Episodi

  • đŸŽ€ 11e Ă©pisode avec @isabelle Giraldo
    Extrait de l’introduction de l’épisode :

    ✏ « Vous connaissez l’expression un canari dans une mine de charbon ?
et bien on commence par un point culture !! en fait Elle tire son origine d’une ancienne pratique des mineurs qui emmenaient des canaris en cage dans les entrailles des mines. Quand les canaris arrĂȘtaient de chanter c’était signe qu’il y avait une fuite gaz Ă  proximitĂ© et qu’il fallait Ă©vacuer la mine avant que ça n’explose
 GrĂące Ă  ces canaris aux sens aiguisĂ©s, les mineurs savaient quand il y avait urgence de quitter la mine. Depuis quelques annĂ©es, de plus en plus de jeunes sont comme ces canaris
 par leur engagement, leur cri, leur silence ou tout autre sorte de rĂ©actions, ils interpellent le monde Ă  propos de la situation sociale et environnementale actuelle et Ă  venir
 Sauf qu’on peut quitter la mine. Pas la terre. A part Elon, mais peu de chance qu’ils nous invitent dans sa fuite. »

    La vie d’adolescent, jeunes adultes est trĂšs souvent une pĂ©riode charniĂšre. Quand on lui rajoute des prises de consciences prĂ©coces et des prĂ©occupations (euphĂ©misme de ce dernier mot ???) sur l’état du monde, ça donne un cocktail sympathique pour les jeunes du monde entier. Ce sont des rĂ©actions tout Ă  fait adaptĂ©es et saines comme l’explique Isabelle lors de l’interview. Il convient alors de ne pas laisser ces jeunes s’enfermer dans des sentiments nĂ©gatifs et trop lourds. Comment gĂ©rer ces Ă©motions qui nous traversent ? Et si certains ateliers en collectifs (et seul) nous permettaient de transformer notre fatalisme en une Ă©nergie dense et positive ❓

    C’est toujours un dĂ©fi de rentrer dans le dĂ©tail en 1h d’interview. Dans cet Ă©pisode, on ne donne pas autant d'exemples d’ateliers que je l'aurai voulu mais vous pouvez aller visiter le site d’Isabelle pour avoir plus d’informations.
    https://bio.site/Isabellegiraldo

    Pour finir une citation qui me fait penser Ă  l’annĂ©e de master oĂč j’ai rencontrĂ© Isabelle : « La vie ce n’est pas d’attendre que passe l’orage, mais c’est apprendre Ă  danser sous la pluie » SĂ©nĂšque

    Je vous souhaite une belle Ă©coute de ce dernier Ă©pisode! ❀

  • Les planches de passerelles ont moisi durant l’hiver et aprĂšs un peu de maintenance, il est Ă  nouveau temps d’embarquer pour un nouvel Ă©pisode.
    Avec cette mĂ©tĂ©o aux airs de printemps, ça donne envie de sortir dehors
 de planter des arbres, de jardiner ou tout simplement de poser ses fesses sur une souche d’arbre et d’observer les ĂȘtres vivants s’activer, s’éveiller
 un peu avant l’heure certes !
    6 mois aprĂšs mon passage Ă  Cudos chez GaĂ«tan et Clara, c’est le bon moment pour une nouvelle sortie ! Je vous propose un Ă©change autour des jardins forĂȘts ! C’est quoi ça ?? vous ĂȘtes au bon endroit pour en apprendre plus 😉

  • Episodi mancanti?

