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  • Dans cet épisode, Jean- Luc Crétier, dit Kbou, nous fait revivre avec émotion cette journée unique du vendredi 13 février 1998 où il devient champion Olympique de descente en ski alpin, Il nous révèle cette anecdote folle qui aurait pu complètement le déstabiliser, quand il se rend compte qu'il a oublié sa combinaison de course et également son choix stratégique de ralentir avant un passage clé qui sera fatal à Herman Maier.

    Auparavant on retrace ses débuts en compétition sous les conseils de sa cousine Daniele Debernard double médaillée Olympique. Kbou nous parle de l'importance de ce groupe top gun avec Franck piccard, Luc Alphand et Denis Rey ainsi que son travail avec un préparateur mental 3 mois avant son titre olympique.

    Puis on a parlé de sa fin de carrière douloureuse, de sa reconversion et sa passion intacte pour le ski.

    Des émotions, de la passion, des anecdotes à foison dans ce nouvel épisode de #belletrace


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  • Au micro de #belletrace j’ai eu le bonheur d’accueillir un esthète du golf.

    Surnommé « le métronome » par ses pairs il a gagné de nombreux tournois européens dont un qui s’est terminé au bout de 2h 15 de playoff.

    Raphaël Jacquelin nous partage ses grands moments, ses rencontres, sa méthode de travail et ses projets actuels.

    Raph nous partage ses moments de complicité lors des coupes du monde en double avec son complice Greg Havret et une annecdote sympa au départ du 18 de Shenzen. On parle de ses débuts en coaching et du sénior tour, de ses routines.

    Bref encore un top épisode avec un sportif complet et passionné !


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  • Philippe Bozon a été le premier joueur français de Hockey sur glace en NHL.

    Sport peu médiatisé en France à son grand regret, il nous partage son parcours, sa découverte d’un sport bien différent de l’autre côté de l’atlantique où il a subi beaucoup d’intimidations physiques et verbales mais qui ne l’empêcheront pas d’atteindre son rêve.

    Une carrière pro de 24 ans poursuivie en Europe avant de basculer vers le coaching aujourd’hui en équipe de France. On a parlé de la gestion de ses émotions, du mental (80% de la performance selon Philippe) de sa manière de coacher en équipe de France aujourd’hui la nouvelle génération de joueurs, notamment ses 2 enfants et notamment de ce moment de vie incroyable lors de la méningite de Tim « le miraculé » au Canada il y a 10 ans.

    Un épisode vraiment très intéressant à découvrir !


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  • Aujourd’hui au micro de Belle trace je reçois le magicien de la petite balle jaune dixit l’immense Pete Sampras. Fabrice Santoro avec sa malice et son intelligence de jeu a battu la plupart des meilleurs joueurs mondiaux et en jouant à 2 mains des 2 cotés. Il nous parle de ses émotions lors de ce match décisif de la Coupe Davis à 18 ans et de la confiance accordée par son capitaine Yannick Noah, avec qui il dansera « Saga Africa » sur le cours lors de la victoire de la France en 1991.

    Impressionné par Agassi et Fédérer, aujourd’hui il commente toujours le tennis et adore relever des défis qu’il n’est pas sûr de réussir car il aime l’adrénaline de l’incertitude.

    Bref un épisode riche et passionnant !


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  • Je vous propose un épisode de #belletrace « hors piste », court (20mn) mais exceptionnel avec une légende du patinage artistique. C’est une icône du sport mondial, une femme qui a révolutionnée son sport et la société. Madame Katarina Wiit

    C’est donc un honneur de l’avoir reçu au micro de Belle trace tant elle se fait rare dans les médias. Merci @sportelawards

    C’est un podcast en anglais donc pas possible de le sous-titrer… mais voici en français les grandes lignes et messages de Katarina. (si vous souhaitez la transcription complète MP)

