Episodi
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Après avoir découvert l’agriculture sociale dans l’épisode précédent, on plonge dans un exemple concret avec L’Échappée verte, une microferme thérapeutique fondée par Ellena Livet, cheffe de projet à l’association Stiftung Wirtschaft und Ökologie. | À 1300 mètres d’altitude dans le canton du Valais, en Suisse, une microferme est en train de voir le jour. Mais pas n’importe laquelle : cette ferme a pour objectif d’accueillir des requérants et requérantes d’asile qui vivent de la souffrance psychique afin de leur fournir un lieu d’accueil, d’intégration, de valorisation et de bien-être. L’Échappée verte a aussi comme objectif de sensibiliser la population locale aux bienfaits de la nature et accueille en ce sens des groupes d’élèves pour une classe verte hors du commun!
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Les fermes ont été de tout temps des lieux d’accueil et de passage. Et sicet accueil permettait non seulement d’aider les fermiers et fermières, mais permettait de répondre à divers besoins sociaux? On découvre l’agriculture sociale en compagnie d’Andrea Bory, cheffe de groupe Exploitation, Famille et Diversification chez Agridea. | L’agriculture sociale, ou care farming, permet de mettre en relation des besoins très divers (thérapeutiques, liens sociaux, hébergement, insertion professionnelle, etc.) qui ont en commun de trouver une avenue intéressante dans le contact avec la nature, la structure procurée par l’environnement agricole, la communauté créée autour d’un projet de ferme. Et si la ferme prenait autant soin des humains que les humains de la ferme?
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Episodi mancanti?
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D'une idée lancée en l'air il y a près de 5 ans à 100 épisodes et autant de discussions avec nos invité·e·s fascinant·e·s, la création de Mâche-patate a été du pur plaisir, du début à la fin. Mais est-ce vraiment la fin? Écoutez-nous pour le savoir, ainsi que pour découvrir les coups de cœur des coanimatrices, leurs impressions sur leur participation au projet, ainsi qu'un rêve de jeunesse de Marie-Hélène D. (elle attend votre appel si vous pouvez le réaliser!).
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C’est à l’échelle municipale que se trouvent la plupart des leviers permettant de déployer des actions d’agriculture urbaine. Activité relevant à la fois du développement économique, de l’environnement et de l’aménagement du territoire, des loisirs et de la vie sociale, l’agriculture urbaine brise les silos, mais présente du même coup de beaux défis à la réglementation et à la gouvernance. Pour les ajuster, rien de mieux que de travailler collectivement à un plan municipal d’agriculture urbaine.
Dans notre centième épisode (!), on discute des stratégies empruntées par trois municipalités québécoises. On reçoit Florence Boudreau-Pineault, conseillère en environnement à la Ville de Québec, Laurence Lavigne Lalonde, mairesse de l’arrondissement Villeray-St-Michel-Parc-Extension, et Sophie Lajoie, directrice du service Développement de la MRC La Mitis.
N.B. pour les gens hors Québec : Il a été question quelques fois de l’UPA pendant l’épisode. Il s’agit de l’Union des producteurs agricoles. Quant à une MRC, il s’agit d’une municipalité régionale de comté, soit une unité administrative qui gère à l’échelle régionale quelques municipalités locales partageant un territoire très proche. Dans le cas de la MRC de Rimouski-Neigette, elle regroupe la ville de Rimouski et huit (8) villages à proximité.
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Après avoir rencontré le top 5 des plantes médicinales à cultiver chez soi dans l’épisode 9, on découvre aujourd’hui les plantes coup de cœur de Marie-Hélène Noël, propriétaire de l’Herboristerie La Maria. | Et si soigner la nature nous permettait de nous soigner aussi? En laissant la place à la nature déjà présente et en maintenant une oasis de biodiversité dans sa région, La Maria n’a pas seulement créé un écrin de paix et de beauté. Elle y cultive aussi des plantes saines, résilientes, appuyées par tout un écosystème qui maintient l’équilibre. Et ces plantes, en retour, nous offre tous leurs bienfaits, sous forme d’infusions, de teintures mères, de baumes et autres potions.
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Quelle image fait plus « agriculture urbaine » qu’un jardin sur un toit? On discute des toitures végétalisées avec Antoine Trottier, président et cofondateur de La Ligne verte. | Des toits verts à perte de vue : c’est une image presque incontournable de la « ville du futur ». Et ce n’est pas pour rien : en plus de favoriser la biodiversité, de lutter contre les îlots de chaleur et de retenir les eaux de pluie, les toitures végétalisées ont de nombreux avantages pour les bâtiments qu’ils recouvrent. Dans cet épisode, on suit une petite leçon d’histoire, on pose beaucoup de questions techniques, et on se convainc plus que jamais que la végétation devrait être partout!