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  • đŸŽ€ [RuralitĂ© et Territoires] Sortie du 2e Ă©pisode oĂč j'ai Ă©tĂ© heureux d'interviewer Tanguy Marret et Julie Drouillet Ă  la @basculeargoat

    Dans les 30 premiĂšres minutes de l’épisode on parle d’ancrage territorial, de vie en collectif et aussi de gouvernance partagĂ©e. Le passage oĂč Tanguy dĂ©crit les outils de gouvernance partagĂ©e mis en place Ă  a bascule est un bel exemple de mise en application des propos de Marion Cremona dans l’épisode 5 de Passerelles. Marion fait mĂȘme, parti de l’équipe qui a accompagnĂ© la bascule dans sa crĂ©ation


    En deuxiĂšme partie d’interview, on se concentre plus sur l’engagement de Julie et Tanguy dans la participation au, travail d’élaboration du schĂ©ma de cohĂ©rence territorial (SCOT) du Pays Centre
    Ouest Bretagne. J’ai pu avoir leur retour d’expĂ©rience qui s’avĂšre trĂšs instructif 
 mais gardons un peu de suspens !
    Merci à tous les deux pour votre temps et votre accueil 😊
    Belle Ă©coute Ă  vous toutes et tous ! 🎧

  •  đŸ“Œ L’hiver dernier, en prĂ©parant mon pĂ©riple, j’ai placĂ© un point sur la carte au niveau de la banlieue est de Paris. Ce repĂšre reprĂ©sentait la maison de l’écologie populaire Verdragon. De fil en aiguille et avec un brin de persĂ©vĂ©rance, je me suis rapprochĂ© de Gabriel, co-fondateur de Verdragon. Il a une vision Ă©clairĂ©e de la situation sociale et politique actuelle avec sa casquette de salariĂ© chez les amis de la Terre et de militant chez Alternatiba.  



    Durant cet Ă©change on a parlĂ© d’écologie populaire, un vaste mouvement qui part de constat de dominations et d’inĂ©galitĂ©s environnementales datant de longues dates. L’auteur Malcom  erdinand a notamment documentĂ© ces questions dans son livre « Une Ă©cologie dĂ©coloniale. Penser l'Ă©cologie depuis le monde caribĂ©en ». 🕼  Cet Ă©pisode aborde un sujet assez complexe et la citation du paragraphe suivant illustre bien les Ă©changes qu’on a pu avoir avec Gabriel durant 1 heure dans le parc des Guilands.   



    📜 đŸ–Šïž Eros Sana et Karima Delli, dans une lettre ouverte Ă  Nicolas Sarkozy (Lettre rĂ©digĂ©e en 2010 sur le blog mediapart) Ă©crivaient que « L'Ă©cologie populaire part du constat que crise sociale et crise environnementale sont les deux facettes d'une mĂȘme mĂ©daille : Ă©tant intimement liĂ©es, on ne peut les traiter sĂ©parĂ©ment. Elle opte pour le dĂ©passement du capitalisme par la

    reconversion de la production dans un sens non productiviste, par la relocalisation de l'activitĂ©, par la redistribution des richesses et du temps, par la maĂźtrise collective des biens communs et par la transformation des rapports au travail. »  


  •  đŸŽ€ 9e Ă©pisode avec Marie JosĂ© Tubiana, ethnologue française qui nous parle de son

    combat pour les demandeur-euses d’asile venus du Darfour.  



    En juin, je suis passĂ© quelques semaines Ă  Paris sans savoir que de belles surprises m’attendaient. MĂȘme si je suis de moins en moins fan de l’ambiance des grandes villes, elles ont l’avantage d’offrir une plĂ©thore d’activitĂ©s culturelles (surtout Paris). C’est ainsi que je me suis retrouvĂ© Ă  assister Ă  des projections du festival du film ethnographique Jean Rouch aux cĂŽtĂ©s d’une artiste cinĂ©aste et jury de ce festival.  



    Un des films documentaires nommĂ© la combattante, m’a particuliĂšrement touché  Ă  tel point que j’ai mis toutes les chances de mon cĂŽtĂ© pour organiser une interview Ă  Paris avec Marie JosĂ©, personnage central de ce long mĂ©trage. De fil en aiguille, je parviens Ă  la rencontrer une premiĂšre fois
 puis une seconde quelques temps aprĂšs avec le matĂ©riel audio pour capter sa parole chargĂ©e d’expĂ©rience et d’histoires.  