    Sinon bonne écoute en anglais


    « je ne fais pas juste du patinage sur glace..., cela demande beaucoup de compétences difficiles avec une superbe chorégraphie et la plupart du temps, vous ressentez ce que vous faites, vous savez, vous ressentez la musique, le public. Mais pour moi c’était plus : j'aime être devant un public, ce sont tellement de bons moments. Quand tu es dans un spectacle aussi, tu sais et il fait noir, tu as une place et avant que la musique ne commence tout est silencieux et vous pouvez juste entendre une aiguille tomber, vous savez, puis vous êtes capable de transformer tout sur cet anneau de glace et vous les amenez dans votre performance, vous terminez et vous obtenez ces applaudissements, vous savez et c'est tellement gratifiant »


    « vous savez que vous entrez dans ce tunnel de concentration, vous bloquez tout ce qui vous entoure, donc vous n'avez aucune sorte de distraction et vous vous concentrez vraiment. Vous donnez à vos muscles le moment de mémoire musculaire, vous savez alors pourquoi vous vous êtes entraînée pendant tant d'années et si dur donc en gros ton corps sait quoi faire sans le dire. Tu sais que c'est automatique tu sais que tu dois juste le faire.

    Je pense que l'une de mes plus grandes forces était que je pouvais être plus performant et sous la plus grande pression lorsque le prix était le plus élevé et je savais que je n'avais aucun moyen de le faire, c'est à ce moment-là que j'ai le mieux concouru, »

    Sur le bord de la patinoire, Je baillais ! les autres devait dire : oh mon dieu, elle s'en fiche de la compétition. C’est étrange, elle est tellement détendue. Mais c'était un mélange d'être vraiment nerveuse et d'essayer d'avoir plus d'oxygène a rendu mon corps ok je bâille tu sais juste avoir plus d'oxygène c'était mon mode de préparation.

     

    Sur la pression du résultat, je lui ai demandé comment elle avait généré cette pression médiatique des journalistes ce qui ne l’a pas du tout gêné à la différence de la pression des instances de son pays l’Allemagne de l’est:

    « à cause de la guerre froide, vous savez, nos propres pays ont également beaucoup utilisé le sport pour dire que nous avons de très bons athlètes, ce qui signifie que le socialisme est meilleur que ce que vous avez, c'était donc ça donc la véritable pression sur nos épaules. sauf que je veux dire tu ne vas pas à la compétition en pensant :ok je dois gagner mais c’est ce qui m'a fait peur de rentrer à la maison avec un échec. Car les officiels du pays me disaient : »tu sais ton pays paie pour vos sports et vous devez ensuite rembourser en gagnant… » Heureusement, je n'ai pas eu beaucoup de ces moments parce que la plupart du temps, j'ai gagné mais honnêtement, j'aurais eu peur de rentrer à la maison avec une défaite, »

     


    Sur son entraineure : J'avais besoin d'un entraîneur fort comme mon Jutta l’était et je la respecte pour ça, mais la façon dont elle m'a traitée et à quel point elle était dure avec moi, c'était parfois blessant et je pense que c'est pourquoi je ne pourrais jamais faire ça à quelqu'un d'autre, tu sais, même si maintenant, bien sûr, il y a d'autres éthiques dans la façon dont tu enseigner à quelqu'un je veux dire il y a 35 ans c'était une époque différente

     


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  • Alors que démarrent les championnats du monde de Biathlon à Nove mesto, c’est le champion olympique de Turin @Vincent defrasne qui est venu nous partager au micro de #belletrace, sa passion pour ce sport devenu si populaire.

    Vincent nous fait revivre cette journée folle où il coiffe l’immense Bjordalen au sprint, mais aussi ses émotions partagées avec le staff de l’équipe de France. Il rend également hommage à l’immense @Raphael Poirée avec qui il a gagné une médaille olympique en relais.

    On a parlé aussi reconversion avec son rôle de consultant TV et de la création de sa marque de vêtements Outdoor AYAQ où il s’investit totalement car c’est exactement sa manière de fonctionner, pas de demi-mesure.

    Encore une sacrée Belle trace à découvrir !!


