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Dans le documentaire «12 jours», une immersion dans l’univers psychiatrique, Raymond Depardon retourne se confronter à l’enfermement. Et construit un nouveau volet de l’observation de la prise en charge de la folie dans nos sociétés. Attiré par les institutions et leur composantes totalitaires, Raymond Depardon filme ici la confrontation entre la psychiatrie et la justice. Le réalisateur a accordé au site LesJours.fr un long entretien, dans lequel il revient sur la place de «12 jours» dans sa filmographie, son regard sur les institutions, la psychiatrie, l’enfermement, des notions sur lesquelles il a travaillé en tant que cinéaste, mais qu’il a aussi documentées en tant que photographe lors de séjours en prison pour des reportages.
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Dans le documentaire «12 jours», une immersion dans l’univers psychiatrique, Raymond Depardon retourne se confronter à l’enfermement. Et construit un nouveau volet de l’observation de la prise en charge de la folie dans nos sociétés. Attiré par les institutions et leur composantes totalitaires, Raymond Depardon filme ici la confrontation entre la psychiatrie et la justice. Le réalisateur a accordé au site LesJours.fr un long entretien, dans lequel il revient sur la place de «12 jours» dans sa filmographie, son regard sur les institutions, la psychiatrie, l’enfermement, des notions sur lesquelles il a travaillé en tant que cinéaste, mais qu’il a aussi documentées en tant que photographe lors de séjours en prison pour des reportages.
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Dans le documentaire «12 jours», une immersion dans l’univers psychiatrique, Raymond Depardon retourne se confronter à l’enfermement. Et construit un nouveau volet de l’observation de la prise en charge de la folie dans nos sociétés. Attiré par les institutions et leur composantes totalitaires, Raymond Depardon filme ici la confrontation entre la psychiatrie et la justice. Le réalisateur a accordé au site LesJours.fr un long entretien, dans lequel il revient sur la place de «12 jours» dans sa filmographie, son regard sur les institutions, la psychiatrie, l’enfermement, des notions sur lesquelles il a travaillé en tant que cinéaste, mais qu’il a aussi documentées en tant que photographe lors de séjours en prison pour des reportages.
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Dans le documentaire «12 jours», une immersion dans l’univers psychiatrique, Raymond Depardon retourne se confronter à l’enfermement. Et construit un nouveau volet de l’observation de la prise en charge de la folie dans nos sociétés. Attiré par les institutions et leur composantes totalitaires, Raymond Depardon filme ici la confrontation entre la psychiatrie et la justice. Le réalisateur a accordé au site LesJours.fr un long entretien, dans lequel il revient sur la place de «12 jours» dans sa filmographie, son regard sur les institutions, la psychiatrie, l’enfermement, des notions sur lesquelles il a travaillé en tant que cinéaste, mais qu’il a aussi documentées en tant que photographe lors de séjours en prison pour des reportages.
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Dans le documentaire «12 jours», une immersion dans l’univers psychiatrique, Raymond Depardon retourne se confronter à l’enfermement. Et construit un nouveau volet de l’observation de la prise en charge de la folie dans nos sociétés. Attiré par les institutions et leur composantes totalitaires, Raymond Depardon filme ici la confrontation entre la psychiatrie et la justice. Le réalisateur a accordé au site LesJours.fr un long entretien, dans lequel il revient sur la place de «12 jours» dans sa filmographie, son regard sur les institutions, la psychiatrie, l’enfermement, des notions sur lesquelles il a travaillé en tant que cinéaste, mais qu’il a aussi documentées en tant que photographe lors de séjours en prison pour des reportages.
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Dans le documentaire «12 jours», une immersion dans l’univers psychiatrique, Raymond Depardon retourne se confronter à l’enfermement. Et construit un nouveau volet de l’observation de la prise en charge de la folie dans nos sociétés. Attiré par les institutions et leur composantes totalitaires, Raymond Depardon filme ici la confrontation entre la psychiatrie et la justice. Le réalisateur a accordé au site LesJours.fr un long entretien, dans lequel il revient sur la place de «12 jours» dans sa filmographie, son regard sur les institutions, la psychiatrie, l’enfermement, des notions sur lesquelles il a travaillé en tant que cinéaste, mais qu’il a aussi documentées en tant que photographe lors de séjours en prison pour des reportages.
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Dans le documentaire «12 jours», une immersion dans l’univers psychiatrique, Raymond Depardon retourne se confronter à l’enfermement. Et construit un nouveau volet de l’observation de la prise en charge de la folie dans nos sociétés. Attiré par les institutions et leur composantes totalitaires, Raymond Depardon filme ici la confrontation entre la psychiatrie et la justice. Le réalisateur a accordé au site LesJours.fr un long entretien, dans lequel il revient sur la place de «12 jours» dans sa filmographie, son regard sur les institutions, la psychiatrie, l’enfermement, des notions sur lesquelles il a travaillé en tant que cinéaste, mais qu’il a aussi documentées en tant que photographe lors de séjours en prison pour des reportages.
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Dans le documentaire «12 jours», une immersion dans l’univers psychiatrique, Raymond Depardon retourne se confronter à l’enfermement. Et construit un nouveau volet de l’observation de la prise en charge de la folie dans nos sociétés. Attiré par les institutions et leur composantes totalitaires, Raymond Depardon filme ici la confrontation entre la psychiatrie et la justice. Le réalisateur a accordé au site LesJours.fr un long entretien, dans lequel il revient sur la place de «12 jours» dans sa filmographie, son regard sur les institutions, la psychiatrie, l’enfermement, des notions sur lesquelles il a travaillé en tant que cinéaste, mais qu’il a aussi documentées en tant que photographe lors de séjours en prison pour des reportages.
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Dans le documentaire «12 jours», une immersion dans l’univers psychiatrique, Raymond Depardon retourne se confronter à l’enfermement. Et construit un nouveau volet de l’observation de la prise en charge de la folie dans nos sociétés. Attiré par les institutions et leur composantes totalitaires, Raymond Depardon filme ici la confrontation entre la psychiatrie et la justice. Le réalisateur a accordé au site LesJours.fr un long entretien, dans lequel il revient sur la place de «12 jours» dans sa filmographie, son regard sur les institutions, la psychiatrie, l’enfermement, des notions sur lesquelles il a travaillé en tant que cinéaste, mais qu’il a aussi documentées en tant que photographe lors de séjours en prison pour des reportages.