Эпизоды
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Découvrez le cinquième numéro de Glissa Culturelle, votre podcast de référence pour explorer les univers fascinants des industries culturelles et créatives au Maroc.
Ce podcast présenté par Danielle Pailler est le fruit d'une collaboration entre Les Bonnes Ondes, l'Agence Universitaire de la Francophonie, et l'Institut Français de Casablanca. Ce numéro vous plonge au cœur de l'innovation marocaine dans le secteur du jeu vidéo.
Les deux invités Mounir Alami et Boumhaouss Tarik, deux entrepreneurs marocains dans le développement de jeux vidéo, illustrent l'engagement fort du Maroc dans le domaine. De leurs débuts inspirants jusqu'à la création de leurs propres studios "Oddworld" et "Kokoro Games", ces visionnaires partagent leurs parcours riches en défis, apprentissages, et succès.
Plongez dans leurs histoires passionnantes : de la conception de jeux en réalité augmentée à des projets éducatifs innovants, découvrez comment ils contribuent à façonner l'avenir de l'industrie du jeu au Maroc. Explorez les enjeux et les opportunités du secteur, l'importance de l'éducation par le jeu, et la responsabilité sociale des créateurs de contenu numérique.
Rejoignez-nous dans cette aventure immersive au cœur de la culture du jeu vidéo marocaine, où créativité, technologie, et entrepreneuriat se rencontrent pour ouvrir de nouveaux horizons. Ne manquez pas ce rendez-vous unique avec Glissa Culturelle, votre fenêtre ouverte sur les dynamiques culturelles et créatives contemporaines au Maroc.
Très bonne écoute
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Bonjour, bonsoir, je m’appelle Mehdi El Kindi, je suis à l’origine du studio de production et de création sonore Les Bonnes Ondes à Casablanca.
Dans le cadre d’une émission que je produis, j’ai eu la chance d’interviewer Nicolas Becker, bruiteur, sound designer et compositeur : un moment très agréable ou il a pris tout le temps nécessaire pour répondre à mes questions et je me suis dis que ça serait vraiment dommage de ne pas faire profiter le plus grand nombre de l’intégralité de ce joli moment suspendu. Sans générique, sans habillage, sans chichi …
Aussi à l’aise dans le 7eme art que dans les expérimentations de l’art contemporain, c’est quelqu’un dont j’admire sincèrement le travail, un professionnel reconnu par ses pairs. Il est au générique de nombreux films comme Gravity, le règne animal, 127 heures, Harry Potter et la coupe de feu, Premier contact pour n’en citer qu’une poignée …
Nicolas Becker à au cours de sa carrière obtenu 15 prix dans différents prestigieux festivals à travers le monde.
Parmi ces prix, l'Oscar et le BAFTA du meilleur son pour le film Sound of Metal en 2021, je vous laisse découvrir ce joli cadeau qu’il m’a fait et si le format vous plaît, n’hésitez pas à le faire savoir et à le partager … Je me ferais un plaisir de mettre des formats de discussions de ce type sur le site lesbonnesondes.ma
Bonne écoute
Extraits de l'entretien :
Mehdi El Kindi : Alors Nicolas, vous avez su très jeune que vous vouliez travailler dans le monde du son, que vous vouliez faire carrière dans le bruitage d'abord, j'ai par ailleurs lu dans une interview que vous étiez plus sensible au son qu'à l'image. J'aimerais en savoir plus sur cet amour du son ? Sur la manière dont le son affecte les autres sens ? Et aussi sur comment cette sensibilité influence votre travail de Sound designer aujourd'hui ?
Nicolas Becker : Tout premièrement, c'est vrai que je suis très sensible au son, mais parce que je pense que j'ai une synesthésie, j'ai la capacité d'entendre des sons dans ma tête de manière très aisée. Du coup c'est quelque chose. Que j'ai tendance à faire très facilement quand je regarde une image mobile ou immobile, quand je mange quelque chose, j'ai des sons dans la tête ! Alors je sais pas si ça vient de ça, mais en tout cas je sais que quand j'étais petit mes parents étaient assez stricts et ne voulaient pas que je regarde des films avec eux et donc souvent ils regardaient des films et moi j'allais regarder le film à travers la serrure et j'entendais pas le son.
Je voyais l'image et j'entendais pas le son, j'avais le son dans ma tête.