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  • C’est avec un grand plaisir que j’ai reçu pour la première fois une footballeuse au micro de Belletrace, Jessica Houara-d’Hommeaux.

    Un épisode très enrichissant où elle nous partage les grands moments de sa carrière en équipe de France et en club mais également ses choix de vie avec le port du turban et son regard sur la place des femmes musulmanes. Elle nous parle de sa peur d’avoir un enfant pendant sa carrière et son admiration pour Amel MAJRI qu’elle a suivi pour son documentaire Baby-Foot.

    Bonne écoute


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  • C’est un sage, un champion tellement inspirant que je vous propose d’écouter dans ce nouvel épisode de Belletrace.

    Dés le début Stéphane nous parle du sport comme un équilibre de vie, un régulateur d’humeur qui est un enjeu de santé publique.

    On replongera dans son enfance et de ses débuts dans l’athlétisme dont la motivation a toujours été la passion de la course et surtout la recherche de sa propre excellence et non un combat contre ses adversaires. Lui qui a été accompagné pendant 16 ans par Fernand Urtebise son coach qui avait pour objectif de faire grandir ses athlètes.

    Stéphane Diagana déclare d’ailleurs qu’il adorerait être coach ! A bon entendeur...

    Nous avons bien sûr parlé de ce fléau du dopage, ainsi que de ce titre de champion du monde en 2003 en relais et de ses doutes sur sa participation.

    Dans cet épisode vous découvrez également ses autres passions…

    Bref une superbe belle trace inspirante.


     


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  • Dans cet épisode je vous propose d’écouter un passionné de son sport, le ski alpin, qui l’a amené sur les plus beaux podiums.

    Yohann Clarey, vice champion olympique de descente en 2022 et médaillé mondial, nous parle de sa relation particulière avec les 2 pistes de descentes les plus impressionnantes et difficiles du circuits coupe du monde: Bormio et Kitzbuhel.

    Yo nous parle des moments particuliers dans cette cabane de départ qu’il a appris à aimer et à dominer sa peur. 

    Nous avons parlé de ses forces et faiblesses, de l’esprit unique de cette confrérie des skieurs de vitesse. 

    Ces liens qui leur ont permis de surmonter ensemble le décès de David poisson.

    Enfin il nous parle de sa carrière où il a notamment explosé sur le tard aux yeux du grand public, et surtout cette auto analyse qui l'a fait grandir et progresser en tant qu'homme.


    Bref un épisode riche et passionnant

    Bonne écoute.


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  • Alain Blondel est l’invité de Flo Masnada cette semaine dans Belle Trace. L’ancien champion d’Europe de décathlon occupe aujourd’hui le poste stratégique de Sports Manager pour les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. Dans le podcast, il revient sur son parcours d’athlète, d’entraîneur, de manager et désormais son rôle dans l’organisation des Jeux de Paris 2024.


    Alain Blondel occupe un rôle clé pour Paris 2024, celui de Sports Manager. A ce titre, l’ancien décathlonien est responsable de l’organisation des épreuves d’athlétisme et de para-athlétisme. Il nous explique en quoi consiste son rôle (34:55) que ce soit au stade mais aussi en dehors avec les épreuves de marathon et de marche.


    Co-organisateur des championnats d’Europe à Zurich en 2014, il se sert de cette expérience pour mettre en place le grand barnum de l’été prochain. "C’est quelque chose d’exceptionnel et en plus je l’organise chez moi", affirme-t-il même s’il reconnait que c’est quelque chose de très exigeant. "Ça va plus vite que je le ne pensais, poursuit-il. C’est une énorme machine à laver, une lessiveuse dans laquelle tu te fais broyer assez souvent, assez régulièrement."

     

    Au cœur de cette machine, Alain Blondel connait sa mission par cœur. Son calendrier est clair dans sa tête et il doit être prêt pour le début des épreuves d’athlétisme. "Le 1er août c’est la marche avant le décathlon le jour suivant", récite-t-il. "Comment faire en sorte que ça fonctionne ? C’est ça mon objectif." 


