Riprodotto
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durée : 00:29:09 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund - Maëlle et Nadia ont été placées dans des foyers et en famille d'accueil lorsqu'elles étaient enfants. Elles ont fait mentir les statistiques et s'en sont sorties, même si, comme elles le disent, un enfant placé ne guérit jamais complètement de ses blessures.
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durée : 00:28:45 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund - Jérôme est garde du corps. Plus qu'un métier, c'est une vocation pour lui. Alors qu'il est employé par une boîte de sécurité rapprochée, un célèbre gang de braqueurs tente d'infiltrer celle-ci afin de voler le riche client qu'il protège.
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Tech, mode, sport, musique... Ils ont fondé un empire. Nous suivons leur actu.
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6 juin 1944/9 juin 2024, quand le passé et le présent se télescopent… Il y a 80 ans, le débarquement allié en Normandie et le début de la fin de la 2nde guerre mondiale ; aujourd’hui des élections européennes décisives au moment où la guerre est de retour sur le sol européen et menace même de s’étendre… A 4 jours du vote, nous allons en débattre avec nos invités : L’Europe doit-elle encore être synonyme de paix ou doit-elle réapprendre à faire la guerre ? On en débat avec :
Jean QUATREMER, Correspondant européen de Libération Natacha POLONY, Directrice de la rédaction de Marianne Jean DE GLINIASTY, Ambassadeur de France en Russie (2009-2013), directeur de recherches à l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS) Vincent DESPORTES, Ancien directeur de l'école de guerre, professeur à Sciences Po Anne-Lorraine BUJON, Directrice de la rédaction de la Revue Esprit, chercheuse associée à l’Institut français des relations internationales -
Mais pourquoi tant de méfiance vis-à-vis de la politique ? Enquête après enquête, les chiffres se suivent et se ressemblent et démontrent une très grande méfiance des Belges à l’égard des hommes et femmes politiques, à l’égard des partis et des institutions de la démocratie représentative. Pire : la situation s'est encore fortement dégradée ces dernières années. Alors on essaye de comprendre les raisons de cette confiance perdue et aussi de tracer des pistes possibles pour renouer cette confiance. Avec Vincent de Coorebyter (ULB) et Sébastien Brunet (IWEPS)
Merci pour votre écouteRetrouvez bien plus d'épisodes de Déclic, le Tournant sur notre plateforme Auvio.be :
https://auvio.rtbf.be/emission/23265
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Retour sur la grande absente de la campagne des européennes : l’écologie.
Tous les experts le disent : le changement climatique s’accélère et cette élection sera décisive pour la protection du climat et de la biodiversité.
Alors pourquoi passons-nous plus de temps à décrypter le phénomène BARDELLA sur Tiktok qu’à débattre des enjeux climatiques ? Est-ce la faute des politiques ? des médias ? d’une transition écologique punitive, davantage faite de contraintes que d’émancipation ? On en débat avec :
Nabil WAKIM, Journaliste au Monde, producteur du podcast « Chaleur Humaine » Antoine VERMOREL-MARQUES, Député LR de la Loire, membre de la commission du développement durable et de l'aménagement du territoire Marine BRAUD, Consultante des enjeux environnementaux et politiques publiques associées, ancienne conseillère de Élisabeth Borne Féris BARKAT, Cofondateur de Banlieues Climat François GEMENNE, Membre du GIEC, professeur à HEC, enseignant à Sciences Po Paris, président du conseil scientifique de la Fondation pour la nature et l’homme Frédéric DENHEZ, Journaliste, spécialiste des questions environnementales -
durée : 00:29:45 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Antoine Guirimand - En 2005, la Société nationale maritime Corse-Méditerranée est au bord de la faillite et le gouvernement décide de la privatiser. Les marins se mettent alors en grève, montent à bord du navire fleuron de la société, le “Pascal Paoli” et le détournent vers la Corse.