    đŸ‘¶ Je ne m’attendais pas Ă  rencontrer de telles personnes en partant en avril
 Je ne sais pas Ă  quoi on peut juger de la « grandeur » d’un humain mais j’ai eu l’impression de me retrouver minuscule, comme un bĂ©bĂ© face Ă  Marie JosĂ©. Probablement que ce sentiment venait du fait qu’avant mĂȘme de la rencontrer, j’étais au courant (grĂące au documentaire) de son Ă©norme engagement pour les rĂ©fugiĂ©.es du Darfour. Je pense que j’étais plus intimidĂ© devant Marie JosĂ© que je ne l’aurais Ă©tĂ© devant notre cher prĂ©sident (j’ai jamais dit que ce

    n’était pas un grand homme 👀) 



    Si vous ĂȘtes peu renseignĂ©.es et curieux.ses d’en savoir plus sur tout ce qui tourne autour des demandes d’asile en France et de la guerre au Darfour, cette interview vous Ă©clairera 


     


    Au cours de l’échange Marie JosĂ© nous rappelle bien que les phĂ©nomĂšnes migratoires actuels sont le fruit de causes climatiques. Ces personnes sont des rĂ©fugiĂ©s climatiques avant de devenir rĂ©fugiĂ©s politiques. Les flux de personnes fuyant des terres non vivables est un phĂ©nomĂšne qui ne fait que commencer et il va falloir se poser des vĂ©ritables  questions quant Ă  l’accueil que l’on rĂ©serve Ă  ces personnes...   



    💡 Petite mise Ă  jour d’une information de l’épisode : le film ‘la combattante’ sort au cinĂ©ma le 5ïžâƒŁ  octobre (et non pas en septembre)




    Enregistrée le 28/06/22



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  •  đŸšŽâ€â™‚ AprĂšs des semaines de vadrouille dans le sud Bretagne et sur la cĂŽte ouest, j’ai pris un peu de retard sur la sortie des Ă©pisodes et je vous propose un Ă©pisode Ă  la forme qui s’apparente plus Ă  une enquĂȘte.  



    Pourquoi une nouvelle forme❓ D’abord pour faciliter la comprĂ©hension des auditeur.ices dĂ» au fait qu’il y a un grand nombre d’invitĂ©es. L’autre raison est que je voulais tester un format diffĂ©rent pour essayer de travailler autrement et apprendre de nouvelles mĂ©thodes de montage
 J’avoue ĂȘtre aussi curieux de savoir ce que vous aurez pensĂ© de ce nouveau format
 Qu’est ce qui change ? Est-ce que c’est plus confortable Ă  Ă©couter ? Quelle expĂ©rience ferez-vous de cette Ă©coute ?  



    Je suis d’autant plus fier et ravi de sortir cette interview que celle-ci fait directement

    participer les personnes concernĂ©es par des difficultĂ©s quotidiennes comme la prĂ©caritĂ© alimentaire
 Certes, il y a des milliers de personnes dans cette situation en France et le tĂ©moignage de Micheline et Evrime n’est qu’un parmi d’autres
 Au lieu de donner la parole Ă  des « experts » de la pauvretĂ© comme des chercheurs, ici j’ai pris le parti de composer avec la parole et les tĂ©moignages des plus en difficultĂ©. Quoi de plus parlant que

    d’interroger et de faire participer les personnes directement concernĂ©es par une situation. Les scientifiques et autres spĂ©cialistes de leur discipline ont indĂ©niablement des connaissances pointues ainsi qu’une rigueur de travail mais ils ne sont pas toujours les mieux placer pour parler des vĂ©cus et des expĂ©riences. En gĂ©nĂ©ral, c’est pourtant bien l’écoute des expĂ©riences et des histoires qui touchent nos Ă©motions... plus que les chiffres rationnels qui ne donnent pas autant de volume aux choses.  



