasrallah

    Le meurtre du chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a enflammé le Sud-Liban. Cette région, déjà sous tension, est désormais en crise. Comment le Hezbollah, privé de son chef, se relèvera-t-il ? Quelles répercussions sur la stabilité régionale ? Quelle sera la réaction de l'Iran, allié indéfectible du mouvement chiite, face à cette provocation ? Enfin, quel rôle jouent les États-Unis, et Benjamin Netanyahou poursuivra-t-il sa quête de pouvoir ?

    Le naufrage du système éducatif français

    Avec 60 milliards d’euros par an, la France est l'un des pays européens les plus dépensiers en éducation. Pourtant, entre mauvaise gestion, programmes obsolètes et manque d’innovation, le système est en crise. Les écoles hors contrat, souvent stigmatisées, font pourtant l'objet de contrôles réguliers plus rigoureux que les établissements publics ou privés sous contrat. La liberté pédagogique ne signifie pas absence de règles, contrairement à la stigmatisation médiatique qui alimente un faux débat sur une prétendue "zone de non-droit" éducative.

    L’école à la maison : une liberté menacée ?

    L'instruction en famille (IEF), autrefois naturelle, a été bouleversée par la loi "séparatisme" de 2021. Le passage d’un régime déclaratif à un régime d’autorisation limite la liberté éducative. De nombreuses familles, y compris des enseignants, se voient refuser leur demande malgré des contrôles favorables.

    La farce de l'inclusion scolaire

    Beaucoup d'enfants handicapés sont instruits en famille, faute de solutions adaptées à l'école. Pourtant, ces familles subissent une pression pour scolariser leurs enfants, sans tenir compte de leurs besoins spécifiques. Pourquoi cette contrainte ? Peut-être pour que les établissements se donnent une image positive en les accueillant ? L’inclusion, mise en avant comme une valeur fondamentale, est souvent un leurre, masquant un système rigide et uniformisé. Sous couvert de "diversité" et "cohésion," l'inclusion impose un moule unique, négligeant les approches alternatives qui permettraient à chaque enfant de s’épanouir.

    Des solutions existent pour affronter les défis géopolitiques et éducatifs actuels. Dans un contexte de tensions au Proche-Orient et de remise en question de notre système scolaire, il est urgent de s’informer et débattre des alternatives possibles.

    Pour explorer ces questions, abonnez-vous à la revue mensuelle Géopolitique Profonde.

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  • Le 29 septembre 2024, Pierre-Antoine Plaquevent et Philippe Bobola décryptaient l’évolution historique des virus, les manipulations autour des crises sanitaires, et le rôle de la virologie politique dans la gestion du pouvoir et du contrôle social, sur GPTV.

    Pierre-Antoine Plaquevent est un essayiste français, expert en géopolitique et en stratégies d’influence des élites mondiales. Il est reconnu pour ses ouvrages sur la manipulation et la réingénierie sociale orchestrée par les élites globalistes.

    Philippe Bobola est un scientifique et conférencier français, spécialiste en physique, biologie et anthropologie. Titulaire de plusieurs doctorats, il est reconnu pour ses recherches interdisciplinaires et ses interventions sur des sujets complexes comme la virologie, la santé, et les paradigmes scientifiques alternatifs.

    Les premières découvertes sur le monde des virus

    La découverte des virus marque un tournant en biologie, mais suscite des controverses. L'étude des virus débute au XIXe siècle avec Martinus Willem Beijerinck, qui identifie un agent infectieux plus petit qu’une bactérie, nommé "virus". Friedrich Loeffler isole le virus de la fièvre aphteuse, et Félix d’Hérelle découvre les bactériophages, virus destructeurs de bactéries. Ces avancées ont alimenté des confrontations idéologiques, notamment entre Louis Pasteur, défenseur des agents pathogènes, et Antoine Béchamp, qui mettait l’accent sur le terrain biologique de l’organisme.

    De la biologie à la politique

    Comprendre les virus et leur fonctionnement est essentiel pour saisir leur impact sur la santé et la société. Les virus à ARN et ADN diffèrent par leur structure et leur propagation, influençant les stratégies médicales. Cependant, cette science a aussi donné naissance à la virologie politique.

    Les distinctions entre virus sont souvent instrumentalisées par les autorités sanitaires et les industries pharmaceutiques. La protéine Spike, par exemple, est utilisée pour justifier des mesures de santé publique restrictives. Il est alors légitime de se demander si la gestion des crises sanitaires repose sur des bases scientifiques solides ou des objectifs stratégiques.

    Immunité et manipulation des crises sanitaires

    Le système immunitaire humain est au cœur de la question. Divers facteurs peuvent l'affaiblir, nous rendant vulnérables aux infections. Le traitement à l’AZT durant la crise du SIDA est souvent cité comme exemple de mesures controversées. Ces politiques ont-elles réellement servi la santé ou profité aux firmes pharmaceutiques ?

