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  • Cet été dans Pépites, on vous propose de découvrir Les Vagues, le podcast co-produit par Louie Media et le magazine Elle où Marion Ruggieri interroge des personnalités sur le moment où elles se sont senties à leur place pour la première fois.


    Eye Haïdara, actrice remarquée dans Le Sens de la fête et la série En Thérapie, se souvient très bien de ce jour, en CP, où elle goûte pour la première fois au théâtre. C’est une révélation. Depuis, elle n’a plus quitté la scène, cet espace où elle se sent chez elle. Dans ce nouvel épisode des Vagues, Marion Ruggieri rencontre Eye Haïdara dans un hôtel du 17e arrondissement où elle a ses habitudes. Bien enrhumée, la comédienne parle de ses souvenirs de cour de récréation, de la passion de son père pour les western, de ses racines maliennes qui l’obligent, des doutes qui l’habitent et qui l’animent, elle que rien n’arrête et qui ne veut rien s’interdire, jamais.


    Cet épisode des Vagues a été diffusé pour la première fois le 16 janvier 2024. Bonne écoute ! 


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    🎤🎤 Crédits : Marion Ruggieri (présentation, interview), Julia Courtois (montage), Sam Jamin (enregistrement, réalisation et mix), Michael Liot (musique originale) - Production : Louie Media - Illustration : Emilie Hussenot 


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    Marion Ruggieri retrouve Isabella Rossellini près du musée du Louvre, à Paris, où elle a vécu quand elle était enfant. Mannequin star à 30 ans, mais aussi actrice, réalisatrice, et aujourd’hui fermière, Isabella Rossellini raconte les mille vies qu’elle a eu entre Rome, Paris et New York. Fille d’Ingrid Bergman et de Roberto Rossellini, elle a su s’affranchir de sa célèbre ascendance en se laissant guider par son insatiable curiosité et son goût de l’aventure qui la mèneront, à 50 ans passés, sur les bancs de l’école...


    Cet épisode des Vagues a été diffusé pour la première fois le 4 décembre 2023. Bonne écoute ! 


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     🎤🎤 Crédits : Marion Ruggieri (présentation, interview), Julia Courtois (montage), Sam Jamin (enregistrement, réalisation et mix), Michael Liot (musique originale). Production : Louie Media. Illustration : Emilie Hussenot


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    Dans ce nouvel épisode des Vagues, Marion Ruggieri retrouve Camille Étienne à La Gaîté Lyrique, une salle de spectacles au cœur de Paris. Camille, figure militante de la cause environnementale, s’est fait connaître en 2020 avec la vidéo “Réveillons-nous”, où elle proposait déjà de rapprocher écologie et art. Pour elle, les lieux culturels sont des postes de résistance, les artistes des alliés dans la lutte, et les montagnes où elle a grandi une “peinture toujours changeante”... qui menace de “s’enlaidir”. Lutter, pour elle, signifie “faire les choses parce qu’elles sont justes et pas seulement gagnables, exactement comme dans l’art où l’on ne crée pas par utilité, mais parce que c’est vital.” Camille Etienne, qui dit se sentir à sa place quand elle “s’oublie dans les luttes collectives”, revient sur son parcours individuel, son enfance sportive dans les Alpes où elle a cultivé un rapport familier avec la nature, son éducation au sein d’une lignée de femmes qui ne “s'excusent pas d’être là” bien qu’elle-même se soit sentie illégitime en arrivant à Sciences Po. Elle dessine un parcours fait de luttes et de contemplation, où elle a dû redoubler d’efforts pour trouver sa place et toujours renouveler le courage de “ne pas s’y endormir”. 


    Cet épisode des Vagues a été diffusé pour la première fois le 11 juin 2024. Bonne écoute ! 


