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Comment débloquer l’ascenseur social ? Comment permettre à chacun d’atteindre la position qu’il mérite, et non celle dont il hérite ? L’accès à l’éducation est la mère de toutes les batailles. Exemple : La Chance, une association française qui permet aux jeunes les plus modestes de préparer les écoles de journalisme.
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Le creusement des inégalités a un prix. Selon le Nobel d’économie Joseph Stiglitz, des écarts sociaux trop prononcés dégradent la croissance et augmentent le risque d’instabilité politique. Une des solutions, c’est l’accès de tous au travail. En France, les Déterminés aident les jeunes, les femmes, les minorités à se faire une place
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Saviez-vous que la moitié de la richesse mondiale découle des services rendus gratuitement par la nature ? Et pourtant, les entreprises n’intègrent pas ces apports dans leur comptabilité. Sauf celles, encore rares, qui adoptent le système Care. C’est le cas de Delta Service Location, qui fait en sorte de rembourser sa "dette écologique".
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Forages pétroliers, bétonisation des sols, surpêche… Comment faire cesser les activités les plus nuisibles pour la planète ? Et comment faire émerger des entreprises qui respectent le climat et le vivant ? La finance a un rôle central à jouer. Un peu plus de 10% des fonds d’investissements mettent la rentabilité et l’impact écologique sur le même plan. C’est le cas de "2050" à Paris
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Il nous reste dix ans pour réussir à limiter le réchauffement de la terre à 1,5°C. Impossible de le faire sans une révolution des transports. Tous modes confondus, ils sont les deuxièmes plus gros émetteurs de gaz à effet de serre, derrière le secteur de l’énergie. À lui seul, l’aérien représente 3% des émissions. Certains parient donc sur l’avion électrique, mais est-ce une solution ou un miroir aux alouettes ?
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Saviez-vous que huit marchandises sur dix arrivent jusqu’à nous en bateau ? Sans fret maritime, pas de commerce mondial. Or, la plupart des navires fonctionnent au fioul lourd, un carburant particulièrement "sale". L’Organisation maritime internationale (OMI) a fixé un objectif de réduction de 40 % des gaz à effet de serre d'ici 2030. Pour y parvenir, certains armateurs ont mis les voiles à leurs cargos.
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Elles sont compétitives, "propres" et contribuent à la santé planétaire. C’est l’ADN des entreprises régénératives. Concrètement, ces entreprises minimisent les impacts négatifs de leur cœur de métier et développent des activités complémentaires en collaboration avec la nature. Une solution testée et approuvée par Pochéco, un papetier du Nord de la France.
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Donner des droits aux montagnes, aux lagunes, aux animaux... bref au "vivant", même s'il n'est pas humain ? C’est le choix qu'on fait certains pays pour mieux concilier activités économiques et biodiversité. En Nouvelle-Zélande, en Inde ou en Espagne, des entités naturelles ont acquis une personnalité juridique. Une solution d’avenir ?
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Symbole de nature et de santé, le sport détient pourtant quelques records en pollution ! Exemple : 70 % des vêtements et accessoires sont en fibres synthétiques et relâchent une infinité de micro et nanoplastiques dans les océans. En région parisienne, les Recycleries Sportives parient sur la seconde main dans le sport. Le marché pourrait quadrupler d’ici dix ans.
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Saviez-vous que 80 % de l’empreinte carbone du sport provient des déplacements des athlètes, mais surtout des supporters ? Et qu’en Ligue 1 de football, un match génère en moyenne 10 tonnes de déchets ? À cœur vaillant rien d’impossible : on peut changer les habitudes et les pratiques sur la planète sport. Le club lyonnais LOU rugby s’est jeté dans la mêlée. Il nous a invités sur ses pelouses pour nous montrer ses solutions.
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Des stades climatisés ou de la neige artificielle en plein désert, des réserves naturelles détruites pour une épreuve, ou encore des équipements abandonnés après un mois d’usage… Les grandes compétitions sportives génèrent autant de rêves que de cauchemars. Les Jeux olympiques 2024 ambitionnaient d’avoir une contribution positive pour le climat : pari perdu. Mais Paris-2024 pourrait rester dans les mémoires pour ses infrastructures. Regardez.
