Episodi
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Dans cet épisode de la gigantesque accumulation, enregistré fin janvier 2023 après 2 immenses journées de mobilisation, nous recevons Anaïs Henneguelle, économiste atterrée et maitresse de conférences à l’université de Rennes 2 qui fait le tour de France depuis quelques semaines pour expliquer le système de retraite et déconstruire la communication du gouvernement.
Anaïs nous propose quelques éléments pour animer une heure d’information syndicale ou une assemblée générale, dans une entreprise, une fac ou une salle des profs.
Inégalités sociales et de genre, décote, financement, effet climatique, on fait le tour des principaux enjeux. -
L'inflation fait son retour en 2022. Faut-il s'en inquiéter ? Jonathan Marie nous explique pourquoi l'enjeu principal reste la répartition entre les salaires et les profits, avant de faire quelques propositions pour une autre politique économique.
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Episodi mancanti?
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Sabina Issehnane, économiste atterrée, répond à David Brites de l'allumeur de réverbère à propos de l'assurance-chômage, sous le coup d'une attaque "injuste, punitive, qui vise les plus précaires".
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Pour ce premier épisode de la gigantesque accumulation, le podcast des économistes atterrés sur spectre, Hugo Harari-Kermadec reçoit Arthur Jatteau, l'un des cinq atterrés auteurs du "précis d'économie citoyenne", "La dette publique".
En déconstruisant la vision néolibérale de la dette publique, on comprend à quoi sert réellement cet outil et surtout à quoi il pourrait servir dans le cadre d'une autre politique économique. Arthur Jatteau revient également sur le projet,
qui divise à gauche, d'annulation de la dette détenue par la banque centrale européenne.
Enfin, on dessine les contours d'un autre mécanisme de financement de la dette publique, indépendant des marchés financiers comme des institutions de l'union européenne. -
La gigantesque accumulation, le podcast des Économistes atterrés pour Spectre.
Teaser !
"Le capitalisme ne veut voir du monde qu'accumulation et marché [...] Nous déconstruisons chaque mois cette vision du monde, parce que d'autres politiques économiques sont possibles, plus justes et plus émancipatrices."