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  • Les économistes vous le diront, la partie la plus sérieuse, la plus indiscutable de leur matière, c’est la démographie. Les chiffres sont implacables et les courbes qui sont tracées ne font pas l’objet de discussions. Et ce qui est certain, c’est que l’Europe, après le Japon, est en train de devenir un continent de personnes âgées et surtout une région de dénatalité. L’Europe, Russie comprise, va passer de 743 millions d’habitants à 500 millions d’ici à peine 40 ans. C’est une chute drastique qui s’explique évidemment par le faible taux de fécondité en Europe. En France, le président Macron s’en est ému il n’y a pas longtemps et a même déclaré avec l’une des formules dont il a le secret, qu’il fallait que la France vive son réarmement démographique. En Belgique, nous avons le même problème puisqu’avec 1,6 enfants par femme, la Belgique est sous le seuil de remplacement et pour maintenir la population actuelle, il faut 2,1 enfants par femme. Nous sommes loin du compte. Les explications de cette dénatalité sont nombreuses, du recul de l’âge moyen pour avoir un enfant, en passant par l’allongement de la durée des études des femmes, par la participation justement massive des femmes au marché du travail, jusqu’à l’inquiétude sur l’avenir de la planète et de l’utilité d’avoir des enfants dans ce monde. Et concernant les animaux de compagnie, ils sont en train de devenir visiblement des membres de la famille. La journaliste et vétérinaire française Hélène Gateau a fait un carton avec son livre dans lequel elle explique sans fard qu’elle préfère le meilleur ami de l’homme à un enfant. Ce remplacement des enfants par des animaux de compagnie suscite tout de même des interrogations… Mots-Clés : baisse, fécondité, choix, modèle social, actifs, pensionnés, sécurité sociale, génération, baby boomers, coût, pensions, soins de santé, allongement, durée de vie, temps, recours, immigration, jeunes, discours, unanimité, phénomène, rôle, chiens, petite taille, effectifs, mode de vie urbain, émotions, convictions, enquête, quotidien, Le Figaro, explosion, croquettes, gluten, convictions, malbouffe, affection, animaux de compagnie, membres, famille, politiques, nombre, affiches électorales, sincère, calcul, juges, confrères, perpétuer, traditions histoire, compte, financer, retraites, teckel. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Un ministre de La Défense européen peut-il menacer de dévoiler publiquement le nom des banques qui ne veulent pas financer l'industrie de l'armement ? C'est à cette question que répond Amid Faljaoui. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • t si nous parlions aujourd'hui des véritables maîtres du monde? Six hommes, tous Américains. Je parle d'Elon Musk (SpaceX, Tesla et de Hicks), de Jeff Bezos (Amazon), de Mark Zuckerberg (Facebook Meta), de Sergueï Brin et Larry Page (Google) et de Bill Gates (Microsoft).Le New-York Times a récemment consacré sa Une à l'un d'eux, Elon Musk, et a démontré que le patron de Tesla et SpaceX utilise son réseau social X (l'ancien Twitter) pour promouvoir ses amis politiques : le président argentin, le président indien, le président chinois, le président turc ou encore Donald Trump. Tous s'affichent avec lui et le reçoivent avec les honneurs d'un chef d'État. En contrepartie, Elon Musk obtient des faveurs comme des droits de douane plus faibles pour les importations de ces Tesla en Inde ou au Brésil. Cet article rejoint la thèse du livre ''Ces milliardaires plus forts que les États'' de Christine Kerdellant à savoir que ces six hommes sont aujourd'hui plus riches, plus rapides et plus influents que la plupart des États nations.Elon Musk possède un tiers des satellites de télécommunications en orbite autour de la Terre, lancés sans permission. Via ses satellites, il a permis aux forces ukrainiennes d'exploiter des renseignements ou encore de coordonner des frappes d'artillerie. Mais que se serait-il passé s'il avait refusé d'aider l'Ukraine ou d'aider plutôt la partie adverse, la Russie?On pourrait multiplier les mêmes interrogations avec les cinq autres multi multi milliardaires, dont Mark Zuckerberg qui, avec son réseau social Facebook rebaptisé Meta, porte une très lourde responsabilité dans la montée de l'agressivité et le populisme dans le monde. Face aux pouvoirs souvent exorbitants de ces six hommes, ceux qui pourraient les arrêter ne le veulent pas et ceux qui voudraient les arrêter ne le peuvent pas comme l'écrit Christine Kerdellant. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Des députés européens veulent reporter la date de 2035 qui interdira la vente de voitures diesel et essence sur le sol européen. Chose étonnante : l'industrie automobile qui était contre cette date ne veut plus qu'on la change. C'est étonnant mais Amid Faljaoui nous dit pourquoi. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • OpenAI, la maison mère de ChatGPT vient de lancer une amélioration de son chatbot et notamment sur le plan vocal. Et les résultats sont bluffants comme nous l'explique Amid Faljaoui directeur du magazine économique Trends Tendances --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • L’arrivée de l’extrême droite au gouvernement des Pays Bas montre la peur viscérale de certains Européens à l’égard de l’immigration. Mais ce débat qui alimente les élections européennes est un débat ringard car l’intelligence artificielle, avec l’arrivée des robots humanoïdes, pose d’autres questions bien plus importantes. Je parlais avec un homme politique important qui s’étonnait que la campagne locale électorale à Bruxelles ne démarrait pas vraiment. Mais pour les élections européennes, je me demande si elles ne vont pas vraiment démarrer maintenant. En effet, le représentant de l’extrême droite néerlandaise, Geert Wilders, a fini par trouver un accord avec d’autres partis de droite, il pourra donc former une coalition et monter au gouvernement. C’est une première pour les Pays-Bas, une première assez triste et cela va rouvrir le débat sur la montée de l’extrême droite en Europe. Aujourd’hui, que constate-t-on ? En réalité, c’est que l’Europe est confrontée indirectement, via l’Ukraine, à un ennemi externe, la Russie. Mais en réalité, les Européens, les sondages le montrent, sont inquiets par deux ennemis l’ennemi externe, la Russie, mais aussi l’ennemi interne, autrement dit le migrant qui continue à faire peur à une partie de la population. Concernant l’IA, à force de parler de ChatGPT, on en arriverait à oublier la Robolution, la contraction du mot robot et révolution. Et cette révolution, elle est en marche devant nous avec la mise au point des robots humanoïdes… Mots-Clés : géographie, européenne, rôle, Moscou, Méditerranée, question, ennemi, interne, peur, identité, externe, constat, débat, vague brune, Parlement, européen, nécessité, porte, immigration contrôlée, compenser, bébé, assurer, pérennité, modèle social, entreprises, raison, pénurie, main-d’œuvre, arbitre, IA, Dr Laurent Alexandre, spécialiste, éléphant, milieu, pièce, personne, sociétés, Silicon Valley, Chine, dextérité manuelle, être humain, QI, polytechnicien, distinction, travail, manuel, intellectuel, fonctions, majordome, conseiller, confident, médecin, précepteur, enfants, ami, amant, film, science-fiction, déclaration, Elon Musk, milliard, sang neuf, territoire, souci, important, automatiquement, marché de l’emploi, problème, politique, rythme, logiciels, hier, technologie, allure, exponentiel, avenir, dystopique, post, X, twitteur, société, Unitary Robotics, vidéo, médias, grand public, réalité. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Mais à l’inflation, au coût de la vie qui a entraîné l’indexation des primes d’assurances, et cette absence de couverture risque de nourrir les partis d’extrême droite. Personne n’aime payer sa prime d’assurance, c’est une évidence et c’est souvent considéré comme une sorte de mal nécessaire pour s’assurer contre les aléas de la vie. Mais comme la vie est tout sauf un long fleuve tranquille, on finit par payer sa prime et on libère du même coup son esprit. Sauf que, depuis que l’inflation a fait son retour en Europe, le nombre de personnes qui refusent, ou estiment qu’il n’est plus nécessaire, de s’assurer a malheureusement augmenté. C’est le constat établi par le régulateur européen des assurances au travers d’un sondage et c’est en soi une très mauvaise nouvelle. Pourquoi ? Parce que qui dit absence d’assurance, dit risque d’exclusion de la société en cas d’accident de la vie. Les élections