Spilt
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"Yo, t'as vu les embrouilles entre rappeurs ?
-Laisse tomber, à part Tupac et Biggie, c'est que du buzz !
-Et quand le rap s'en prend aux flics, à l'Etat ou autre, ca sert à quelque chose ?"
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Le très libéral magazine The Economist expliquait récemment que la vision extrêmement pessimiste souvent donnée du monde du travail moderne n'avait aucun sens. Il suffisait, selon celui-ci, de regarder le 'boom' récent du nombre d'emplois. Mais quels emplois?
Vous qui nous écoutez, sur le chemin de retour du travail, ou en route pour vous y rendre, quel genre de journée passez-vous? Stressante, excitante, épanouissante? Diriez-vous que vous êtes heureux dans votre travail? D'aller au bureau? Qu'est-ce qui fait de nos journées des moments de plaisir ou tout du moins, qui leur donne du sens? Ce questionnement autour du travail, c'est ce qui marque l'histoire réalisée par Rémi Dybowski-Douat pour Transfert.
Cet épisode a été mixé par Jean-Baptiste Aubonnet. La musique est de Raphaël Ankierman. Maureen Wilson était à l’édition et à la coordination. Transfertest présenté par Charlotte Pudlowski et produit par Louie Média pour Slate.fr.
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Avez-vous déjà eu le sentiment que l’ensemble de votre vie répondait, par périodes, à des thématiques?
Par exemple, à l’époque où Charlotte Pudlowski, la rédactrice en cheffe de ce podcast, a créé Transfert en juin 2016, elle avait l’impression que tout dans sa vie était histoires. Qu'elle avait toujours été obsédée par les histoires, qu'elle en écrivait petite, que son obsession était la narration. Soudain, tout faisait sens, avec la création de Transfert, entre sa vie intime et professionnelle.
Puis, elle a eu le sentiment que toute sa vie était travaillée, plus globalement, par un questionnement sur la parole. Tout ce qui la questionnait, dans sa vie amoureuse, familiale, amicale, était lié à la parole, à ce qui était dit, ou ce qui était tu. C'est le moment où elle a cofondé Louie Media, le studio de podcasts qui produit Transfert pour Slate, et où sa vie professionnelle n’est devenue qu’un grand questionnement sur les podcasts, donc la parole vivante.
Désormais, c'est à cela qu'elle pense lorsqu'elle entend dire que tout est lié, quand les gens disent qu’il n’y a pas de hasard. Ce n’est pas du tout mystique, pas du tout une histoire de lune, de soleil, d’astrologie.
Dans cet épisode, Pauline raconte comment ses questionnements sur son identité ont rejailli sur sa vie professionnelle et personnelle, au micro de Jeanne-Marie Desnos.
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Cet épisode a été mixé par Jean-Baptiste Aubonnet. La musique est de David Aknin. Maureen Wilson était à l’édition et à la coordination. Transfert est présenté par Charlotte Pudlowski et produit par Louie Média pour Slate.fr.
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La romancière féministe Benoîte Groult, qui a traversé le 20e siècle et vu la condition des femmes évoluer de l'absence du droit de vote à la loi sur la parité, répondait en 1975 à une interview télévisée, et parlait de son premier mariage. L'homme qu'elle avait épousé était mort au bout de 8 mois. "J'étais veuve, et ça c'est un état social. Étant veuve j'étais une femme, ça y est j'étais épanouie, je me suis mise à travailler avec plus d'ambition et de courage, j'existais. La dignité pour une femme –Jean Foyer notre ancien ministre le disait encore en 73– une femme ne tire sa dignité que du mariage. C'est tout de même monstrueux. Nous ne sommes pas des êtres humains complets si nous ne sommes pas mariés."
Comment une vie de femme peut-elle être transformée, modelée, voire entravée par un mariage à un homme? Inès raconte son histoire au micro d'Amel Almia, pour Transfert.
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Cet épisode a été mixé par Jean-Baptiste Aubonnet. La musique est de David Stzanke. Maureen Wilson était à l’édition et à la coordination.Transfertest présenté par Charlotte Pudlowski et produit par Louie Média pour Slate.fr.
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Voici l'histoire de Marine - une jeune femme dont vous n'avez probablement jamais entendu parler si vous vivez en France. Elle vient de Toulouse, de la classe moyenne, elle approche doucement de la trentaine. C’est une fille normale.
