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Pour en finir avec une histoire de la littérature sexiste, les Parleuses/l’association Littérature, etc, organisent des séances pour retrouver la mémoire. Chaque séance est itinérante et s’articule autour d’un binôme autrice contemporaine/autrice historique. Elle se déroule en trois temps : ateliers, lecture d’un texte inédit et un podcast diffusé sur toutes les plateformes d’écoute. Pour cette 46e séance imaginée avec l’Institut pour la photographie à Lille, la critique d’art et commissaire d’exposition Julie Crenn, accompagnée de Mathilde Recton, nous plonge dans l’univers de la photographe néerlandaise d’origine hongroise Ata Kandó.
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Pour en finir avec une histoire de la littérature qui invisibilise et minorise les textes d’autrices et donc nuit à la littérature elle-même, chaque mois, les Parleuses organisent une séance de bouche à oreilles pour propager le matrimoine littéraire. Elles invitent une autrice contemporaine à se faire passeuse de l’œuvre d’une autrice du matrimoine. Chaque séance s’articule autour d’un atelier d’écriture, d’un atelier de lecture par arpentage et d’une performance inédite. Pour cette 45e séance, l’autrice Salomé Kiner imagine une séance dédiée à Dubravka Ugrešić .
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Pour en finir avec une histoire de la littérature qui invisibilise et minorise les textes d’autrices et donc nuit à la littérature elle-même, chaque mois, les Parleuses organisent une séance de bouche à oreilles pour propager le matrimoine littéraire. Elles invitent une autrice contemporaine à se faire passeuse de l’œuvre d’une autrice du matrimoine. Chaque séance s’articule autour d’un atelier d’écriture, d’un atelier de lecture par arpentage et d’une performance inédite. Pour cette 44e séance, l’autrice Juliette Rousseau imagine une séance dédiée à Anjela Duval.
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Pour en finir avec une histoire de la littérature sexiste, chaque mois, les Parleuses, organisent une séance pour retrouver la mémoire.
Pour cette 43e séance, nous sommes invitées le 20 janvier 2024, Karima Ouaghenim a choisi de nous parler de Yamina Mechakra.
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Pour en finir avec une histoire de la littérature sexiste, chaque mois, les Parleuses, organisent une séance de bouche à oreilles pour retrouver la mémoire. Chaque séance s’articule autour d’un atelier d’écriture, d’un atelier de lecture par arpentage et d’une lecture d’un texte inédit. Pour cette 42e séance imaginée à la maison d'arrêt de Nanterre en octobre 2023, c’est l’autrice historique May Ayim qui est mise à l’honneur par l'autrice Diaty Diallo.
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Pour en finir avec une histoire de la littérature sexiste, chaque mois, les Parleuses, organisent une séance de bouche à oreilles pour propager le matrimoine littéraire. Chaque séance s’articule autour d’un atelier d’écriture, d’un atelier de lecture par arpentage et d’une lecture d’un texte inédit. Pour cette 41e séance imaginée à la bibliothèque de Faches-Thumesnil dans le cadre de la semaine des fiertés, c’est l’autrice historique Joan Nestle qui est mise à l’honneur par l'autrice, traductrice, éditrice Noémie Grunenwald.
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Pour en finir avec une histoire de la littérature sexiste, chaque mois, les Parleuses, organisent une séance de bouche à oreilles pour propager le matrimoine littéraire. Chaque séance s’articule autour d’un atelier d’écriture, d’un atelier de lecture par arpentage et d’une lecture d’un texte inédit. Pour cette 40e séance imaginée avec D’un Pays l’autre/La contre allée à la bibliothèque de Lille Wazemmes, c’est l’autrice historique Gisèle Halimi qui est mise à l’honneur par la poète performeure selim·a attalah chettaoui
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C'était le 23 septembre 2023, à la bibliothèque de Montreuil. Pour en finir avec une histoire de la littérature sexiste, chaque mois, les Parleuses, organisent une séance de bouche à oreilles pour propager le matrimoine littéraire. Chaque séance s’articule autour d’un atelier d’écriture, d’un atelier de lecture par arpentage et d’une lecture d’un texte inédit. Pour cette 39e séance, c’est l’autrice historique Lou Andreas-Salomé qui est mise à l’honneur par la poète Séverine Daucourt.
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Pour en finir avec une histoire de la littérature sexiste, chaque mois, les Parleuses, organisent une séance de bouche à oreilles pour propager le matrimoine littéraire. Chaque séance s’articule autour d’un atelier d’écriture, d’un atelier de lecture par arpentage et d’une lecture d’un texte inédit. Pour cette 38e séance, c’est l’autrice historique Emma Santos qui est mise à l’honneur par la poétesse Coline Marescaux.
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Pour en finir avec une histoire de la littérature sexiste, chaque mois, les Parleuses, organisent une séance de bouche à oreilles pour propager le matrimoine littéraire. Chaque séance s’articule autour d’un atelier d’écriture, d’un atelier de lecture par arpentage et d’une lecture d’un texte inédit.
Pour cette 37e séance imaginée avec la Villa Marguerite Yourcenar, c’est l’autrice historique Mary Prince qui est mise à l’honneur par l’autrice contemporaine Gerda Cadostin.
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Pour en finir avec une histoire de la littérature sexiste, chaque mois, les Parleuses, organisent une séance de bouche à oreilles pour propager le matrimoine littéraire. Chaque séance s’articule autour d’un atelier d’écriture, d’un atelier de lecture par arpentage et d’une lecture d’un texte inédit.
