Episodi
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Le 25 avril 2025, Mike Borowski dévoilait comment Cyril Hanouna, faux candidat anti-système, devient l’arme ultime du pouvoir globaliste pour saboter la présidentielle de 2027, sur GPTV.
Une fabrication du système pour neutraliser la colère populaire
Cyril Hanouna n’est pas un outsider : il est un produit du système médiatique, conçu pour canaliser une colère populaire devenue incontrôlable. Son profil plaît aux élites : omniprésent, populaire, dépolitisé. Derrière le divertissement, son émission a servi à désactiver l’esprit critique et à formater une génération à la passivité.
Son retrait de la télévision, présenté comme un choix personnel, prépare une mutation politique. Hanouna ne renonce pas au spectacle, il le déplace. Sa mission reste inchangée : contrôler l’opinion sous une façade populiste. Il devient un outil de diversion, fabriqué pour désamorcer toute alternative authentique.
Un pion pour diviser et manipuler le vote contestataire
Face à la montée du Rassemblement National et à l’effondrement des partis classiques, Hanouna arrive comme un leurre. Son rôle : aspirer le vote populaire et neutraliser toute opposition réelle. Sans ligne politique, il adapte son discours au public. Cette vacuité le rend idéal pour les stratèges du pouvoir : un candidat sans pensée, donc sans danger.
Sa proximité avec la fille de Brigitte Macron inscrit Hanouna dans le cercle du pouvoir qu’il prétend défier. Il n’est pas un rebelle, mais un relais. Son rôle n’est pas de gagner contre le système, mais de faire perdre le peuple.
Un leurre démocratique au service du pouvoir globaliste
La candidature Hanouna transforme la présidentielle en émission de téléréalité. Les Français pourront voter, mais seulement pour des marionnettes. La démocratie devient un décor vide. Hanouna n’apporte ni projet, ni vision, ni espoir. Il mime la contestation, mais ne dénonce jamais les vrais responsables.
Il joue le rôle qui lui a été confié : détourner la colère, désamorcer l’éveil populaire. En se faisant passer pour « un gars du peuple », il perpétue les mécanismes de contrôle. C’est une opération de sabotage démocratique, orchestrée depuis les coulisses du pouvoir profond.
Il est urgent de dénoncer cette mascarade. Hanouna ne défie pas le système : il en est l’ultime défense. Refuser sa candidature, c’est refuser que la politique devienne un simple prolongement du divertissement.
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Le 25 avril 20025, Marc Gabriel Draghi et Youssef Hindi étaient les invités de La Matinale de Géopolitique Profonde, animée par Raphaël Besliu !
Marc Gabriel Draghi, juriste spécialisé en histoire du droit, est l’auteur de plusieurs ouvrages dénonçant les dérives du capitalisme mondialiste, dont Le règne des marchands du temple et La Grande Narration.
Youssef Hindi, écrivain et historien de l’eschatologie messianique, explore les origines idéologiques du chaos mondial. Il vient de co-publier Israël et la guerre mondiale des religions.
Zelensky piétine la diplomatie, la Russie riposte immédiatement
La tentative de négociation russo-américaine a échoué, sabotée par Zelensky. Ce dernier a exigé un cessez-le-feu sans condition, provoquant l’ire de Trump. En réaction, Moscou a frappé Kiev pour rappeler son refus d’un compromis imposé. Zelensky, déconnecté du terrain et désavoué, isole l’Ukraine dans une impasse diplomatique.
Trump, tout en rejetant Poutine, menace de retirer les États-Unis du processus. Washington ne veut plus financer une guerre perdue. L’Ukraine se retrouve entre une Russie ferme et une Amérique lassée. Son entêtement ne fait qu’aggraver sa chute.
L’Europe se ridiculise dans une guerre qu’elle ne peut ni gagner ni comprendre
Macron pousse des provocations contre Poutine, tout en prônant une « force de réassurance ». L’Ukraine a perdu, mais l’Europe s’obstine dans un délire idéologique. Sa coalition militaire reste fictive : aucun pays n’a les moyens d’affronter la Russie.
Cette posture nourrit la propagande russe, tout en exposant les Ukrainiens à des représailles meurtrières. Zelensky, lui, réprime les voix dissidentes et impose une vision manichéenne du conflit. L’Europe refuse de voir son échec. La paix est écartée au profit d’une fuite en avant stratégique.
Gaza en flammes, Netanyahou isolé, l’Iran ciblé
Pendant que l’Occident maintient une guerre inutile en Ukraine, Gaza est ravagée. Netanyahou mène une guerre d’extermination contre les Palestiniens : bombardements, blocus total, destruction des infrastructures. Ce n’est plus un conflit, c’est un massacre.
Mais l’opinion mondiale se retourne. Les manifestations pro-palestiniennes se multiplient, même en Israël où des soldats refusent d’obéir. Netanyahou, affaibli par ses scandales et isolé, s’enfonce dans la violence pour garder le pouvoir. Il désigne désormais l’Iran comme ennemi prioritaire, cherchant à élargir le conflit.
Cette stratégie du bouc émissaire détourne l’attention, mais l’usure est palpable. L’alliance avec Washington persiste, malgré la gêne croissante. Gaza saigne, Israël s’enlise, et l’escalade régionale menace d’embraser tout le Moyen-Orient.
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Le 24 avril 2025, Ludovic Malot était l’invité de Mike Borowski, pour La Grande Émission de Géopolitique Profonde !
Ludovic Malot, spécialiste en théologie, est connu pour ses analyses des bouleversements politiques et spirituels de notre époque. Auteur de plusieurs essais, il met en lumière les liens occultes entre les élites mondialistes et la dégradation de notre civilisation.
Christian Cotten psychosociologue français, s’est engagé en politique en créant le parti « Politique de Vie ». Connu pour ses prises de position atypiques, il a notamment accusé George W. Bush de crimes contre l’humanité. En décembre 2024, il dépose une plainte contre Brigitte Macron pour usurpation d’identité.
Laurence Waki, philosophe et essayiste française engagée dans la critique des normes sociales et des dérives autoritaires, est connue pour ses tribunes dans France-Soir, où elle dénonce la soumission croissante des citoyens aux injonctions étatiques et la perte d’autonomie individuelle.
L’école comme instrument de désintégration familiale et de rééducation idéologique
Loin d’être un lieu neutre de transmission du savoir, l’école républicaine devient l’outil d’un projet politique visant à détruire la famille traditionnelle, notamment catholique. Inspirée par une matrice maçonnique, l’instruction obligatoire a pour but de soustraire l’enfant à l’influence parentale et spirituelle pour le placer sous contrôle idéologique de l’État.
Les réformes successives ont vidé l’école de son exigence intellectuelle : discipline bannie, autorité délégitimée, savoir remplacé par le divertissement. L’école forme désormais des individus déconnectés, modelés pour intégrer les normes du nouvel ordre éducatif.
L’enseignement moral et civique, désormais imprégné d’idéologie égalitariste, devient un vecteur de propagande antireligieuse et matérialiste.
