Folgen
-
Pour ce nouvel épisode, j'ai décidé de renverser la table en invitant non pas un ancien sportif professionnel qui est venu dans le monde de l'entrepreneuriat mais un grand chef d'entreprise qui est venu au rugby et qui a bâti des ponts solide entre les mondes du rugby et du business. PDG de Generali France, Jean-Laurent Granier préside aussi le Rugby Club, véritable institution parisienne qui réunit des hommes et des femmes d'affaires autour de la passion commune du rugby.
Homme au parcours académique et professionnel brillant, Jean-Laurent a lui-même pratiqué le rugby dans sa jeunesse, biberonné aux exploits du grand Béziers des années 70-80. Du Sud, il a gardé cette poésie dans la voix et son goût pour les belles histoires autour de ce rugby dans lequel il est revenu de façon très concrète en entrant au Conseil d'administration du Stade français.
Son nom n'est aujourd'hui inconnu d'aucun président de Top 14, et tous se succèdent régulièrement à sa table au Rugby Club, qui s'est fait sous sa présidence une place à part dans le microcosme du rugby français. The place to be !
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
-
Pour ce premier épisode de 2024, En Terrain Conquis vous souhaite une belle année avec un invité exceptionnel. Véritable légende du rugby français, Serge Betsen a marqué son époque et inspiré bien des générations de troisième ligne, son poste de prédilection. Né au Cameroun, il a découvert le rugby en région parisienne mais s'y est pleinement accompli bien plus au sud, du côté de Biarritz.
Arrivé au Pays basque à 17 ans, peu avant le passage au professionnalisme, Serge a accompagné l'ascension du BO jusqu'à son apogée au début du XXIe siècle, avec trois Boucliers de Brennus (2002, 2005 et 2006). Cadre incontournable de son club, il l'a également été avec le XV de France pour lequel il a joué à 63 reprises, gagné 3 fois le Tournoi des 6 Nations et disputé deux Coupes du monde. Une carrière bien remplie qu'il a terminé de l'autre côté de la Manche, relevant un dernier défi avec les Wasps.
Dans cet épisode très riche où il se livre comme rarement, Serge évoque les différentes étapes de sa vie entre humour et émotion, et dévoile le cheminement qui l'a conduit à s'investir pleinement dans l'humanitaire, avec la création de la fondation Serge Betsen Academy il y a 20 ans et qui oeuvre pour rendre meilleure la vie d'enfants au Cameroun.
Une action qu'il pilote avec conviction depuis Londres, qu'il n'a pas quitté depuis son passage aux Wasps et depuis où il gère également ses activités entrepreneuriales.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
-
Fehlende Folgen?
-
Pour ce nouvel épisode, je reçois un champion de France en titre toujours en activité. Arrière à ses débuts, puis ailier et centre aujourd'hui, Sofiane Guitoune a connu plusieurs vies (et plusieurs coupes de cheveux!). Révélé en Pro D2 à Agen et Albi, il a ensuite éclaté au plus haut niveau en Top 14 à Perpignan, Bordeaux et Toulouse depuis 2016, où il a conquis trois Boucliers de Brennus (2019, 2021 et 2023) et une Coupe d'Europe (2021).
Ses qualités de dévoreur d'espaces et de finisseur lui ont aussi ouvert les portes de l'équipe de France, lui qui compte à ce jour 9 sélections et a pris part à 2 Coupes du monde. Un maillot bleu qu'il a aussi la particularité d'avoir porté lors des Jeux Olympiques de Rio en 2016 avec l'équipe de France à 7.
Souvent drôle, parfois touchant, il revient avec moi sur son joli parcours qui file vers sa fin (il prendra sa retraite en juin 2024) et évoque son autre vie d'entrepreneur, lui qui possède la pizzeria Mattarello à Cornebarrieu et aussi un stand ibérique aux Halles de Toulouse.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
-
Pour ce nouvel épisode, j'ai la chance de recevoir un cas unique dans le milieu de rugby. Arrivé dans le monde professionnel en 2005 à 22 ans avec Grenoble, Jonathan Best a mené son club du FCG de la Fédérale 1 au Top 14. Le grand public a alors découvert un personnage à part, aussi facétieux et taquin en dehors du terrain que rugueux sur le rectangle vert.