Pour cette 36e séance imaginée avec la médiathèque de Bagnolet, c’est l’autrice historique Mariama Bâ qui est mise à l’honneur par l’autrice contemporaine Penda Diouf.
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Pour en finir avec une histoire de la littérature sexiste, chaque mois, les Parleuses, organisent une séance de bouche à oreilles pour propager le matrimoine littéraire. Chaque séance s’articule autour d’un atelier d’écriture, d’un atelier de lecture par arpentage et d’une performance inédite. Pour cette 35e séance imaginée avec Rhizomes à Douarnenez (29), c’est l’autrice historique Toni Morisson qui est mise à l’honneur par l’autrice contemporaine Titaua Peu
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Pour en finir avec une histoire de la littérature sexiste, chaque mois, les Parleuses, organisent une séance de bouche à oreilles pour propager le matrimoine littéraire. Chaque séance s’articule autour d’un atelier d’écriture, d’un atelier de lecture par arpentage et d’une performance inédite. Pour cette 34e séance imaginée avec la bibliothèque Gaston Miron – Études québécoises, c’est l’autrice historique Nelly Arcan qui sera mise à l’honneur par l’autrice contemporaine Mélikah Abdelmoumen.
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Pour en finir avec une histoire de la littérature sexiste, chaque mois, les Parleuses, organisent une séance de bouche à oreilles pour propager le matrimoine littéraire. Chaque séance s’articule autour d’un atelier d’écriture, d’un atelier de lecture par arpentage et d’une performance inédite. Pour cette 33e séance imaginée avec le Centre international de poésie de Marseille, c’est l’autrice historique Alejandra Pizarnik qui sera mise à l’honneur par l’autrice contemporaine Liliane Giraudon, accompagnée de l'éditrice Isabella Checcaglini (Ypsilon éditeur) qui a, entres autres, publié toute l'oeuvre d'Alejandra Pizarnik.
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Pour en finir avec une histoire de la littérature sexiste, chaque mois, les Parleuses, organisent une séance de bouche à oreilles pour propager le matrimoine littéraire. Chaque séance s’articule autour d’un atelier d’écriture, d’un atelier de lecture par arpentage et d’une performance inédite. Pour cette 32e séance imaginée dans le cadre du festival Poésie en ville à Genève (Suisse), c’est l’autrice historique Yanka Diaghileva qui sera mise à l’honneur par l’autrice contemporaine Marina Skalova.
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Pour en finir avec une histoire de la littérature qui invisibilise et minorise les textes d’autrices et donc nuit à la littérature elle-même, chaque mois, les Parleuses organisent une séance de bouche à oreilles pour propager le matrimoine littéraire. Elles invitent une autrice contemporaine à se faire passeuse de l’œuvre d’une autrice du matrimoine. Chaque séance s’articule autour d’un atelier d’écriture, d’un atelier de lecture par arpentage et d’une performance inédite. Pour cette 30e séance, l’autrice Aimée Verret imagine une séance dédiée à Vickie Gendreau. En partenariat avec le festival Rapaillés, imaginé par le Monte-en-l’Air.
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Pour en finir avec une histoire de la littérature qui invisibilise et minorise les textes d’autrices et donc nuit à la littérature elle-même, chaque mois, les Parleuses organisent une séance de bouche à oreilles pour propager le matrimoine littéraire. Elles invitent une autrice contemporaine à se faire passeuse de l’œuvre d’une autrice du matrimoine. Chaque séance s’articule autour d’un atelier d’écriture, d’un atelier de lecture par arpentage et d’une performance inédite. Pour cette 31e séance proposée dans le cadre de la première édition du festival La poésie n’est pas un luxe, co-organisé par les éditions de l’Arche et Littérature, etc., l’autrice Joëlle Sambi imagine une séance dédiée à Zora Neale Hurston, au Sample, à Bagnolet.
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Pour en finir avec une histoire de la littérature qui invisibilise et minorise les textes d’autrices et donc nuit à la littérature elle-même, chaque mois, les Parleuses, organisent une séance de bouche à oreilles pour propager le matrimoine littéraire. Elles invitent une autrice contemporaine à se faire passeuse de l’œuvre d’une autrice historique. La séance s’articule autour d’un atelier d’écriture, d’un atelier de lecture par arpentage et d’une performance inédite. Pour la séance 29, c’est Ingeborg Bachmann qui sera mise à l’honneur par Lucie Taïeb.
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Pour en finir avec une histoire de la littérature qui invisibilise et minorise les textes d’autrices et donc nuit à la littérature elle-même, chaque mois, les Parleuses organisent une séance de bouche à oreilles pour propager le matrimoine littéraire. Elles invitent une autrice contemporaine à se faire passeuse de l’œuvre d’une autrice du matrimoine. Chaque séance s’articule autour d’un atelier d’écriture, d’un atelier de lecture par arpentage et d’une performance inédite. Pour cette 28e séance imaginée dans le cadre du festival Hors Limites, l’autrice Élodie Petit imagine une séance dédiée à Kathy Acker, au lycée Feyder et à la médiathèque d’Epinay-sur-Seine.
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Pour en finir avec une histoire de la littérature qui invisibilise et minorise les textes d’autrices et donc nuit à la littérature elle-même, chaque mois, les Parleuses organisent une séance de bouche à oreilles pour propager le matrimoine littéraire. Elles invitent une autrice contemporaine à se faire passeuse de l’œuvre d’une autrice du matrimoine. Chaque séance s’articule autour d’un atelier d’écriture, d’un atelier de lecture par arpentage et d’une performance inédite. Pour cette 26e séance, l’autrice Lisette Lombé imagine une séance dédiée à Albertine Sarrazin.
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