La mixité scolaire, cheval de Troie de l’uniformisation des genres
La mixité n’a pas amélioré l’éducation : elle a imposé une uniformisation mentale. En niant les différences naturelles entre filles et garçons, on fragilise les identités et on sabote les dynamiques d’apprentissage.
Les garçons, souvent en difficulté, sont médicalisés et marginalisés. Les filles, elles, sont orientées vers des rôles de soin, éloignées des sciences. Ce résultat n’est pas une erreur, mais l’objectif d’une stratégie d’effacement des polarités sexuelles.
Cette confusion favorise l’idéologie du genre : un être neutre, interchangeable, devient la norme recherchée. Le garçon viril et la fille féminine deviennent des déviants. L’Éducation nationale, les ONG subventionnées et les médias accompagnent cette propagande.
Le système bancaire verrouille la population dans une prison financière
Les banques, aux mains des grandes institutions transnationales, jouent un rôle central dans le contrôle social. Gel des avoirs, traçabilité, restrictions : le client est dissuadé de toute contestation.
La disparition programmée du cash renforce ce contrôle. Le liquide, dernier rempart de liberté financière, est attaqué au nom de la modernité. Une fois aboli, chaque transaction devient traçable, chaque comportement monétaire contrôlable.
L’individu qui cherche à gérer librement son épargne devient une menace. Le système bancaire devient un outil politique, qui surveille et contraint.
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Le 24 avril 2025, Mike Borowski s’est immergé dans l’appel citoyen lancé par Francis Lalanne le 20 avril, un événement ignoré des grands médias. À Paris, devant l’Hôtel de Ville, il a capté une parole brute, révoltée, lucide : celle d’un peuple qui refuse de se taire, sur GPTV Investigation.
Rassemblement citoyen à Paris : « La République n’est pas une démocratie »
Plusieurs centaines de citoyens ont répondu à l’appel. Les discours sont clairs : « La République n’est pas une démocratie. Elle devient une oligarchie monarchique. » La critique est frontale. Emmanuel Macron est accusé de trahison, de crimes graves, de vouloir entraîner la France dans une guerre injustifiée : « Il tente d’emmener la France vers un conflit inutile contre le peuple russe, qui est un peuple frère. »
Une exigence claire : paix et destitution
Deux mots d’ordre unissent les voix : paix et destitution. Les manifestants dénoncent la stratégie gouvernementale : habituer les Français à l’idée de guerre, par la propagande et l’angoisse. Le sentiment général est d’une opposition politique absente, complice ou impuissante. « On n’a que des marionnettes dans cette grande baraque. »
Une guerre pour le profit, pas pour le peuple
La guerre est perçue comme un prétexte : « Ils veulent un motif pour envoyer de l’argent à BlackRock et protéger leur système financier. » Une manifestante affirme : « Non, les Russes ne veulent pas nous envahir. » La vérité est systématiquement travestie. Pour les participants, tout est orchestré pour désinformer, pour détourner l’attention et maintenir le peuple dans la peur.
Cette stratégie détériore l’image de la France : « Un pays perçu comme instable, dirigé par des gens méprisables, fait fuir les investisseurs. »
La rue comme dernier recours
Sur place, chacun agit : distribution de tracts, débats, captation vidéo. Une volonté commune : résister, réveiller les consciences. « Il faut être actif, écrire, discuter, informer. » Une femme résume : « Notre boulot, c’est le grignotage, parler à nos voisins, semer des graines. »
Ce rejet du pouvoir s’accompagne d’un appel à l’unité populaire : « Le peuple pour le peuple. » Et une vérité revient sans cesse : sans paix, rien n’est possible. « Il faut la paix pour construire, vivre, espérer. Pour nos enfants, pour nos vieux, pour notre avenir. »
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Le 24 avril 2025, Mike Borowski dévoilait comment Donald Trump a brisé l’agenda du WEF, précipité la chute de Klaus Schwab et déclenché une révolte mondiale contre l’élite technocratique, sur GPTV !
Trump fracture le consensus mondialiste
Trump s’est imposé comme le symbole d’un patriotisme souverainiste face au globalisme. Contrairement aux dirigeants alignés sur Davos, il a recentré la politique sur la nation, la puissance étatique et le refus des injonctions transnationales. Il n’a pas seulement contesté le système, il l’a exposé, puis méthodiquement démantelé.
Pour Yuval Noah Harari, intellectuel du WEF, Trump incarne la vision d’un monde fragmenté de « forteresses rivales ». Mais ce que Harari dénonce, des millions de citoyens l’acclament : le retour du politique face à l’utopie technocratique. Le slogan Make America Great Again a relancé la souveraineté des peuples et l’effondrement du consensus mondialiste.
Le WEF vacille sous la pression souverainiste
Le départ de Schwab marque plus qu’une transition. Il symbolise la défaite d’un projet élitiste. Le WEF, accusé de collusion avec les multinationales, ne parvient plus à imposer ses agendas numériques et climatiques. La désaffection est généralisée : dirigeants absents, sessions désertées, scandales internes.
Ce désintérêt n’est pas anodin. Les peuples ne veulent plus d’un monde piloté par des non-élus, soumis à des algorithmes et des fondations privées. Le Forum, autrefois maître des narratifs, devient un symbole de déconnexion et de mépris social. Le retour du politique prend le relais, porté par patriotes, dissidents, et nouvelles forces souverainistes.
Le réveil mondial des peuples souverains
Le mouvement lancé par Trump dépasse les frontières américaines. Partout, les citoyens rejettent l’uniformisation culturelle, les traités opaques, la dictature sanitaire. Les soulèvements populaires, les refus de l’agenda technocratique, traduisent une dynamique de fond : celle de peuples qui exigent leur souveraineté.
Le trumpisme n’est pas un repli, mais une affirmation de l’identité, du pouvoir local et du bon sens. Ce réveil mondial s’affranchit des GAFAM, des ONG subventionnées, des banques centrales hors contrôle démocratique. Il est porté par une nouvelle génération de leaders qui refusent la servitude numérique et le contrôle idéologique.
Face à cette révolution, les élites globalistes vacillent. Leur logiciel ne prend plus. Les peuples veulent des responsables élus, des frontières, de la transparence. Ce qu’on appelait populisme devient norme politique. Le choc est total, profond, irréversible.
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Le 24 avril 2025, Florian Philippot, Oskar Freysinger et Arnaud Develay étaient les invités de La Matinale de Géopolitique Profonde, animée par Raphaël Besliu, !
Florian Philippot, tête de liste des Patriotes pour les élections européennes de 2024, est un acteur politique connu pour son engagement en faveur de la souveraineté nationale. Ancien eurodéputé, il a fondé son parti après avoir quitté le Front National. Sa campagne pour les européennes se concentre sur la promotion du Frexit, l’idée d’une sortie de la France de l’Union européenne, qu’il propose de réaliser par référendum.
Oskar Freysinger est un homme politique suisse, ancien vice-président de l’UDC (Union Démocratique du Centre) et ex-élu au parlement suisse. Il a également exercé la fonction de Secrétaire d’État. Aujourd’hui, il se consacre à l’écriture, la traduction et partage ses analyses en tant que chroniqueur. Son dernier ouvrage est Animalia, aux éditions Serena.