    Bonne écoute !


    Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :


    Christophe Pinna : "L’art martial c’est ce qui m’a évité la rue"


    Dorian Coninx : "On ne peut pas gagner un triathlon à la natation mais on peut le perdre"


    Yoann Huget : "Tous les joueurs se voyaient Champions du monde !"


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    Retrouvez tous les podcasts d'Eurosport ici.


    Animation : Flo Masnada


    Production : Eurosport


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  • Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Enak Gavaggio, ancien skieur acrobatique et personnage à part dans le ski français.


    Le sport et le risque, voilà deux ingrédients qui font saliver Enak Gavaggio, lui qui s'est "un peu tout cassé" (2:20) à forcer de chuter à ski, en VTT ou en parapente. "J'ai horreur de rester dans mon canapé, j'ai besoin de bouger", raconte le Savoyard de 47 ans, qui s'adonne aujourd'hui au hockey sur glace depuis cinq ans.


    Rentrer dans un moule, ça n'a jamais été pour lui. C'est ce qui l'a poussé vers le free ride et le ski cross, et l'a ainsi éloigné du ski alpin : "on n'avait pas le droit d'avoir les cheveux colorés ou longs, d'écouter la musique dans le bus. J'aurais préféré être Américain." (12:04) Enak Gavaggio a eu un coup de cœur pour une discipline faite de "confrontation directe" (17:43), comme s'il montait "sur un ring de boxe", mais a aussi embrassé l'aspect stratégique. "Je faisais exprès de doubler dans les endroits où on pensait que c'était impossible", partage le médaillé de bronze aux championnats du monde 2007 de ski cross. (21:47)


    Enak Gavaggio explique aussi comment est né son personnage de "dark lord", lui qui, auprès des autres skieurs, se faisait passer pour "un branleur (29:40) mais pense avoir beaucoup plus travaillé que les autres, dans l'ombre. A la fois relax et concerné, libre et déterminé, toujours dans la remise en question.


    Bonne écoute !


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    Animation : Flo Masnada


    Production : Eurosport


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  • Pour une fois, la bouteille à la mer a été trouvée ! Quand Flo Masnada a contacté Adil Rami pour participer au podcast, c'était sans grand espoir d'avoir une réponse. Et pourtant, le champion du monde 2018 a bien accepté de prendre part à ce nouvel épisode de Belle Trace.


    A 37 ans, le défenseur est sans club après son aventure à l'ESTAC. A l'occasion du Sportel à Monaco, Flo Masnada est revenu avec lui sur sa carrière atypique, lui qui n'a pas connu un parcours classique. Sans être passé par un centre de formation, Adil Rami a réussi à devenir footballeur professionnel à Lille où il a remporté le championnat de France en 2011.


    Une ascension jusqu'au graal, le mondial 2018 avec l'Equipe de France qui a fait entrer le natif de Bastia dans la légende des Bleus.


    Très suivi sur les réseaux sociaux, il évoque sa relation avec la notoriété, et revient sur les moments difficiles de sa carrière.


    Bonne écoute !


    Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :


    Serge Betsen : "Je n'avais pas tous les outils pour jouer en équipe de France"

    Dorian Coninx : "On ne peut pas gagner un triathlon à la natation mais on peut le perdre"

    Florian Jouanny : "Je passe mes vitesses avec la tête, tout a été pensé pour la performance"


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    Animation : Flo Masnada


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  • Quelques jours après la fin de la Coupe du Monde de Rugby en France, Flo Masnada reçoit Yohann Huget dans le podcast Belle Trace. Une chose est sûre, c'est que l'ancien rugbyman n'aurait jamais pu être un skieur ! A l'écouter, sa rééducation du côté de la Savoie ne reste pas dans ses moments favoris !


    Retraité depuis la fin de la saison 2021, Yoann Huget a été consultant pour la dernière Coupe du Monde. Impossible de ne pas revenir sur l'échec des Bleus en quart de finale face à l'Afrique du Sud. D'autant plus que tous les joueurs lui avaient dit, ils se voyaient Champions du monde !