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Au fil du temps, Hamidou Maïga aura testé la culture de près de 700 variétés de plantes moins communes au Québec, pour la plupart comestibles. Aujourd’hui, avec son entreprise Hamidou Horticulture, il produit semences, jeunes plants et légumes qui permettent la découverte… ou qui réconfortent par leur familiarité. | Aubergines africaines, pois de terre, okra, baobab : (très) nombreuses sont les variétés de légumes ethniques – qui sont liés à la culture d’un pays – qu’Hamidou fait pousser à Montréal. De quoi permettre de cultiver un lien avec sa culture d’origine, et de pouvoir la partager avec fierté et gourmandise! Un vrai amoureux des défis (il faisait pousser des fraises dans le désert!).
Note : Nous sommes désolées pour la qualité du son dans cet épisode!
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Profiter de la construction d’un nouveau bâtiment pour installer un jardin et une serre (ou deux) sur son toit? C’est ce qu’a fait Valéry Lapointe en mettant en place Serre Aeria. | En plein parc industriel à Beloeil poussent tomates ancestrales, melon de Montréal, piments forts et autres délices. On peut même y retrouver, de temps à autres, un fruit de la passion, une pomme grenade, quelques olives… Passionnée par l’alimentation et la santé et engagée dans son milieu, Valéry s’est lancée dans un projet de production locale, qui lui fournit du même coup un agréable milieu où profiter de la chaleur, pour elle, les employé·e·s du bâtiment… et diverses plantes tropicales!
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Shiso, citronnelle, luffa, gai lan, mizuna : les légumes asiatiques méritent de conquérir nos assiettes! D’autant plus s’ils sont produits localement de manière biologique… Discussion avec David Bolduc, maraîcher à la ferme Le Rizen. | À la fois reconnexion à ses propres racines et mode de vie lui permettant de tendre vers la souveraineté alimentaire, le projet agricole de Stéphanie Wang, la fondatrice du Rizen, permet à toute une communauté de découvrir de nouveaux parfums et de diversifier son alimentation, tout en mangeant local. Par la création de produits transformés comme les kimchis, pestos et sauces, l’entreprise permet également d’éviter le gaspillage et de s’approvisionner localement à l’année!
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Standardisation, mécanisation, déconnexion de la nature, charge mentale… autant de facteurs qui influencent le gaspillage alimentaire, d’un bout à l’autre de la chaîne. On en discute et on s’inspire avec Gabrielle Dessureault, coordonnatrice du projet Sauve ta bouffe et chargée du projet Mange-gardiens aux AmiEs de la Terre de Québec, et avec Guillaume Cantin, co-initiateur et directeur de La Transformerie. | Personne ne se lève un matin en souhaitant jeter de la nourriture. Pourtant, le gaspillage alimentaire est si important que sa réduction est l’action prioritaire, à l’échelle planétaire, pour diminuer l’ampleur du réchauffement climatique. Dans cet épisode, on discute des divers enjeux qui influencent le gaspillage dans le système alimentaire nord-américain, des impacts négatifs de ce gaspillage et surtout, on découvre de belles solutions inspirantes!
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Comment attirer les insectes amis et éloigner les ennemis de nos cultures? Discussion avec l’entomologiste Geneviève Labrie du Centre de recherche agroalimentaire de Mirabel. | Mis à part les abeilles domestiques et les bourdons, que l’on reconnaît facilement comme des insectes bénéfiques au jardin, la plupart des bestioles sont perçues comme une menace potentielle pour notre potager. A-t-on raison de s’inquiéter de leur présence? Que devrait-on surveiller? Et comment favoriser la biodiversité à notre échelle?
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L’agronome Lili Michaud se passionne depuis longtemps pour l’économie d’eau au potager et la réutilisation de l’eau de pluie. Elle nous livre ses astuces et trucs pratiques pour ne pas se casser la tête, mais ne pas assoiffer nos plantes non plus! | Après avoir parlé des notions qui gouvernent l’irrigation et discuté de la quantité d’eau à apporter au jardin dans l’épisode précédent, cette deuxième partie de discussion s’attarde aux astuces pratiques pour la gestion de l’eau au potager domestique. Arrosage manuel, aspersion, irrigation au goutte à goutte… quel système d’arrosage choisir et à quel moment l’utiliser? Comment réduire les besoins de mon jardin en eau?
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J’arrose trop ou pas assez? Dans cette première partie de deux sur la gestion de l’eau, on s’attarde aux notions théoriques et aux concepts avec l’agronome Carl Boivin, chercheur à l’IRDA. | La question de l’arrosage hante bien des personnes qui en sont à leurs premières saisons de jardinage. Et c’est probablement parce qu’elle comporte une touche de mystère lorsqu’on ne maîtrise pas bien les nombreuses notions qu’elle implique : structure du sol, besoins des plantes, types de contenants ou aménagement du jardin… et quelques calculs mathématiques (simples, on vous le promet!). Mais au fond, et si c’était plus votre stress que vous vouliez calmer en arrosant que celui de vos plantes?