C'est marrant parce que tout à l'heure je lisais une interview de Dany Boon qui disait que quand il était petit il regardait des films et que ses parents ne voulaient jamais qu'il regarde la fin parce que c'était trop tard. Et donc en fait lui il a passé sa vie aussi à imaginer la suite des films.
C'est intéressant aussi parce que hier je parlais d'un projet que j'ai avec un artiste qui s'appelle Philippe Pareno et j'avais amené un ami qui s'appelle Elie qui est sourd et implanté et il parlait de la privation aussi, l'idée que quand on était privé quelque chose, Eh Ben ça créait une énorme intensité pour aller vers cette chose.
Il arrive des fois que la privation crée une frustration qui donne envie et donc c'est vrai que moi je pense que le fait de pas avoir eu ces sons là ça m'a intéressé. [...]
[...] Et l'autre chose qui m'a vraiment aussi fasciné, c'est quand j'avais 13 ans, j'ai vu un petit documentaire, c'était 1 truc qui était fait dans une émission pour enfants qui racontait les différentes professions du cinéma et il y en avait un sur le son.
Du coup, c'était juste le plan d'un bateau posé sur une grève, on voyait la même image une fois on entendait le son des mouettes, une autre fois on entendait juste le son des vagues. Une 3e fois, on entendait le son des enfants qui jouaient sur la plage et la 4e fois, on entendait une musique d'accordéon et ensuite ils faisaient jouer tout en même temps.
Je peux décrire l'image, les sons, comme si c'était hier. [...]
[...] Bon, plus ça va, plus je m'intéresse à l'image en tant que telle, au son en tant que tel, à la musique. Mais au départ quand même, cette chose qui était pour moi la plus miraculeuse, c'était vraiment l'idée de se dire on met un son, on met une image et y a un mélange, on sait pas comment on peut l'appeler.
Cette 3e chose c'est bien plus que la somme de ces 2 choses-là et c'est quelque chose qui est extrêmement imprédictible, c'est à dire que moi j'ai beau avoir fait ça maintenant depuis 35 ans, la première chose que je fais quand je travaille sur un film, c'est de commencer à mettre des sons dessus et de voir comment le film réagit.
Comme si le film était un être vivant. Oui, comme si c'était quelque chose de sensible en tout cas. Et ça moi c'est quelque chose auquel je suis très très sensible et ça c'est un plaisir qui est resté le même depuis toutes ces années et surtout la sensation que c'est infini.
Alors il y a des familles, il y a des liens, il y a des il y a des choses qui se passent, mais quand même à chaque fois, chaque moment est unique, c'est très important.
Quand je travaille, j'ai envie que les gens y croient. C'est même pas du naturalisme ou du réalisme hein, c'est que ça peut être même une forme poétique ou quelque chose de complètement étrange [...]
MEK : Ne pas souligner, ne pas forcément être là juste pour illustrer, mais pour suggérer, voir les choses et créer des émotions.
NB : C'est aussi dans la quantité d'informations. Moi j'ai pas envie de submerger les gens, j'ai envie qu'ils aient des informations. Mais j'ai aussi envie que eux-mêmes remplissent les vides. [...]
J'ai envie de ce jeu là en tout cas de cette attention là par rapport au au public. Mais encore une fois ça veut pas dire que je veux faire quelque chose de facile ou de ou de commercial hein. Je pense qu'on peut être exigeant de cette manière-là aussi. [...]
MEK : On va y revenir justement sur votre sur votre démarche et on voit bien qu'elle est pas facile [...]. J'aimerais bien que vous donniez votre définition du silence et ensuite comment vous explorez cette notion dans vos créations ? Comment est-ce qu'on arrive à mettre en ondes le silence ?
NB : Je dirais, c'est un peu comme si on parlait de la lumière et de la nuit, c'est-à-dire que c'est toujours relatif.
Après il y a le vrai silence, on va dire le vrai silence de l'extérieur du corps. C'est un silence qu'on peut connaître par exemple dans ce qu'on appelle une chambre anéchoïque ou une chambre sourde.
Il y en a une dans plusieurs pays pour faire des analyses très précises, acoustiques, sur les objets, les instruments. Physiologiquement, le niveau de bruit est en dessous du seuil d'écoute de l'oreille, on entend une sorte “pfiou” de qui est le bruit de fond de nos oreilles. Après c'est pas non plus du silence, parce que tout d'un coup qu'est ce qui se passe ?