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    🎤🎤 Crédits : Marion Ruggieri (présentation, interview), Myriam Mernissi (montage), Ruben Perez (enregistrement), Sam Jamin (réalisation et mix), Michael Liot (musique originale) - Production : Louie Media - Illustration : Emilie Hussenot 


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    Marion Ruggieri rencontre Alessandra Sublet chez son ex-mari, avec lequel elle s’entend à merveille, rive gauche à Paris. Elle revient tout juste d’un cours de claquette. A 47 ans, l’animatrice star a tout plaqué, la capitale et la télévision, pour monter sur les planches dans un seule en scène. Aujourd’hui installée dans le Sud de la France, elle raconte, sans filtre, comment son divorce, et la quête de sens qui a suivi, lui ont permis de s’affranchir du regard des autres, et de redéfinir son identité. 


    Cet épisode des Vagues a été diffusé pour la première fois le 2 janvier 2024. Bonne écoute ! 


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    Dans ce nouvel épisode des Vagues, Marion Ruggieri retrouve Delphine Horvilleur en plein déménagement dans le quartier du Marais, à Paris. Avant de devenir l’une des premières femmes rabbin de France, Delphine a voulu être médecin, puis journaliste. Trois métiers apparemment très éloignés qui ont un fil directeur, dit-elle avec le recul, le désir “d'écouter les autres et d'accueillir leurs récits comme quelque chose de sacré.” Delphine Horvilleur, qui ne sait pas ce que veut dire “être chez soi”, revient sur son enfance en province, ses séjours en Israël et à New-York, des expériences qui l’ont transformée et qui constituent aujourd’hui autant de pièces du puzzle de sa vie. Elle se questionne sur l’impossibilité actuelle de revendiquer des identités complexes, et se livre sur les éléments qui la constituent : le film Yentl de Barbra Streisand, découvert à 9 ans, le yiddish de sa grand-mère qui lui revient comme un écho à la faveur de l’actualité, son tout premier office à Paris alors qu’elle est enceinte de 8 mois... Pour Delphine Horvilleur, il ne s’agit pas de trouver sa place, mais de se savoir en chemin.


    Cet épisode des Vagues a été diffusé pour la première fois le 28 mai 2024. Bonne écoute ! 


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    🎤🎤 Crédits : Marion Ruggieri (présentation, interview), Louise Tavera (montage), Ruben Perez (enregistrement), Sam Jamin (réalisation et mix), Michael Liot (musique originale) - Production : Louie Media - Illustration : Emilie Hussenot 


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    C’est dans sa cuisine du 11e arrondissement, à Paris, que Maïwenn reçoit Marion Ruggieri. Actrice dès l’âge de 5 ans, mère à 17 ans, réalisatrice en grandissant, Maïwenn a tout fait à toute allure, brûlant les étapes pour trouver sa place et se détacher d’une famille dysfonctionnelle. Elle évoque ses origines algérienne et vietnamienne, ses premiers pas aux Bains Douches, la boîte de nuit parisienne, alors qu’elle avait 12 ans. Mais aussi son besoin vital de devenir mère, son sentiment d’être une transfuge, et le moment où elle a compris que le cinéma était son endroit.


    Cet épisode des Vagues a été diffusé pour la première fois le 23 janvier 2024. Bonne écoute ! 


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    Cette semaine dans Les Vagues, Marion Ruggieri retrouve Virginie Efira sur son palier, juste en face de chez elle, où elle dispose d’une pièce, « une chambre à soi ». La comédienne y revient sur son parcours : son adolescence « voyante », en jupe courte et talons compensés, ses fantasmes de gloire, les cours de théâtre, les petits jobs de serveuse en discothèque... une succession de hasards qui la mènent jusqu’aux plateaux télé, et à « La Nouvelle star ». Actrice désormais incontournable du cinéma français, Virginie Efira a longtemps refusé d’y croire. Et puis, un jour, à la faveur d’une improvisation, elle s’est lancée... 


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    Bonne écoute !


    Dans ce tout premier épisode des Vagues, Marion Ruggieri, grand reporter au magazine ELLE, interroge Isabelle Adjani. L'actrice se raconte comme jamais : d’une enfance trouble, en périphérie de la ville, à la vie rêvée d’actrice, métier d’errance, où elle a enfin trouvé sa place.