    J’étais heureux de rencontrer ces personnes et je trouve leur tĂ©moignage poignant
 j’espĂšre que ça vous touchera aussi ! 🎧  



    Enregistrée le 09/06/22



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  • Quand il s'agit d'aller vers une transformation de sociĂ©tĂ©, il est Ă©vident que les "Ă©co-gestes" que l'on est encouragĂ© Ă  rĂ©aliser pour commencer Ă  faire notre part (et qui permettent de laver nos consciences) ne suffiront pas... Nous ne pourrons pas y arriver sans une transformation en profondeur. NĂ©anmoins, certaines actions individuelles peuvent avoir des impacts assez importants et jouer un rĂŽle politique fort (comme le boycott). C'est probablement le cas des actions qui concernent nos placements financiers et nos consommations.


    En plus, c'est toujours une question de masse. Certains mĂ©canismes vertueux pourraient bien prendre l'allure et la vitesse de transmission de certains petits virus et nous emmener vers un "mieux". On peut donc miser sur les actions collectives & individuelles qui permettraient de proposer de nouveaux rĂ©cits et accĂ©lĂ©rer les prises de conscience et les mises en action. 



    Les monnaies locales et les banques Ă©thiques proposent un modĂšle beaucoup plus vertueux mĂȘme si elles ont encore des limites.. C'est ce dont on a discutĂ© dans l'Ă©pisode 7 avec Tom Baumert 



    Enregistrée le 03/06/22



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  • Dans cette 2nde partie de l'Ă©pisode 6, on se retrouve avec Linda pour discuter de la maison de vacances de la Bise, situĂ©e dans le Jura et qui revendique et agit pour le droit aux vacances pour toutes et tous, en en particulier les plus dĂ©munis. A travers ce projet pilote de la Bise et nos Ă©changes on en apprend un peu plus sur la philosophie et l'ADN de ce mouvement qui lutte contre la misĂšre dans le monde : ATD Quart Monde.


    Belle Ă©coute Ă  vous


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  • Fin avril, je suis allĂ© Ă  La Bise, une maison de vacances familiales appartenant Ă  l'Organisation Non Gouvernementale ATD Quart Monde. Cette maison de vacances qui acceuille des familles vivant la grande prĂ©caritĂ© a marquĂ© mon aventure. A la fin de ce sĂ©jour en tant que bĂ©nĂ©vole, j'ai pu donnĂ© la parole Ă  Linda, volontaire permanente pour le mouvement. 



    ATD Quart Monde Ɠuvre pour lutter contre la misĂšre Ă  travers le monde. On peut entendre parler du Tiers monde, ATD de son cĂŽtĂ© revendique d’aller Ă  la recherche des plus pauvres (le Quart Monde) pour essayer de les sortir de leur misĂšre sans non plus recourir Ă  de l’assistanat. Leur mĂ©thode et leur philosophie sont le rĂ©sultat de nombreuses annĂ©es de

    recherches et de travail avec ceux qui vivent la misĂšre et qui aimeraient avoir une vie digne. 



     Loin d’ĂȘtre un hasard, ce sĂ©jour Ă  la Bise c’est le premier point que j’ai placĂ© sur la carte de mon parcours cet hiver en prĂ©parant mon voyage. Une Ă©tape incontournable qui a marquĂ© mon sĂ©jour par bien des aspects. Je ne m’attendais pas Ă  ce que ce sĂ©jour en tant que bĂ©nĂ©vole me procure autant d’émotions. Passerelles, depuis le dĂ©but, c’est une volontĂ© d’aller vers ce monde de la prĂ©caritĂ© et d’essayer de le croiser avec les dĂ©fis Ă©cologiques. Un grand dĂ©fi mais rencontrer ces collectifs, ces organisations qui Ɠuvrent dans cette direction ça me donne beaucoup d’énergie et d’espoir.  



