Эпизоды
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Retrouvez Cyril Hanouna et toute sa bande du lundi au vendredi de 16h à 18h sur Europe 1 ! Entouré de ses chroniqueurs, il revient sur l'actualité politique. Mais avec Cyril Hanouna, les auditeurs ont également la parole ! Pour réagir, n'hésitez pas : 01.80.20.39.21.
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Au sommaire de l'émission "On marche sur la tête":
Éric Coquerel, député de la France insoumise, refuse de qualifier les islamistes d'ennemis de l'intérieur, suscitant de vives réactions.
Thomas Porte, député de la France insoumise, insulte le journal Le Figaro de "torchon islamophobe" après une enquête sur les liens entre la France insoumise et les islamistes.
La France insoumise souhaite abroger le délit d'apologie du terrorisme, dans un pays marqué par de nombreux attentats.
Des auditeurs musulmans dénoncent l'instrumentalisation de leur communauté par la France insoumise et appellent à plus d'intégration et de respect des valeurs républicaines.
Des témoignages d'urgentistes et d'infirmiers soulignent le manque de reconnaissance et de moyens pour ces professions essentielles.
Notre équipe a utilisé un outil d’Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
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Retrouvez Cyril Hanouna et toute sa bande du lundi au vendredi de 16h à 18h sur Europe 1 ! Entouré de ses chroniqueurs, il revient sur l'actualité politique. Mais avec Cyril Hanouna, les auditeurs ont également la parole ! Pour réagir, n'hésitez pas : 01.80.20.39.21
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Au sommaire de l'émission "On marche sur la tête":
L'émission aborde la question de la délinquance d'habitude et des mesures proposées pour y faire face, notamment le retrait des allocations familiales pour les familles de délinquants.
Le cas de Pierre Palmade, condamné à 5 ans de prison dont 2 fermes avec exécution provisoire pour un accident de la route sous l'emprise de stupéfiants, est analysé et les auditeurs donnent leur avis sur la sévérité de la peine.
Un sondage IFOP sur les personnalités politiques préférées et détestées des Français est présenté, avec des commentaires sur le classement de certaines figures comme Michel Barnier, Edouard Philippe ou Jean Castex.
La justice et le traitement différencié de certains délits, notamment routiers, sont remis en question par les auditeurs qui dénoncent un manque de fermeté.
La possibilité d'une candidature de Jean Castex à la prochaine élection présidentielle est évoquée comme une option envisagée par certains au sein des Républicains.
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Au sommaire de l'émission "On marche sur la tête":
Le sondage montrant que 85% des Français sont favorables à la prison ferme pour ceux qui menacent de mort les enseignants ou les chefs d'établissement est analysé, avec un débat sur la nécessité de sanctions plus sévères face à la montée de la violence.
Les chiffres récents de l'immigration en France sont révélés, avec une augmentation des expulsions et des fins de séjour prononcées sous l'impulsion du ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau.
Le procès de l'humoriste Pierre Palmade s'ouvre, avec le témoignage poignant des victimes de l'accident de la route causé par Palmade sous l'emprise de la drogue, et les interrogations sur la sanction qui lui sera infligée.
Les débats houleux au sein de l'Assemblée nationale, notamment autour de l'affaire Thomas Porte, sont évoqués, illustrant les tensions politiques actuelles.
La mort de la chienne du roi Charles III est abordée avec humour, dans un contraste saisissant avec les sujets graves traités dans le reste de l'émission.
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Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent du procès de Pierre Palmade qui vient d'ouvrir ce jour. Pour Rappel, l'artiste est jugé pour des blessures involontaires aggravées, près de deux ans après le grave accident routier qu'il a provoqué alors qu'il était sous l'emprise de stupéfiants.
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Un récent sondage révèle que 85% des Français sont favorables à la prison ferme pour les individus menaçant de mort les enseignants ou les chefs d’établissement. Ce chiffre témoigne d’une préoccupation grandissante face à la montée de la violence dans les institutions éducatives.
Le cas d’un jeune homme de moins de 30 ans, ayant menacé de brûler vif le proviseur du lycée Maurice Ravel, illustre la complexité du problème. Malgré la gravité de son acte, il n’a été condamné qu’à une amende de 600 euros et à cinq jours de stage de citoyenneté. Une sanction jugée trop clémente par beaucoup.
Face à cette situation, les invités du débat s’interrogent : faut-il durcir les peines pour mieux protéger les enseignants et rétablir un sentiment de sécurité dans les écoles ? Certains estiment que des sanctions plus sévères sont indispensables pour rétablir l’autorité et la sécurité dans une société où ces valeurs semblent vaciller.
Cependant, une autre crainte émerge : celle que les jeunes, confrontés à des mesures répressives, perdent confiance dans les institutions telles que la police ou l’éducation. Comment alors trouver un équilibre entre justice, prévention et réhabilitation ?
Dans ce contexte, une volonté claire s’exprime : celle de construire une société où les enseignants et les chefs d’établissement peuvent exercer leur métier dans le respect et la sérénité. Les pistes restent à définir, mais l’urgence d’agir ne fait aucun doute.
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