Dans un milieu où les acteurs développent une grande méfiance pour les médias, lui en était proche et a même crée le sien, Le Sport Dauphinois, ce qui lui a valu quelques inimitiés dans le vestiaire grenoblois à l'époque. Au point de devoir partir brutalement de son club de coeur en 2016.
Relancé par Béziers en Pro D2, il y a même terminé sa carrière professionnelle en 2021 après avoir joué plus de 300 matches chez les pros.Après une ultime pige dans son club formateur de Romans-Péage en Fédérale 3, Jonathan a définitivement raccroché les crampons pour basculer à plein temps sur sa nouvelle vie d'entrepreneur et de conférencier à l'université et en entreprise.
Toujours passionné par l'écriture et le journalisme, quoique moins actif sur les réseaux sociaux que du temps où s'adonnait à des joutes virtuelles épiques sur Twitter, l'ancien troisième et deuxième ligne international algérien (8 sélections) n'a pas perdu l'idée de trouver une place de choix dans l'univers des médias.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
-
Pour ce nouvel épisode, En Terrain Conquis explore de nouveaux horizons. Mon invité ne s'est en effet pas distingué dans le rugby mais dans un sport plus confidentiel qu'il a grandement développé en en France. Lorsque Kévin Soler a démarré le street workout en 2012, la discipline en était encore a ses balbutiements et il lui a donné ses lettres de noblesses au travers de ses compétitions effectuées dans le monde entier, à grands coups de drapeau humain et autres figures improbables qui l'ont fait entrer le livre des records.
En parallèle de sa vie de sportif de haut niveau, qui lui permettait déjà de gagner en partie sa vie grâce à ses sponsors, Kévin a très jeune attrapé le virus de l'entrepreneuriat. Spécialisé dans la réalité virtuelle, il a co-fondé Virteem sans imaginer les tempêtes qui s'abattraient sur lui, notamment une terrible trahison familiale.
Aujourd'hui sorti des eaux troubles, il poursuit avec succès sa vie de chef d'entreprise miraculé en se nourrissant des préceptes qui ont fait de lui un des fers de lance du street workout en France.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
-
Dans cette deuxième partie de l'épisode consacré à Lenaïg Corson, où nous retraçons son parcours de 2017 à aujourd'hui, je retrouve une Lenaïg plus intimiste au moment de raconter ses cicatrices. Des moments parfois difficiles comme ses burn-outs ou la fin brutale de son histoire avec l'équipe de France, qu'elle évoque avec émotion, sans filtre.
Sa force, avoir su les surmonter et repartir de l'avant, comme en atteste sa reconversion en tant qu'entrepreneuse et sa Rugby Girl Académie qu'elle a monté seule, ayant dû parfois abattre quelques murs. Une fierté qui lui permet aujourd'hui d'avancer la tête haute.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
-
Après une longue pause Coupe du monde, En Terrain Conquis revient pour une deuxième saison et j'avais à coeur de la démarrer avec une digne représentante du rugby féminin. Lenaïg Corson a découvert cette discipline à l'âge de 20 ans et sa curiosité et sa volonté l'ont amené à atteindre le plus haut niveau, que ce soit avec l'équipe de France à XV (30 sélections) ou à VII.
De ses débuts rugbystiques à Rennes à sa dernière saison de joueuse de haut niveau, en 2022-2023 avec les Harlequins, son parcours a été jalonné de hauts, comme la Coupe du monde 2017 où elle fut désignée meilleure deuxième ligne du monde. D'échecs aussi mais à chaque fois, une immense force de caractère pour rebondir et repartir de l'avant. Et à l'image de ses coéquipières qui ont mené un triple projet sportif (club et équipe de France à XV + équipe de France à VII) en parallèle d'une vie étudiante et professionnelle nécessaire, un courage et une résilience qui forcent le respect.
