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Nous sommes en l’an 2000 et Ben & Jerry’s a désormais un nouveau propriétaire. Mais le nouvel actionnaire ne semble pas partager les valeurs qui avaient été celles des créateurs de l’entreprise. A tel point que les employés se demandent si la marque pourra survivre à de tels changements.
Pendant ce temps, Häagen-Dazs est confrontée à des changements dans les modes de consommation qui vont l’obliger à repenser ses produits, sans se renier.
Et ce, alors qu’une start-up de Los Angeles tente, à son tour, de venir bousculer le marché de la crème glacé.
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Nous sommes en 1998 et Häagen-Dazs et Ben & Jerry’s découvrent que leur succès fait des envieux. Et pas de petits joueurs : Nestlé et Unilever sont bien décidés à entrer eux aussi sur le marché des glaces premium.
Mais alors que ces deux géants de l’agroalimentaire injectent des millions de dollars dans leurs nouveautés glacées, le marché semble se lasser. Les ennemis d’hier vont devoir faire alliance, tandis que les amis deviennent des concurrents entre lesquels tous les coups sont désormais permis.
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Fehlende Folgen?
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Les années 1990 débutent et Häagen-Dazs est bien décidé à partir à la conquête du monde, en exportant ses glaces en Europe et en Asie.
Aux Etats-Unis, Ben & Jerry’s profite que son concurrent soit occupé ailleurs pour lancer un nouveau parfum de glace… qui va faire sensation. Un coup de génie qui va raviver la guerre entre les deux marques pour la suprématie des les congélateurs des supermarchés !
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Nous sommes en 1984, Häagen-Dazs semble décidé à faire la peau à Ben & Jerry’s en faisant pression sur les distributeurs pour qu’ils cessent de commercialiser la marque de glaces originaire du Vermont. Mais Ben & Jerry’s ne vont pas se laisser faire sans réagir.
Avec l’aide d’un avocat sorti du chapeau et une série de coups publicitaires bien pensés, Ben & Jerry’s espèrent remporter une victoire qui semblait pourtant bien improbable.
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En 1958, à New York, Reuben Mattus est en guerre contre les grandes laiteries de la région, qui veulent pousser les supermarchés à boycotter son entreprise de crèmes glacées.
Dépité, il imagine une nouvelle gamme de glaces, haut de gamme mais abordables, qu’il baptise d’un étrange nom : Häagen-Dazs. Une nouveauté qui va jeter un froid dans ce marché très disputé.
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Dans les années 1970, deux amis, Ben Cohen et Jerry Greefield décident de devenir glaciers et d’ouvrir ensemble une boutique, dans le Vermont. Au départ, c’est presque une blague : ces deux hippies gourmands veulent juste s’amuser à faire des crèmes glacées à leur goût.
Mais au fur et à mesure que leur entreprise se développe, ils vont se retrouver confrontés à la concurrence d’un géant de la glace haut de gamme, au nom qui a l’air venu du grand nord, mais qui est né dans les années 60 dans le Bronx : Häagen-Dazs
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Nous sommes en 1997. Cela fait déjà plusieurs années que Lamborghini se débat pour tenter d’équilibrer ses comptes et rivaliser avec Ferrari. Mais tout va changer quand le groupe Volkswagen décide de racheter Lambo et d’y injecter des millions, tout en faisant bénéficier la marque de l’expertise de ses ingénieurs allemands. Pour la première fois de son histoire, Lamborghini peut rivaliser avec Ferrari, en proposant une gamme complète de voitures de sport.
C’est le début d’un nouvel âge d’or, celui des supercards, des monstres sur roues. Une période qui se poursuit encore aujourd’hui.
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Nous sommes dans les années 1970. Dans son usine italienne, Ferruccio Lamborghini cherche désespérément à mettre au point une voiture qui pourait surpasser les modèles de son grand rival, Enzo Ferrari, dont l'usine est située à quelques kilomètres. Avec l'aide de concepteurs et d'ingénieurs de génie, Lamborghini imagine un modèle que de nombreux fans de voitures considèrent encore aujourd’hui comme la voiture la plus dingue ayant jamais roulé !
Des fans qui, au fil des ans, vont contribuer à alimenter la rivalité entre les deux marques, également nourrie par toute la pop culture, au cinéma, dans la mode et bien plus encore.
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Nous sommes au début des années 1960. A Maranello, en Italie, Enzo Ferrari s’est déjà taillé une belle réputation en construisant les voitures de sport les plus belles du monde. Mais lorsqu’un client mécontent vient se plaindre que l’embrayage de sa Ferrari a cassé, Enzo refuse d’entendre ces critiques et l’accuse d’être un mauvais conducteur. Vexé, Ferruccio Lamborghini tourne les talons, jurant de se venger.
En 1964, Lamborghini lance donc son propre modèle. Une véritable déclaration de guerre contre Ferrari et le début d’un des matchs les plus passionnants de l’industrie automobile.
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En 2009, Domino’s est sous le feu des critiques : ses pizzas sont qualifiées de… médiocres. La chaîne va donc tout tenter pour redorer sa réputation.
Pizza Hut connaît également des difficultés et va devoir se renouveler pour tenter de séduire les papilles de plus en plus exigeantes de ses clients.
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Domino’s pizza séduit les consommateurs avec sa garantie de livraison en 30 minutes. Mais dans les années 90, cette promesse pourrait bien lui jouer des tours devant les tribunaux.