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    Dans ce nouvel épisode des Vagues, Marion Ruggieri, grand reporter au ELLE, rencontre Sophie Fontanel, chez elle, au cœur de Paris. La journaliste et écrivaine parle, sans détour, de son enfance, de cette place de petite fille intelligente qu'on lui a attribuée, puis de la mode et de l'écriture qui lui ont permis d'affirmer sa singularité, de l’âge qu’elle assume, et du courage qu'il faut pour faire un pas de côté.


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  • Cet été dans Pépites, on vous propose de découvrir Les Vagues, le podcast co-produit par Louie Media et le magazine Elle où Marion Ruggieri interroge des personnalités sur le moment où elles se sont senties à leur place pour la première fois. Cet épisode des Vagues a été diffusé pour la première fois le 7 novembre 2023. Bonne écoute !


    C’est à Lisbonne que Marion Ruggieri, grand reporter au magazine ELLE, rencontre Leïla Slimani. Chez elle, dans son bureau, l’écrivaine évoque les multiples lieux qui l’habitent, son déménagement dans la capitale portugaise, son attachement à Paris, son enfance dans le Maroc des années 80-90. Elle, dont le Prix Goncourt a confirmé son succès, trouve sa place dans l’instant, dans l’insaisissable, et écrit pour rendre la place qui revient à celles et ceux qu’elle aime. 


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  • Cet été dans Pépites, on vous propose un hors série consacré à l’histoire de la première réalisatrice de l’histoire, Alice Guy.


    « Je vous vous assure que je n’ai aucune vanité de ce que j’ai fait. Je suis arrivée au moment où il fallait, je suis entrée là, je n’avais pas mal d’imagination »


    De la première projection des frères lumières à la naissance d’Hollywood, la vie d’Alice n’a cessé de s’accrocher à celle du cinéma. Le destin s’est arrangé pour l’envoyer « là où ça s’est fait ». A moins que ce ne soient son intuition, son talent et son amour précoce pour la littérature, les arts, la fiction qui l’aient poussée à épouser ainsi les soubresauts de l’histoire du cinéma. 


    Nous sommes en 1920. Trompée, divorcée, ruinée, Alice quitte les Etats Unis et débarque à Paris ses deux enfants sous le bras. L’Europe entre dans les années folles. La fin de la guerre insuffle à l’époque un goût pour le mouvement, la vitesse, le jazz. Tout s’accélère et change à une allure insensée.

    Le cinéma est l’art le plus jeune et pourtant de loin le plus populaire. Mais le Paris des pionniers du cinéma n’est plus. 

    Méliès a fait faillite. Il était selon les industriels de l’époque trop artiste, pas assez commerçant. Poursuivi par des créanciers, il entre dans une colère noire et brûle son stock de films. Déboires professionnels et amoureux, Max Linder ne s’amuse plus, il songe à la mort. L’histoire est tragique, il tuera sa femme avant de se suicider


    Alice a été complètement oubliée. Elle frappe aux portes du cinéma français pour trouver un travail. Toutes se ferment. Et quand on lui offre la possibilité de diriger des studios, c’est à condition qu’elle investisse des sommes importantes. Mais elle n’a plus rien. 

    Feuillade, l’ami d’Alice, celui qui fut couronné de succès avec Fantômas, lui aussi sombre. L’essayiste Francis Lacassin écrira à son sujet « il entrait sans le savoir dans le purgatoire promis à tous ceux qui ont pêché par excès de Gloire ».


    La gloire a-t-elle un prix ?

    Pour Alice, il faut croire qu’elle se paie au tarif le plus fort. 

    Celui de l’oubli.


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    Article tiré d’un texte rédigé par Yasmine Benkiran. Cette série consacrée à Alice Guy est la première saison de notre podcast Une Autre Histoire, initialement diffusée en octobre 2019.


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  • Cet été dans Pépites, on vous propose un hors série consacré à l’histoire de la première réalisatrice de l’histoire, Alice Guy.