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une éclaircie dans le conflit au Proche-Orient venue de Washington : “Il est temps que cette guerre se termine et que le jour d’après commence” disait Joe BIDEN vendredi dernier en présentant un plan de cessez-le-feu durable et de libération des otages… Alors ce plan a-t-il cette fois-ci une réelle chance d’aboutir ? Est-ce le début de la fin de cette guerre ? On en débat avec :
Denis CHARBIT, Professeur de science politique à l’université ouverte d’Israël, auteur de « Israël et ses paradoxes - Idées reçues sur un pays qui attise les passions » aux éditions La Cavalier Bleu (18.05.23) Pascal BONIFACE, Géopolitologue, directeur-fondateur de l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS), coauteur avec Tommy de « Géostratégix - Un monde de jeux » aux éditions Dunod (05.24) Benjamin BARTHE, Journaliste Le Monde, coauteur avec Gilles Paris et Piotr Smolar de « La guerre sans fin » aux éditions de l’Aube / Le Monde (17/05/2024) Simone RODAN-BENZAQUEN, Directrice de l'American Jewish Committee Europe Jean-Dominique MERCHET, Journaliste à l’Opinion, auteur du blog « Secret Défense », auteur de « Sommes-nous prêts pour la guerre ? » aux éditions Robert Laffont (18/01/2024) -
5ème et dernier épisode de notre série "enjeux élections": Va-t-on vers un nouveau blocage et un long bras de fer de négociations institutionnelles? La NVA sera probablement incontournable et elle veut obtenir la mise en oeuvre du confédéralisme. Les Francophones sont-ils prêts à faire face? Quelles évolutions possibles pour l'organisation de la maison Belgique? Décryptage.
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❤️Découvre la version podcast du JT Cat Nat, l'émission dédiée aux catastrophes naturelles, présentée par CCR : https://smartlink.ausha.co/le-jt-catnat
Jérôme Zindy est vélo reporter. Il produit des reportage sans autre transport que son vélo.
Récemment, il a crée la série La nouvelle aventure mobile, où il a parcouru près de 4000km en véhicule intermédiaire, à mi chemin entre la voiture et le vélo. Il est accompagné par l'ADEME sur ce projet.
Jérôme est l'invité parfait pour vous inspirer et vous faire vous poser la question de votre mobilité quotidienne !
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Le 6 juin 2024, les yeux du monde entier seront braqués sur les plages de Normandie où les Alliés ont débarqué 80 ans plus tôt pour libérer l’ouest de l’Europe. Mais les anniversaires du Débarquement n’ont pas toujours eu cette dimension exceptionnelle, y compris en France ! Au Cœur de l’Histoire accueille le journaliste d’Europe 1 Julien Pichené pour raconter l’évolution des célébrations du Débarquement de Normandie à partir des archives exceptionnelles d’Europe 1.
Les premières célébrations du Débarquement sont plutôt sobres. La guerre reste un épisode douloureux. Pour les 10 ans, la télévision française, encore naissante, ne consacre que 8 minutes à la venue du président René Coty sur les côtes normandes. Le retour au pouvoir du général de Gaulle n’arrange rien. Écarté des opérations du Jour-J en 1944, il estime qu’elles "ne sont pas une affaire française" ! Alors que les témoignages de vétérans commencent à investir les ondes d’Europe n°1, les commémorations subissent la concurrence de la politique : l’élection de Pompidou, puis sa mort les relèguent au second plan. Pourtant, le souvenir des héros de 1944 est loin d’être effacé : en 1976, la première diffusion à la télévision du film "Le Jour le plus long" attire tellement de spectateurs qu’elle aurait provoqué une panne d’électricité massive dans l'ouest de la France !
"D-Day : 80 ans de célébrations" est un podcast Europe 1 Studio
- Auteur et Présentateur : Julien Pichené
- Réalisation : Sébastien Guidis
- Production : Sébastien Guyot
- Archives Europe 1 : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova & Antoine Reclus
- Édition et Diffusion : Nathan Laporte
- Coordination des partenariats : Marie Corpet
- Visuel : Sidonie Mangin
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durée : 00:30:08 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund - À Saint-André-le-Gaz, en Isère, les habitants se connaissent tous. Ici, on se tutoie, on se fait la bise, on appelle la Maire par son prénom. Pourtant, chaque mois, la permanence de Jean-Louis Picano affiche complet. Il est conciliateur de justice et tente de renouer le dialogue entre voisins.
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durée : 00:28:44 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund - Elles ont traversé les épreuves avec un sourire constant, elles ont toujours vu la vie du bon côté, elles sont âgées aujourd’hui mais gardent la fraîcheur des jeunes filles… Ce sont des optimistes.
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En Arabie Saoudite, ce samedi 18 mai 2024, un nouveau roi sera couronné. Un roi de la boxe. Le Britannique Tyson Fury affronte l’Ukrainien Oleksandr Usyk, pour la réunification des quatre ceintures poids lourds. Le gagnant deviendra, comme on dit, le « champion incontesté » de cette catégorie considérée comme la plus prestigieuse. L’enjeu sportif est colossal et les promoteurs promettent « le combat du siècle ».