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Ils sont partout : dans les céréales du petit-déjeuner, la charcuterie, les plats cuisinés, les boissons. Les aliments ultra-transformés sont impliqués dans l’apparition de nombreuses maladies comme le diabète, les cancers, les accidents cardio-vasculaires et même la dépression ! Comment les reconnaître et par quoi les remplacer ? Regardez.
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Et si l’accès à une alimentation équilibrée devenait un droit, comme celui à la santé ou à l’éducation ?... En théorie, c’est possible puisque nous produisons largement plus de nourriture que les besoins de l’humanité. Mais en pratique, la fracture alimentaire est profonde. Seule une infime minorité accède à une alimentation bonne pour la santé et pour la planète. En France, l’association VRAC propose une solution qui pourrait déboucher vers une sécurité sociale alimentaire. Regardez.
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Saviez-vous que ce qui reste dans nos assiettes vaut de l’or ? Tout comme les rebuts des jardiniers (herbes tondues, branches coupées ou feuilles mortes) ? Ces bio-déchets sont les mets préférés de la terre et de ses micro-organismes. Riches en eau et matière organique, ils finissent trop souvent brûlés ou enfouis avec d’autres substances non-biodégradables. Un pur gâchis ! Les valoriser est une autre façon de lutter contre le gaspillage.
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17 ans à peine après leur invention, les smartphones ont conquis la planète : plus de 7 milliards d’exemplaires ont déjà été fabriqués et un appareil se vend toutes les 50 secondes. L’impact sur l’environnement est d’autant plus fort que 80% des émissions de gaz à effet de serre a lieu pendant la fabrication. Et pourtant, il existe des solutions pour "téléphoner durable". Regardez.
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Saviez-vous qu’en France, un agriculteur se suicide tous les deux jours ? Et que 100 000 fermes ont déjà disparu en 10 ans faute de repreneurs ? Comment renouveler les générations, sortir du surendettement et rendre le métier désirable alors que plus de 800 millions de personnes souffrent de la faim dans le monde ? De "nouveaux ruraux" expérimentent les fermes collectives, un retour à la terre qui se fait autrement pour permettre vivre de ce métier sans lui sacrifier sa vie.
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Saviez-vous qu'à peine douze plantes garantissent les trois-quarts de l’apport nutritionnel mondial ? Et que le marché global des semences – 40 milliards de dollars – est dominé par 4 géants de la chimie (Limagrain, Bayer-Monsanto, ChemChina et Corteva) ? Cette concentration nuit à la biodiversité. Certains agriculteurs ont décidé de faire autrement en réhabilitant les semences paysannes, appelées aussi semences anciennes.
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En 2050, il y aura entre 9 et 10 milliards d’humains sur la planète. Comment les nourrir correctement sans épuiser les ressources ? C'est le pari de l'agriculture régénératrice : produire en quantité tout en permettant aux sols, à l’air et aux nappes phréatiques de se régénérer. Un idéal qui creuse son sillon et que des agriculteurs expérimentent au quotidien sur leurs exploitations
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Saviez-vous que pour remplir nos placards, l'industrie de la mode génère 10 % des émissions de gaz à effet de serre et 20 % de la pollution des eaux ? Et que près d’un vêtement en coton sur 5 provient d’un camp de travail ouïgour en Chine ? La précommande est une solution pour mettre fin à la surproduction et la surconsommation : elle consiste à ne fabriquer que ce qu’on a déjà vendu. Mais est-ce viable ?
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Peut-on s'habiller à petits prix sans nuire à la planète ? L'industrie mondiale de la mode produit chaque année 100 milliards de vêtements, soit deux fois plus qu'il y a 20 ans. Or, il faut 2 700 litres d’eau douce pour fabriquer un seul T-shirt en coton, l’équivalent de ce que boit une personne en deux ans et demi. Acheter d’occasion est une solution, mais attention au greenwashing (ou éco-blanchiment) !
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