On s'entend et on commence à entendre le flux du sang dans le corps, on entend le cœur qui bat. Les tendons qui bougent, dans les gaines.
Et là on s'aperçoit qu'on rentre dans un monde beaucoup plus intérieur, on va dire et et et beaucoup plus étrange, qui est un monde que connaissent aussi les gens qui sont appareillés ou les gens sourds.
[...] Un monde de de la sensation, puisque en fait, tous ces sons là souvent sont des sons qui sont entendus par la peau, par la chair, par les cavités osseuses.
On entend plus vraiment par les tympans, mais on entend par le corps parce qu'il faut pas oublier que le corps c'est aussi un récepteur de vibrations. [...] quand vous allez dans un concert et que c'est très fort.[...]
[...] Et c'est vrai que le silence, si on pense à l'œuvre de John Cage, il a fait une œuvre qui s'appelle 4 Min 33. Il se présente devant un orchestre, l'orchestre est prêt et y a rien, l'orchestre ne joue pas, donc c'est le silence de l'orchestre.
Mais effectivement c'est pas le silence puisque tout d'un coup on se met à entendre les toux des gens, leurs déplacements sur leurs chaises, peut-être un peu de vent sur les vitres, une sirène au loin, et tout d'un coup on s'aperçoit que c'est pas le son qui est un truc d'intrusion, mais c'est la musique elle-même qui est un intrusion dans la ville puisque nous notre rapport au monde, il est-il est plus basé sur les sons quotidiens, les sons de la nature, les sons des voitures.[...]
[...] Il y a des gens qui ont des vraies expériences de silence, des gens qui sont effectivement nés sourds et qui effectivement ont une partie de leur oreille interne complètement désactivée et donc rien n'arrive. [...] ça c'est vraiment du vrai silence. On a appris aussi il y a quelques mois que quand on est endormi pour des opérations, le cerveau se coupe vraiment, [...] et on arrive à être dans le silence vraiment réel.
[...] Après c'est toujours une notion relative en fait. Et ce qui est très étonnant, c'est que moi par exemple, un des endroits les plus silencieux de Paris pour moi, c'est le jardin du Palais Royal et sa Fontaine, puisque la fontaine[...] diffuse une sorte de bruit continue qu'on appelle un bruit rose ou un bruit blanc qui tout d'un coup vient couvrir tous les sons distants de la ville qui parviennent puisque c'est déjà une enceinte.
Et du coup effectivement si on arrive avec un sonomètre techniquement, là c'est très bruillant comme endroit.
Mais la sensation subjective quand on est là-bas, c'est d'être dans vraiment dans un beau silence. [...]
La notion de silence, elle, est très subjective en tout cas. Souvent l'absence de son dynamique fort peut être une interprétation du silence [...] C'est une notion très relative et dans un film, nous les silences, c'est jamais vraiment des silences. [...] ça se fabrique, ça se prépare. Par exemple, si on prend l'exemple de la manière de fabriquer du silence dans un film sur lequel j'ai travaillé, qui s'appelle Arrival, premier contact.
Des objets célestes inconnus arrivent dans le ciel et se posent là au milieu d'une grande plaine. Et donc l'armée et tout un tas de scientifiques arrivent et essaient de de savoir quel est cet objet, si on peut rentrer dedans, aller à la rencontre de de de d'éventuellement, de peut être des créatures qui vivent dedans.
Et donc il y avait vraiment la volonté. Par le réalisateur de vouloir faire en sorte que quand on rentre dans cette dans cet espace là, qui est l'espace de ce de cet astronef inconnu, on est vraiment la sensation du silence.
Donc qu'est ce qu'on a fait ? Ben on n'a pas créé de silence. On a surtout créé beaucoup de bruit avant, c'est-à-dire qu'on a inventé des centaines de de lignes de discussions entre les militaires. Donc il y a une sorte de fourmillement comme ça de non stop, qu'une qualité un peu saturée puisque ça passe par des micros, des transmissions, des talkie walkie [...].
[...] Et là tout d'un coup on arrive dans le la fusée, on a juste ce petit son d'oiseau. Vous savez, on amène souvent un oiseau dans les lieux où on ne connaît pas la manière dont le l'air est fait pour savoir s'il est pas toxique [...]. Quand l'oiseau meurt on sait que ça va pas parce que les oiseaux sont beaucoup plus fragiles que nous par rapport à ça.
