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Savez-vous combien d’archipels comptent les Outre-mer ? La question est plus complexe qu’il n’y paraît. On peut citer par exemple la Martinique qui est une île, Saint-Pierre-et-Miquelon qui est un archipel ou la Polynésie française qui est un ensemble d’archipels. Et c’est là que tout se complique. Alors pour faire connaissance, revenons aux fondamentaux : qu’est-ce qu’un archipel ?
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C'est un mot controversé et qui revient souvent lorsqu’on s’attache à décrire l’identité créole : béké. Aujourd’hui, les békés représenteraient environ 1% de la population de Martinique, soit environ 3.000 personnes. Mais qui sont-ils et d'où vient ce mot exactement ?
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Un carbet, c'est un abri en bois qu'on croise souvent en Guyane. L’endroit idéal pour passer une nuit bercé par les sons de la nature. Mais là-bas, le carbet est bien plus qu’une construction, c’est un vrai reflet de l’histoire de la Guyane.
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Tout le monde sait ce qu'est un job. Mais connaissez-vous le djob ? Et le djobeur ? On pourrait voir dans ce mot un énième témoignage de la créativité de la langue créole. C’est le cas, mais le mot djobeur va bien au-delà. En Martinique ou en Guadeloupe, le djobeur est un personnage réel.
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Quand on vous dit la Soufrière, la Montagne Pelée, le Piton de la Fournaise, à quoi pensez-vous ? À des volcans bien sûr. Et quels volcans ! Si la France en compte plusieurs sur son territoire, c’est dans les Outre-mer que se trouvent les “plus vivants”, les plus actifs.
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Qu’est-ce qui est rond, vert, granuleux et pousse dans un arbre en Polynésie ? Le fruit à pain ! Ou plutôt le “‘uru”. C’est ainsi que les Tahitiens nomment ce végétal qui occupe une place de choix dans leur culture. Il faut dire que sous son aspect insolite le fruit à pain cache une sacrée histoire.
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Le gwo ka est une combinaison artistique mêlant percussions, chant et danse ! Trois langages qui dialoguent dans des prestations envoûtantes et accompagnent fréquemment les festivités, les manifestations sociales et politiques. Découvrons ensemble comment il est devenu un art emblématique de la culture guadeloupéenne.
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Qui n’a jamais rêvé de s’installer dans un hamac pour un "ti moman plézi" ? C’est l’équipement incontournable pour piquer un somme en plein air. Comme le carbet, le hamac a une origine amérindienne et son histoire remonte à loin, très loin.
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La Martinique, tout le monde connaît. Mais avez-vous déjà entendu parler de Wanakaera ? C’est le nom que les Amérindiens lui donnaient avant l’arrivée des Européens. Cela signifie l’île aux iguanes. Ces gros lézards sont l’un des emblèmes de la Martinique mais cet emblème est menacé de disparaître.
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Si vous êtes un jour invité à un mariage traditionnel à Mayotte, vous y serez sans doute accueilli avec un collier de fleurs. Mais pas n’importe lesquelles ! À Mayotte, c’est avec du jasmin que l'on confectionne les parures parfumées. Il en existe plus de 200 espèces dans le monde et l’une d’entre elles est native de Madagascar et de l’archipel des Comores.
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Direction la Nouvelle-Calédonie, c’est là que nous retrouvons les Kanak. Ce peuple autochtone mélanésien est l’une des principales communautés vivant en Nouvelle-Calédonie. Mais qui sont-ils ? Pour le comprendre, il nous faut remonter le temps de plusieurs millénaires.
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Le lamantin, c’est ce gros mammifère aquatique avec un corps fuselé, un museau court et une queue en forme de spatule. Il existe aujourd’hui quatre espèces de lamantins. Celui des Caraïbes est la plus grande d’entre elles. Mais n’essayez pas de le chercher en Martinique ou en Guadeloupe. Là-bas, il n’en existe plus.
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C’est au temps de l’esclavage que ce terme a vu le jour. Des milliers d’hommes et de femmes esclavisés s'enfuyaient des domaines de leurs maîtres pour trouver refuge dans des lieux reculés. C’était ça le marronnage : avoir fui la plantation et tenter de vivre libre.
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Lorsque le soleil se couche sur la Nouvelle-Calédonie, il n’est pas rare de voir des habitants se diriger vers de petites cahutes pour boire un verre entre amis. Ce sont des nakamals : des bars à kava, une boisson fabriquée à partir de la plante du même nom et à laquelle on prête diverses vertus…
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Edith, Inez, Dorothy, Hugo, Irma ou Maria... Derrière ces prénoms se cachent de terribles phénomènes qui ont marqué l’histoire des Outre-mer. Tempête tropicale, cyclone, ouragan, ce sont tous des phénomènes météorologiques, ça, tout le monde le sait. Mais ce qu'on sait moins, c'est ce qui les différencie.
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Chaque année, en Guyane, a lieu un championnat très particulier. Il se déroule en plusieurs tournois et s’achève avec un face à face entre deux finalistes. Sauf que les concurrents ne sont pas des sportifs comme les autres. Ce sont des oiseaux, des picolettes plus exactement. Et dans ce concours, c’est leur chant qui prime.
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Au sujet du quimbois, on pourrait parler de magie, de sorcellerie, de mysticisme, de “guérissage”. On le considère souvent comme un équivalent pour les Antilles françaises, du vaudou haïtien. Mais cette comparaison est loin de satisfaire tout le monde tant le quimbois a sa propre identité.
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À La Réunion, la cuisine est à l’image de l’île et de sa population : un métissage de saveurs françaises, indiennes, chinoises et malgaches. Dans cet épisode, on va vous parler du fameux rougail. Le terme viendrait de “urukay” qui, en tamoul - l’une des langues parlées en Inde - fait référence à un condiment de type pickles. Oui, un condiment !
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Aux Jeux olympiques d’été de 2024, ils seront une quarantaine à affronter la gigantesque vague de Teahupo’o. Ce spot, situé au sud de Tahiti, va accueillir l’épreuve de surf ! Parce qu’à Tahiti, le surf est bien plus qu’un sport : c’est une tradition fortement ancrée dans la culture locale.
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Si on vous parle de tabou, vous savez que vous vous engagez sur un terrain sensible. Le mot a été popularisé en Europe par le psychanalyste Sigmund Freud au début du XXe siècle mais cette notion arrive de bien plus loin... C’est sur les îles polynésiennes que le mot “tabou” a vu le jour.
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