européennes approchent à grands pas et la plupart des observateurs s’inquiètent d’une percée des partis d’extrême droite. Car une population qui ne s’assure pas, ou nettement moins que par le passé, est par définition, une population qui a donc peur de l’avenir et la peur de l’avenir et bien pousse souvent dans les bras des partis extrêmes… Mots-Clés : confrères, quotidien, économique, Les Echos, assureurs, indexer, primes, non-vie, franchises, ascenseur, haut, choix, augmentation, frais, réparation, auto, exemple, régulateur, européen, l’inflation, origine, renouvellement, essentiel, santé, habitation, énorme, intuitif, impact, politique, mission, jouer, rôle, canari, mine, prévenir, dangers, invisible, grand public, tendance, sous assurance, citoyens, fragile, raison, succomber, sirène, direct, clair, courtier, en ligne, gain de temps, confort, cliquer, impulsif, boulot, options favorables, élément, psychologique, pression, esprit, placements, conseils, agent, habitude, combattre, jeune, minorité, cotiser, arrêt, assurances-vies, erreur, Albert Einstein, intérêt, merveille, monde, France, montant, vieux, protéger, évidence, aléas, vote, sujet, campagne, électorales, discours. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Certains médias, et non des moindres d’ailleurs comme Le Monde ou le Financial Times, ont clairement vendu leur âme au diable. On parle là de ce qu’on appelle un pacte faustien. L’expression tire son origine de la littérature populaire allemande dans laquelle le héros Faust accepte de vendre son âme au diable en échange de la connaissance universelle, ce qui, bien entendu, le mènera à sa perte. Mais comme il a signé ce contrat avec son sang, il ne pourra plus changer d’avis. Trop tard. Le diable avait gagné, le mal était fait. Et je me demande, je ne suis pas le seul dans le secteur des médias à me poser la question est ce que les médias ou certains médias du moins, n’ont pas signé un contrat faustien avec OpenAI, la maison mère de ChatGPT ? Je m’explique, en simplifiant quelque peu les choses : si l’intelligence artificielle est aussi forte aujourd’hui, eh bien c’est parce que, comme le dit le docteur Laurent Alexandre, nous sommes les idiots utiles de l’intelligence artificielle. En clair, en surfant sur le web, nous laissons des tas de données numériques qui sont utilisées pour nourrir la bête, pour nourrir cette même intelligence artificielle. En d’autres mots, nous donnons en quelque sorte aux ingénieurs de l’IA la corde qui servira à nous pendre. ChatGPT se nourrit de milliards de textes, photos et vidéos disponibles gratuitement sur le web, et c’est ce qui lui permet de nous donner les réponses à nos questions. Mais voilà, après avoir asséché, si je puis dire, le web, ce qui compte aujourd’hui, ce sont les données de qualité, notamment celles liées à l’actualité. Or, qui détient ces informations, si ce n’est les médias, bien entendu. Et afin d’éviter quelques procès retentissants, la direction d’OpenAI a décidé de négocier au cas par cas des contrats de redevances avec des médias de qualité, diviser pour régner… Mots-Clés : quotidien, Le Monde, Financial Times, bible, monde, affaires, référence, espagnol, El País, associated Press, agence, presse internationale, éditeurs, journaux, cavalier, seul, encaisser, contrepartie, accès, millions, article, apprendre, journalisme, algorithmes, spécialiste, Frédéric Filloux, sceller, cercueil, information de qualité, court terme, encaisser, redevance, services, danger, moyen terme, concurrent, similaire, sites, destination, lecteurs, Elon Musk, Twitter, X, résumer, actualité, rémunérer, déteste, sacré, défi, nouveau, service, individualiser, offre, éditorial, dézinguer, affaire à suivre, feuilletons. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • A force de parler des élections européennes de juin prochain et même d’ailleurs nationales en Belgique, on en oublierait une autre nouvelle alors au moins aussi importante, si ce n’est plus, c’est qu’en juin prochain, les taux d’intérêt devraient enfin baisser en zone euro. Alors ? Pas énormément, mais ils devraient baisser. Et en soi, c’est déjà une excellente nouvelle. Cela prouve que l’inflation a suffisamment baissé, en tout cas aux yeux de la Banque centrale européenne, pour qu’elle accepte de diminuer ses taux d’intérêt directeurs. L’inflation, c’est vrai, a diminué du côté de la demande, tout simplement parce que l’effet de consommation effrénée COVID est derrière nous. Et l’inflation a également diminué du côté de l’offre en raison de la guerre en Ukraine. Nous avons trouvé d’autres fournisseurs depuis deux ans et que dure cette guerre pour justement remplacer ou compléter les exportations en provenance de là-bas. Mais l’inflation en zone euro a également diminué parce que l’effet rattrapage des salaires s’estompe au fil du temps. Dernier point, l’inflation a diminué également car si les entreprises, tous secteurs confondus, ont profité du retour de l’inflation pour retrouver ou améliorer leurs marges, cette période de rattrapage est également terminée, car la consommation patine aujourd’hui et les entreprises ont compris qu’elles ne peuvent plus augmenter leur prix de vente au-delà du raisonnable. Bref, tout est prêt pour la baisse des taux d’intérêt qui, de l’avis majoritaire en tout cas auprès des experts, devrait donc se produire d’ici quelques semaines, au mois de juin… Mots-Clés : année, nouvelle, Etats-Unis, Europe, paradoxal, américaine, 2024, 2025, débiteurs, nœud coulant, desserrer, créanciers, rente, sens, terme, placer, épargne, investissements, histoire, citoyens, ménages, entreprises. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Sommes-nous en train de passer d’une culture du divertissement à une culture de la dopamine ? La question est clairement posée par certains intellectuels dont notamment Ted Gioia qui a publié un texte devenu viral sur les réseaux sociaux ainsi que dans la lettre d’information « Snowball Report ». Amid Faljaoui nous en dit plus . --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • La question est clairement posée par certains intellectuels, dont notamment Ted Gioia qui a publié un texte devenu viral sur les réseaux sociaux. Alors, sa thèse est très simple, quand vous regardez en Bourse le classement des dix entreprises les plus puissantes au monde, la moitié d’entre elles vendent en quelque sorte de la drogue. Une drogue technologique, mais une drogue tout de même. Les jours où les dealers se cachaient pour vendre leur came appartiennent au passé. Aujourd’hui, les dealers opèrent en plein jour dans votre maison, dans votre appartement et dans toutes les sphères de notre vie privée. En effet, des sociétés comme Meta et aussi ses autres filiales que sont par exemple Instagram ou Google via par exemple sa filiale YouTube, nous refilent de la came à dose quotidienne, au vu et au su de tout le monde. Et la drogue à laquelle cet intellectuel fait allusion, c’est la dopamine, autrement dit un neurotransmetteur qui agit sur notre cerveau humain comme une croquette sur un petit chien. Et dans l’industrie culturelle, on ne parle pas de dopamine, évidemment, mais de gamification. C’est plus chic ou en français ludification. Autrement dit, notre vie est devenue un jeu et en raison de cette ludification massive de notre société, nous sommes à la recherche d’une gratification instantanée. C’est ça la dopamine, c’est ça la dépendance. Elle produit un sentiment de satisfaction immédiat, mais hélas de très courte durée. Et devinez quoi ? On en redemande encore et encore. Et c’est ce qui explique qu’aujourd’hui les jeunes et moins jeunes sont scotchés à leurs écrans car les formats courts qui s’enchaînent la queue leu leu sont faits pour nous empêcher de lever la tête. N’oubliez pas que l’esclave, par définition, a la tête courbée et les algorithmes sont donc conçus pour fabriquer cette dépendance… Mots-Clés : prime, musique, vidéo, formats courts, ultracourts, algorithmes, géants, numérique, pénaliser, formats longs, cycle, dépendance, intellectuel, totalisation, Disney, studios, cinéma, Paramount, crise, licencier, séries TV, maximum, plateau, demande, classique, chute, règne, scroll, swipe, stimuli, totalisation, marche, TikTok, réseau social, professionnel, LinkedIn, vidéos, application, boursière, américaine, Robin Hood, vogue, jeunes, investissement, ludique, danger, risques, acheter, vendre, action, musulmans, te jeûne, ramadan, auteur, livre, Dopamine Nation, médecin, formation, exemple, écrans, Anna Lembke. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Avec quelle marge doit être vendu un produit pharmaceutique grand public ? C’est la question qui se pose en ce moment autour de certains antidiabétiques comme l’Ozempic. Et la question n’est pas posée par une ONG, un syndicat ou un parti d’extrême gauche, mais bien par des scientifiques américains, britanniques et des représentants de Médecins sans frontières. Ces scientifiques ont publié une étude dans laquelle ils démontrent que le prix de revient de l'Ozempic. L’antidiabétique, star du laboratoire danois Novo Nordisk, est fabriqué avec un coût inférieur à 5 $. Sauf que son prix de vente, lui, il peut aller de 80 à 3153 $ selon les pays. Présentée comme ça, la différence de marge peut choquer. Pourquoi un produit de santé publique qui coûte un petit peu moins de 5 $ se retrouve en vente sur le marché à des prix pareils ? Alors, cette étude, publiée dans la revue scientifique JAMA, a déclenché la colère de certains politiques, et notamment aux États-Unis, pour évidemment immédiatement demander une renégociation des prix et une baisse du prix. Et bien entendu, les industriels concernés ne se laissent pas faire, leur argumentation pour justifier cette différence de prix est la suivante : calculez le prix de revient d’un médicament sur la seule base de son coût de production est une erreur, parce que pour développer un nouveau médicament, il faut compter en moyenne quinze années jusqu’à sa mise sur le marché. Et c’est effectivement le cas pour le sémaglutide, donc la molécule active de l’Ozempic… Mots-Clés : prix de revient, compte, recherche, développement, milliard, dollars, esprit, phase, finale, essais cliniques, laboratoires pharmaceutiques, faible, coûts, recherche, échecs, produit, démonstration, excès, élément, développement, labos, Peter Thiel, gourou, investisseur, emblématique, Silicon Valley, livre, référence, logique, monde, start-up, technologie, chemin, enseigner, manuels d’économie, marché, parfait, concurrence, compétition, loosers, entreprise, monopole, imposer, cynique, réalité, vision, ultralibérale, Eli Lilly, Sanofi, oligopole, coupe faim, bourse, société danoise, occurrence, fameux, montant, supérieur, PIB, richesse, national, annuel, Danemark, question, prétexte, total, liberté, fixer, terme, marge, contraire, social, efficaces, régime soviétique, gel des prix. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • La visite du président chinois en Europe montre que l’usine du monde est en train de nous inonder de produits à prix cassés. l’Europe parle bdaucoup mais n’agit pas assez pour défendre notre industrie. Difficile de passer à côté de la visite du président chinois en Europe. Et derrière les sourires des uns et des autres, derrière le protocole et derrière les accolades officielles, se cachent en réalité un véritable bras de fer entre la Chine, l’Europe, les Etats-Unis, mais aussi d’autres pays comme le Brésil, le Mexique ou encore l’Afrique du Sud. tous ces pays, sans exception sont remontés en ce moment contre la Chine pour la simple raison que la Chine inonde ces pays et en particulier l’Europe avec des produits vendus à perte. Le risque ? C’est que cette offensive chinoise risque de décimer des pans industriels entiers en Europe après la pandémie. Souvenez-vous, nos dirigeants européens nous disaient qu’il fallait absolument réindustrialiser l’Europe et notamment avec les technologies vertes, les technologies du futur. Sur le papier, la réalité, c’est que c’est la Chine qui fabrique et vend ses produits verts au monde entier. En gros, la Chine, elle fait le boulot que nous devrions faire, nous Européens, et c’est normal. Depuis sa sortie du COVID, l’économie chinoise patine… Mots-Clés : discours, croissance, interne, raison, Chinois, consommateur, citoyens, méfiants, immobilier, local, exemple, difficulté, consommer, épargne, argent, résultat, vide, consommation, interne, exportation, stocks, invendus, industriels, surcapacité, prix cassés, voitures électriques, panneaux solaires, batteries, déflation, presse, chinoise, formidable, ironie, transition énergétique, affaiblir, pouvoir d’achat, ménage, papier, lutte, armes, égal, dumping, consommateur, phase, chômage, clé, paillasson, Emmanuel Macron, Ursula von der Leyen, prix, revient, peine, foudre, propos, chancelier, allemand, Chine, désir, réalité, parts de marché, industries, cavalier seul, divisions internes, vendre, véhicules thermiques, eurodéputés, tapis rouge, constructeurs chinois, risque, scandale, Dieselgate, politique, représentants, propos, viril, enquêtes, montrer les dents, muscles, usine, narguer, impunité. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Apple est en recul en Chine, son deuxième marché mondial, mais la Bourse n’en a pas tenu compte et l’action Apple est en hausse. Est-ce grâce à l’arrivée prochaine de l’iPhone 16 qui devrait être dopé avec l’intelligence artificielle ? Les derniers chiffres de la société Apple sont éloquents et ils en disent assez long sur l’état de notre économie mondiale. D’abord, Apple, c’est vrai, a subi un recul de 4% de son chiffre d’affaires et une baisse de 2% de son bénéfice net. Mais c’est moins que prévu, et devinez quoi ? Les investisseurs ont été rassurés et le cours de l’action a grimpé. Alors, déjà ça comme information, c’est assez étonnant pour le grand public. En gros, ton bulletin de classe est mauvais, mais comme c’est moins mauvais que prévu, et bien le cours de ton action va tout de même augmenter. À l’inverse, on a vu par le passé à Wall Street des sociétés cotées afficher de bons résultats, mais comme ils étaient moins bons que prévu, et bien le cours de l’action a baissé. Si Apple a pu performer en bourse, c’est aussi parce que sa direction a annoncé parallèlement le plus grand programme de rachats d’actions de l’histoire économique américaine. On parle de racheter des actions Apple pour 110 milliards de dollars et elle a immédiatement grimpé de 6% après la clôture des marchés, donc vendredi dernier. Là c’est normal, quand une entreprise rachète ses actions, elle diminue mécaniquement le nombre d’actions en circulation, opération magique qui augmente automatiquement le bénéfice par action normale. Et comme le marketing d’Apple est l’un des meilleurs du monde, sa direction a laissé passer quelques fuites savamment orchestrées sur le futur iPhone 16, dont la sortie est prévue en septembre prochain, devrait intégrer de nombreuses fonctionnalités liées à l’intelligence artificielle… Mots-Clés : bénéfice, dope, cours, magie, cuisiniers, plats, sauce, Chinois, programme, colossal, concurrentiel, passé, firme, pomme, montée, puissance, marché, société, Huawei, concurrent critiquer, Titok, Huawei, Occident, raison, sociétés, espions, Parti communiste, interdiction, fonctionnaires, travail, smartphones, étrangers, tablette, affiche, marge, brute, entreprise, monde, services, téléchargement, musiques, films, séries, stockage, données, paiements, numériques, volet, services, anodin, chiffre d’affaires, milliards, dollars, trimestre, sésame, grimper, réussir, ensorceler, bourse, New-York. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • La taxe sur les riches était le thème principal de ce 1er mai. Mais qu'est-ce qu'elle signifie en réalité ? C'est ce que nous explique Amid Faljaoui. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • La presse a t-elle perdu la guerre de l'attention ? C'est la question à laquelle répond Amid Faljaoui. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Airbnb est très critiquée par les maires des grandes villes, que ce soit à Bruxelles ou même à Paris, notamment pour mettre une pression sur les loyers des habitations privées ou d’empêcher donc les habitants d’accéder à un logement en centre-ville avec un loyer décent. Et pourtant, malgré toutes ces critiques récurrentes, malgré de nouvelles réglementations contraignantes, Airbnb affiche des résultats financiers, historiques. Et cette entreprise est aujourd’hui courtisée car sans Airbnb il serait impossible d’héberger les touristes qui seront là pour assister aux JO de Paris. S’il y a bien une entreprise qui est vivement critiquée dans pratiquement toutes les villes du monde, c’est bien Airbnb. Le roi de la location de courte durée. La mairie de Paris, qui elle aussi est habituellement assez hostile à l’égard d’Airbnb, compte sur cette entreprise on line pour que les Jeux Olympiques soient un succès. Sursaut d’affection tardif ? C’est juste un calcul économique. Environ 15 millions de visiteurs sont attendus durant les Jeux olympiques, dont plus de 2 millions auront donc besoin d’un logement. Et