Donc en fait il y a juste le son de ce petit oiseau qui résonne dans cet immense espace et qui donne aussi la dimension en fait une sorte de son étalon qui va permettre de donner l'échelle du son, l'échelle de la dynamique du son.[...]
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Découvrez ATTAR, l'application audio-guide révolutionnaire qui enrichit la découverte du patrimoine architectural marocain. Plongez dans l'histoire et la culture du pays en explorant ses médinas, palais et kasbahs, grâce à des commentaires contextuels approfondis.
Les guides audio, comme l'application ATTAR, enrichissent cette expérience en fournissant des contextes historiques et culturels approfondis, permettant aux touristes de comprendre la signification derrière les sites qu'ils visitent.Dans ce cinquième épisode de Glissa Culturelle, la série dédiée aux forces vives des industries culturelles marocaines, Danielle Paillier accueille OMAR MOUSSALI et FATIMA ZAHRA EL HAROUNI ALAOUI, les cerveaux derrière ATTAR : une approche immersive et informative qui souhaite augmenter la satisfaction touristique et favoriser une appréciation plus profonde du patrimoine culturel marocain.
Téléchargez ATTAR et explorez le patrimoine architectural marocain d'une manière inédite ! Plongez dans l'histoire et la culture du pays grâce à des commentaires captivants et enrichissants.
Glissa Culturelle est le fruit d'une collaboration entre le studio de production indépendant Les Bonnes Ondes, l'Agence Universitaire de la Francophonie et l'Institut Français de Casablanca.
Cette rencontre mensuelle enregistrée en public se métamorphose ensuite en un podcast soigneusement produit par le studio indépendant Les Bonnes Ondes. -
"Podcast Glissa Culturelle : Focus sur l'Innovation Collaborative et l'Entrepreneuriat à Impact Social au Maroc"
Dans ce quatrième épisode du podcast Glissa Culturelle, nous continuons de découvrir le dynamisme des industries culturelles et créatives du Maroc à travers le prisme des entrepreneurs et entrepreneuses qui les animent.
Danielle Paillier, docteure en Sciences Humaines et Sociales et experte internationale en développement culturel, reçoit Oumelghit Guelzim, associée au sein du laboratoire d'innovation "Happy Smala", spécialisé dans les approches et la finance collaborative. Depuis 2014, ce laboratoire explore les approches collaboratives et les nouvelles technologies pour générer une innovation à impact significatif.
Entrepreneuse chevronnée depuis plus de 10 ans, Oumelghit a co-fondé plus de 4 startups dans des secteurs tels que le branding, le tourisme solidaire, la communication collaborative et la fintech. C'est depuis 2015, qu'elle collabore avec "Happy Smala", en accompagnant plus de 200 initiatives à fort impact social et environnemental en Afrique et au Moyen-Orient, notamment à travers le crowdfunding. Depuis 2020, elle travaille également sur sa thèse portant sur l’inclusion et l'éducation financières.
Son rôle au sein de "Happy Smala" l'a amenée à collaborer avec la coopération internationale, des institutions publiques et privées, ainsi que des structures d’accompagnement d’entrepreneurs dans la conception et la mise en œuvre de programmes d’innovation et d'entrepreneuriat à fort impact.
Oumelghit est lauréate de programmes d’incubation de plusieurs structures nationales et internationales et joue un rôle actif au sein de la communauté Global Shapers - Rabat Hub du Forum économique mondial.
Au cours de cette conversation, Oumelghit, qui refuse l'emploi du mot échec, partage les moments clés de sa carrière où chaque expérience est perçue comme une opportunité d'apprentissage.
Glissa Culturelle est le fruit d'une collaboration entre le studio de production indépendant Les Bonnes Ondes, l'Agence Universitaire de la Francophonie et l'Institut Français de Casablanca.
Cette rencontre mensuelle enregistrée en public se métamorphose ensuite en un podcast soigneusement produit par le studio indépendant Les Bonnes Ondes.
Découvrez davantage de créations sonores originales sur le site : lesbonnesondes.ma
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Voici le résultat de l'atelier "Création sonore" autour de la thématique du stress hydrique qui à eu lieu du 6 au 10 novembre 2023 à Tunis.
Une résidence pensée dans le cadre du Tunisia Podcasts festival (qui a eu lieu du 7 au 9 décembre 2023).