    Avec Flo Masnada, l'ancien joueur joueur revient sur sa carrière, ses débuts au Stade Toulousain, le club de sa vie. Plus qu'un club, une famille comme il l'explique malgré un palmarès inégalé dans l'Hexagone. Une carrière aussi marquée marquée par des échecs comme sa non-participation au Mondial en 2011, sa grosse blessure quatre ans plus tard avant de faire partie de l'équipe qui s'est lourdement inclinée contre les All Blacks en 2019.


    Mais la carrière de Yoann Huget a aussi été marquée de trophées, comme celui gagné en 2010 avec le Stade Toulousain. Flo Masnada vous permet aussi de découvrir son après-carrière, lui qui est passé par le CDES à Limoges pour se former.


    Sans oublier les rencontres qui l'ont marqué !


    Bonne écoute !


    Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :


    Serge Betsen : "Je n'avais pas tous les outils pour jouer en équipe de France"

    Dorian Coninx : "On ne peut pas gagner un triathlon à la natation mais on peut le perdre"

    Florian Jouanny : "Je passe mes vitesses avec la tête, tout a été pensé pour la performance"


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    Animation : Flo Masnada


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  • Flo Masnada reçoit Sébastien Amiez dans Belle Trace. Mis très jeune dans le bain du ski alpin de haut niveau, le natif de Moûtiers découvre les JO pour la première fois en tant qu'ouvreur à Albertville. Selon lui, alors en pleine ascension fulgurante, ce premier contact avec les Jeux Olympiques a marqué toute une génération de skieurs français. "Bastoune" connaît rapidement le succès avec un petit globe de cristal remporté sur le slalom en 1996 puis connaît ensuite une carrière en dents de scie avec des douleurs récurrentes.


    Le slalomeur revient longuement, évidemment, sur Salt Lake City, où il remporte la médaille d'argent derrière Jean-Pierre Vidal, après une seconde manche "de rêve". Il plaisante même : "j'ai même été champion olympique un moment".


    Désormais, il est consultant pour la télévision, tout en gardant une grosse proximité avec le ski de haut niveau puisque son fils dispute la Coupe d'Europe depuis 2 saisons. Pour le vice-champion olympique et vice-champion du monde, la transmission aux jeunes est une valeur fondamentale et il regrette de ne pas être plus sollicité à ce sujet.


    Bonne écoute !

    Ecoutez d'autres épisodes de Belle Trace :

    Serge Betsen : "Je n'avais pas tous les outils pour jouer en équipe de France"

    Dorian Coninx : "On ne peut pas gagner un triathlon à la natation mais on peut le perdre"

    Florian Jouanny : "Je passe mes vitesses avec la tête, tout a été pensé pour la performance"

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    Animation : Flo Masnada

    Production : Maxime Ducher


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  • Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Christophe Pinna, 6 fois champion d’Europe et quadruple champion du monde de karaté. 


    Mais avant de se mettre au karaté, Christophe Pinna a commencé les arts martiaux en découvrant le taekwondo. Au départ, le Niçois atterrit dans un dojo par la volonté de ses parents qui souhaitaient le voir canaliser son énergie et apprendre la rigueur et la discipline. “Le taekwondo, c’est un sport éducatif avec des valeurs martiales” (3:40) explique-t-il. Pour Christophe Pinna, cela a à la fois été une “punition” autant qu'une belle chance”, car finalement : “L’art martial c’est ce qui m’a évité la rue.” (6:45), confie-t-il.


    Alors qu’il fête ses 17 ans, Christophe Pinna voit sa mère, touchée par de multiples cancers, décliner peu à peu. Il décide alors de se réfugier dans le sport. A la mort de celle qu’il a tant aimée, Christophe Pinna s’enferme dans son garage plusieurs heures par jour et s’entraîne, frappe dans un sac jusqu’à en saigner des poings. Il prend alors le sport comme un exutoire. “La seule manière de me faire passer à travers (cette épreuve) c’était de me faire souffrir” (9:40), dévoile-t-il.