Mais à l’autre bout du monde, Marine est quelqu’un d’autre, un autre visage, une autre façon se de mouvoir, d’autres jours et d’autres nuits. Et un autre nom.
Tout a changé le jour où elle a reçu un appel de Chine. Nous étions en 2012, et elle n'avait fait qu'un seul voyage là-bas, pour un concours de langue, quelques semaines plus tôt, et elle n'attendait pas de coup de fil. Mais celui-là va la réinventer.
Cet épisode était signé Robin Panfili et Alexandre Mognol.
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Il y a un très beau texte de Pascal (dans les Pensées) sur lequel beaucoup de lycéens et d'étudiants ont longtemps planché:
«Celui qui aime quelqu’un à cause de sa beauté, l’aime-t-il ? Non car la petite vérole, qui tuera la beauté sans tuer la personne, fera qu’il ne l’aimera plus. Et si on m'aime pour mon jugement, pour ma mémoire, m’aime-t-on moi ? Non, car je puis perdre ces qualités sans me perdre moi-même. Où est donc ce moi, s’il n’est ni dans le corps ni dans l’âme? Et comment aimer le corps ou l’âme, sinon pour ces qualités, qui ne sont point ce qui fait le moi, puisqu’elles sont périssables ? Car aimerait-on la substance de l’âme d’une personne, abstraitement, et quelques qualités qui y fussent?»
C'est une question qui se pose souvent avec acuité au cours d'une vie de couple: si vous avez une carrière brillante et que vous vous retrouvez au chômage, que vous perdez confiance en vous, que votre estime de vous s'amenuit, est-ce que votre partenaire vous aimera toujours autant? Si vous prenez des dizaines et des dizaines de kilos? Si vous changez fondamentalement d'opinion politique? Les changements physiques comptent-ils autant que les changements intérieurs? Ou si vous ne changez pas mais que vous donnez une nouvelle information sur vous, une information qui ne sortirait qu'au bout de dix ans de mariage? Ou si vous changez mais pour mieux être vous-même?
La nouvelle donne qui est venue s'installer dans le couple de Mathieu et Julie était de taille à tout briser. C'est une histoire d’essence, d’amour et de courage.
Cet épisode est signé Julia Vergely, réalisé par Alexandre Mognol
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Si vous avez déjà visité New York, vous vous souvenez sûrement de ce que vous avez ressenti en vous baladant pour la première fois dans la ville.
Les tuna salad qu’on peut acheter tard dans la nuit, Central Park et ses écureuils, le café filtre à volonté, les cheesecakes et les pickles dans les déli de Woody Allen; le métro à Times Square. Presque comme dans les films : immense, vertigineux, excitant. Mais l’Amérique des films n’est pas toujours New York, pas toujours son meilleur visage. Que se passerait-il si en guise de voyage linguistique, vous étiez plongé dans une scène de mauvais polar? Dans cet épisode, Aurélien raconte son road-trip aux Etats-Unis au micro de Cyrielle Bedu.
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Cet épisode a été mixé par Jean-Baptiste Aubonnet. La musique est de Adrien Casalis. Maureen Wilson était à l’édition et à la coordination. Transfert est présenté par Charlotte Pudlowski et produit par Louie Média pour Slate.fr.
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Il y en a combien, des mères héroïnes, qui ont traversé l’enfer, dans leur enfance, dans leur vie de femme, leur vie d’avant, et fait de leur mieux derrière, pour que l’enfer ne traverse rien, disparaisse, ne contamine pas les générations futures? Combien de familles abritent ces mères-là, qui à travers des silences ou des mots essaient d’endiguer le passé? Et qu’est-ce que ça donne, du côté des enfants, ces enfers du passé, reçus en héritage?
Tout allait bien dans la vie de Camille, jusqu'à ce qu'elle se mette un beau jour, à avoir des problèmes dans son couple. Soudain son corps ne répond plus de la même manière, voire ne répond plus toujours quand elle fait l'amour. Elle retrouve dans l'histoire familiale les entraves de son propre corps.
Cet épisode de Transfert est réalisé par Judith Chetrit. Transfert est présenté par Charlotte Pudlowski et produit par Louie Média pour Slate.fr.