3 créateurs.trices de contenus du Maroc ont travaillé.es une semaine durant avec des homologues tunisien.nes pour réaliser un reportage immersif dans la capitale.
Un atelier d'initiation aux techniques de prise de son et de montage, dont le résultat est un patchwork sonore qui mène en plusieurs endroits de la capitale tunisienne.
Une formation encadrée par Hanene Zbiss, journaliste d'investigation tunisienne, et du côté du studio "Les Bonnes Ondes" du Maroc : Mehdi El Kindi avec l'assistance précieuse de Yasmine Mahjoubi.
Un programme rendu possible grâce aux soutiens précieux de la GIZ Tunisie et des instituts français du Maroc et de Tunisie.
Ont participé à cet atelier :
Chaimae Bentananat, Leila Benmansour, Faouzia Dhifallah, Houda Belkhaouda, Ryadh Sikma et Bilal Al Jouhari
Pour écouter d'avantage de création sonore et de podcasts, rendez-vous sur https://lesbonnesondes.ma
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Voici le résultat d'un atelier donné par Annabelle Croze et Ayoub Ait Taaoudit du collectif Transmission au centre culturel Les étoiles de Sidi Moumen dans le cadre du festival Amwaj 2023 -
Un atelier ou création sonore et sons du quotidien flirtent avec fiction
Ont participé a cet atelier :
Houssine, Nisrine, Selma, Mustapha, Saad, Wafaa, Brahim, Yassine, Chaimae, Omar, Saad
Bonne écoute
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عادي
“Les Bonnes Ondes” والاستوديو المستقل “Longueur d’Ondes” قصة خيالية مسموعة تم إنتاجها ضمن ورشة عمل في مهرجان أمواج. مهرجان يدعمه المعهد الفرنسي بالمغرب ومهرجان
مشهد معتاد في المصعد. يتبادل خلاله رجل وامرأة أطراف الحديث. وعندما يتم إضفاء بعض من الخيال الواسع إلى واقع ممل ورتيب، فأي سيناريو "عادي" ينتج عنه؟كتابة : مهدي بياض
إخراج: غسان الحاكم
ترجمة: كريم خرباش
صوت: ندى الحريف وعصام برطال
La parallèle :الاستوديو
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Dans le cadre du festival Amwaj, premier festival dédié à la radio, au podcast et à la création sonore (porté par l'institut français du Maroc et co-organisé par Les Bonnes Ondes et Longueurs d'Ondes),qui s'est tenu à Casablanca du 14 au 17 décembre 2023 : 6 étudiants en écoles de journalisme ont suivi une formation de 4 jours et animé 2 jours consécutifs, en public, une webradio éphémère diffusée sur lesbonnesondes.ma
Encadré par des professionnels de la radio et du podcast marocain et français, ils ont travaillé au studio Les Bonnes Ondes leurs jingles, leurs chroniques et leurs interviews dans une véritable ambiance de rédaction.
Dans ce deuxième numéro, replay du live, Yasser, Ilyass, Raja Laeticia, Adame, Nourdinne et David ont reçus Fedwa Misk, auteure et journaliste, ainsi que Hicham Houdaifa, journaliste d'investigation et éditeur pour parler de jeunesse.
Cette formation à été menée au studio Les Bonnes Ondes à Casablanca du 11 au 14 décembre, les émissions lives ont eu lieu dans le jardin de l'Institut Français de Casablanca les 15 et 16 décembre.
Les encadrants :
Fabienne Laumonier : Making Waves
Yasmine Mahjoubi : Les Bonnes Ondes
Mehdi El Kindi : Les Bonnes Ondes
Alexandre Plank : Making Waves
Hamza Nouhi : Radio 2M
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Dans le cadre du festival Amwaj, premier festival dédié à la radio, au podcast et à la création sonore (porté par l'institut français du Maroc et co-organisé par Les Bonnes Ondes et Longueurs d'Ondes),qui s'est tenu à Casablanca du 14 au 17 décembre 2023 : 6 étudiants en écoles de journalisme ont suivi une formation de 4 jours et animé 2 jours consécutifs, en public, une webradio éphémère diffusée sur lesbonnesondes.ma
Encadré par des professionnels de la radio et du podcast marocain et français, ils ont travaillé au studio Les Bonnes Ondes leurs jingles, leurs chroniques et leurs interviews dans une véritable ambiance de rédaction.