« Boxe, 4 ceintures pour un couronnement », un Grand Reportage de Marion Cazanove.
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Libéraux contre nationalistes, la Pologne est polarisée à la veille des élections européennes
Avec les élections européennes du 9 juin 2024, la Pologne aura connu trois scrutins en huit mois. En octobre 2023, le pays a voté pour l’alternance après huit années de pouvoir ultraconservateur du parti Droit et Justice. C’est désormais l’ancien président du Conseil européen Donald Tusk qui occupe le poste de Premier ministre, à la tête d’un gouvernement de coalition centriste. Mais si le PiS n'a pu conserver le pouvoir, il n’en reste pas moins le premier parti du pays. Critiqué pour ses atteintes à l’État de droit, le parti nationaliste et ultraconservateur a laissé un héritage, dont le nouveau pouvoir a du mal à se défaire.
Un Grand reportage d'Anastasia Becchio qui s'entretient avec Patrick Adam.
La colère rurale, carburant du populisme aux Pays-BasSuite de notre série spéciale « Élections européennes : la montée des nationalismes en question ». Aux Pays-Bas, où l’agriculture intensive est la norme, les lois environnementales déclenchent la colère des agriculteurs. Un nouveau parti populiste, le BBB (Mouvement agriculteur-citoyen) prospère sur cette contestation. Mais cette colère dépasse les seules questions écologiques. Elle se nourrit aussi d’un discours anti-élite qui va peser lors des prochaines européennes.
Un Grand reportage de Julien Chavanne qui s'entretient avec Patrick Adam.
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Dans le bastion historique de la social-démocratie en Europe, la Suède, le parti nationaliste anti-immigration est devenu le premier parti de droite. Les Démocrates de Suède ont récolté 21% des voix aux dernières législatives de 2022, et sont ainsi devenus l’incontournable allié parlementaire du gouvernement actuel, une coalition de droite qui menace de tomber sans leur soutien. Plébiscité par les classes populaires et les jeunes, ce parti aux origines néo-nazies, jugé infréquentable il y a seulement une dizaine d’années, est désormais au centre du jeu politique suédois.
C’est en Scanie, dans les plaines fertiles du Sud du pays, que les Démocrates de Suède (SD) ont connu leurs premiers succès, au début des années 1990. Et c’est là, à Trelleborg, une ville portuaire de 45 000 habitants, qu’a été élu le premier maire d’extrême-droite du pays, en avril dernier, après plusieurs années de gouvernance en coalition avec les partis de la droite libérale.
Mathias Andersson, homme jovial de 40 ans à la barbe pointue, aux cheveux laqués en arrière et aux poignets tatoués, est chez lui, dans la bâtisse qui abrite l’Hôtel de ville. « Vous savez… J’étais un jeune socialiste ! » souffle-t-il en souriant. « Je viens d’une vieille famille ouvrière. Mes parents étaient socio-démocrates, mes grands-parents aussi. Mais je ne me retrouvais plus dans les questions qui étaient soulevées. On ne parlait plus des travailleurs suédois, mais des LGBTQ. Et quand ils disaient, “ouvrons les frontières aux immigrés”, ça ne me semblait pas très astucieux. »
Le parti historique affaibliLe discours anti-immigré a fait mouche dans cette région dont le chef-lieu, Malmö, troisième plus grande ville du pays, qui se situe à 30 minutes d’ici, a accueilli un grand nombre de réfugiés. « En 2015, quand il y a eu la crise migratoire et que les frontières suédoises étaient grandes ouvertes, on a vu des milliers de migrants débarquer dans le port de Trelleborg et à Malmö. Les immigrés d’aujourd’hui, les musulmans, ils ne travaillent pas, ils touchent les aides sociales et forment des sociétés parallèles, avec leur propre police de la charia. Cette situation a rapproché les gens de notre parti. Il faut une nouvelle politique. C’est comme ça qu’on a viré les socialistes de leur piédestal. Ils étaient le plus grand parti depuis 99 ans, ils allaient fêter leur centenaire en 2018, et nous voilà ! » se réjouit Mathias Anderson.
À Trelleborg, et en Suède, le parti historique du centre-gauche reste la première force politique avec 30% d’électeurs. Mais il est affaibli. Avec la délocalisation des emplois industriels et l’ascension de SD, le vote ouvrier s’est progressivement détourné du parti social-démocrate. En 2022, un an avant les législatives, la première ministre socialiste, Magdalena Andersson, voyant le vent tourner, a décidé d’adopter un ton très dur sur l’immigration.