    Ce manque de transparence scientifique et cette gestion opaque des données créent un climat propice à des mesures autoritaires. La virologie politique devient alors un levier pour maintenir un contrôle sur les populations. Les discours sur une société aseptisée, des pandémies à répétition et la dégradation du système médical soulèvent des préoccupations. Derrière ces stratégies se dessine le spectre d’un agenda mondialiste visant un contrôle global sur la santé publique.

    Pour découvrir les coulisses de ces manipulations et comprendre les véritables enjeux derrière les crises sanitaires actuelles, plongez-vous dans notre revue mensuelle Géopolitique Profonde !

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  • Pour ce nouveau micro-trottoir, GPTV Investigation donne la parole aux Français face à l’horreur du meurtre de Philippine, une étudiante de 19 ans, retrouvée assassinée dans le bois de Boulogne après avoir disparu mystérieusement.

    Ce drame, perpétré par un individu en situation irrégulière pourtant sous le coup d’une OQTF, met en lumière les failles béantes de notre système judiciaire et la montée inquiétante de la violence en France.

    Un drame qui aurait pu être évité

    Le 20 septembre, Philippine, une étudiante de 19 ans, a disparu mystérieusement à Paris. Le lendemain, son corps est retrouvé à moitié enterré dans le bois de Boulogne, marqué de traces de violence extrême. Ce drame aurait pu être évité si l’auteur de cet acte atroce, Taha O., un Marocain de 22 ans, n’avait pas été laissé en liberté. Condamné pour viol en 2021, il bénéficiait pourtant d’une libération anticipée en juin dernier, malgré une OQTF (Obligation de Quitter le Territoire Français) qui n’a jamais été appliquée.

    L’horreur de ce drame est d’autant plus insupportable qu’il aurait pu et dû être évité. Au lieu de protéger nos citoyens, l’État a permis à un prédateur de continuer à errer librement sur notre sol, malgré le danger avéré qu’il représentait. Combien de nos enfants devront encore mourir avant que l’on prenne enfin les mesures qui s’imposent ?

    Un système défaillant

    La France est en proie à une violence croissante, et la mort de Philippine n’en est qu’un triste exemple parmi d’autres. Chaque semaine, des actes de violence s’ajoutent à une liste déjà trop longue. La justice, elle, semble incapable de faire son travail, laissant des criminels en liberté alors qu’ils devraient être derrière les barreaux ou expulsés. Le cas de Taha O. montre clairement les failles du système : malgré sa condamnation et son obligation de quitter le territoire, il a pu circuler librement, et ce jusqu’à ce qu’il commette l’irréparable.

    Les Français vivent désormais dans la peur, craignant que chaque sortie soit la dernière pour leurs proches. L’État faillit à son devoir de protection, préférant consacrer ses moyens à des priorités étrangères plutôt qu’à assurer la sécurité sur son propre territoire.

    Les priorités du gouvernement

    Pour restaurer la sécurité en France, il est essentiel de reprendre le contrôle de nos frontières et de nos lois. Nous devons décider qui entre et qui sort, et surtout, ne pas relâcher les efforts après les événements internationaux. Le ministre Gérald Darmanin se félicitait de la baisse de la violence pendant les Jeux Olympiques de Paris, mais pourquoi ces efforts n’ont-ils pas été maintenus ensuite ?

    Les Français payent de plus en plus d’impôts, sans voir de réel changement sur le terrain. Le gouvernement semble davantage préoccupé par ses engagements internationaux que par la protection de son propre peuple. Cette situation ne pourra pas durer éternellement : le ras-le-bol est palpable, et beaucoup attendent enfin une véritable transformation de la politique nationale.

    Qui sera la prochaine victime ? Combien d’années faudra-t-il encore avant de voir des actions concrètes ? Il est urgent de retrouver notre indépendance et de garantir la sécurité à tous nos concitoyens, car le danger n’est plus seulement à nos portes, il est déjà chez nous.

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  • Le 29 septembre, Mike Borowski revenait sur le meurtre de Philippine et analysait comment le laxisme de l’État et l’instrumentalisation de la violence servent les intérêts des élites, sur GPTV ACTU.

    Une tragédie évitable

    Le 20 septembre, Philippine, étudiante de 19 ans, disparaît mystérieusement à Paris. Le lendemain, son corps est retrouvé à moitié enterré dans le bois de Boulogne, marqué de traces de violence extrême. Ce drame aurait pu être évité, car l’auteur présumé, Taha O., un Marocain de 22 ans, n’aurait jamais dû se trouver en France. Condamné pour viol en 2021, il avait bénéficié d’une libération anticipée en juin dernier, tout en étant sous le coup d’une OQTF (Obligation de Quitter le Territoire Français).

    L’administration française a une fois de plus démontré son incapacité à assurer la sécurité de ses citoyens. Plutôt que de procéder à l’expulsion du suspect après sa libération, les autorités l’ont laissé circuler librement, malgré son lourd passé criminel. Ce laxisme migratoire met en avant une gestion défaillante qui compromet directement la sécurité des Français, tout en affichant une prétendue volonté de protection.