Et tandis que Domino’s se démène avec des problèmes juridiques, Pizza Hut imagine une nouvelle recette, qui va horrifier les puristes, mais va aider la chaîne à repousser un nouveau venu dans le marché disputé de la pizza : Papa John’s.
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Domino’s pizza a remporté son pari : les affaires de Tom Monaghan, fondateur de la chaîne, sont au beau fixe. Après des années de vache maigre, il est désormais milliardaire et dépense sans compter, s’offrant les signes extérieurs de richesse les plus clinquants.
Pizza Hut tente de lancer une contre-attaque… Pour le pionnier de la livraison de pizza, il n’y pas de temps à perdre : ça passe ou ça casse.
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Nous sommes dans les années 1980 et Domino’s décide de s’attaquer frontalement à Pizza Hut en ouvrant des pizzeria à un rythme très soutenu, partout aux Etats-Unis. La chaîne espère ainsi devenir un poids lourd de la restauration rapide.
Mais tandis que Domino's passe à l'attaque, Pizza Hut est coincé entre le marteau et l’enclume.
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A l’aube des années 70, Pizza Hut a gonflé au même rythme que sa pâte à pizza. L’entreprise est désormais sous les projecteurs de Wall Street et va bientôt faire ses premiers pas en bourse. Mais le moindre faux pas pourrait faire fuir les investisseurs.
Dans le même temps, Tom Monaghan, le fondateur de Domino’s Pizza se démène pour tenter de sauver sa propre entreprise. Et il n’a pas beaucoup de temps devant lui.
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En 1958, à New York et Los Angeles les américains les plus cools se régalent de pizzas. En revanche, loin de l’effervescence des grandes villes, la pizza reste un plat peu connu et peu consommé.
Mais tout cela va bientôt changer grâce à une nouvelle pizzeria, ouverte par deux frères dans un kiosque au Kansas. Deux frères qui ne sont pas les seuls à rêver de faire fortune avec leurs recettes : dans le Michigan, les frères Monaghan ambitionnent, eux aussi, de faire de la pizza l’un des plats les plus populaires des Etats-Unis.
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Bernard Arnault est bien décidé à racheter Gucci. Mais dans le combat qui se prépare, Domenico De Sole va s’avérer un adversaire bien plus coriace que ce à quoi s’attendait le “loup en cachemire”. Mais dans sa lutte acharnée contre Bernard Arnault, De Sole va devoir nouer une alliance… qui va se retourner contre lui.
Et bientôt, les deux groupes vont devoir faire face au départ de leurs deux créateurs-stars. Des stylistes qui incarnaient les marques et faisaient partie intégrante de leur identité et qu’il va bien falloir remplacer. Un recrutement délicat, qui pourrait mettre en péril la survie même des deux marques.
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Après le départ de Maurizio Gucci, c’est la première fois que l’entreprise n’est pas dirigée par un membre de la famille Gucci. Pour redresser la marque, le PDG, Domenico De Sole, mise sur un nouveau créateur audacieux, un certain Tom Ford. Un pari gagnant car les deux vont rapidement faire de Gucci la marque la plus tendance du moment.
Du côté de chez Louis Vuitton, Bernard Arnault prend aussi les choses en main, nommant Marc Jacobs à la tête de la création de la marque et lui donnant pour mission d’imaginer une ligne de prêt-à-porter. Mais les premiers pas de Vuitton dans la mode sont difficiles. C’est aussi le moment où l’action de Gucci plonge, victime de la crise en Asie. Pour Arnault, c’est peut-être le moment de faire un coup de racheter Gucci, ce concurrent qu’il ne parvient pas à dépasser.
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Louis Vuitton a fusionné par le groupe de spiritueux Moët Hennessy. Mais dans la fusion, Vuitton peine à trouver sa place. Pour tenter de reprendre la main, le PDG de Vuitton propose à un jeune homme d’affaires ambitieux de faire alliance : un certain Bernard Arnault. Mais Arnault de rentre pas chez Vuitton pour faire de la figuration… Ce n’est pas pour rien qu’il a reçu le surnom de “Loup en cachemire”.
Pendant ce temps en Italie, Maurizio Gucci a enfin obtenu les commandes de Gucci. Il cherche à moderniser la marque… qui a changé de nom. Mais les investisseurs perdent peu à peu patience face aux mauvais choix stratégiques du PDG qui est, plus que jamais, sur la sellette.
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Pendant des décennies, Gucci et Louis Vuitton ont dominé le monde du luxe avec leurs créations. Symboles de réussite et de succès, leurs sacs et leurs chaussures ont été portées par les stars et têtes couronnées du monde entier. Mais dans les années 1970, les deux entreprises ont connu un passage difficile. A la tête de Louis Vuitton, les arrières-petits fils du fondateur ne voulaient surtout rien changer à ce qui avait fait le succès de la marque jusqu’à présent. N’apportant ni nouveautés, ni innovations. Et les choses n’allaient pas mieux chez Gucci, où Maurizio Gucci, le petit-fils du fondateur, peinait à convaincre le reste de sa famille de moderniser la marque, laissant Gucci perdre peu à peu de son influence et de sa valeur.
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Nous sommes en 2010 et Yvon Chouinard vient de prendre une décision qui semble aller à l’encontre de toutes les règles de business : demander aux clients de sa marque d’acheter moins de produits de sa marque !
Pendant ce temps, The North Face rattrape peu à peu son retard en matière de responsabilité environnementale, avec une série de nouvelles initiatives.
Et bientôt, les deux rivaux vont se retrouver associés autour des mêmes valeurs – celles de leurs origines - pour combattre un ennemi commun.
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