Avec une énergie contagieuse. La même qui lui a permis cette année de développer la RugbyGirl Académie, qui propose les premiers stages de rugby réservés aux filles, et de se lancer à fond les ballons dans sa nouvelle vie d'entrepreneuse. Dans cette première partie, nous refaisons avec Lenaïg son parcours de vie qui l'a amené un peu par hasard au rugby, à faire partie de cette première génération de joueuses sous contrat, jusqu'à cette année 2017 où elle a tutoyé les sommets.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
-
Pour clôturer cette première saison d'En Terrain Conquis, je reçois cette semaine Julien Bonnaire, un très grand nom du rugby et du sport français. À son actif, 16 ans en professionnel, plus de 250 matchs de première division, 75 sélections avec le XV de France et niveau palmarès : 1 Bouclier de Brennus (2010), 1 titre de champion de France de Pro D2 (2016) et 4 Tournois des 6 Nations (2004, 2006, 2007, 2010) dont deux Grands Chelems (2004, 2010).
Arrivé au rugby sur le tard, à 17 ans, Julien n'a eu besoin que de trois ans de pratique pour être repéré par le grand club de sa ville de naissance Bourgoin-Jallieu, le CSBJ, et trois de plus pour arriver en équipe première. Parti à Clermont en 2007 pour franchir un palier, il a connu en Auvergne ses plus plus belles années de rugbyman, huit en tout, où il s'est révélé comme une référence mondiale à son poste de troisième ligne.
Très attaché à ses racines iséroises, il a quitté l'ASM en 2015, avec un an d'avance sur ses prévisions, afin de signer un dernier contrat au LOU qui le rapprochait sensiblement du bercail.
Retraité depuis 2017 à l'âge de 39 ans mais appelé quelques mois plus tard par le sélectionneur du XV de France Jacques Brunel pour apporter aux Bleus sa science de la touche, Julien a coupé avec le rugby pro en 2019 pour se consacrer pleinement à sa nouvelle vie. D'entrepreneur d'une part, qu'il a démarré en 2014 avec son ami et ancien coéquipier Julien Pierre, avec qui il a fondé le Bistrot Colette (le prénom de sa belle-mère!). Une première qui a fait des petits, puisqu'il est aujourd'hui à la tête d'un Café Colette, d'un steakhouse Colette et depuis 2 ans d'une boulangerie Colette !
Parallèlement à sa nouvelle activité, qui l'amène parfois à cuire le pain qu'il vend et à tenir la caisse, Julien, papa d'une petite Edith porteuse d'un handicap moteur, à fondé avec son épouse une association, Handi Move & Fun, qui oeuvre pour rendre le sport accessible aux enfants porteurs de handicap.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
-
Pour ce 22e épisode, je reçois le plus écolo de tous les anciens rugbymen. Et quoi de plus logique, quand on a grandi comme lui dans un zoo que géraient ses parents du côté des Sables d'Olonne. Un lien avec la cause animale qui l'a suivi dans sa vie de sportif de haut niveau puisqu'il était surnommé à la fois le condor pour sa capacité a régner dans les airs en touche et le chameau, pour son allure singulière quand il courait. Formé à La Rochelle, Julien a vraiment pris son envol en professionnel à Bourgoin, où il est resté 5 ans (2003-2008), puis a franchi un nouveau palier en 2008 à l'âge de 27 ans en rejoignant Clermont.
Coïncidence ou pas, c'est lors de son passage en Auvergne que l'ASM a décroche son premier Bouclier de Brennus en 2010. Une année faste pour son deuxième ligne qui remporte également le Grand Chelem avec les Bleus, une sélection qu'il a honoré 27 fois dont la légendaire finale de la Coupe du monde 2011 contre les All Blacks.