    Alice a 38 ans. Elle est enceinte de son deuxième enfant lorsqu’elle installe, à Fort-Lee, dans la banlieue de New York, ses nouveaux studios, pas loin de ceux de Carl Lammle, futur fondateur d’Universal et ceux d’Adolphe Zukor, futur patron de la Paramount. 


    Les studios de la Solax sont impressionnants, près de 500 m2 construits, avec au rez-de chaussée, les bureaux d’Alice, ainsi que le département vente et publicité, à l’étage, une salle pour les scénaristes, des laboratoires, une salle de projection et au deuxième étage, les studios de tournage à proprement parler. 


    L’année 1912, celle où Alice s’installe à Fort-Lee, va marquer un tournant dans l’histoire de l’industrie du cinéma américain, donc du film. Alice n’est pas la seule à avoir envie d’envoyer valser le trust d’Edison qui fait la loi dans le cinéma américain et impose une production incessante de films courts, les fameux « one reel », films d’une bobine, pas plus de quinze minutes.


    Petit à petit le long métrage, film d’une heure et d’avantage va s’imposer comme la norme. Alice va enfin pouvoir faire les films dont elle a envie. Des films longs, des films qui ont plus d’ampleur. 


    Mais alors qu’un film d’une bobine demande deux ou trois jours de préparation, les premiers « trois bobines » mobilisent le personnel pendant tout un mois. Ces films sont amples certes, mais chers, et difficile à produire. 


    Alice a des ambitions artistiques et elle veut garder l’indépendance de la Solax. 


    Mais peut-on vraiment être libre dans un monde qui porte en germe les futurs et hégémoniques studios d’Hollywood ? 


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    L’épisode 4 d’Une Autre Histoire débute en 1907. Il est quatre heures du matin. Sur son paquebot, en pleine traversée de l’Atlantique, Alice Guy ne pourrait pas dire quel jour on est tant cette traversée lui semble interminable. Elle a le mal de mer, elle sort sur le pont du paquebot. Une nuit sans lune, une brume épaisse. Mais on distingue enfin des lumières au loin : des gratte-ciel et bientôt la statue de la liberté. 


    Autour d’Alice, on crie, on applaudit, on se réjouit. Alice ne parle pas l’anglais. Elle n’a pas envie d’être là. Les studios Gaumont, les équipes de tournages, les comédiens lui manquent déjà. Pourtant les policiers d’Ellis Island ne se montrent pas désagréables avec Alice et Herbert, son tout nouveau mari, qui a près de dix ans de moins qu’elle. Ils semblent être des candidats idéaux à l’immigration. Le couple remplit le formulaire qu’on leur donne. Les questions leur semblent absurdes : oui, leur casier judiciaire est vierge, non, ils ne sont pas bigames.


    Tout est nouveau pour Alice. A Broadway, des centaines de passants se bousculent. Elle croit à une révolution. C’est simplement l’heure de pointe. Après quelques jours à New York, il faut partir pour Cleveland, dans le Midwest, sur les rives du lac Erié. C’est là que les clients de Gaumont résident. Ils ont acquis le chronophone, cette machine qui tente de synchroniser le son et l’image. Herbert a été envoyé aux Etats Unis pour les aider à faire fonctionner l’appareil. 

    Encore 650 km de voyage. En train cette fois-ci. Alice a l’impression que tous les villages qu’elle traverse se ressemblent : une grande épicerie, des bars, un hôtel avec une véranda où les hommes se balancent sur des rocking-chairs. Et ce paysage qui recommence sans cesse.


    Alice a 34 ans. La vie dans le Midwest est douce... mais terriblement ennuyeuse pour celle qui a participé à la naissance du cinéma. Alice s’inscrit à l’Alliance française pour apprendre l’anglais, elle adopte la robe à l’américaine : courte et plus pratique. Bientôt, elle accouche de sa première fille, Simone. C’est un grand bonheur pour le couple Guy-Blaché mais Alice n’en peut plus de ne pas travailler. Elle trépigne. Le cinéma lui manque terriblement. Elle est faite pour ça.