Arnaud Develay est juriste et analyste géopolitique. Il est également auteur de l’ouvrage Foreign Entanglements: Ukraine, Biden & the Fractured American Political Consensus. Fort de ses deux ans et demi passés en Syrie, il livre une analyse sans concession sur la chute du régime de Bachar Al-Assad, les forces qui ont précipité cet effondrement et ses conséquences pour le Moyen-Orient.
L’éclatement de l’unité occidentale
La réunion de Londres, censée poser les bases d’un compromis russo-ukrainien, a mis en lumière la fracture entre Washington et l’Europe. Le plan de paix américain impose à Kiev des concessions jugées non négociables. Marco Rubio, en refusant d’y participer, incarne la ligne dure : c’est à prendre ou à laisser.
Zelensky se retrouve isolé. L’Europe, désunie, tergiverse. Les États-Unis actent leur retrait stratégique, préférant recentrer leurs efforts vers l’Asie. L’Europe, reléguée au second plan, hérite d’un conflit qu’elle ne maîtrise pas. La Russie, elle, capitalise sur cette division pour négocier en position de force. Le mythe de l’unité occidentale s’effondre.
La France au bord de la rupture politique
En France, la tension monte. La condamnation de Marine Le Pen s’inscrit dans une stratégie d’élimination des opposants. Le pouvoir verrouille le jeu démocratique. Macron, impopulaire, gouverne par l’austérité et la répression. Coupes dans les services publics, pression fiscale, surveillance renforcée : la démocratie s’étiole.
Une possible dissolution, évoquée par Bloomberg, alimente la thèse d’un chaos contrôlé. Le but : fragmenter l’opposition, reconduire un pouvoir centralisé, et maintenir l’état d’exception. La République devient une façade. L’autorité réelle se concentre entre les mains d’un exécutif de plus en plus autoritaire.
La fronde antisioniste secoue l’Amérique
Aux États-Unis, des figures comme Tucker Carlson, Joe Rogan et Candace Owens dénoncent l’influence israélienne sur la politique américaine. L’AIPAC, le Mossad, le rôle d’Israël dans les affaires sensibles : ces sujets, jadis tabous, émergent dans le débat public.
La base conservatrice accuse Trump d’ambiguïté vis-à-vis de Tel-Aviv. L’union sacrée pro-israélienne se fissure. En Israël, Netanyahou, contesté, durcit sa ligne. Son isolement diplomatique grandit. Le lien entre Washington et Tel-Aviv vacille. Une brèche s’ouvre dans l’ordre géopolitique occidental. Et elle ne se refermera pas.
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Le 23 avril 2025, Corinne Lalo, Marc Daoud et Laurence Waki étaient les invités de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !
Corinne Lalo, journaliste et grand reporter spécialisée en santé depuis trente ans, a couvert des affaires majeures comme le scandale du sang contaminé, le nuage de Tchernobyl et les controverses vaccinales. Coauteure de Le Livre noir du médicament et Se soigner sans médicaments de A à Z, elle éclaire les dangers des produits pharmaceutiques et explore des alternatives.
Son ouvrage Les perturbateurs endocriniens : Tout ce qu’on ne vous dit pas, réédité aux Éditions Le Cherche Midi, révèle l’impact de ces substances chimiques sur notre organisme et notre environnement.Marc Daoud est le directeur de Nexus, un bimestriel traitant de sujets tels que la médecine non conventionnelle, l’écologie et de théories, révélations et innovations dérangeantes.
Laurence Waki, philosophe et essayiste française engagée dans la critique des normes sociales et des dérives autoritaires. Elle est connue pour ses tribunes dans France-Soir, où elle dénonce la soumission croissante des citoyens aux injonctions étatiques et la perte d’autonomie individuelle.
Un scénario global minutieusement orchestré
La crise sanitaire de 2020 s’inscrit dans un projet global longuement préparé. Dès les années 2010, des simulations comme Event 201 conditionnent dirigeants et opinion à accepter l’état d’urgence. Wuhan n’a été que l’élément déclencheur d’une opération psychologique mondiale : images anxiogènes, médias alignés, données hors contexte.
L’OMS, financée par des intérêts privés, a instauré l’urgence sanitaire sur des tests PCR contestés. Le chaos sanitaire a servi à légitimer couvre-feux, censure, traçage numérique. Cette crise n’a pas été subie, mais dirigée, pour imposer un agenda de transformation autoritaire.
Vaccin ARN : la collusion entre Big Pharma, OMS et médecins
La gestion de la pandémie a exclu tout traitement abordable. L’hydroxychloroquine et l’ivermectine ont été discréditées. Seule l’injection expérimentale à ARN a été promue. Derrière cette stratégie : Pfizer, Moderna et autres, soutenus par l’OMS, la FDA, l’UE.
Les contrats de vaccins ont été signés dans l’opacité, avec clauses de non-responsabilité. Une partie du corps médical a servi de relais, grassement rémunérée. Les dissidents ont été radiés, diffamés, exclus. Le Conseil de l’Ordre a protégé les prescripteurs alignés et persécuté les soignants critiques. Le mensonge vaccinal s’est imposé comme vérité scientifique.
Effets secondaires vaccin ARN : entre surmortalité et contrôle social
L’ARN messager a modifié le fonctionnement cellulaire. Des effets secondaires massifs sont signalés dès les premières campagnes : myocardites, AVC, fausses couches, troubles menstruels, cancers fulgurants, maladies auto-immunes. Les autorités ont étouffé les signaux d’alerte. Mais les chiffres de 2021 et 2022 parlent : surmortalité dans les pays très vaccinés, chute des naissances, effondrement immunitaire.
Le passe sanitaire a ouvert la voie à un contrôle numérique global. Cette crise a été le prétexte d’une bascule biopolitique : identité numérique, surveillance, monnaie programmable. L’injection n’a pas servi la santé publique, elle a préparé un modèle de société autoritaire.
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Le 23 avril 2025, Mike Borowski révélait comment Peter Brabeck-Letmathe, ancien PDG de Nestlé, prépare la prise totale du pouvoir des multinationales au sein du WEF, sur GPTV !
Le règne de Nestlé sous Brabeck-Letmathe : marchandisation de l’eau et pratiques prédatrices
À la tête de Nestlé durant près de vingt ans, Peter Brabeck-Letmathe a défendu une vision brutale : l’eau n’est pas un droit humain, mais une marchandise. Ce principe s’est traduit sur le terrain : pompage intensif de nappes phréatiques en Californie, au Pakistan ou au Nigeria, privant les populations locales d’eau potable pour vendre des bouteilles à prix fort en Occident.
Dans le Sud global, Nestlé a promu le lait en poudre pour bébés dans des zones sans eau potable, provoquant des drames sanitaires. Sous Brabeck, l’entreprise a aussi été pointée comme l’un des plus grands pollueurs plastiques au monde. Malgré un discours sur la “responsabilité sociale”, la stratégie reste la même : maximiser les profits en exploitant les ressources vitales et en sacrifiant l’environnement.