    Puis arrive son service militaire et une période difficile d’un point de vue financier. Christophe Pinna doit manger à l’Armée du Salut et dormir dans un gymnase où il s’entraîne désormais au karaté. “J’ai toujours voulu m’entraîner seul” (26:15), ajoute le champion, ce qui lui a valu une relation tumultueuse avec sa fédération. Malgré tout, Christophe Pinna performe au plus haut niveau en s’imposant une discipline de fer. “Celui qui ne se lève pas à 4h du matin qui n’est pas énervé ne peut pas être aussi fort que celui qui est énervé” (35:22), assure-t-il.


    20 ans après avoir pris sa retraite, le Niçois décide de revenir à la compétition à 52 ans en repartant par le bas, le championnat départemental. Son âge lui cause de vives douleurs mais “je n’avais pas le choix, répète-t-il. Quand on a un rêve on est obligé d’aller au bout” (37:30). Sauf que le Covid est passé par là… Après sa deuxième retraite sportive, Christophe Pinna part un temps en Grèce, avant de travailler au Ministère des Sports puis de devenir entraîneur aux Etats-Unis.


    Mais au-delà de sa carrière sportive, le quadruple champion du monde a été révélé aux yeux du grand public en devenant coach sportif pour l’émission Star Academy (49:30). Enfin, Christophe Pinna revient sur ses passions : le ski, la course à pied ou encore le jet-ski…


    Bonne écoute !

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    Serge Betsen : "Je n'avais pas tous les outils pour jouer en équipe de France"

    Dorian Coninx : "On ne peut pas gagner un triathlon à la natation mais on peut le perdre"

    Florian Jouanny : "Je passe mes vitesses avec la tête, tout a été pensé pour la performance"

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    Animation : Flo Masnada

    Production : Maxime Ducher


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  • Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Thomas Castaignède, ancien international français de rugby, double vainqueur du tournoi des Cinq Nations, vainqueur du tournoi des Six Nations et quadruple champion de France avec le Stade Toulousain.


    Pourtant titré à de multiples reprises dans sa discipline, Thomas Castaignède commence ce podcast par une réflexion toute personnelle qu'il a eu au cours de carrière : "Ça doit être incroyable de se dire qu'on est vraiment le meilleur du monde, contrairement aux sports collectifs où l'on peut se cacher derrière les autres." (2:05) Une réflexion qui va mener la discussion vers ses débuts dans le rugby et comment il a arrêté pendant deux ans d'y jouer pour pratiquer l'athlétisme à cause d'un sacré caractère.


    Thomas raconte ensuite son passage au Castres Olympique et sa rencontre avec Pierre Fabre, un homme qui a changé sa vie selon ses propres mots. Un homme qui lui a permis de traverser sa vie de sportif, une "vie cruelle" comme il le dit, de la meilleure manière possible. (9:03) Il compare son expérience avec la génération actuelle et s'inquiète de la santé mentale des joueurs une fois leur carrière terminée.


    Le natif de Mont-de-Marsan évoque ses plus beaux souvenirs et notamment son premier jour dans le vestiaire du Stade Toulousain, alors occupé par une grande partie du XV de France de l'époque... Mais aussi d'autres plus douloureux à l'image de sa blessure au tendon d'Achille (21:30)


    Joueur du Stade Toulousain entre 1994 et 1997, Thomas Castaignède, qui s'est investi dans le club par la suite, a eu la chance de voir les débuts d'Antoine Dupont, qu'il n'a "jamais vu être mauvais". Il raconte ensuite les autres champions qu'il a pu rencontre tout au long de sa carrière de Jonny Wilkinson à Tim Horan en passant par Jonah Lomu ou Serge Blanco. (30:08)


    Enfin, il évoque en un mot l'évolution du rugby qui selon lui, est passé d'un sport collectif à un sport beaucoup plus individualisé, notamment dans sa préparation. Une évolution qu'il n'apprécie guère. (45:34)


    Bonne écoute !