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Dans son roman Délivrances, la romancière afro-américaine Toni Morisson, fait dire à son personnage Booker que « Scientifiquement, il n'existe rien de tel que la race » et que « donc le racisme sans race est un choix. Enseigné, bien sûr, par ceux qui en ont besoin, mais c'est tout de même un choix. Les gens qui le pratiquent ne seraient rien sans lui. » C'est ce qu'a découvert Claire quand elle est partie vivre aux Etats-Unis. Et que l'on n'est pas toujours à la hauteur de la personne que l'on pense être.
Un épisode signé Alexandre Mognol.
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Personne ne vous dit jamais, dans l'enfance, l'adolescence, la jeune vie adulte: attention à la trentaine. Attention à ne pas être obnubilé.e par les cases à cocher, par le fait d'avoir un boulot, d'être en couple, d'avancer aux yeux des autres, du calendrier de l'image et de la société. Attention à ne pas étouffer le bonheur sous les cases. Sous la fiche bristol sur laquelle est inscrite cette liste de cases, dont parlait Pauline dans un précédent épisode de Transfert. Personne ne vous dit jamais: regardez sous le tapis de votre existence, tous les petits cailloux qui vous blessent déjà. Attention au bonheur. Alors on le délaisse. Jusqu'au jour où il débarque avec fracas, sans subtilité, au mauvais moment. Et là on est bien malin, avec sa fiche bristol, et on fait quoi?
Cet épisode de Transfert a été réalisé par Iris Ouédraogo Transfert est présenté par Charlotte Pudlowski et produit par Louie Média pour Slate.fr
NB: À la demande de la narratrice, le prénom de son conjoint a été bipé et les références à des lieux ont été coupés.
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A force de familles rongées par les secrets, n’en vient-on pas à les laisser déborder, empiéter sur le reste… Voire sur la réalité? C’est ce qu’Emmanuelle a appris en voyant sa famille écorchée par des sujets qui n’auraient jamais dû émerger.
Cet épisode de Transfert est réalisé par Lison Verriez. Transfert est présenté par Charlotte Pudlowski et produit par Louie Média pour Slate.fr.
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Vous vous tenez sur le quai du métro. Vous voyez le premier wagon arriver et vous imaginez vous jeter sur les rails. Un instant vous vous dites, "et si je le faisais"? Vous n'en avez aucune envie, mais de manière fugace, la peur d'en avoir envie vous traverse. La peur de vos propres pensées. Cette peur là, c'est celle qui a assailli Martin. Il le raconte dans Transfert à Iris Ouédraogo.
Cet épisode a été mixé par Jean-Baptiste Aubonnet, coordonné et édité par Maureen Wilson. La musique a été composée par Maxime Daoud. Transfert est présenté par Charlotte Pudlowski et produit par Louie Média pour Slate.fr.
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Dans les toutes premières lignes de son essai Sorcières, la puissance invaincue des femmes, Mona Chollet décrit sa fascination pour ces créatures. Elle évoque les sorcières des Disney, celles de romans nordiques. «Elles fouettaient l’imagination, procuraient des frissons de frayeur délicieuse, donnaient le sens de l’aventure, ouvraient sur un autre monde.
Pendant la récréation, à l’école primaire, mes camarades et moi traquions celle qui avait élu domicile derrière les buissons de la cour, obligés de nous en remettre à nous-mêmes face au flegme incompréhensible du corps enseignant. La menace flirtait avec la promesse. On sentait soudain que tout était possible, et peut-être aussi que la joliesse inoffensive, la gentillesse gazouillante n’étaient pas le seul destin féminin envisageable. Sans ce vertige, l’enfance aurait manqué de saveur. (...) La sorcière incarne la femme affranchie de toutes les dominations, de toutes les limitations ; elle est un idéal vers lequel tendre, elle montre la voie.»
Peut-être avons-nous tous et toutes eu, dans notre enfance, une sorcière? La promesse d’un peu de magie quand le monde en manquait. D’un pouvoir dans l’impuissance apparente. C'est une histoire de sorcellerie et de famille que raconte Alice au micro de Maud Benakcha.
Cet épisode a été mixé par Jean-Baptiste Aubonnet. La musique est de Maxime Daoud. Maureen Wilson était à l’édition et à la coordination. Transfertest présenté par Charlotte Pudlowski et produit par Louie Média pour Slate.fr.
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«Le bon sens nous dit que les choses de la terre n'existent que bien peu, et que la vraie réalité n'est que dans les rêves», écrit Baudelaire dans Les Paradis artificiels.