Mainmise sur le travail : répression syndicale et exploitation infantile
La gouvernance Brabeck, c’est aussi la répression des syndicats. En Amérique latine, Afrique et Asie, des employés dénonçant leurs conditions ont été licenciés, menacés, parfois assassinés, comme à Medellín. Une culture de l’intimidation au travail, appuyée par une sous-traitance massive qui dédouane Nestlé des abus.
Le scandale du cacao en Afrique de l’Ouest en est l’exemple : enfants de moins de 12 ans employés dans des conditions dangereuses pour produire du chocolat “premium”. Cette brutalité sociale est structurelle. Brabeck incarne un capitalisme disciplinaire, où l’humain est remplaçable et la rentabilité prime sur tout.
Un Forum économique mondial sous contrôle des multinationales
Le remplacement de Klaus Schwab par Brabeck-Letmathe à la tête du WEF marque un tournant : les multinationales prennent officiellement le contrôle. Schwab entretenait l’illusion d’un équilibre entre États, ONG et entreprises ; Brabeck revendique la domination économique.
Sous sa direction, le WEF poussera la privatisation des biens communs, la financiarisation de l’écologie, et la promotion d’une “transition” verte rentable pour les grandes firmes. Derrière les discours climatiques, les pollueurs historiques continueront d’exploiter le Sud global tout en touchant des subventions.
Avec Brabeck-Letmathe, le WEF devient le directoire assumé d’un capitalisme néolibéral, déconnecté des peuples et des urgences sociales. La gouvernance mondiale se réduit à un outil au service des lobbies. C’est la fin de toute prétention à l’inclusivité ou à la justice globale.
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Le 23 avril 2025, Finn Andreen et Laurent Michelon étaient les invités de La Matinale, animée par Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde !
Laurent Michelon est un entrepreneur français en Chine qui partage son temps entre Hong Kong et Pékin. Il est établi dans la région depuis plus de 20 ans, où il a travaillé dans la diplomatie culturelle française et pour plusieurs groupes de communication internationaux. Il est l’auteur du livre « Comprendre la relation Chine-Occident ».
Finn Andreen est un entrepreneur et auteur suédois installé en France, spécialiste des dynamiques géopolitiques et économiques mondiales. Il intervient régulièrement dans les médias pour décrypter les rapports de force internationaux.
La Russie impose sa loi sur le champ de bataille et dans les négociations
Sur le front ukrainien, Moscou mène désormais la danse. Grâce à une stratégie militaire consolidée, la Russie domine l’est et le sud du pays. Face à une armée ukrainienne à bout de souffle, le Kremlin fixe ses conditions : reconnaissance de la Crimée, neutralité de l’Ukraine, renoncement à l’OTAN. Ces exigences sont devenues des prérequis.
Kiev appelle désormais à des négociations directes, signe de faiblesse. Moscou, elle, joue la montre, maîtrisant à la fois le terrain et le tempo diplomatique. Chaque jour affaiblit un peu plus l’Ukraine et divise les capitales européennes. La stratégie russe est claire : obtenir par les armes ce qui n’a pu être signé.
L’administration Trump accélère pour tourner la page ukrainienne
Trump veut solder le conflit ukrainien pour concentrer les forces américaines sur la Chine. Steve Witkoff, son envoyé spécial, pousse à un accord rapide, quitte à adopter des positions proches de Moscou. Zelensky, isolé, parle de trahison, mais perd en crédibilité. Les États-Unis, de plus en plus détachés, envisagent de suspendre l’aide militaire si Kiev refuse un compromis.
Ce tournant marque une rupture : l’Ukraine devient secondaire dans une guerre froide sino-américaine renaissante. Les États-Unis se désengagent, l’Europe se retrouve sans appui. L’ordre atlantiste vacille.
L’Europe, entre arrogance stratégique et impuissance diplomatique
Malgré ses discours martiaux, l’Europe ne parvient pas à peser dans le conflit. France, Royaume-Uni et pays baltes prônent l’affrontement avec Moscou, mais manquent de moyens et de cohésion. Les “coalitions volontaires” sont symboliques, pas stratégiques.
L’Union européenne est divisée. Berlin refuse la confrontation directe, Rome doute de la stratégie à long terme, Paris affiche des ambitions sans force réelle. Le manque de leadership et de vision affaiblit l’UE sur la scène mondiale.
En refusant d’admettre l’évolution du rapport de force, l’Europe s’isole. La Russie domine le terrain, les États-Unis tournent la page, l’Ukraine s’épuise. Prolonger artificiellement ce conflit mènerait à un effondrement du front ukrainien. Le dogmatisme européen pourrait précipiter l’échec total de la stratégie occidentale.
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Le 2 avril 2025, Maurice Signolet, Serge Federbusch et Franck Layre-Cassou étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.
Maurice Signolet, ancien commissaire divisionnaire français, est connu pour ses analyses sur les questions de sécurité publique. Il est l’auteur de l’ouvrage La police ne peut plus rien pour vous, publié aux éditions Eyrolles.
Serge Federbusch, essayiste et homme politique connu pour ses positions tranchées sur la politique nationale et son engagement contre le déclin de Paris est le fondateur du mouvement Aimer Paris, et critique des élites politiques et des dysfonctionnements de la gestion publique.
Franck Layré-Cassou est un personnage public aux multiples facettes. Passionné d’histoire, il est également reconnu comme un fervent napoléonien, ayant publié des ouvrages sur l’Empereur et son influence persistante dans notre quotidien. Sa carrière politique l’a vu candidat sous la bannière de Reconquête! dans la 11ème circonscription de Paris et est aujourd’hui militant au sein du Rassemblement National.
La France bascule dans le narco-pouvoir
La France a franchi un seuil : le trafic de drogue façonne désormais le pouvoir. Des cités urbaines aux villages ruraux, le narco-business s’impose. Ce phénomène n’est plus un échec de l’État, mais le résultat d’un choix politique : laisser se répandre la violence pour transformer la société selon les préceptes du Great Reset.
Les élites vivent protégées, pendant que la population subit un chaos croissant. L’insécurité devient un outil de gouvernance.
Le narco-État français est une réalité
Le trafic n’est plus cantonné aux quartiers sensibles. Il s’est étendu aux lycées, campagnes, centres commerciaux. Ce maillage répond à une logique : contrôler par la violence économique.
Derrière les guetteurs se cache une industrie parallèle devenue centrale. L’État ne combat plus ces réseaux, il les tolère. Les forces de sécurité ne démantèlent plus, elles contiennent. Les fusillades sont banalisées. L’impunité des mafias est flagrante. L’État semble complice ou démissionnaire.
Un chaos orchestré pour un nouvel ordre
L’insécurité n’est pas subie, elle est exploitée. En entretenant le désordre, les élites imposent la surveillance, le contrôle numérique, la restriction des libertés. Le modèle suit le plan du Great Reset : démolir l’ancien monde pour instaurer une gouvernance technocratique.
Ce chaos neutralise toute cohésion populaire. La classe moyenne s’épuise sous l’insécurité. Les résistants sont surveillés, les révoltés criminalisés. Le désordre est un levier politique : broyer les contestations pour mieux asseoir le pouvoir global.