Après un dernier défi en tant que joueur à la Section paloise, qu'il a représenté de 2015 à 2018, Julien a pris sa retraite à 37 ans et a pu revenir pleinement à ses premières amours. Il est depuis novembre 2020 à la tête de Fair Play for the Planet, le premier label environnemental pour les clubs et les évenements sportifs. Une reconversion toute trouvée qui fait le lien entre ses deux passions : le sport et la nature.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
-
Pour ce 21e épisode, je reçois un rugbyman
toujours en activité et dans la fleur de l’âge. A 31 ans, Sébastien Bézy, fait
partie de ces joueurs très identifié du Top 14, dont le nom fleure bon le rugby
de haut niveau. Arrivé au Stade toulousain en 2006 en même temps que son frère,
Nicolas, il a su convaincre par ses qualités de vitesse et d’explosivité le
mythique Guy Novès puis son successeur Ugo Mola de lui confier le maillot rouge
et noir floqué du numéro 9.Demi de mêlée dans la droite lignée des Cazalbou et
Elissalde, son talent lui a permis d’être sélectionné huit fois avec l’équipe
de France. Barré à partir de 2017 en club par le virtuose Antoine Dupont, il a choisi
de quitter le cocon haut-garonnais en 2020, un an après avoir levé pour la
première fois le Bouclier de Brennus, pour se relancer à Clermont.Même s’il lui reste encore de belles années à offrir, Sébastien
a choisi d’anticiper l’après en développant depuis 3 ans avec son épouse Sandra
sa propre marque de vêtements : MoodB. Un projet familial qui lui correspond
et l’accomplit dans sa vie bien remplie de jeune papa.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
-
Mon invité de cette semaine est une ode à la fidélité. Jean-Joseph Marmouyet, que personne n'appelle Jean-Joseph mais Jean-Jo, a démarré le rugby à 16 ans à l'Aviron bayonnais et ne l'a plus quitté jusqu'à sa retraite sportive en 2018 à l'âge de 34 ans. Entre 12 saisons de bons et loyaux services chez les professionnels, et 186 matchs avec le club basque.
Troisième ligne de devoir, il a presque tout connu avec Bayonne, de la lutte pour la qualification pour la phase finale au combat du maintien en Top 14, ou même la Pro D2 durant deux saisons.
Artiste dans l'âme, Jean-Jo s'est reconverti dans un domaine qui lui correspond. Il a fondé peu après sa retraite sa société, Carré Chroma, spécialisée dans le design d'intérieur.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
-
Après Brian Liebenberg, je reçois cette semaine une autre gloire du Stade français du début des années 2000 en la personne de Patrick Tabacco. Révélé en première division sous les ordres de Jacques Brunel à Colomiers, avec qui il remporte un Bouclier européen en 1998, ce troisième ligne longiligne expert de la touche prend réellement son envol à Paris qu'il rejoint en 2000.
Avec les Soldats roses, il remporte deux Boucliers de Brennus (2003 et 2004) et devient également international. Un maillot bleu qu'il va porter à 18 reprises entre 2001 et 2005, participant notamment à la Coupe du monde 2003.
Après une expérience mitigée à Pau de 2004 à 2006, il s'en va à Castres pour un dernier contrat puisqu'il doit mettre fin à sa carrière en 2008 à l'âge de 34 ans sur blessure.
Depuis sa retraite sportive, Patrick peut se consacrer pleinement à ses exploitations agricoles, qu'il a repris à ses parents en 2008, ainsi qu'à sa société KDM, fondée en 2002 alors qu'il était encore joueur du Stade français et qui est spécialisée dans l'encadrement de maillot.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
-
Son nom est une madeleine de Proust pour tous les amoureux du rugby et du Stade français qui ont développé leur passion dans les années 2000. Pour ce nouvel épisode, j'ai le plaisir de recevoir cette semaine l'ancien trois-quarts centre Brian Liebenberg, sud-africain de naissance mais adopté par la France et Paris au point de porter 12 fois la tunique des Bleus.
Sur le devant de la scène dès sa première année dans la capitale, il s'est fait connaître pour la longueur de ses coups de pied et la combinaison qu'il arrivait à synthétiser entre une puissance naturelle et une technique irréprochable.
Des qualités qui ont convaincu le sélectionneur d'alors Bernard Laporte de le prendre dans son groupe pour la Coupe du monde 2003 en Australie, juste après qu'il ait remporté le premier de ses trois Boucliers de Brennus avec les Soldats roses (2003, 2004, 2007).