    Dans cette aventure, il y a l’idĂ©e de sortir de ses cercles de personnes privilĂ©giĂ©s auxquels j’estime « appartenir » pour aller Ă  la rencontre de l’autre. Quand on vient d’un milieu privilĂ©giĂ©, ou d’un monde dans lequel on n’a manquĂ© de rien, on n’a souvent une grande

    mĂ©connaissance et une incomprĂ©hension de la grande pauvretĂ©. Depuis cet hiver, j’ai vraiment dans l’idĂ©e de faire un pas en direction d’une plus grande comprĂ©hension du travail Ă  mener avec les plus pauvres tout en alliant ça aux dĂ©fis Ă©cologiques.  



    Pas une phrase de plus, vous l’avez compris cet Ă©pisode compte pour moi
 Je vous recommande fortement d’aller l’écouter !

     


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  •  Et si d’autres maniĂšres de prendre des dĂ©cisions, de faire ensemble pouvaient s’orienter vers des mĂ©thodes plus coopĂ©ratives et participatives ? C’est notamment ce que propose l’UniversitĂ© du nous !


     

    Ce 5e Ă©pisode se concentre sur « le comment » en Ă©cho avec mon post (sur rĂ©seaux sociaux) « Fondements et fil conducteur de Passerelles » ! On ne discute pas de biodiversitĂ©, d’énergie et de climat mais travailler le moyen c’est s’assurer de prendre soin des humains en activitĂ© (quelle qu’elle soit) ! Que l’on oeuvre dans le domaine de l’écologie ou que l’on travaille dans une raffinnerie de pĂ©trole, le fait de subir les consĂ©quences d’une mauvaise organisation de la structure ou l'on agit peut-ĂȘtre nĂ©faste pour sa santĂ© mentale et physique
  



    Et si l’on veut bifurquer vers un meilleur modĂšle de sociĂ©tĂ©, on doit prendre soin des vivants dont les humains
 On doit ĂȘtre en bonne santĂ© car tout cela demande de l’énergie. De plus en plus de personnes donnent de l’énergie sur leur temps professionnel mais aussi personnel pour faire bouger les choses. Si les relations et les façons de faire ensemble sont soignĂ©es alors les engagements seront plus durables et plus efficaces. En travaillant le chemin, en se concentrant sur plus d’horizontalitĂ© et en dĂ©veloppant des outils et certaines pĂ©dagogies, l’UniversitĂ© du Nous accompagne diffĂ©rentes organisations (assos, entreprises, collectifs) Ă  mieux Ă©voluer ensemble
   



    Enregistrée le 7/04/22



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  • đŸŽ€ Sortie du 4e Ă©pisode ou j'ai Ă©tĂ© ravi d'interviewĂ© Hugo Teissier travaillant chez dorĂ©mi


    🔹 La rĂ©novation Ă©nergĂ©tique du bĂąti Français est un chantier gigantesque qui aurait des intĂ©rĂȘts multiples comme le fait de rĂ©duire le taux d'artificialisation des

    terres (donc protection de la #biodiversité), de réduire nos émissions de GES et notre consommation d'énergie et de matériaux ! Un autre avantage... la création de milliers d'emplois pour accélérer le nombre de logements à rénover et s'en tenir aux objectifs

    ambitieux du gouvernement français. đŸ‘·(D'ailleurs les Ă©mojis de travailleurs ont l'air d'ĂȘtre exclusivement masculins.. ça pose des questions sur ce secteur, sa mixitĂ© et ses orientations futures !?)


    ✊ Toujours dans une logique de lutte contre la prĂ©caritĂ©, j'ai appris rĂ©cemment que la 1ere journĂ©e mondiale contre la prĂ©caritĂ© Ă©nergĂ©tique avait eu lieu le 10 novembre dernier. A l'instar du droit Ă  l'Ă©ducation ou Ă  l'alimentation en France, le fait d'avoir un logement dĂ©cent

    devrait AUSSI ĂȘtre un droit fondamental. On ne discute pas exactement de ce sujet dans l'interview puisque cela concerne plus les maisons individuelles et c'est pour cette raison que je voulais Ă©crire quelques lignes Ă  ce sujet ici!