Dans ce premier numéro, replay du live, Yasser, Ilyass, Raja Laeticia, Adame, Nourdinne et David ont reçus Dominique Caubet, professeure émérite à l'INALCO, et Teddy Patou, journaliste au sein de la rédaction de Radio 2M pour parler de multilinguisme.
Cette formation à été menée au studio Les Bonnes Ondes à Casablanca du 11 au 14 décembre, les émissions lives ont eu lieu dans le jardin de l'Institut Français de Casablanca les 15 et 16 décembre.
Les encadrants :
Fabienne Laumonier : Making Waves
Yasmine Mahjoubi : Les Bonnes Ondes
Mehdi El Kindi : Les Bonnes Ondes
Alexandre Plank : Making Waves
Hamza Nouhi : Radio 2M
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Dans le Podcast Hdit Al Ard, plongez au cœur de l'Oasis de Skoura à travers les récits de ses habitants. Tous font preuve d'une résilience exemplaire pour revitaliser la palmeraie, stimuler l'économie locale et promouvoir la région.
Les oasis marocaines, autrefois des boucliers naturels contre la désertification et des sanctuaires de biodiversité, subissent depuis deux décennies une détérioration constante.
Ce déclin est principalement attribuable aux effets du changement climatique et à une croissance démographique soutenue, entraînant une diminution des terres cultivables et une rareté accrue des ressources en eau, tant souterraines que de surface. Cette spirale de dégradation est exacerbée par le forage intensif, l'épuisement des nappes phréatiques, la menace du bayoud sur les palmiers, la perte progressive de la flore et de la faune, l'exode rural et la disparition progressive du savoir-faire ancestral.
Certains des habitants de Skoura, tels que Hayat Regna et Nabil Meskini, se sont engagés dans le tourisme durable et responsable. D'autres, comme Mohamed Aglagan, s'efforcent de préserver l'abeille jaune, gardienne essentielle de la biodiversité oasisienne. Certains sont partis puis sont revenus, comme Mbarka, tandis que d'autres, à l'image de Fatema, luttent pour la préservation de leurs terres malgré la pénurie d'eau.
Explorez les efforts collectifs déployés par ces acteurs pour sauvegarder les oasis marocaines à travers les témoignages captivants du Podcast Hdit Al Ard.
Découvrez plus de podcasts marocains en vous rendant sur : www.lesbonnesondes.ma
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Au Maroc, l'urgence climatique prend une dimension sociale inquiétante. Selon la Banque mondiale, le pays souffre d'une sécheresse aiguë, plaçant ses habitants dans une situation de pénurie d'eau. Les chiffres officiels indiquent une disponibilité en eau par habitant de seulement 606 mètres cubes par an, bien en dessous du seuil critique de 1 700 m3 défini par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Le podcast Aattchanin (عطشانين) raconte l’histoire poignante de la famille Sobai, établie à Douar Oulad Si Ghanem, près du Barrage Al Massira, principal ouvrage hydraulique du bassin Oum Errabiî, à 148 km de Casablanca en direction de Marrakech.
Autrefois dépendante de la pêche dans ce barrage, la famille se trouve aujourd’hui confrontée aux effets dévastateurs du réchauffement climatique.
La sécheresse persistante au Maroc et les pressions sur les ressources en eau ont asséché le Barrage Al Massira. En octobre 2023, le taux de remplissage du barrage n'était que de 2,6 %, contre 3,5 % en 2022, selon les données du ministère de l’équipement et de l’eau. Aujourd'hui, le Barrage Al Massira n'est plus qu'un amas de terre craquelée et asséchée, loin de son passé prospère.
À travers ces témoignages, le podcast donne la parole aux femmes, aux hommes, et aux jeunes marocains qui subissent les conséquences dramatiques des changements climatiques.
Malgré leurs protestations récurrentes, leurs voix restent étouffées par les enjeux économiques. Certains envisagent de quitter leur région, tandis que d'autres luttent pour préserver leurs terres, révélant ainsi la dimension humaine et tragique du changement climatique au Maroc.
Pour découvrir ces récits bouleversants, écoutez le podcast Aattchanin (عطشانين).