La police au service du pouvoir, plus du peuple
La police française ne protège plus le citoyen, elle protège le pouvoir. Elle agit contre les manifestants, pas contre les trafiquants. Ce renversement des priorités reflète un changement de doctrine : maintenir l’ordre, c’est maintenir le régime.
Les opérations dans les banlieues visent à éviter les émeutes, pas à démanteler. À l’inverse, les forces sont massivement déployées contre les mouvements sociaux. La police n’est pas désorientée, elle a été redirigée. Elle est devenue l’outil d’un pouvoir engagé dans une guerre contre sa propre population.
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Le 22 avril 2025, pour GPTV Investigation, Mickaël a tendu le micro aux Français pour recueillir leurs réactions à la sortie de Bayrou sur les « Français feignants » : le résultat est cinglant, authentique et sans filtre.
Les Français sont-ils vraiment des feignants
Quand François Bayrou affirme que “les Français ne travaillent pas assez”, il rallume un vieux mépris de classe. À Nice, les témoignages recueillis par GPTV Investigation sont sans appel : les Français travaillent dur, survivent plus qu’ils ne vivent, et refusent qu’on les insulte ainsi.
Ouvriers, agents d’entretien, influenceurs, cadres ou artistes, tous disent la même chose : ils bossent, souvent sans aide ni reconnaissance. Leur réalité est aux antipodes du cliché paresseux véhiculé par Bayrou. Ils dénoncent un monde du travail qui épuise sans récompenser.
La fracture entre les mots et le réel
Le contraste est flagrant : pendant que les élites parlent productivité, les travailleurs parlent fatigue et désillusion. Un nettoyeur de rue de nuit lance : “Qu’il vienne bosser avec moi à 3h du matin !” Pas de plainte, juste une demande de respect.
Un chef de chantier touche 2000 € avec heures sup’, mais peine à vivre à Nice. Une chargée de mission déplore le coût de la vie qui grimpe pendant que les salaires stagnent. Une artiste vit sans filet. Un influenceur affirme bosser 12 heures par jour. Ces témoignages dessinent une France qui tient debout à force de sueur.
Les Français n’évitent pas le travail, ils refusent qu’on leur crache dessus. La déclaration de Bayrou est vécue comme une humiliation par ceux qui peinent chaque jour.
Le travail ne protège plus, il use
Ce micro-trottoir fait émerger un malaise plus profond : le travail ne permet plus de se projeter. “Je n’aime pas le mot travail, je préfère œuvrer”, confie un intervenant. Le mot même semble contaminé par une réalité d’usure, de course vaine.
Cette crise touche toutes les strates : jeunes qui partent, seniors qui s’accrochent, diplômés en galère. Partout, une fatigue morale. On demande toujours plus aux Français, mais on les récompense de moins en moins. Le travail n’émancipe plus, il use.
Les Français ne demandent pas à moins travailler. Ils veulent que cela ait un sens. Être payés, respectés, considérés. Ce n’est pas l’effort qu’ils rejettent, c’est l’absurdité et le mépris.
Bayrou déconnecté ? Ce que dit vraiment le micro-trottoir
Derrière ces paroles, une perte de crédit de la parole politique. Les citoyens ne croient plus les élites. Ils opposent leur quotidien aux postures d’en haut : des heures à balayer, souder, soigner, créer. Pour des salaires qui ne permettent plus de vivre.
Le clivage n’est pas entre travailleurs et paresseux, mais entre ceux qui vivent la réalité et ceux qui la commentent. Ce micro-trottoir est un électrochoc : les Français bossent. Ce qui manque, c’est la justice. Ce qui manque, c’est la reconnaissance.
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Le 22 avril 2025, Mike Borowski vous donnait rendez-vous pour traiter d'un sujet d’actualité, sur Géopolitique Profonde.
La mort du pape François en 2025 soulève de nombreuses interrogations sur son héritage, marqué par une volonté affichée de transformer le rôle spirituel du Vatican en levier politique global.
Mort du pape François : la fin d’un pontificat au service du mondialisme
Décédé le 21 avril 2025, le pape François referme une page marquée par son adhésion à une vision globalisée du rôle spirituel du Vatican. Promoteur actif d’une gouvernance mondiale, il a transformé la papauté en instrument politique, bien éloigné de la tradition catholique.
Sa mort survient à quelques heures de la démission de Klaus Schwab du Forum de Davos, faisant naître de nombreuses interrogations.
François, promoteur zélé de la gouvernance mondiale
Dès 2013, il rompt avec l’approche classique de l’Église. Sous sa direction, la Curie s’ouvre aux cabinets McKinsey, KPMG, EY. L’administration spirituelle devient un objet de management global. L’encyclique Fratelli tutti promeut une fraternité désincarnée, une gouvernance mondiale, en phase avec l’agenda de Davos.
À l’ONU, il appelle à des « accords fondamentaux » planétaires. Sa posture s’apparente plus à une ingénierie politique qu’à une mission pastorale.
Covid, climat, immigration : les trois piliers du pontificat progressiste
Le pape fut l’un des soutiens les plus affirmés des injections ARNm. Il qualifiait de « négationnistes » les opposants, y compris parmi les cardinaux. Son discours technosanitaire reprenait mot pour mot les recommandations de l’OMS et des laboratoires pharmaceutiques.
Sur le climat, Laudato si’ puis Laudate Deum ont défendu une gouvernance écologique contraignante, visant un contrôle accru des comportements. François exigeait des États des mesures internationales contraignantes, reprenant l’architecture des gouvernances climatiques supranationales.
Concernant l’immigration, il critiquait les politiques américaines sous Trump, tout en assurant une stricte sécurité au Vatican. Sa dernière entrevue fut accordée à J.D. Vance, vice-président américain conservateur, preuve d’un double discours diplomatique.
La France, grande oubliée du pontificat
François n’a jamais effectué de visite d’État en France. Il a préféré de brèves haltes à Marseille ou en Corse, sans reconnaissance officielle à la « fille aînée de l’Église ». Ce choix traduit une volonté politique : marginaliser les nations chrétiennes fidèles à leur héritage au profit d’une vision multiculturelle.
Son pontificat s’inscrit dans un rejet des racines européennes de l’Église, au bénéfice d’une narration universaliste alignée sur le progressisme global. Présent sur les enjeux climatiques, sanitaires ou migratoires, il s’est tenu à distance des traditions catholiques nationales.
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Le 22 avril 2025, Sylvain Ferreira et Xavier Moreau étaient les invités de La Matinale, animée par Raphaël Besliu sur Géopolitique Profonde.
Sylvain Ferreira est un historien militaire français, spécialisé dans l’art de la guerre et son évolution de 1850 à 1945. Il s’intéresse particulièrement à l’impact de l’ère industrielle sur les combattants et a contribué à plusieurs revues d’histoire militaire. Auteur et concepteur de jeux de stratégie, il a récemment publié La bataille de Marioupol : 25 février – 20 mai 2022.
