Episodi
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C’est étrange non ?!?
Juste ce rien.
Ou plutôt si, quelque chose… Le contact du réel.
Juste le son d’une respiration…
Enfin pour moi, parce que j’ai cette chance extraordinaire de vivre dans un lieu retiré de tout.
Pour vous, peut-être, entendez-vous les sons de la ville, des voitures, du chantier au bas de la rue, du chien des voisins qui aboie ou encore l’écho de conversations qui percent les murs…
Mais c’est aussi du réel, du ici et maintenant, moins agréable que le mien, sûrement, mais qu’une fois camouflés par de la musique, de la télé, du remue-ménage vous privent de cet instant du contact avec lui.
Vous coupe de vos repères sensoriels et émotionnels.
Plutôt que maugréer et céder à la facilité de couvrir du bruit par un autre son, qui sert surtout de cache misère à votre colère, pourquoi ne pas vous en éloigner ?
Pourquoi ne pas aller dans ce parc, là, juste à côté, où étrangement votre esprit tourné vers la vie en mouvement, le vacarme cesse d’exister ?
Alors une nouvelle fois vous allez me dire “c’est facile à dire”.
Mais en fait, à moins d’être malade, ou de pouvoir se déplacer, c’est tout aussi facile à faire.
Qu’est-ce qui vous en empêche ?
Peut-être la peur de vous retrouver en face à face avec vos pensées.
Pour cet épisode, vous l’avez compris, je vous propose de nous intéresser à une substance rare dans notre monde multi-connecté et où chacun veut avoir le dernier mot.
Une substance si rare que parfois, elle effraie : Le silence.
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"Le monde est incompréhensible, et nous trouvons du réconfort dans l'échange de nos expériences, nos rêves, nos idées.
Peut-être qu'ensemble, à travers nos mots et nos gestes, nous pouvons commencer à donner un sens à ce chaos.
Car dans le partage, nous trouvons non seulement la compassion, mais aussi la clé pour déchiffrer les énigmes de ce monde en constante évolution.
Il est dans notre nature de chercher à comprendre, et c'est dans la rencontre avec l'autre que nous trouvons la lumière qui éclaire notre chemin dans l'obscurité de l'incertitude."
Albert CAMUS
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Episodi mancanti?
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Certains disent, à raison, que le désir est la force motrice de nos vies.
J’ai faim, je désire manger
J’ai soif, je désire boire.
Je suis au chômage, je désire du travail.
J’ai du travail, je désire des vacances ou changer de boulot.
Je ne suis personne, je désire la reconnaissance.
Je suis en couple et pourtant j’éprouve du désir pour une autre personne.
D’éprouve à épreuve il y a peu.
De fait effectivement, le désir est partout.
La création même de cet épisode de podcast est née d’un désir.
Cependant, certains désirs, sont plus nocifs que d’autres.
Je désire le ou la partenaire de ma ou mon meilleur ami.
Je désire mettre une grande beigne dans la tête de mon boss.
Je désire une cigarette
Je désire anesthésier ma vie à coup d’alcool
Je désire l’argent contenu dans le porte monnaie de cette mamie.
Le désir est un torrent brutal qui parfois submerge les digues de la raison.
Et si nous le laissons faire, il peut s’avérer la force la plus destructrice qui soit car il emporte tout sur son passage et on ne constate les dégâts, parfois irrémédiables, qu’une fois la boue retirée.
Avec ces deux séries d’exemples, on perçoit la difficulté à savoir si le désir est un allié ou un ennemi intime comme j’ai décidé de le nommer dans le titre de cet épisode.
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Aujourd'hui nous allons faire un voyage sur les terres étranges de l’anxiété..
Cette présence qui vrille les boyaux ou nous fait nous dévorer les ongles.
Cette partenaire souvent fidèle que l’on cache par peur du jugement des autres.
Et pourtant en vérité, qui ne l'a jamais ressenti.
À des niveaux plus ou moins forts évidemment.