il ne faut pas être expert en calcul pour comprendre qu’il n’y a pas assez d’hôtels pour héberger ces 2 millions de personnes. Bien entendu, on n’allait pas construire de nouveaux hôtels juste pour un événement mondial qui dure quelques semaines. Raison pour laquelle Airbnb est aujourd’hui le sponsor officiel des JO de Paris, opportunité extraordinaire pour cette société de s’acheter une légitimité auprès des maires des grandes villes du monde entier. Et puis, comme toujours dans ces cas-là, ce genre de société fait du lobbying avec l’aide d’une société de consulting. Et ici en l’occurrence, c’est le consultant Deloitte qui a calculé que chaque touriste restera en moyenne six nuitées en Île de France. Et donc au total, les séjours d’Airbnb pourraient donc avoir 1 milliard d’euros d’impact économique pour la France… Mots-Clés : changement, attitude, firme, Amsterdam, New York, Barcelone, Los Angeles, reproche, paradoxe, virus, planète, tourisme, survie, réalité, modèle économique, géniale, monétise, catégorie, actifs, biens immobiliers, Monsieur, Madame, propriétaire, entretenir, concurrents, hôteliers, frais, investir, acquisition, clients, moteurs de recherche, médias sociaux, Efinal, trafic, site web, COVID, raison, monétise, rembourser, crédits hypothécaires, coûts d’entretien, consultant, amortir, sacrée, revanche, monde politique. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Pourquoi en Belgique ou en France, par exemple, nos hommes et nos femmes politiques devraient faire attention à ce qui se passe sur le plan politique aux Etats-Unis ? Pour la simple raison que tout ce qui se passe aux Etats-Unis, finit par arriver un jour ou l’autre en Europe. Et comme nous sommes à la veille d’élections importantes en juin prochain, ces politiques européens devraient se dire qu’aujourd’hui les bons chiffres économiques, quand il y en a, ne sont plus une garantie pour être élu ou réélu. Aux Etats-Unis, les élections présidentielles de novembre prochain seront en fait les élections de l’ingratitude. Il y a encore peu de temps, les prévisionnistes avaient remarqué qu’une des lois non dite de la politique américaine, c’est que la situation économique, bonne ou mauvaise, est attribuée à ceux qui sont au pouvoir au moment où un phénomène négatif ou positif est ressenti par la population, même s’ils n’en sont pas responsables. Mais cette loi ne semble plus fonctionner aujourd’hui. Les Etats-Unis ont un problème de luxe aujourd’hui et que nous n’avons d’ailleurs hélas pas en Europe. Leur économie est en surchauffe. Le chômage est à un niveau historiquement bas, les usines européennes et mondiales viennent de s’y installer à tour de bras car l’énergie est très bon marché. La croissance américaine est trois fois supérieure à celle de la zone euro. Les marchés boursiers américains sont à des niveaux stratosphériques malgré les récents coups de froid. Mais voilà, il n’y a rien à faire. Les sondages sont plutôt en faveur de Donald Trump. En clair, la confiance des ménages, des citoyens, n’est plus en lien avec la croissance économique. Alors la question, c’est pourquoi cette ingratitude à l’égard du président sortant Joe Biden ? Mots-Clés : lecteurs, Bill Clinton, journalistes, remporter, Maison-Blanche, George Bush, père, economy, stupid, Phrase, compte. Bilan, médiocre, explosion, crise, subprimes, immobilier, crise financière, banquiers, manque, imagination, époque, commercialiser, crédits hypothécaires, insolvables, relance, prédécesseur, Mauvais timing, réponse, réseaux d’information, réseaux sociaux, chaînes d’information, continu, partisan, CNews, résultat, population américaine, danger, algorithmes, bulles cognitives, électeurs, démocrates, républicains, camp, rationnel, ressenti, hystérie, médias, partisans, fanatiques, intelligence artificielle, divorce, réalité images, vidéos, professionnel, nucléaire, enfant, dévaloriser, diplôme, universitaire, biologique, précipice. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Guerre Iran-Israel-Palestine, pourquoi les pétromonarchies arabes ne réagissent-elles pas ? La cause palestinienne passe, pour les pays arabes, après leurs intérêts économiques et les intérêts des pétromonarchies sont effectivement clairement économiques. Alors si vous vous posez la question pourquoi ces pays, ces pétromonarchies ne sont pas solidaires dans les faits avec les Palestiniens ? C’est parce que notamment ils redoutent plus que tout une escalade du conflit dans l’ensemble de la région. Avec le recul, ce qui frappe dans les attaques réciproques entre Israël et l’Iran, c’est que l’escalade militaire, crainte par les uns et les autres, n’a pas eu lieu. Les experts du Moyen-Orient vous diront que c’était d’ailleurs prévisible. L’Iran, par exemple, n’a pas intérêt à une escalade, car il fait partie de ce qu’on appelle les pays du seuil, pays au seuil de posséder l’arme nucléaire. Et malgré la sympathie que le régime iranien a clairement à l’égard de la cause palestinienne, il ne mettra pas en danger sa propre capacité à posséder l’arme nucléaire en affrontant réellement et pas Israël. Côté économique, pour la plupart des pays arabes emploient une main-d’œuvre étrangère originaire souvent par exemple, du Pakistan ou du Bangladesh. Et c’est vrai qu’en cas de conflit sur leur propre sol, ces ouvriers du bâtiment ou de la restauration prendraient peur et quitteraient l’Arabie saoudite ou les Émirats arabes unis. Or, ces personnes ne peuvent pas être remplacées vu que les autochtones de ces pays ne travaillent pas dans ces secteurs, mais plutôt dans l’administration. Et en plus, en termes de nombre, ils ne pourraient pas remplacer ces immigrés. Et donc un exil massif de ces travailleurs étrangers ferait tanguer l’économie de pays comme l’Arabie saoudite par exemple… Mots-Clés : inventeur, jeu d’échecs, Corée du Nord, Pakistan, assurance-vie, régime, force, pays arabes, Jordanie, missiles, dirigeant, jeu, maximum, manne pétrolière, gazière, pétrole, gaz, plans stratégiques, or noir, horizon, Arabie saoudite, centre, financier, sportif, touristique, autorités, saoudiennes, valeur, patrimoine, historique, nabatéen, D’al Ula, attraction, majeure, Dubaï, échos, local, cité-Etat, inondations, impact, volonté, escalade, Etat hébreu, question, calme, conflit, Hamas, reconversion, marche, absolu, bruit, bottes, investissement, général, de Gaulle, intérêts, actualité. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • La pollution est partout aujourd’hui, y compris dans des endroits que l’on ne soupçonnerait pas. Prenez par exemple le cas de LinkedIn, le réseau social professionnel. Avez-vous remarqué que des gens que vous connaissez et qui sont généralement plutôt fâchés avec la langue française rédigent tout d’un coup des posts bien écrits et bien balancés ? Bien entendu, on voit immédiatement que la personne en question a utilisé ChatGPT ou une autre intelligence artificielle. A priori, si ChatGPT permet à tout le monde de mieux s’exprimer à l’écrit, pourquoi pas ? Eh bien non, très souvent tous ces textes finissent par se ressembler, sans âme ou sans aucune âme personnelle. Et le style finit par se reconnaître assez facilement. Alors à la limite, vous vous dites : et alors ? C’est grave ? Et le web est de plus en plus pollué par ce genre d’écrits. Comme tout le monde peut écrire plus facilement, plus personne ne se gêne. Sauf que le contenu reste hélas bien souvent très indigent. Et le drame, c’est que ceux et celles qui ont vraiment quelque chose d’intéressant à dire vont donc être noyés par les autres qui se contentent de débiter des banalités Et puis l’autre drame, c’est que les moteurs de recherche de type Google ont fait le choix, pour le moment en tout cas, de ne pas faire de différence entre les contenus générés par les humains et les contenus générés par l’intelligence artificielle… Mots-Clés : Umberto Eco, écrivain, italien, époque, âneries, bar, café, banalités, voisins, mégaphone, intelligence artificielle, explication, officiel, qualité, dirigeant, algorithme, usage, abus, outils, Benoît Raphaël, observateur, monde, journaliste, information, IA, info, médias, belge, presse papier, quotidiens, campagne, sensibilisation, lecteurs, élections, slogan, presse quotidienne, essentiel, métier, crise, COVID, danger, institut, Reuters, relation, actualité, Internet, volontaire, smartphone, échapper, négatif, centres d’intérêt, chantiers, personnaliser, lecteurs, source, contenu, forme, ton, demande, public. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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