Xavier Moreau est un analyste français spécialisé dans les relations internationales. Diplômé de Saint-Cyr et ancien officier parachutiste, il est titulaire d’un DEA en relations internationales de Paris IV Sorbonne, où il s’est spécialisé dans les relations soviéto-yougoslaves pendant la guerre froide. Résidant en Russie depuis 24 ans, il dirige la société LinkIT Vostok. Installé à Moscou depuis de nombreuses années, il se consacre à la géopolitique russe et a fondé le centre d’analyse Stratpol. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont Nouvelle Grande Russie et Pourquoi la Russie a gagné ?.
Mort du Pape : fin d’un cycle spirituel et bouleversement géopolitique
Le décès du pape, survenu au lendemain de Pâques, symbolise la fin d’un ordre spirituel vacillant. Son pontificat mondialiste s’achève alors que le monde bascule. Le Vatican, jadis acteur d’équilibre Est-Ouest, voit son influence s’éteindre.
Dernier à l’avoir rencontré : J.D. Vance, sénateur américain conservateur. Cette entrevue incarne un tournant : l’Église institutionnelle s’efface, laissant place aux souverainetés renaissantes. L’ère d’une diplomatie spirituelle globalisée cède à une logique multipolaire assumée.
Guerre d’Ukraine : les États-Unis se retirent, l’Europe sacrifiée
Le projet de Trump, apaiser les tensions avec la Russie, fut torpillé par l’alliance des néo-conservateurs et des élites européennes pro-guerre. Zelensky, instrument du globalisme, est maintenu sous perfusion militaire. Résultat : enlisement, hécatombes, chaos.
Washington prépare désormais son retrait. Les priorités se déplacent vers l’Asie, face à la Chine. Trump veut normaliser avec Moscou. L’Europe hérite d’un conflit sans issue. Piégée, elle ne peut ni l’emporter, ni s’en extraire. L’Ukraine devient le tombeau du projet atlantiste.
L’axe Chine-Russie redéfinit le réel multipolaire
Tandis que l’Europe s’effondre dans l’impasse ukrainienne, le monde se recompose. Le duo sino-russe bâtit un ordre multipolaire souverain. La trêve pascale échoue, révélant la fin de la diplomatie au profit du rapport de force. Poutine impose son rythme, Pékin avance ses pions.
Les tensions sino-américaines ne relèvent plus de la rhétorique. Elles incarnent une confrontation globale. Économie, numérique, logistique : les fronts se multiplient. Les États-Unis veulent contenir la Chine, mais sans l’Europe, devenue trop faible pour jouer les supplétifs.
L’Amérique se replie, la Russie s’affirme, la Chine s’étend. Le centre de gravité mondial glisse, tandis que l’Europe, vidée de sa puissance, reste figée dans une guerre perdue.
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Le 21 avril 2025, André Chanclu, Patrick Pasin et Pascal Mas étaient les invités de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !
André Chanclu est un militant français d’extrême droite, ancien membre du GUD et d’Ordre Nouveau. Pro-russe, il préside le Collectif France-Russie et a participé comme observateur aux référendums d’annexion organisés par Moscou en Ukraine.
Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français, connu pour ses critiques sur la géopolitique, la santé publique et la souveraineté individuelle.
Pascal Mas est un expert des dynamiques de pouvoir entre les grandes puissances et s’intéresse particulièrement aux stratégies de résilience des nations face aux pressions extérieures. Il axe ses analyses sur la défense et la souveraineté nationale, avec un accent sur la Russie, qu’il considère comme un modèle de résistance aux influences occidentales.
Guerre en Ukraine : une manipulation américaine pour saboter l’alliance euro-russe
La guerre en Ukraine serait une provocation orchestrée par les États-Unis pour empêcher un rapprochement stratégique entre la Russie et l’Europe. Depuis 2004, Washington soutient les révolutions en Ukraine, finance les ONG, manipule l’opinion et installe un pouvoir anti-russe. L’entrée de l’Ukraine dans l’orbite de l’OTAN est une provocation destinée à encercler la Russie et briser les accords de Minsk.
L’attaque de février 2022 est présentée comme une réponse à une décennie de provocations. L’objectif américain serait d’empêcher toute coopération énergétique et économique entre Moscou et Berlin. L’Ukraine devient un pion sacrifié pour défendre l’ordre unipolaire.
Comment les États-Unis profitent du conflit ukrainien
Ce conflit profite à l’économie américaine : l’Europe achète massivement aux géants US (Lockheed Martin, Raytheon…). Chaque livraison d’armes génère des milliards pour le complexe militaro-industriel américain.
Le sabotage des gazoducs Nord Stream a mis fin à la coopération énergétique russo-allemande. L’Europe, privée de gaz bon marché, importe du gaz américain coûteux. Résultat : hausse des coûts, délocalisations, effondrement industriel. Washington attire les industries européennes à coups de subventions.
La guerre justifie un endettement massif au profit du dollar. L’Europe s’enfonce dans la dette, renforçant sa dépendance aux marchés anglo-saxons. Pour les intervenants, c’est une triple victoire américaine : militaire, économique et financière.
Europe : soumission, ruine et effondrement stratégique
Depuis 2022, les dirigeants européens suivent la ligne américaine sans débat. Macron, Scholz ou Meloni sacrifient les intérêts économiques et diplomatiques de leur pays. L’Europe devient un protectorat, plus une puissance.
Les conséquences sont lourdes : inflation, paupérisation, radicalisation. L’élite vit déconnectée, tandis que les peuples subissent l’effondrement du modèle européen. La souveraineté est remplacée par la soumission stratégique à Washington.
Retrouver l’indépendance : urgence civilisationnelle
Face à cette dérive, les invités appellent à une rupture : sortie de l’OTAN, diplomatie indépendante, retour à une vision gaullienne de la souveraineté. L’anti-américanisme n’est pas un rejet idéologique mais une nécessité. Comprendre ces mécanismes, c’est commencer à se libérer.
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Le 21 avril 2025, Mike Borowski dévoilait une France profondément soumise, piégée entre illusion de sécurité, propagande étatique et extinction de la désobéissance, sur GPTV.
Soumission collective en France : une nouvelle norme post-Covid
Le micro-trottoir réalisé cette semaine montre une constante glaçante : la soumission est désormais vue comme une vertu sociale. Nombreux sont ceux affirmant qu’ils referaient confiance à l’État et suivraient les consignes sans discussion. Cette docilité assumée révèle que la désobéissance n’est plus une option pour beaucoup.
Cette obéissance n’est pas spontanée. Depuis l’école jusqu’aux médias, tout concourt à dissuader la remise en question. L’autorité est sacralisée, l’esprit critique délégitimé. Résister devient une anomalie. Le conditionnement mental est tel que toute critique est perçue comme une menace.
Le plus frappant reste la fierté exprimée par certains d’avoir respecté toutes les consignes, même absurdes : porter un masque seul dans la rue, dénoncer un voisin, accepter dix doses de vaccin sans question. Cette soumission est perçue comme un acte de solidarité, alors qu’elle est le fruit d’une manipulation collective parfaitement orchestrée.
L’illusion de sécurité : levier du contrôle
Ce qui motive cette obéissance, c’est le besoin de sécurité. Pour se sentir protégés, les Français acceptent de sacrifier liberté, autonomie et bon sens. Le Covid a renforcé cette logique : obéir pour être en sécurité. Ce chantage a court-circuité le discernement. L’État rassure, le citoyen obéit.