    La peur comme outil de contrôle

    Le cas de Philippine n’est qu’un exemple parmi tant d’autres. Cette montée de la violence et de l’insécurité ne semble pas être le fruit du hasard, mais une stratégie orchestrée par les élites. Derrière ces tragédies se dessine une volonté de déstabilisation sociale qui sert à renforcer l’idée que l’État est le seul recours pour rétablir l’ordre. Cette manipulation fait partie intégrante du projet mondialiste connu sous le nom de Great Reset.

    L’objectif ? Instaurer la peur pour mieux contrôler les populations et affaiblir les nations souveraines. L’insécurité n’est pas un phénomène isolé, mais une arme utilisée contre les Français pour les forcer à accepter des mesures de plus en plus restrictives.

    Deux meurtres, deux réactions

    Face à l’horreur du meurtre de Philippine, la réaction de la population reste étonnamment absente. Il suffit pourtant de se rappeler la vague d’émeutes déclenchée par la mort de Nahel, tué par un policier en juin dernier. Des milliers de personnes étaient descendues dans les rues, provoquant une explosion de violence dans tout le pays. Deux tragédies, mais des réactions diamétralement opposées. Lorsqu’un délinquant trouve la mort lors d’un contrôle, les foules s’enflamment et les médias relaient sans relâche l’indignation. En revanche, face au viol et au meurtre d’une étudiante française, le silence est assourdissant.


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  • Le 29 septembre2024, Régis Le Sommier était l'invité du Libre journal de Géopolitique Profonde, animé par Nicolas Stoquer et Lara Stam, sur GPTV.

    Régis Le Sommier est un journaliste français. Ancien directeur adjoint de Paris Match, il a ensuite travaillé comme grand reporter pour RT France. Il est aujourd’hui le directeur de la rédaction du média Omerta.

    Une nouvelle dimension pour le Hezbollah

    La situation au Proche-Orient est plus tendue que jamais après la destruction de Gaza. Beaucoup s'interrogent sur la possibilité qu'Israël intensifie ses opérations au Liban, déjà marqué par des décennies de conflits. Cependant, le Hezbollah est un adversaire bien plus redoutable que le Hamas. Avec un vaste arsenal de missiles et des bases souterraines dans le Sud-Liban, ce groupe armé est capable d'infliger des frappes significatives. Cette capacité militaire rend une intervention terrestre d’Israël plus délicate, poussant Tsahal à privilégier une campagne aérienne pour éviter des pertes.

    Les enjeux se complexifient en raison du soutien indéfectible de l'Iran au Hezbollah, rendant toute intervention israélienne au Liban encore plus délicate. La mort récente de Hassan Nasrallah, leader du Hezbollah, a ajouté une nouvelle dimension à ce contexte fragile. Sa disparition pourrait provoquer des luttes internes au sein du groupe et influencer la stratégie de l'Iran dans la région. Les conséquences d'une escalade pourraient déclencher des effets domino, renforçant la complexité d'un conflit explosif. L'implication de multiples acteurs risquerait d'exacerber les tensions et de provoquer des réactions imprévues, rendant toute gestion pacifique de la situation plus difficile.

    Une alliance dangereuse

    Le Hezbollah est souvent considéré comme une simple milice, mais il s'agit en réalité d'une force bien structurée, étroitement liée à l'armée iranienne et aux Gardiens de la Révolution. Cette interconnexion a permis au groupe de jouer un rôle clé dans la lutte contre les djihadistes en Syrie, rendant leur distinction difficile. En effet, ils partagent une chaîne de commandement similaire, ce qui représente un défi stratégique majeur pour Israël et ses alliés.

    La collaboration entre le Hezbollah et l'Iran dépasse le simple soutien matériel ; elle englobe des tactiques militaires et une formation avancée. Ce lien est d'autant plus alarmant qu'il renforce l'idée que tout conflit impliquant le Hezbollah pourrait rapidement s'étendre à des niveaux plus élevés, avec des implications internationales.

    Un avenir précaire pour le Proche-Orient

    La guerre au Proche-Orient n'est pas une perspective future, mais un fait déjà bien ancré. Les tensions sont telles qu'une nouvelle escalade semble inévitable. La Russie, en tant que puissance influente, bénéficie du savoir-faire iranien en matière de missiles balistiques. En retour, un pacte nucléaire pourrait être en train de se former entre la Russie et le régime des Mollahs. Ce partenariat stratégique pourrait renforcer la capacité militaire de l'Iran et redéfinir l'équilibre des forces dans la région.

    La situation actuelle est propice à une accélération des conflits, rendant la stabilité régionale plus précaire. Les répercussions pourraient affecter non seulement le Proche-Orient, mais aussi l'Europe et le reste du monde, où les impacts économiques et géopolitiques se font déjà ressentir.

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