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Le samedi 28 octobre 2023, Les Bonnes Ondes, studio de création indépendant basé au Maroc, a installé son équipe face aux vagues d'Anchor Point, célèbre spot de surf à Taghazout. Ils ont animé la toute première émission en direct d'une webradio dédiée à la seconde édition du Taghazout Surf Expo, tenue du 26 au 29 octobre.
Cette émission live avait pour objectif de partager les particularités d'un événement professionnel ouvert au grand public, en accord avec les attentes locales et nationales. Le salon, se déployant sur un village éphémère de 2000 mètres carrés, mettait en avant toutes les facettes de la culture surf.
Dans ce cadre enchanteur, Said Bella et Rachid Moutchou, les organisateurs de l'événement, ont accordé une entrevue d'une heure pour discuter des ambitions du salon, du programme mis en place et surtout des impacts sur l'écosystème surf au Maroc.
Ces retombées tangibles se sont déjà manifestées en un laps de temps très court depuis le début de cet événement.
De cette discussion approfondie, un "podcast replay" de près de 20 minutes a été élaboré. Nous vous invitons à découvrir cet enregistrement.
Découvrez plus de productions sonores sur : lesbonnesondes.ma
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Plongez dans le troisième épisode du podcast Glissa Culturelle, dédié aux industries culturelles et créatives du Maroc, mettant en avant les entrepreneurs et entrepreneuses de ce secteur dynamique.
Aujourd'hui, Danielle Paillier accueille Fadwa Moussaif, co-fondatrice de la marque marocaine IDYR.
IDYR, née de la passion pour l'authenticité et les méthodes artisanales, est une marque marocaine sous l'égide de l'entreprise sociale BEC, créée en septembre 2016. Son concept novateur réside dans la réinterprétation des normes de l'industrie de la mode pour promouvoir un artisanat marocain durable, fortement axé sur l'écologie. La marque, entièrement marocaine, valorise la technique du Boucharouite en transformant les chutes de tissus provenant des usines de confection de Casablanca en objets du quotidien, tels que des housses, des sacs, des tapis, des accessoires de décoration, et bien plus encore.
Au cours de cet échange, Fadwa partage les défis et les succès ayant contribué à la croissance significative de la marque et à l'expansion de sa clientèle.
Glissa Culturelle est le fruit d'une collaboration entre le studio de production indépendant Les Bonnes Ondes, l'Agence Universitaire de la Francophonie et l'Institut Français de Casablanca.
Cette rencontre mensuelle enregistrée en public se métamorphose ensuite en un podcast soigneusement produit par le studio indépendant Les Bonnes Ondes.
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Dans ce deuxième épisode du podcast Glissa Culturelle, Danielle Pailler accueille Kaoutar Chaqchaq et Kaoutar Fahli pour une discussion approfondie sur l'édition indépendante et le collectif Asameena.
Kaoutar figure parmi les fondatrices d'Asameena, un collectif littéraire actif dans la création d'une publication annuelle, visant à offrir un espace d'expression aux auteurs et autrices. Leur projet inclut l'écriture, la publication d'un numéro thématique annuel, des ateliers d'écriture, des lectures publiques et des rencontres littéraires.
Sofia, quant à elle, est à l'origine de la Maison d'édition Atonale, une maison éditoriale marocaine indépendante spécialisée dans la production d'objets éditoriaux alternatifs en édition limitée. Leur contenu est diversifié : magazines littéraires, livres d'art, ouvrages jeunesse, documentaires visuels, manuels éducatifs, publications, fictions, livres interactifs et documentaires sonores.
En plus de l'édition, Atonale propose des services de graphisme, de mise en page, de scénographie d'exposition, de design sonore et d'organisation d'événements littéraires.
Ensemble, elles explorent l'importance de l'engagement collectif et de l'épanouissement à travers celui-ci.
Glissa Culturelle émane d'une collaboration entre le studio de production indépendant Les Bonnes Ondes, l'Agence Universitaire de la Francophonie et l'Institut Français de Casablanca qui souhaite faire la part belle aux industries culturelles et créatives. Enregistré mensuellement en public, cet événement se transforme ensuite en un podcast produit par le studio indépendant Les Bonnes Ondes.
Découvrez davantage de productions sonores originales sur le site : lesbonnesondes.ma"
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Glissa Culturelle : Le Podcast Marocain fruit d'un partenariat entre le studio de création et de production sonore casablancais Les Bonnes Ondes, l'Agence Universitaire de la Francophonie et l'Institut Français de Casablanca.