Ce mécanisme est inscrit dans une stratégie de gouvernance par la peur. Depuis vingt ans, chaque crise – sanitaire, climatique, terroriste – a servi à renforcer le contrôle. Chaque menace justifie de nouvelles restrictions, intégrées peu à peu comme une norme. La population adhère, souvent de son propre chef.
Mais cette sécurité est un leurre. Les mesures sanitaires n’ont pas protégé : elles ont détruit des vies, brisé des liens, ruiné des économies. Pourtant, nombreux sont ceux qui persistent à croire qu’elles étaient nécessaires. La dissonance cognitive est telle qu’ils préfèrent souffrir que reconnaître avoir été dupés. Le système a triomphé par illusion, non par contrainte.
Désobéissance consciente : seul remède
Face à cette normalisation de l’obéissance, seule une désobéissance consciente peut offrir une issue. Elle doit être informée, construite, lucide. Comprendre les mécanismes de manipulation est essentiel pour briser les chaînes mentales. Le combat est avant tout psychologique.
Cette désobéissance est un devoir. L’Histoire montre que seules des minorités déterminées font basculer les sociétés. Aujourd’hui encore, ces voix dissidentes existent : médias indépendants, lanceurs d’alerte, résistants du quotidien. Ils ne cherchent pas à convaincre tout le monde, mais à fissurer le mur du mensonge.
Rien n’est perdu. Plus la propagande s’intensifie, plus elle expose ses failles. Chaque refus, chaque parole libre, chaque question posée devient un acte de résistance. Il ne faut pas attendre un sauveur, mais devenir la solution. C’est par cette lucidité partagée que renaît l’espoir.
Refuser la soumission collective n’est plus un choix marginal : c’est un impératif de survie démocratique.
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Le 21 avril 2025, Claude Janvier et François Martin étaient les invités de La Matinale de Géopolitique Profonde animée par Nicolas Stoquer !
François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français. Diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ, il a 40 ans d’expérience dans le commerce international de l’alimentaire sur plus de 100 pays. Il maîtrise six langues et est reconnu pour ses analyses des dynamiques internationales complexes.
Claude Janvier est écrivain et essayiste. Il s’est fait connaître par ses prises de position tranchées sur la société et la politique. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages explorant les rouages du pouvoir. Son dernier livre s’intitule L’État Profond Français.
Un accord mondial sanitaire au service d’un pouvoir global
L’OMS relance son projet d’accord mondial sur les pandémies, présenté comme un outil de coopération, mais imposant en réalité un cadre contraignant. Les États devraient se soumettre à des directives émanant d’une autorité supranationale, sans consultation démocratique. Cet accord accorderait à l’OMS le pouvoir de décréter un état d’urgence mondial et d’imposer des mesures obligatoires.
Derrière ce projet se cachent des intérêts privés, comme ceux de la Bill Gates Foundation ou de BlackRock, qui influencent les décisions sanitaires mondiales. L’accord devient un outil juridique pour asseoir une gouvernance non élue.
Mondialisme : dette, syndicats, guerre sociale
La France est un laboratoire du mondialisme : dette publique massive, syndicats financés par ceux qu’ils devraient combattre, élites politiques complices. Le peuple est trahi, la souveraineté affaiblie.
Cette logique vise la désintégration des États-nations, remplacés par une gouvernance technocratique. Inflation, précarisation, destruction des services publics et surveillance généralisée sont les instruments de ce contrôle globalisé.
Ukraine : champ de bataille et d’ingénierie idéologique
L’Ukraine est le théâtre d’une guerre géopolitique mais aussi idéologique. Depuis 2014, l’OTAN soutient la montée de milices radicales intégrées à l’armée régulière. L’Occident, via ce conflit, renforce son complexe militaro-financier tout en affaiblissant la souveraineté européenne.
Le soutien à Kiev masque des intérêts économiques et géopolitiques. L’Ukraine devient un pion dans une guerre prolongée, où les populations sont instrumentalisées.
Recomposition mondiale et effondrement de l’ordre unipolaire
Le voyage de Giorgia Meloni à Washington illustre la fragilité du lien transatlantique. Les États-Unis se désengagent d’une Europe divisée. À Gaza, la destruction continue, malgré des tentatives diplomatiques illusoires.
La Russie renforce sa position stratégique à Koursk. Le retrait américain des négociations, annoncé par Marco Rubio, acte l’échec diplomatique de l’Occident. Le monde bascule vers un nouvel équilibre fondé sur des intérêts nationaux brutaux.
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Le 20 avril 2025, Thibault Kerlirzin était l’invité de La Grande Émission, animée par Raphaël Besliu sur Géopolitique Profonde.
Thibault Kerlirzin est un consultant en stratégie d’intelligence économique, diplômé de l’Ecole de Guerre Economique et de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales. Depuis plusieurs années, il s’est spécialisé dans l’analyse du rôle trouble que jouent les ONG, autoproclamées porte-voix de l’intérêt général, dans la guerre économique qu’affrontent les entreprises et les acteurs publics. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur l’influence des lobbies écologistes, de George Soros, de Davos et de Maurice Strong.
Cet entretien avec Thibault Kerlirzin dévoile comment l’introduction des insectes dans notre alimentation s’inscrit dans un agenda précis orchestré par Davos.
Insectes et alimentation : l’agenda caché du Forum de Davos
« Vous mangerez des insectes » : cette phrase virale masque une idéologie profonde. Porté par le Forum économique mondial, ce projet vise à résoudre les crises alimentaires et écologiques en imposant un nouveau régime de consommation. L’entomophagie s’inscrit dans un plan global de transformation sociale et politique, où contraintes écologiques et gouvernance technocratique vont de pair.
La promotion méthodique des insectes
Depuis une décennie, des campagnes orchestrées par le Forum de Davos et la FAO promeuvent les insectes comme source alimentaire. Des entreprises comme IKEA développent des produits à base d’insectes, tandis que l’Union européenne autorise leur mise sur le marché. Cette stratégie vise à réduire la consommation de viande et à modifier les habitudes alimentaires mondiales.
L’agenda de Davos : insectes et contrôle alimentaire global
L’entomophagie s’insère dans un récit plus large de transition vers une société post-industrielle, pilotée par des élites mondialistes. Ce récit impose une reconfiguration des modes de vie, où la consommation d’insectes devient un symbole de soumission à un modèle unique de survie collective.
De la crise à la contrainte, un basculement orchestré
Chaque crise sert de prétexte à l’imposition de normes de plus en plus intrusives. L’alimentation à base d’insectes devient alors un marqueur d’une société où l’individu est reprogrammé pour survivre proprement, mais non pour vivre pleinement. Ce basculement résulte d’une convergence d’intérêts entre institutions internationales, fondations privées et gouvernements acquis à la cause transnationale.
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Le 20 avril 2025, Mike Borowski est allé à la rencontre des Français pour confronter leur opinion aux révélations choc du livre de Corinne Lalo.