    Nous sommes aux Etats Unis au début du XXème siècle et le rêve américain existe bel et bien. Surtout lorsqu’on a s’appelle Alice Guy e3t qu’on a le talent, l’expérience, et l’audace des pionniers.


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    L’épisode 3 d’Une Autre Histoire vous raconte comment le son est arrivé au cinéma. En 1927 le comédien Al Jolson s’adresse à la caméra «  Attendez un peu, vous n’avez encore rien entendu ! ». C’est une des toutes premières répliques parlantes du cinéma. Le « chanteur de jazz » est considéré comme le premier film sonore de l‘histoire. 


    Mais bien avant ça, le cinéma a toujours été accompagné de nombreux sons. Déjà, lorsqu’on glissait l’œil kinétoscope d’Edison, on pouvait mettre ce qui ressemblait à des écouteurs et voir les images défiler en musique. Pendant les kermesses, des fanfares locales accompagnent la projection des films. Mais surtout, pour produire de l’électricité, les forains de toute l’Europe utilisent des locomobiles, des grosses machines qui faisaient un boucan énorme. C’est à peine si un musicien à côté de l’écran peut se faire entendre. Et puis, dans tous les pays, du monde, il y a des commentateurs de films, sortes de maîtres de cérémonie chargés d’animer la projection en racontant ce qui se passe à l’écran. 


    Léon Gaumont est hanté par un désir : celui de donner un son aux images en mouvement. En 1905 il a une idée : séparer la prise de son de l’enregistrement d’images et les synchroniser ensuite. Pour cela, il invente une machine : le chronophone. 

    Le principe est le suivant : on enregistre un son à l’avance, dans une salle où le silence règne, puis on filme des comédiens qui jouent en playback. Enfin, on synchronise le son et l’image grâce au chronophone pour obtenir ce qu’on appelle une phonoscène, un des premiers essais du cinéma parlant.


    On dit souvent que les petites histoires font la grande. Pour Alice, c’est presque l’inverse. Sa vie sera toujours être portée par l’histoire du cinéma avec un grand H. Et tout particulièrement par ce chronophone auquel son destin est intimement lié. Mais, ça. Elle ne le sait pas encore.


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    Dans cet épisode 2 d’Une Autre Histoire, nous sommes en 1896, ça ne fait même pas un an qu’a eu lieu la première projection publique d’images en mouvement.


    Alice Guy vient de tourner le premier film de fiction de l’histoire, La fée aux choux. Le cinéma est une terre en friche. Aucune règle n’a été écrite, tout est à inventer 

    Comment avoir un sens du cinéma, quand il n’y a pas encore de cinéma ? Comment avoir un sens de quelque chose quand on ne sait pas ce que c’est ? 


    Walter Benjamin qui a vécu les premières années du cinéma, écrit « Le cinéma n’est rien d’autre qu’un effet technique de l’industrie. C’est parce qu'ont été mises au point des technologies de l’enregistrement et de la reproduction de l’image et du son que le cinéma est possible. » On aimerait que ce soit faux, mais le cinématographe est bien le produit du XIXème siècle, siècle des inventions, siècle de la révolution industrielle, siècle qui assoit durablement le capitalisme. 


    La faillite de Méliès mettra fin à sa carrière de cinéaste. Quinze ans plus tôt, le succès industriel de Gaumont permettra à Alice Guy d’expérimenter, tester, créer et contribuer à inventer le cinéma. Industrie, création. Les deux peuvent s’opposer, ou au contraire, créer un nouveau champ des possibles.


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    Paris, 1895.


    C’est la fin du XIXème siècle, siècle de la révolution industrielle, de la course au progrès technique, de la naissance de la photographie, du train, du télégraphe et du téléphone. Edison vient d’inventer l’ampoule électrique et le phonographe, Eiffel de finir sa tour en fer, Pierre et Marie Curie de découvrir le Radium. Pourtant, dans cette effusion d’inventions, personne n’a encore réussi à enregistrer et projeter des images en mouvement. Ils sont nombreux pourtant nombreux s’y essayer. Edison, en tête avec son kinétographe, la toute première caméra de cinéma, qui permet d’enregistrer des films et le kinétoscope qui permet de les visionner dans une boîte, mais pas de les projeter sur écran.