Enregistré en direct au Musée Numérique de l'Institut Français de Casablanca, ce podcast met en lumière des entrepreneurs et entrepreneuses des industries culturelles et créatives au Maroc.
Dans ce premier épisode, Danielle Pailler reçoit Hatim Jarir, réalisateur et photographe à l'origine de Sala Doc, un programme de formation annuel dédié à la réalisation de courts-métrages documentaires sur Salé, lancé en 2020 pour promouvoir la culture du cinéma documentaire chez les jeunes.
Hatim est impliqué dans des projets cinématographiques socio-éducatifs, notamment en tant que coordinateur de "La Ruche Documentaire" au Festival FIDADOC à Agadir depuis 2013, et comme programmateur pour des festivals internationaux tels que le Festival de Cinéma et Droits Humains de Barcelone, ainsi que The Beit Project à Tanger en 2017.
Au cours de cet entretien avec Danielle Pailler, Hatim partage l'importance de l'éducation et de l'inspiration pour susciter des passions authentiques.
Explorez davantage de contenus sonores originaux sur le site : lesbonnesondes.ma
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ديس إيز دي إند
آخر حلقة ليزامي! نشفوكم، تهلاو فريوسكم : سي يو سون 😂
This is the end !
Akhir 7el9a a les amis !
8ad lpodcast katbinou Ayla Mrabet ou Soukaina Aziz El Idrissi, lmoukhrij ou lmoudir lfani dial hadchi smitou Mehdi El Kindi, lmountij ou machi lmontage houa Hamza Lyoubi, amma l’affiche sewbat8a Rajae Chaouai.
8ad lpodcast intaj mouchatrak bine Les Bonnes Ondes ou jam3iyat Zero Zbel, t9edrou tsem3ouh f lesbonnesondes.ma oula spotify, deezer, apple podcasts ou dakchi kamel !
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Leb7ourates !
Fel 7el9a 7 elli hia el7el9a 9abl el akhir ghadi n3erfou kifach miketna wesslat leb7ar ou chnou chaft fi8 ;)
8ad lpodcast katbinou Ayla Mrabet ou Soukaina Aziz El Idrissi, lmoukhrij ou lmoudir lfani dial hadchi smitou Mehdi El Kindi, lmountij ou machi lmontage houa Hamza Lyoubi, amma l’affiche sewbat8a Rajae Chaouai.
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T3elle9t fine tfelle9t !
Fel 7el9a 6 miketna ghadi t3awd lina 3la lgolf w3la nnass elli ki dwiw chella dial lloughat ! Ou ghada tdwi 3la lma7ari9, o7er9 l’azbal ... Ou 3lach 8adchi ki 3esseb
8ad lpodcast katbinou Ayla Mrabet ou Soukaina Aziz El Idrissi, lmoukhrij ou lmoudir lfani dial hadchi smitou Mehdi El Kindi, lmountij ou machi lmontage houa Hamza Lyoubi, amma l’affiche sewbat8a Rajae Chaouai.
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Men lmariou lettarou !
Fel7el9a 5 dial “Dima Dayma” 3adi nt3errfou 3la zzebballa ou 3la wa7ed khouna elli ghadi 3awen lmika : erri7, walakine had erri7 b7al ila darbou ddo chi chwiya ...
8ad lpodcast katbinou Ayla Mrabet ou Soukaina Aziz El Idrissi, lmoukhrij ou lmoudir lfani dial hadchi smitou Mehdi El Kindi, lmountij ou machi lmontage houa Hamza Lyoubi, amma l’affiche sewbat8a Rajae Chaouai.
8ad lpodcast intaj mouchatrak bine Les Bonnes Ondes ou jam3iyat Zero Zbel, t9edrou tsem3ouh f lesbonnesondes.ma oula spotify, deezer, apple podcasts ou dakchi kamel !
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Men lmariou lettarou !
Fel7el9a rrab3a dial “Dima Dayma” bghina ne3tiw lkelma lwa7ed 3emmi Khali ;)
8ad lpodcast katbinou Ayla Mrabet ou Soukaina Aziz El Idrissi, lmoukhrij ou lmoudir lfani dial hadchi smitou Mehdi El Kindi, lmountij ou machi lmontage houa Hamza Lyoubi, amma l’affiche sewbat8a Rajae Chaouai.
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