Ce micro-trottoir de GPTV Investigation révèle comment les Français perçoivent la pandémie Covid et la possible manipulation derrière les mesures sanitaires.
Covid : un livre choc dénonce une manipulation planétaire
Corinne Lalo, grand reporter pour TF1, TV5 Monde et France 3, ne laisse aucune place au doute : la pandémie de Covid-19 a été un gigantesque théâtre. Dans son ouvrage explosif « Fausses pandémies, vrais mensonges », elle démonte point par point ce qu’elle qualifie de manipulation planétaire. Virus créé en laboratoire, gravité exagérée, traitements interdits, vaccination inefficace… tout y est. Une enquête rigoureuse et documentée qui bouscule les fondations de la version officielle.
Face à de telles révélations, un peuple éveillé devrait s’indigner. Mais notre micro-trottoir mené dans le quartier populaire de République à Paris révèle une réalité bien plus troublante : une majorité accepte encore le narratif officiel, sans broncher. Pire, une grande partie des sondés serait prête à revivre les mêmes restrictions si une nouvelle pandémie surgissait.
République, miroir d’un consentement aveugle
Le contraste est saisissant. Tandis que le livre de Corinne Lalo dénonce une opération de contrôle global sous couvert sanitaire, les passants interrogés affichent une docilité glaçante. La présence du livre, bien en évidence pendant les échanges, n’aura pas suffi à éveiller leur esprit critique. À la question « Ces révélations vous choquent-elles ? », une majorité répond par la négative, voire avec indifférence.
Ces réactions traduisent une emprise psychologique profonde, fruit de mois de matraquage médiatique et de peur institutionnalisée. L’aveuglement collectif est tel que beaucoup déclarent qu’ils referaient « exactement pareil », quitte à remettre leur santé entre les mains d’un système qui a sciemment écarté des traitements efficaces au profit d’une vaccination controversée.
Comment la manipulation a engendré un consentement aveugle
Ce micro-trottoir expose une fracture béante entre ceux qui cherchent la vérité et ceux qui fuient la réalité. Les chiffres, les faits, les enquêtes comme celle de Corinne Lalo ne suffisent plus à provoquer un sursaut. La sidération a laissé place à l’acceptation. La révolte est absente, la résignation omniprésente.
Ce constat est implacable : ce que des mois d’enfermement, de restrictions et de propagande ont construit, le simple bon sens ne suffit plus à le déconstruire. La manipulation a été si bien orchestrée que, même face à l’évidence, deux tiers des personnes interrogées préfèrent ne rien remettre en cause.
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Le 20 avril 2025, Mike Borowski animait une émission d’actualité explosive, sur Géopolitique Profonde.
11 Septembre, CIA et guerre cognitive : les révélations qui pulvérisent la version officielle
Le 14 avril 2025, Tucker Carlson fait sauter une nouvelle digue. Face à lui, Curt Weldon, ancien membre du Congrès américain, balance des vérités que l’on a voulu enterrer. Deux des pirates de l’air du 11 septembre travaillaient pour la CIA.
Quinze des dix-neuf visas ayant permis aux terroristes d’entrer aux États-Unis ont été délivrés par John Brennan, futur directeur de l’agence. Et pendant qu’on lançait l’Amérique dans deux décennies de guerre, la CIA savait qu’Oussama Ben Laden n’était pas en Afghanistan… mais en Iran.
À cela s’ajoutent les révélations de Mike Benz, qui expose le rôle central de l’USAID dans les opérations de manipulation psychologique à l’échelle mondiale. Une mécanique de domination se dévoile, implacable et systémique.
CIA, infiltration et dissimulation : l’attentat comme stratégie
Weldon, qui s'apprêtait à présider la commission des forces armées en 2006, a vu sa carrière stoppée après avoir remis en cause la version officielle du 11 septembre. Il révèle que le programme Able Danger avait identifié certains terroristes bien avant les attentats, mais que ces informations ont été ignorées .
Ben Laden en Iran et la fabrication de l’ennemi
Selon Weldon, la dissimulation de la présence de Ben Laden en Iran a permis de justifier une guerre en Afghanistan, puis en Irak, sans jamais cibler le véritable refuge du chef d'Al-Qaïda. L'objectif était d'installer une présence militaire durable au cœur de l'Eurasie et de remodeler le Proche-Orient selon les intérêts américains.
USAID et la guerre cognitive globale
Mike Benz, ancien responsable du Département d'État, dénonce le rôle de l'USAID dans les opérations de manipulation psychologique à l'échelle mondiale. Présentée comme une agence de développement humanitaire, l'USAID financerait des médias, des ONG et des artistes pour diffuser des récits favorables aux intérêts américains. Benz affirme que des artistes, notamment des rappeurs, sont utilisés comme outils de propagande pour déstabiliser des régimes jugés indésirables .
De la guerre physique à la guerre narrative
Les révélations de Carlson, Weldon et Benz mettent en lumière une stratégie continue : des attentats du 11 septembre, montés comme une opération sous faux drapeau, à la guerre cognitive actuelle. Les États-Unis ne se contenteraient plus de bombarder des villes, mais reprogrammeraient les sociétés via la manipulation médiatique et culturelle.
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Le 20 avril 2025, Laurent Michelon était l’invité du Libre Journal de Géopolitique Profonde, animé par Nicolas Stoquer et Lara Stam.
Laurent Michelon est un entrepreneur français en Chine qui partage son temps entre Hong Kong et Pékin. Il est établi dans la région depuis plus de 20 ans, où il a travaillé dans la diplomatie culturelle française et pour plusieurs groupes de communication internationaux. Il est l’auteur du livre Comprendre la relation Chine-Occident.
Trump face à la Chine : une guerre commerciale sans retour
La guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine dépasse les simples droits de douane. Elle oppose deux visions du monde. Donald Trump, en imposant des sanctions, a sous-estimé la résilience d’un État centralisé et millénaire. Xi Jinping a riposté méthodiquement, renforçant la Belt and Road Initiative et consolidant ses alliances.
L’illusion d’une victoire rapide
Trump a abordé Pékin avec une logique transactionnelle, pensant obtenir des concessions économiques. Il a imposé des droits de douane, ciblé Huawei et tenté de rapatrier les chaînes de valeur. Mais la Chine a réagi en rationnant les terres rares et en relocalisant ses chaînes d’approvisionnement. L’asymétrie stratégique est flagrante.
Le pari impérial de la dernière chance
Trump tente de redéfinir l’hégémonie américaine en adoptant une approche bilatérale et transactionnelle. En réponse, la Chine construit un contre-empire basé sur des infrastructures terrestres, contournant les océans dominés par les flottes occidentales. La Russie, marginalisée depuis 2014, s’allie à la Chine, redessinant les équilibres du XXIe siècle.
L’Europe : spectatrice ou vassale à double face
Face à la brutalité de Trump, l’Europe oscille entre atlantisme et pragmatisme économique. Elle se rapproche discrètement de la Chine, tout en espérant un retour au multilatéralisme. Cette absence de doctrine expose Bruxelles à des pertes stratégiques. La Chine avance, l’Amérique se replie, et l’Europe tergiverse.
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