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  • "Quant il eut dépassé le pont, les fantômes vinrent à sa rencontre" : 100 ans après la toute première lecture cet intertitre glace encore le sang de tous les spectateurs du Nosferatu de Murnau (1922). C'est grâce à ce film que le public a pu découvrir pour la première fois le personnage du vampire sur grand écran. 

    Aujourd'hui, nous allons nous attaquer à un mythe : le vampire. Si la photographie a permis de figer le mouvement et de garder en souvenir une trace du passage de l'homme, le cinéma a créé des fantômes. Le septième art enregistre la vie et la donne à voir sans cesse. Il est tout à fait normal alors de retrouver parmi le personnage le plus représenté au cinéma : la figure du vampire. Créature revenue de l'au-delà, elle fascine tant par sa présence macabre (il est le signe porteur des maladie, celui qui propage) que par son caractère qui permet de cristalliser tous les maux de la société. 

    Florence Rochat, conférencière à la Cinémathèque française, nous aide à nous remémorer la lugubre et terrifiante exposition de la Cinémathèque intitulée "Vampire, de Dracula à Buffy". 

  • Retrouvez la suite du premier épisode consacré à la comète Napoléon. 

    Le film est tellement impressionnant, tant par son tournage démentiel que par les quelques 22 versions différentes qui existent de ce Napoléon. 

    Le Napoléon d'Abel Gance est une œuvre emblématique : c'est l'une des dernière superproduction à la française. Deux versions du film existent, la version dite Opéra d'une durée avoisinant les 4h, et la version dite Apollo d'une durée d'environ 9h. Le film connu beaucoup de modification, notamment par son auteur qui modifia sans cesse le montage de son film et qui alla même jusqu'à remanier son propre film créant ainsi d'autres films. Depuis 1953, plusieurs restaurations ont eu lieu pour montrer le film dans sa version d'origine, sans remaniements. Malgré les cinq restaurations précédentes, la Cinémathèque française lance, en 2008, une mission d'abord d'expertise et ensuite commande la restauration du film.

    Vous l'aurez compris, nous allons aborder la question de cette restauration (toujours en cours) avec Georges Mourier, chargé de la mission d'expertise et de restauration du Napoléon d'Abel Gance auprès de la Cinémathèque française.

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  • Il y a des films qui marquent l'histoire, le film que nous allons (re)découvrir aujourd'hui est une œuvre monumentale et exceptionnelle. 

    Le Napoléon d'Abel Gance est une œuvre emblématique : c'est l'une des dernière superproduction à la française. Deux versions du film existent, la version dite Opéra d'une durée avoisinant les 4h, et la version dite Apollo d'une durée d'environ 9h. Le film connu beaucoup de modification, notamment par son auteur qui modifia sans cesse le montage de son film et qui alla même jusqu'à remanier son propre film créant ainsi d'autres films. Depuis 1953, plusieurs restaurations ont eu lieu pour montrer le film dans sa version d'origine, sans remaniements. Malgré les cinq restaurations précédentes, la Cinémathèque française lance, en 2008, une mission d'abord d'expertise et ensuite commande la restauration du film. 

    Vous l'aurez compris, nous allons aborder la question de cette restauration (toujours en cours) avec Georges Mourier, chargé de la mission d'expertise et de restauration du Napoléon d'Abel Gance auprès de la Cinémathèque française.