    Alice Guy a 22 ans, elle est secrétaire de Léon Gaumont au Comptoir général de la photographie. Quand deux de leurs fournisseurs, Auguste et Louis Lumière, invitent Léon et Alice à assister à une « surprise ». Les deux frères projettent des images animées de leur usine lyonnaise sur un drap blanc. Les images bougent, elles semblent réelles. L’assemblée reste scotchée : ces deux frères ont réussi là où tout le monde a échoué, ils ont inventé le cinématographe. 


    Alice Guy a reçu une éducation bourgeoise. Elle est polie, bien élevée, elle ne fait pas de vagues. Mais sous le vernis de ses bonnes manières Alice est une aventurière. Elle a traversé l’Atlantique sur un paquebot à 4 ans, est passée des bras des nounous chiliennes au couvent, et aussi, elle est fille d’éditeur. En cette fin de XIXème siècle, les maudits Rimbaud et Verlaine viennent de s’éteindre, Buster Keaton de naître, Zola de terminer le dernier volet des Rougon-Macquart et Monet de peindre ses cathédrales. Alice a lu, rêvé, voyagé. Elle a envie d’autre chose que de ces images qui se contentent d’imprimer le réel. 


    Alice Guy veut utiliser le cinématographe pour inventer des images, créer, raconter des histoires. Son patron Léon Gaumont n’y voit pas d’inconvénients. Sa secrétaire pourra utiliser l’appareil et faire « ses trucs de fille », à condition que ça n’empiète pas sur son travail et que ce soit hors des horaires de bureau. 

    Alors, en cet été 1896, dans l’Est de Paris, à Belleville, sur une petite terrasse cimentée, avec quelques amis, un pied photo brinquebalant et un décor découpé dans du carton, Alice Guy tourne La fée aux choux, considéré comme le premier film de fiction de l’Histoire.


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    Article tiré d’un texte écrit par Yasmine Benkiran. Cette série consacrée à Alice Guy est la première saison de notre podcast Une Autre Histoire, initialement diffusée en octobre 2019.


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  • À travers son exposition "Fleuves Océan, le paysage de la couleur Mississippi", Nicolas Floc’h nous fait voyager, au fil de l’eau. Notre regard navigue sur un immense nuancier de couleurs composé de rectangles pourpres, verts, ocres : ce sont les eaux qui se teignent d’une intensité différente selon les paysages qu’elles traversent. Des environnements variés que Floc’h a choisi de relier visuellement par le noir et blanc, illustrant la connexion subtile entre tous les éléments de l’environnement qui nous entoure, et notre place en son sein. 


    Dans cet épisode, Charlotte Pudlowski plonge dans l'exposition et rencontre Nicolas Floc’h, photographe et plongeur breton, qui mêle arts et sciences pour dévoiler les secrets des mondes subaquatiques à travers ses voyages. Le message de Floc’h permet de comprendre combien, où que l'on soit, l'océan est toujours proche. Son objectif est d’éveiller notre conscience à cette réalité en dévoilant la poésie cachée derrière la technicité et la complexité du monde naturel.


    “Fleuves Océan, le paysage de la couleur Mississippi” est à voir jusqu'au 29 septembre à la chapelle du Méjean à Arles, dans le cadre des Rencontres internationales de la photographie.


    Cet épisode a été tourné par Charlotte Pudlowski et réalisé et mixé par Franck Haderer. La musique originale est de Michaël Liot. Elsa Berthault est en charge de la production.