Plus paralysant chez certains que d’autres.
Pour commencer, nous devons comprendre ce que l’anxiété n’est pas :
Ce n’est pas d’être un peu timide ou gênéCe n’est pas de ressentir de la nervosité lors d’évènements stressants comme un examen, une entrevue pour un nouvel emploi, ou la première rencontre des parents de la personne que l’on aime.L’anxiété est un ressenti plus profond et toujours présent.
Il s'agit d'une réponse naturelle de notre corps face à une situation perçue plus ou moins à raison comme menaçante.
Cependant, lorsque l'anxiété devient excessive et envahissante, elle peut avoir un impact négatif sur notre bien-être physique et mental.
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Après avoir exploré la notion de sens puis celle de travail, nous voilà arrivés au moment tant attendu de la “Quête de sens au travail”.
La quête de sens pousse les salariés à se ré-interroger sur leur rapport au travail et à y rechercher des valeurs plus profondes avec des objectifs plus palpables comme le fait de se sentir utile à la société, de travailler dans un secteur ou une entreprise en phase avec leurs valeurs ou bien d'exercer métier qui leur permettra de trouver un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie privée.
Les attentes sont donc propres à chaque individu, certains seront attachés à la notion de flexibilité au travail, quand d'autres porteront une attention particulière aux perspectives d'évolution ou à la possibilité d'apprendre de nouvelles choses chaque jour.
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Suite de nos aventures sur la quête de sens au travail.
Après le premier volet sur le sens, avec l’orientation de « sens de la vie », je vous propose ici d’explorer un peu ce qu’est le travail à proprement parler.
Avec cette simple question :
« Qu’est-ce que le travail ? »
Simple question.… euh, pas si sûr.
La première chose qui me frappe, c’est que nos lucarnes magiques télévisuelles regorgent de spécialistes, économistes, journalistes, chroniqueurs, politiques traitants du sujet mais visiblement démuni pour trouver un consensus sur sa définition au regard du nombre d’avis différents, et contradictoires.
Peut-être parce que justement, il est difficile de se positionner face à lui tant le mot est utilisé dans tous les sens ?
Mais quelque chose nous réunit globalement tous, le fameux : tout travail mérite salaire !
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C’est certainement l’interrogation éthique et métaphysique la plus fondamentale : quel est le sens de la vie ?
Quelle est la finalité de l’existence ?
Difficile de se dérober à cette question vertigineuse.
Les réponses possibles sont légions : le sens de la vie, c’est se connaître soi-même, trouver le bonheur, aimer (Dieu, son prochain), faire des enfants, posséder une Rolex avant d’atteindre 50 ans…
Comment s’y retrouver ?
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La confiance en soi… Vaste sujet.
C’est l’un des quatre piliers de l’estime de soi avec l’image de soi, l’acceptation de soi et l’amour de soi.
Autant l’estime de soi, dans son entièreté relève d’un travail d’analyse avec un psy, autant la confiance en soi peut être traitée par un coach parce que son manque est souvent révélé par le besoin d’une prise de parole en public.
J'ai eu envie de traiter de ce sujet après avoir suivi la série “The Dropout” disponible sur Disney+ qui raconte l'histoire d’Elizabeth Holmes créatrice à 19 ans de la startup Theranos et qui par sa seule confiance en sa réussite a pu escroquer 9 milliards de dollars aux principaux investisseurs américains.
Sur les murs de son entreprise, elle avait fait inscrire une devise qui a elle seule définie la confiance en soi.
Do... or do not. There is no try.
“Fais-le ou ne le fais pas ! Il n'y a pas d'essai.” Yoda
La consigne que Yoda donne à Luke Skywalker quand il doit faire ressortir son X-Wing de l’eau et la boue de la forêt de Dagobah
La confiance en soi n'est pas teintée de gris.
Elle est blanche ou noire. On fait ou on ne fait pas, il n'y a pas d'entre-deux.