Obligé de mettre un terme à sa carrière en 2011 à seulement 32 ans, Brian a voulu garder un pied dans le rugby et a crée en 2014 son entreprise et un concept de jeu ludique autour d'un ballon ovale aux multiples facettes. Un projet qui a évolué aujourd'hui sous le nom de Catch and Think vers l'exploration des bienfaits que le jeu est en mesure d'amener aux cerveaux des petits et des grands.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
-
Pour ce 17e épisode, je mets à l'honneur un personnage haut en couleur du rugby français. Arrivé dans le monde professionnel à l'âge de 25 ans après avoir écumé la Fédérale 1, Malik Hamadache a su imposer son physique XXL (1,93m, 145 kilos) et gravir les échelons au poste de pilier droit. Révélé à Albi en Pro D2, il a découvert le Top 14 trois ans plus tard avec la Section paloise et a même eu droit une fois aux honneurs de l'équipe de France en 2017 face aux All Blacks.
Après une dernière saison blanche à Pau et un passage raté à Montpellier (2021-2022), Malik a retrouvé les joies du jeu au SU Agen en Pro D2, où il mène depuis quelques mois, en parallèle de sa vie de joueur de rugby qui se termine bientôt, une nouvelle vie d'entrepreneur avec la société Littoral Médical, dont il est devenu l'heureux propriétaire avec son épouse Marion.
De son parcours atypique, il en tire aujourd'hui sa force et de nombreuses anecdotes extraordinaires qu'il s'est fait un plaisir de me raconter. Actuellement blessé aux cervicales, il entend terminer sa carrière de joueur sur le terrain mais gardera quoiqu'il arrive un pied dans le rugby via Provale, l'association des joueurs pour laquelle il briguera le poste de président aux prochaines élections.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
-
Dans cette deuxième partie de l'épisode consacrée à Thierry Dusautoir, nous abordons ses années toulousaines, lui qui a connu avec le club le plus titré de France la douceur des trophées qui s'enchaînent puis l'usure d'une génération dorée sur le déclin. Une décennie qu'il a traversé en tant que capitaine des Rouge et Noir comme des Bleus, avec qui il a frôlé le Graal en 2011 tout comme il a touché du doigt le ridicule avec la déculotée historique en quart de finale de la Coupe du monde 4 ans plus tard contre la Nouvelle-Zélande.
Ce rôle de capitaine qui lui demandait tant sur le plan mental, au point qu'il avoue durant notre échange qu'il avait l'impression d'avoir joué deux matchs dans la semaine avec d'entamer celui du weekend.
Il retrace aussi dans cette deuxième partie le fil de sa vie de chef d'entreprise, démarrée en 2008 avec son associé de toujours Laurent Silva et qui l'a amené à développer, à ce jour, une dizaine de projets entrepreneuriaux.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
-
Une interview de Thierry Dusautoir est en soi un évênement. Durant près d'une heure et demi, l'ancien troisième ligne mythique du Stade toulousain et du XV de France, recordman de capitanat avec les Bleus (56 en 80 sélections, entre 2006 et 2015), m'a fait l'honneur de retracer son beau parcours en se livrant comme rarement.
Des origines en Côte d'Ivoire, où il a passé son enfance, son arrivée en France du côté de Périgueux à l'âge de 10 ans, sa découverte du rugby sur le tard, cinq ans plus tard, puis le début d'une carrière professionnelle démarrée à Bordeaux et achevée 16 ans plus tard au Stade toulousain.
Entre : 5 titres de champion de France (en 2005 et 2006 avec le Biarritz Olympique, en 2008, 2011 et 2012 avec Toulouse) et une coupe d'Europe (2010). Un palmarès qui se prolonge en équipe nationale avec un Grand Chelem en 2010. Il a également atteint avec les Bleus la finale de la Coupe du monde en 2011, échouant d'un tout petit point contre les All Blacks en Nouvelle-Zélande (8-7) après avoir marqué le seul essai français. 2011, année où il a également été désigné meilleur joueur du monde.
Retiré des terrains depuis 2017, Thierry mène depuis une seconde vie de chef d'entreprise, qu'il a démarré avant même de raccrocher les crampons, en 2009. Ayant investi dans divers projets entrepreneuriaux, principalement dans les nouvelles technologies, il se définit aujourd'hui comme un business angel.
Découvrez cette semaine la première partie de l'épisode, où nous déroulons ensemble le fil de sa jeunesse, de son enfance africaine jusqu'au fameux quart de finale de Coupe du monde 2007 entre le France et la Nouvelle-Zélande, où est née la légende du "Dark Destroyer".