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  • Sur les images de Debi Cornwall, tout est vrai et tout est faux. Ses photos ne sont pas des mises en scène, mais la réalité qu’elles montrent, oui. À l’entrée de son exposition “Citoyens Modèles” aux Rencontres de le la photographie d’Arles, il y a cette citation de Karl Rove, ancien conseiller du Président Bush : « Nous sommes désormais un empire, et lorsque nous agissons, nous créons notre propre réalité. » Ce sont ces fictions politiques qui nous entourent que Debi Cornwall veut interroger. 


    Dans cet épisode, Charlotte Pudlowski parcourt l'exposition et rencontre Debi Cornwall, qui a été avocate spécialisée dans les droits civiques aux États-Unis avant de devenir photographe, ainsi que la co-commissaire Lydia Dorner, chargée de recherche au musée Photo Elysée, à Lausanne, et en charge du Prix Elysée dont Debi Cornwall était la lauréate en 2023. 


    Citoyens Modèles, l’exposition de Debi Cornwall, est à voir jusqu’en septembre au Monoprix, à Arles dans le cadre des Rencontres de la photographie dont Louie Media est partenaire.


    Cet épisode a été tourné par Charlotte Pudlowski et réalisé et mixé par Franck Haderer. La musique originale est de Michaël Liot. Elsa Berthault est en charge de la production.


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  • Cet été 2024, Les Rencontres de la photographie d'Arles se sont ouvertes dans un contexte particulier. C’était le lendemain du premier tour des élections législatives, trois semaines après la dissolution de l’Assemblée nationale qui avait assommé le pays. Soudain, le festival international de photographie ne semblait plus parler que de politique. 


    En écho à cette séquence politique inouïe, Charlotte Pudlowski vous envoie trois cartes postales sonores depuis Les Rencontres d’Arles. Pour vous faire entendre trois regards d’artistes photographes sur le monde qui nous entoure, et qui se demandent comment montrer un réel si explosif et parfois si peu déchiffrable. 


    Dans cet épisode, une discussion avec Cristina de Middel, photographe et présidente de l’agence Magnum dont le travail oscille entre fiction et photojournalisme. Elle présente cette année Voyage au Centre. Si les personnages en sont des migrants mexicains, c’est la question plus vaste de la perception des migrants de tous pays, de l’empathie, de la perception de l’autre, qui est en jeu ici. Son travail n’est pas une recherche de la vérité, mais celle de l’implication de celui et celle qui regarde, pour encourager un regard critique et propre sur le monde.


    Voyage au Centre, est à voir jusqu’en septembre à l’Église des Frères Prêcheurs, à Arles dans le cadre des Rencontres de la photographie dont Louie Media est partenaire.


    Cet épisode a été tourné par Charlotte Pudlowski et réalisé et mixé par Franck Haderer. La musique originale est de Michaël Liot. Elsa Berthault est en charge de la production.


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  • REDIFFUSION. Cet été dans Pépites, on vous propose de (re)découvrir certains de nos épisodes préférés. Bonne écoute !


    Paloma fait des choses qu’Hugo n’oserait pas faire, et pourtant Paloma et Hugo sont la même personne. Cette semaine dans Pépites, Sébastien Thème vous invite dans les coulisses du personnage de Paloma, vainqueuse de la première saison de Drag Race France et nom de scène d’Hugo Bardin. Il raconte comment le costume de drag queen lui permet d’apprendre des choses sur lui, et comment ses deux personnalités s'entremêlent et se nourrissent mutuellement. Hugo Bardin questionne également la visibilité dans l’espace public et l’importance de prendre le micro pour lutter. Il nous parle de Mylène Farmer, de sa famille cultivée, du poids de la couronne, des privilèges et des menaces lorsqu’”on prend de la place à un endroit où l’on n’est pas désiré”. 


    Pépites est un podcast d'interviews culturelles de Louie Media présenté par Agathe Le Taillandier et Sébastien Thème. Cet épisode a été tourné et monté par Sébastien Thème. Il a été réalisé et mixé par le studio La Fugitive. La musique est de Michaël Liot. L’illustration est de Marie Guu. Charlotte Pudlowski est à la direction éditoriale, Gaétan Lévy à la coordination, accompagné·es d’Elsa Berthault.


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