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Les villes sont recouvertes d’asphalte, de béton et de bâtiments : autant de surfaces sur lesquelles l’eau ruisselle avant de se retrouver dans les égouts et les cours d’eau. Et si on déminéralisait un peu? On découvre le projet Sous les pavés, avec Raphaëlle Dufresne, du Centre d’écologie urbaine de Montréal. | Quand on sait que plus du trois quarts du territoire des villes sont imperméables, et que les précipitations et les événements météo extrêmes risquent seulement d’augmenter dans le futur, ça donne envie d’enlever un peu de béton et d’asphalte pour permettre au sol de jouer son rôle d’éponge. Et déminéraliser a plusieurs bienfaits… en plus d’être libérateur!
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Les restaurateurs ont un impact important dans les chaînes d’approvisionnement. En suivant son cœur et ses convictions, Tim Moroney, propriétaire et chef du restaurant Alentours, a fait le choix d’une restauration durable. | Pour l’équipe d’Alentours, la durabilité se décline de plusieurs façons : qu’on pense à la distance d’approvisionnement, à l’ergonomie en cuisine, à la rémunération des employé·e·s, aux sources d’énergie utilisées, à la gestion des résidus, ou même à la santé des sols. Rencontre avec un chef qui n’a pas froid aux yeux et souhaite amener la restauration… en 2022.
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Pour améliorer notre écosystème urbain, l’une des options qui s’offrent à nous est la forêt nourricière : un aménagement permaculturel qui, en bonus, fournit des récoltes comestibles! On le découvre avec Raph Mouth de Conception Perma-nourricière. | Les terrains gazonnés omniprésents en ville sont un parfait exemple d’un écosystème dégradé. Afin de permettre à la nature de jouer son rôle de régénération, de stocker du carbone dans le sol et les végétaux, de multiplier la vie, les forêts nourricières sont des projets multifonctionnels et fertiles. En plus, elles font aussi bien souvent pousser des communautés!
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On vous présente un tout nouveau podcast québécois : Enracinés.
La nature en ville recèle bien des secrets. Les récits du Théâtre du Renard combinent art et science pour réenchanter votre prochaine balade!
Des champignons aux oiseaux, de la neige aux bactéries, chaque histoire explore des idées fascinantes et méconnues : de la vulgarisation scientifique... et poétique!
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Avez-vous déjà goûté les fruits du sureau, de la viorne trilobée et de l’argousier? On découvre les cultures émergentes avec l’agronome Laurie Brown, de Cultur’Innov. | Située à St-Camille, au nord de Sherbrooke, la coopérative Cultur’Innov exploite un verger expérimental et accompagne les producteur·rice·s qui s’intéressent aux cultures émergentes : petits fruits, noix et produits forestiers non ligneux (PFNL). Qu’ils soient délicieux, comme le kiwi rustique, ou à… apprivoiser, comme l’aronia, ces productions méconnues offrent une panoplie de bienfaits pour la santé et certaines cultures intéressantes pour le milieu urbain!
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Longtemps faite dans le secret des sous-sols, la culture de cannabis peut maintenant se déployer officiellement, même en milieu urbain. Et même si on parle de culture intérieure, ce n’est pas nécessairement de l’hydroponie. Philippe Laperrière, PDG-fondateur de Fuga et vice-président de l’Association québécoise de l’industrie du cannabis, a fait le choix de la culture en sol vivant. En travaillant de paire avec une agronome, il développe petit à petit son terroir et travaille avec engrais verts, insectes prédateurs, travail minimal du sol et intrants biologiques. Le tout en fait main, de la bouture à l’emballage final. Dans cet épisode, on découvre Fuga, micro-producteur de cannabis au nord de Québec, qui a fait le choix d’être un bon citoyen corporatif et de travailler au bien-être des personnes avant tout.
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Les rôles que jouent les arbres dans le milieu urbain sont très nombreux, et distincts de leurs rôles dans les écosystèmes naturels. On les découvre avec Dara Larfeuil-Peressini, ingénieure forestière et chargée de projet à la Soverdi. | La ville est un milieu qui peut s’avérer hostile pour les arbres. Mais pas question de se passer de tous les bienfaits de ces grands végétaux! Il suffit de planter les bons arbres aux bons endroits. La gestion de leur plantation et entretien est également bien différente d’en milieu forestier. Dans cet épisode, on part à la découverte de la foresterie urbaine et on (re)tombe en amour avec les arbres, comme si c’était possible de les aimer encore plus!
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