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    Serge Betsen : "Je n'avais pas tous les outils pour jouer en équipe de France"


    Dorian Coninx : "On ne peut pas gagner un triathlon à la natation mais on peut le perdre"


    Florian Jouanny : "Je passe mes vitesses avec la tête, tout a été pensé pour la performance"


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  • Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Marc Maury, ancien décathlonien, consultant athlétisme et présentateur d'événements sportifs.


    Marc Maury raconte comment il est devenu décathlonien (03:50). Après le football, il remporte des cross country en Algérie. "Je devais faire de l'activité, j'étais un peu hyperactif, sinon à la maison c'était l'enfer." Après être devenu champion d'Algérie cadet puis junior, Marc Maury explique comment sa curiosité sur une piste d'athlétisme l'a emmené au décathlon.


    Après cette première aventure dans l'athlétisme (15:30), Marc est affecté à Paris comme professeur. Après trois ans d'enseignement, l'envie de découvrir autre chose est plus forte. Il commence sa carrière d'animateur puis de mannequin. "J'ai gagné en une journée comme mannequin, un an de salaire de professeur", déclare-t-il.


    Recruté par Charles Biétry à Canal plus, Marc se souvient de l'évolution de la télévision dans le sport (28:40). Le speaker des grandes compétitions explique comment il prépare les interviews d'après match. Il partage une anecdote où, avant la course, il savait que Asafa Powell avait perdu juste en voyant son expression.


    Pour finir, Marc Maury partage ses souvenirs (45:20) avec les différents grands champions comme Bolt, Federer, Nadal et bien d'autres.


    Bonne écoute !


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    Animation : Flo Masnada


    Production : Eurosport


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  • Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Serge Betsen, ancien international français de rugby, triple vainqueur du tournoi des Six Nations et triple champion de France avec le Biarritz olympique.


    Serge nous raconte son départ du Cameroun pour la France à seulement 9 ans mais aussi son enfance sur place, là où sa première rencontre avec le sport a tout simplement été l'heure de marche qu'il avait à faire pour aller à l'école. (1:40) Arrivé dans l'hexagone, l'ancien champion de rugby évoque la découverte de son sport, lui qui n'avait jamais vu un ballon ovale auparavant et n'en connaissait pas les règles. Il avoue même avoir encore du mal avec elles aujourd'hui (3:50).


    Elevé seul par sa mère avec ses six frères et sœurs, Serge Betsen explique comment il s'est créé un environnement de sécurité dans son club de Clichy. Il compare le le rugby à la pub "United Colors of Benetton" : des gens de tous les horizons qui se rassemblent autour de ce fameux ballon ovale qui l'a tant marqué (11:00)


    Vient ensuite le moment de se souvenir de ses plus grandes émotions en carrière, de sa première sélection en équipe de France à sa victoire en Coupe du monde universitaire en 1996 en passant par son adaptation au pays basque et sa volonté d'intégrer l'équipe première. (18:00) Serge raconte notamment l'anecdote d'un discours de Bernard Laporte à la mi-temps d'une rencontre du XV de France qui a inspiré une publicité pour une célèbre marque de pâtes (23:40).


    "Je n'avais pas les outils pour jouer en équipe de France". C'est avec ces mots que Serge Betsen décrit ses premiers pas sous le maillot bleu, marqués par un écart de trois ans entre sa première et sa deuxième sélection. Des premiers pas où son image de joueur fautif a été mis à rude épreuve, en témoigne ce carton jaune reçu lors du Crunch face à l'Angleterre lors de sa troisième sélection. (28:01)


    Avec émotion, notre invité évoquera la Serge Betsen Academy, association qui a permis grâce à la création de plusieurs centres d'accueil au Cameroun et au Mali d'aider plus de 8300 enfants ces 20 dernières années (38:15)


    Bonne écoute !


