Bölümler
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Récupérer les semences des variétés à pollinisation ouverte est un bon moyen de faire des économies. C’est aussi une manière de sauvegarder de la biodiversité ou de conserver des variétés régionales ou même familiales.
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Quoi de mieux que de manger des légumes, des fines herbes, des fleurs comestibles et des fruits dès que l’on vient de les cueillir. La période et la manière de les récolter influencent sur leur goût et leurs qualités nutritives. Explications.
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À la fois décoratifs et nourriciers, les argousiers sont présents dans la nature sous des formes mâles et femelles. C’est pourquoi ils se reproduisent en couple.
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S’il s’agit bien d’une culture, les engrais verts sont en fait des amendements qui ne disent pas leurs noms. Leurs bienfaits sont très nombreux.
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Les jardiniers devraient connaître les conséquences des changements climatiques et les prendre en compte afin d’en atténuer les effets au jardin comestible. Connaissances, adaptation et résilience sont donc les maîtres mots.
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La technique du paillis est pratiquée depuis plusieurs siècles, bien avant l’arrivée des dérivés du pétrole. C’est pourquoi ni les matériaux synthétiques ni les matériaux minéraux ne sont des paillis! Clarifications sur un quiproquo historique.
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Arroche, crosne du Japon, épinard fraise, quinoa, etc. sont quelques-uns des légumes rarement cultivés ou oubliés et récemment redécouverts. Portraits de ces quelques plantes fort originales.
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Les mûres des jardins et les gojis sont deux plantes assez peu cultivées, mais fort intéressantes pour leurs aspects nutritifs.
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Certains insectes, oiseaux, reptiles et rongeurs peuvent avoir des effets bénéfiques au jardin. Alors, autant s’en faire des alliés.
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Difficile à combattre, cette maladie sournoise peut affecter une grande partie des plantes du potager : les crucifères.
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Augmenter ou diminuer la chaleur, le vent, l’humidité ou la luminosité, c'est possible grâce à divers aménagements.
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Longtemps pratiqué, le labour est aujourd’hui remis en cause. On lui préfère le non-labour et encore mieux le travail léger du sol.
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Traditionnellement, on peut installer les potagers en pleine terre ou hors-sol. Cependant il existe une dizaine de façons non-conformiste de les agencer.
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En plus de 100 ans, la culture biologique a pris différentes formes. Toutes ont un intérêt pour le jardinier qui se préoccupe de son environnement et de sa santé.
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La biodiversité n’est pas seulement valable pour décrire la Nature. On peut utiliser cette manifestation de la Nature pour favoriser la vie au jardin comestible.
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Il existe d’autres façons de cultiver des fruitiers qu’en monoculture, comme dans un verger. Le passé nous offre de beaux exemples.
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À l’aide de très basses technologies, ayant des impacts environnementaux très limités, il est possible de cultiver un peu plus tôt au printemps et un peu plus tard à l’automne.
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Plusieurs plantes indigènes du Québec offrent des fruits savoureux. Elles peuvent facilement être incluses dans un jardin comestible.
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L’analyse de sol traditionnelle donne des indications limitées sur les propriétés physiques, chimiques et biologiques du sol. Il existe d’autres manières simples et peu coûteuses et faciles d’obtenir plus de données.
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Contrairement à une idée largement véhiculée, les plantes n’ont pas uniquement besoin d’azote, de phosphore et de potassium pour croître. Elles se nourrissent par l’atmosphère, sa principale source de nourriture, et ensuite par le sol.
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