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
-
Pour ce nouvel épisode, je reçois un jeune diplômé en management immobilier. Ce diplôme, qui lui permet d'envisager sereinement la suite après une fin de carrière sportive bientôt achevée, bien remplie par 15 saisons en Top 14, était d'ailleurs la condition pour qu'il participe à ce podcast. Car même si tout à été très vite dans son parcours de rugbyman, Wenceslas Lauret n'a jamais été du genre à mettre la charrue avant les boeufs.
Venu au rugby sur le tard au coeur du terroir bigourdan, ce Réunionais d'origine a pris le temps de se construire malgré une éclosion rapide au sein de l'équipe professionnelle du Biarritz Olympique en 2008, à seulement 19 ans.
Après 5 saisons passées au BO et un trophée européen en poche, "Wen" a décidé de changer de vie en 2013 en migrant en région parisienne pour rejoindre les rangs du Racing 92, club ambitieux avec lequel il soulèvera le Bouclier de Brennus en 2016.
Figurant parmi les meilleurs troisième ligne du championnat, il a logiquement eu les honneurs de la sélections, avec 27 capes, la toute dernière étant le quart de finale de Coupe du monde entre la France et le pays de Galles à la Coupe du monde 2019 au Japon.
À 34 ans, "Wen" tire ses dernière cartouche de joueur avec le Racing avant de rentrer s'installer au pays basque, là où il a développé son activité immobilière avec sa société LIDEP.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
-
Pour ce nouvel épisode, je reçois Kélian Galletier, rugbyman toujours en activité à l'USAP, qui a suivi l'essentiel de sa carrière à Montpellier et qui a aussi fait de l'esprit d'entreprendre et d'investir son cheval de bataille.
En parrallèle de sa carrière sportive, Kélian a fait de brillantes études de commerce et n'a cessé de chercher des opportunités pour faire fructifier son capital, que ce soit dans l'immobilier, la restauration ou le développement de start-ups.
En 2021, ce talentueux troisième ligne aux 6 sélections avec le XV de France est devenu le patron de Factory Club, une entreprise qui met en lien les sportifs de haut niveau et les entrepreneurs.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
-
Pour ce nouvel épisode, je reçois un membre éminent d'une des fratries les plus emblématiques du rugby français. Premier rugbyman à avoir signé un contrat professionnel en France, Thomas Lièvremont s'est construit une solide carrière. Arrivé en première division avec Perpignan en 1996, la même année que sa première sélection chez les Bleus, ce Catalan de coeur et d'âme a ensuite connu les grandes heures du Biarritz Olympique, avec qui il a été sacré trois fois champion de France (2002, 2005, 2006).
Avec le XV de France, dont il a défendu les couleurs 37 fois, il par ailleurs remporté deux fois le Tournoi (des 5 Nations en 1998 et des 6 Nations en 2004 et 2006) et pris part à une Coupe du monde (1999).
Sa carrière sportive terminée en 2008 avec Dax, Thomas a gardé un pied dans le rugby avec quelques expériences en tant que coach ainsi que consultant pour Canal+. Il s'est aussi orienté vers l'entrepreneuriat. Après avoir ouvert un bar/restaurant avec son grand frère Marc, du côté du pays basque, il a développé en 2021 AIA Sports, une société spécialisée dans l'analyse de la data sportive.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
-
Pour ce nouvel épisode, je reçois un ancien talonneur de caractère. Passé directement de Grenade-sur-Garonne en Fédérale 3 à Montauban en Top 16, David Roumieu a construit une très belle carrière chez les professionnels. Passé par Castres, il a surtout fait les beaux jours de l'Aviron bayonnais pendant 8 ans. Son leadership fait qu'il a été un des rares joueurs à avoir été à la fois capitaine de Bayonne et du Biarritz Olympique, dont il a porté les couleurs une saison (2016-2017) avant de terminer sa carrière en 2018 au Stade toulousain. Le club qu'il supportait durant son enfance.
Sitôt sa carrière sportive terminée, David a directement ouvert son premier restaurant : la Belloteka à Biarritz. Il possède aujourd'hui également la brasserie la Roume à Anglet et le Comptoir du foie gras, sa toute dernière acquisition.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
- Mehr anzeigen