Les eaux tièdes n'ont rien à faire avec la confiance en soi.
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J’ai évoqué précédemment un présupposé de la PNL qui est : La carte ne fait pas le territoire.
Ou dans sa formulation exacte : La carte n’est pas le territoire.
Et j’ai précisé que cette formule était un élément fondamental pouvant créer des problèmes de compréhension entre individus.
Et bien l’objectif de cet épisode, est de revenir sur ce présupposé : La carte n’est pas le territoire.
Pour commencer, il serait peut-être intéressant de revenir sur ce qu’est la PNL ?
La PNL (Programmation Neuro-Linguistique) est une approche de développement personnel qui a été créée dans les années 1970 par Richard Bandler et John Grinder.
La PNL est donc une approche qui vise à améliorer notre communication, notre apprentissage et la réalisation de nos objectifs.
Elle peut être utilisée dans de nombreux domaines, tels que la communication, la vente, la gestion de conflits, le coaching, la psychologie, l'éducation, etc.
Elle peut également être utilisée pour atteindre des objectifs personnels ou professionnels, comme améliorer la confiance en soi, surmonter les phobies, développer de nouvelles compétences, etc.
La PNL se base sur un certain nombre de présupposés.
Il s’agit de postulats que les fondateurs de la PNL préconisent d’adopter dans toute approche de l’étude des relations entre individus.
Ces postulats sont en quelque sorte des croyances qui, comme toutes les croyances, ne peuvent faire l’objet d’aucune « preuve ».
Reproche que l’on fait souvent à la PNL.
Mais ils servent, comme l’indique la psychothérapeuthe Monique Esser dans son livre “La PNL en perspectives” à structurer a priori les connaissances, les procédures et les attitudes élaborées par la PNL. https://www.amazon.fr/PNL-en-perspect...
Les présupposés de la PNL sont donc des hypothèses qui sont considérées comme vraies sans être nécessairement prouvées.
Je prends ici quelques exemples de présupposés.
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Le bonheur n'est pas facile à atteindre parce que le bonheur est un état d'esprit durable, invariant, rien ne doit pouvoir venir l'altérer.
Ce que l'on peut nommer dans un autre registre la béatitude.
Malheureusement, cette vision ne résiste pas aux assauts du réel.
Soyons honnêtes, nous sommes tous dans une inquiétude permanente, avec des fugacité de joie, mais vite rattrapé par : Qu'est-ce que va être demain ?
Il est capital, à mon sens, de distinguer les notions de bonheur et de joie, mais aussi de plaisir obtenu par la satisfaction d'un désir.
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Épisode 0 de ce podcast.
Je suis Laurent Pasquet, coach professionnel.
Et j'aimerais vous proposer un espace pour vous et moi.
Pour se questionner sur les incertitudes, les inquiétudes, les étonnements, les enthousiasmes que nous rencontrons toutes et tous dans le parcours parfois chaotique de nos vies.
Le monde du coaching peut paraître comme une sorte de secte étrange de gens toujours heureux.
Avec de pseudo gourou vous garantissant par un contrat de confiance l’accès au bonheur.
Ici, rien de cela.
Comme vous je doute, je cherche, je me questionne sur qui fait irruption dans nos vies, sans nous demander notre accord et ébranle nos certitudes.
Ici pas ici de recettes toute faites du type :
« Gagnez en sérénités en 5 minutes par jour » ou « Trouvez le bonheur grâce à cette pratique quotidienne »
Juste de l’espace, et du temps pour prendre un peu de hauteur, et pour tenter de grandir vers une nouvelle version de nous même peut-être un peu plus éclairé
Lien vers la vidéo de l'analyse du livre de Julia de Funès : "Développement (im)personnel : Le succès d'une imposture"
https://youtu.be/BCD_tUsgQus
Crédits audio :
Intro et fin : Let It Go - Music by Jonas from Pixabay
Fond sonore : Acoustic Motivation - Music by Yrii Semchyshyn from Pixabay
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