    Enregistrée le 4/04/22



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  • 🎧 On se retrouve avec une nouvelle Ă©dition nommĂ©e RuralitĂ© et territoires 


    Cette Ă©dition, c’est aussi une sorte d’immersion qui peut faire appel Ă  un travail d’imagination. Une immersion dans un lieu bien spĂ©cial ou une/des personnes ont dĂ©cidĂ© de dĂ©velopper une activitĂ© dans cet espace. 



    Dans ce format d’épisodes, on pourra y trouver des passages comportant des descriptions de lieu. Ça peut ĂȘtre bel exercice que de faire travailler son imagination au rythme des sons et des voix que vous entendrez.  



    Qui dit visite guidĂ©e, dit dĂ©placements. Le son n’est donc pas aussi lisse et ne suit pas exactement la mĂȘme amplitude, mais je vous rassure tout est largement comprĂ©hensible
 Cette ambiance contribue Ă  cette immersion et on peut faire le parallĂšle avec des conversations dans la vraie vie ou l’on entend pas tout parfaitement lorsqu’il y a des sons environnants, notre interlocuteur qui tourne la tĂȘte ou qui s’éloigne de nous durant quelques secondes
  



    👉 Concernant le contenu, on se retrouve dans le Vercors avec Agathe co-fondatrice de Villa Glovettes, une association qui propose des rĂ©sidences d’artistes dans un hameau au dessus de Villard de Lans.  



    N’hĂ©sitez pas Ă  me faire vos retours et bonne Ă©coute !



    Enregistrée le 21/03/2022



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  • Cet hiver pendant la prĂ©paration du projet, un ami m'a parlĂ© de Pascal, restaurateur Grenoblois avec qui il avait eu des conversations trĂšs riches. J'ai dĂ©cidĂ© de le contacter et s'en ai suivi deux rencontres dont une d'interview ou l'on a beaucoup discutĂ© de ses engagements, de son regard d'Ă©lu Ă  la mairie d'Echirolles dans l'opposition et de ses voyages. 


    Malheureusement, les alĂ©as et les diffĂ©rentes contraintes de planning ont fait que je n'ai pas pu interviewer Ă  la fois Pascal et les co-fondateurs reponsables du Maltobar et de l'association, cultivons nos toits. 


    Le projet du bar radis avance bien et je reviendrai leur faire signe dans quelques mois. 



    Cette interview prĂ©sente une Ă©chelle plus macro que les deux premiĂšres mais celle-ci n'en est pas moins intĂ©ressante ! 



    Enregistrée le 17/12/2021



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  • Prendre une nouvelle direction induit souvent du changement.. mais qu'est-ce que le changement ? En quoi est-ce nĂ©cessaire d'accompagner les individus et les structures dans leur transition en faveur des dĂ©fis environnementaux et sociaux actuels ? 



    Dans ce deuxiĂšme Ă©pisode, SĂ©verine Millet a acceptĂ© de me recevoir pour discuter de son expĂ©rience professionnelle de spĂ©cialiste de la dimension humaine du changement. 



    Si vous avez des retours, conseils ou simplement une question sur cet Ă©pisode ou mon aventure vous pouvez m'Ă©crire Ă  : [email protected]



    Un grand merci Ă  mon entourage et tous les ami.e.s qui m'ont aidĂ© ces mois passĂ©s Ă  croire en ce projet en me donnant des conseils et de la motivation !  



    Enregistrée le 17/03/2022



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  • Y a-t-il une seule façon de rompre avec ce systĂšme non soutenable ?

    Et si la solution rĂ©sidait dans la diversitĂ© des actions 
 Une partie de la solution se trouve peut-ĂȘtre dans l’écoute de ses ressentis et de ses Ă©motions pour savoir comment faire autrement tout en Ă©tant en accord avec soi ! 



    Enregistrée le 14/12/21



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