Suspicion de « fabrique à trolls »« Trop tard ! Nous ne sommes pas dupes ! » s’écrit Milton Kleimann, jeune homme aux rouflaquettes rousses de 24 ans, qui votera SD aux prochaines élections européennes. « Aujourd’hui, les socialistes et la droite sont tous d’accord avec les politiques migratoires de SD alors qu’ils refusaient de débattre avec eux pendant des décennies » constate-t-il. Comme beaucoup de jeunes de sa génération, cet employé d’une boulangerie locale s’est forgé son opinion sur internet. Très présents sur les réseaux sociaux, les Démocrates de Suède auraient même constitué une « fabrique à trolls » pour « manipuler l’opinion des jeunes électeurs », selon une enquête de l’émission d’investigation Kalla Fakta, parue le 14 mai dernier. Plus de 23 faux profils seraient animés secrètement par l’équipe de communication du SD, qui partagerait ainsi de la désinformation, des vidéos calomnieuses et des clips racistes.
Le leader du parti, Jimmie Åkesson, qualifie ses comptes « d'humoristiques » et estime que ces révélations font partie « d’une gigantesque opération d’influence intérieure de la part de l’establishment de gauche et libéral ». Originaire d’une petite ville côtière à deux heures de route à l’est de Trelleborg, Jimmie Åkesson a pris la direction des Démocrates de Suède en 2005. Il avait alors 26 ans. Aujourd’hui, ce tribun aux lunettes transparentes de 44 ans est crédité pour avoir réussi une stratégie de dédiabolisation du parti. Si l’Islam est toujours érigé comme une menace pour la laïcité suédoise, les éléments néo-nazis et les personnalités trop ouvertement racistes ont été écartés.
La coalition au pouvoir dépendante du SD« Ce sont des opportunistes » tranche Jonathan Leman, chercheur au sein du magazine anti-raciste Expo, qui suit de très près la résurgence des idées d’extrême-droite en Suède. « C'est vrai, les Démocrates de Suède ont mis de l'eau dans leur vin, quand ils en ont eu besoin. Mais maintenant qu’ils ont l’espace politique pour aller plus à droite, ils le font ». Il observe que depuis que l’extrême droite a fait son entrée au Parlement en 2010, avec l'élection de Jimmie Åkesson au poste de député, « les organisations néo-nazies, fascistes et ethno-raciales, trouvent que leurs idées - jugées trop extrémistes - se sont normalisées. Ils disent d'ailleurs qu’ils ont plus de facilités à recruter dans leurs rangs. Pour ces groupuscules, la stratégie c’est d’influencer le SD, pour qu’il se droitise. L'extrême droite radicale les utilise comme un cheval de Troie, puisqu'ils sont désormais fréquentables dans le paysage politique ».
Après les législatives d’automne 2023, la révolution qui grondait est arrivée : le parti des Démocrates de Suède est officiellement devenu le principal allié parlementaire de la coalition de droite, menée par le Premier ministre conservateur Ulf Kristersson. Le gouvernement composé des Modérés, des Chrétiens Démocrates et des Libéraux est donc pieds et poings liés, puisque sans le soutien de l'extrême droite, il n’a pas la majorité.
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Comment survivre en Haïti, un pays vérolé par les groupes armés, qui contrôlent l'essentiel de Port-au-Prince, la capitale, et sèment la terreur au sein d'une population déjà épuisée par des années d'instabilité politique ? Les déplacés racontent la terreur et l'exil, le dénuement et l'abandon d'un État incapable de les protéger, qui laisse les autorités locales en première ligne face au risque de la contagion de la violence.
« Haïti, la vie malgré les gangs », un Grand Reportage de Roméo Langlois, Catherine Norris-Trent, Marie-André Bélange, Boris Vichith et Vincent Souriau. Réalisation : Tiffanie Menta.
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Les Mongols n’ont pas peur des tsunamis ou des tremblements de terre, mais ils craignent le « Dzud ». Ce phénomène naturel dont la fréquence augmente avec le réchauffement climatique, a tué plus de 6 millions de chèvres, moutons, vaches, chevaux et chameaux dans les steppes ces derniers mois. En cause : le froid extrême et d’importantes chutes de neige cet hiver dans un pays qui, pourtant, se réchauffe deux fois plus vite que la moyenne.
« Réchauffement climatique en Mongolie, le Dzud décime les troupeaux des éleveurs nomades », un Grand reportage de Stéphane Lagarde.
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