Dans cet essai, il explore le lien entre création et drogues, et expore notamment les effets du hashish. «Pour digérer le bonheur naturel, comme l'artificiel, il faut d'abord avoir le courage de l'avaler, et ceux qui mériteraient peut-être le bonheur sont justement ceux-là à qui la félicité, telle que la conçoivent les mortels, a toujours fait l'effet d'un vomitif.» Après mille considérations, il en vient au lendemain de la drogue. « terrible lendemain » écrit-il. Tous les organes relâchés, fatigués, les nerfs détendus, les titillantes envies de pleurer, l'impossibilité de s'appliquer à un travail suivi, vous enseignent cruellement que vous avez joué un jeu défendu. La hideuse nature, dépouillée de son illumination de la veille, ressemble aux mélancoliques débris d'une fête. L'homme a voulu être Dieu, et bientôt le voilà, en vertu d'une loi morale incontrôlable, tombé plus bas que sa nature réelle. C'est une âme qui se vend en détail.» Mais entre les deux? Entre le moment où l’on avale et le terrible lendemain?
C'est ce moment que raconte Florian, au micro de Maureen Wilson, pour Transfert.
Cet épisode a été mixé par Jean-Baptiste Aubonnet. La musique est de Maxime Daoud. Gabrielle Ramain et Maud Benakcha était à l’édition et à la coordination. Transfert est présenté par Charlotte Pudlowski et produit par Louie Média pour Slate.fr.
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Comment faire quand un amour de jeunesse, de ces amours qui nous construisent et nous influencent tant, n'est pas le bienvenu ? Quand il ne nous fait pas du bien, que l’on tombe amoureux, ou amoureuse le plus souvent, de quelqu’un dont il faudrait se défaire?
Cet épisode de Transfert est réalisé par Élodie Font. Transfert est présenté par Charlotte Pudlowski et produit par Louie Média pour Slate.fr.
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Dans L’année de la pensée magique, l’écrivaine américaine Joan Didion raconte la mort soudaine de son mari, avec qui elle vivait depuis quelques décennies, avec lequel elle travaillait chaque jour à leur domicile, puisqu’il était écrivain comme elle, avec lequel elle partageait tout. Joan Didion raconte la manière dont chaque mort revêt un sens particulier, invite un deuil particulier. Et elle écrit encore, un peu plus loin: «On sait combien le deuil peut faire vaciller l’esprit». Dans cet épisode, Hélène raconte comment sa ressemblance avec son père, et la mort de celui-ci, ont fait vaciller sa vie.
Cet épisode de Transfert est réalisé par Judith Chétrit, et la musique est de Maxime Daoud.
Transfert est présenté par Charlotte Pudlowski et produit par Louie Média pour Slate.fr.
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En grandissant dans les sociétés occidentales, on a une idée très précise de ce qu’est l’amour, construite par les mythes greco-romains comme par les comédies romantiques hollywoodiennes. On sait comment on se regarde quand on s’aime, comment on se parle, comment on se touche. On croit savoir en tous cas. Mais s’il y avait d’autres manières, suscitées par d’autres rapports au monde? Si tous les codes que vous connaissez pouvaient être renversés ? Serait-il alors aussi simple de se sentir et de se savoir aimé.e?
Cet épisode de Transfert est réalisé par Sarah-Lou Lepers, et la musique est de David Sztanke.
Transfert est présenté par Charlotte Pudlowski et produit par Louie Média.
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Un soir, Mariette se rend à une fête. Au milieu de la foule, elle voit Tom, modèle de virilité. Cette présence l'envoûte tellement qu'en rentrant ce soir-là, elle sent qu'ils sont faits l'un pour l'autre. Comment l'en convaincre?
L’histoire de Mariette est signée Caroline Gillet avec Lola Costantini.
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Clémence et Vincent c'est vraiment le couple parfait, pour qui tout va très très vite.
Ils se rencontrent en boîte de nuit, après de nombreuses approches infructueuses de Vincent (Clémence était coriace visiblement) et sans l'anticiper le moins du monde, tombent amoureux quasi en un instant. Sous ses airs de contes de fées, l'histoire de Clémence et Vincent est attachante car on sent bien que nos deux tourtereaux ne se laissent pas balader par la vie : ils ont véritablement choisi de partager leur vie ensemble et de privilégier le naturel avant tout.
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Les vestiges de notre enfance sont inaliénables
Photo : Caroline Morant
Musique : Neruda - Rupa, The April FIshs - Se mer