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    Jean-François Lamour : "Je descends du podium et Jacques Chirac me met la main sur l'épaule"


    Stéphane Caristan : " Je me suis demandé si sans artifice ce serait compliqué de réussir"


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  • Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Dorian Coninx, champion d'Europe de triathlon en 2021, triple champion du monde en relais mixte en 2018, 2018 et 2020 et médaillé de bronze aux derniers Jeux Olympiques.


    Dorian commence cet "entretien" par le commencement et raconte comment il a décidé du jour au lendemain de passer de la natation au triathlon après une séance qui ne se passait pas très bien (1:45).


    Il explique la spécificité de sa discipline avec cet adage tout trouvé : "on ne peut pas gagner un triathlon à la natation mais on peut la perdre". Son passé de nageur est à cet égard un avantage pour bien démarrer ses triathlons même si Dorian est habitué à faire la différence à la course à pied (7:30).


    De la préparation mentale qu'il a commencé depuis 2016 à la récupération et à la nutrition en passant par la notion de groupe qu'il cultive à travers ses entraînements, Dorian s'épanche sur les coulisses de son sport : le fameux travail de l'ombre (13:13)


    Avec Flo Masnada, Dorian Coninx revient sur sa médaille de bronze en relais mixte au Jeux Olympiques de Tokyo, mélange de joie et de frustration compte tenu des résultats de l'équipe de France précédant la course (25:53).


    À partir des champions du triathlon qui l'ont marqué, Dorian avoue ce qui le motive à pratiquer ce sport dans lequel l'athlète va puiser jusqu'à ses dernières forces, quitte à défaillir en pleine course, de quoi "passer pour des fous" (33:23).


    Des efforts qui ne sont forcément pas toujours récompensés. Alors comment gérer l'échec ? Notre invité nous raconte sa méthode et la pire des choses selon lui lorsque nous y sommes confrontés : "le pire dans l'échec, c'est quand on ne comprend pas pourquoi" (37:44)


    Bonne écoute !


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  • Cette semaine dans Belle Trace, Florence Masnada reçoit Florian Jouanny, double champion d'Europe, double champion du monde et champion olympique de cyclisme handisport, en handbike.


    Passionné de ski et plus particulièrement de freeride dans sa jeunesse, Florian évoque sa chute dans un snowpark à la suite de laquelle il se casse les cervicales et se retrouve tétraplégique. Et comment de cette blessure, il s'est orienté vers le handbike à la quête des sensations de vitesse que le ski lui procurait (01:38).


    Avec Flo Masnada, il décrypte l'importance du matériel dans sa discipline qui n'est ni plus ni moins qu'un véritable sport mécanique avec des restrictions à respecter mais aussi des libertés laissées pour permettre à chacun d'apporter sa patte sur le vélo afin d'améliorer les performances (07:04).


    Florian Jouanny revient sur son sacre olympique à Tokyo et comment il a surpris les principaux favoris grâce à une stratégie "ça passe ou ça casse" (10:52). Désormais auréolé d'un nouveau statut, son regard est désormais tourné vers Paris 2024 où, comme il nous l'explique, les places seront chères tant le niveau du paracyclisme français masculin est dense.


    Le ski n'étant jamais très loin dans Belle Trace, Florian Jouanny et Flo Masnada discute des parallèles avec le handbike notamment dans les trajectoires en descente mais aussi du ski fauteuil dans lequel notre invité n'a malheureusement jamais retrouvé les mêmes sensations qu'autrefois (18:34).


    Premier tétraplégique européen à terminer un Ironman en 2017, Florian raconte comment il a dû apprendre à nager, lui qui avant son accident de ski était selon ses dires "déjà un piètre nageur" (23:08).


    Il sera également question de dopage dans le handisport, de plus en plus présent à mesure que la discipline gagne en lumière et la contrainte que peut constituer le système de contrôle des athlètes (27:45).


    Petit point technique pour finir afin de mieux comprendre comment fonctionne le handbike et comment Florian utilise la force de ses bras pour piloter son vélo, mais aussi sa tête pour passer les vitesses... (36:17)


    Bonne écoute !


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