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  • Extraits utilisĂ©s :

    DrĂŽles de dames (1976-1981)

    Hairspray (2007)

    Mad Men (2007-2015)

    Amicalement vĂŽtre (1971-1972)

    Columbo (1968-2003)

    Les hommes du président (1976)

    Mrs America (2020)

    Starsky & Hutch (1979)___________________________________________________________

    Sources :

    The ’70s are back in 2021 — but not in the way you thinkhttps://www.washingtonpost.com/outlook/2021/09/15/70s-are-back-2021-not-way-you-think/

    Reassessing the seventies: the benighted decadehttps://www.thebritishacademy.ac.uk/documents/537/05-Black.pdf

    La télévision des années 70 existe-t-elle ?

    https://books.openedition.org/editionscnrs/31083?lang=fr

    Britain in the Seventies – Our Unfinest Hour?https://journals.openedition.org/rfcb/1662?source=post_page---------------------------&lang=fr#___________________________________________________________

    Je suis Sophie Gliocas, bienvenue dans J’ai Pas Sommeil, le podcast popculture et fĂ©ministe, je suis autrice et
 j’adore les annĂ©es 70. Et, pour ĂȘtre honnĂȘte, il suffit de se balader un peu sur les rĂ©seaux sociaux pour rĂ©aliser que je suis loin d’ĂȘtre la seule. Le regain de popularitĂ© d’ABBA n’est qu’une infime partie de l’intĂ©rĂȘt portĂ© Ă  cette dĂ©cennie. Quarry, The Offer, Mrs America, Daisy Jones, Minx, White House Plumbers, la saison 4 d’American Crime Story, c’est bien simple toutes les chaĂźnes semblent dĂ©cidĂ©es Ă  avoir leur propre sĂ©rie made-in-70s. Et comment leur en vouloir alors que le marketing leur donne raison. Des jeans pattes d’eph, Ă  la dĂ©co orange/marron de l’époque, aux brushings dignes de Farah Fawcett, les annĂ©es 70, ont la cĂŽte.Mais pourquoi est-ce que cette Ă©poque nous fascine-t-elle autant ? Et pourquoi tout le monde a dĂ©cidĂ© de surfer sur la vague ?Le premier qui sort "Parce que la mode est un Ă©ternel recommencement-haaaan" a perdu. 🙃đŸ€Ș J'ai beaucoup aimĂ© Ă©crire cet Ă©pisode mĂȘme si je n'ai pas pu ajouter tout ce que j'aurais souhaitĂ© : Ă  savoir toutes les subtilitĂ©s et toutes les remarques/observations qu'on pourrait faire sur lafaçon dont on dĂ©peint les Ă©poques passĂ©es dans nos oeuvres actuelles. Il aurait fallu partir sur une analyse plus poussĂ©e, rentrer dans le dĂ©tail et ĂȘtre moins gĂ©nĂ©raliste, avec des exemples qui n'auraient pasparlĂ© Ă  tout le monde.đŸ€·â€â™€ïžCe sera peut-ĂȘtre la thĂ©matique d'un prochain Ă©pisode, sur cette mode globale pour les oeuvres "retro" qui ne concernent pas que les seventies (comme je l'explique dans l'introduction).😉 Je vous souhaite une trĂšs bonne Ă©coute (et dĂ©solĂ©e pour le gĂ©nĂ©rique des DrĂŽles de Dames et de Starsky & Hutch, mais je pars du principe que si je dois l'avoir en boucle... vous aussi 🧠).___________________________________________________________

    Je suis Sophie Gliocas, autrice de young adult et bienvenue dans le premier épisode de "J'ai pas sommeil", le podcast pop-culture et féministe.

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  • Extraits utilisĂ©s :

    L'effondrement (2019)

    Don't look up (2021)

    The walking dead (2010-2022)

    Dawn of the dead (1978)

    Years & Years (2019)

    Pulp Fiction (1994)

    Mc danse pour le climat (2023)___________________________________________________________
    Sources : Les zombies : Biopolitique des zombies. Petite gĂ©nĂ©alogie d’un mort-vivant de Joachim Daniel Dupuishttps://www.contretemps.eu/biopolitique-zombies/THE UNIFIED THEORY OF ALL ZOMBIE FICTION de Jon Coumeshttps://killscreen.com/previously/articles/unified-theory-all-zombie-fiction/The Walking Dead’s Political Philosophy de MARIO LOYOLAhttps://www.nationalreview.com/2015/12/walking-dead-zombies-philosophy/The Deeper Message of ‘The Walking Dead’ de Scott Elliotthttps://relevantmagazine.com/culture/deeper-message-walking-dead/How the zombie represents America’s deepest fears de Zachary Crockett and Javier Zarracinahttps://www.vox.com/policy-and-politics/2016/10/31/13440402/zombie-political-historyL’apocalypse :The Apocalyptic Strain in Popular Culture ; The American Nightmare Becomes the American Dream de Paul A. Cantorhttps://hedgehogreview.com/issues/the-american-dream/articles/the-apocalyptic-strain-in-popular-cultureWhat Really Happens After Societal Collapse de Rebecca Onionhttps://slate.com/culture/2017/06/what-really-happens-after-societal-collapse.html___________________________________________________________đŸ”„La planĂšte brĂ»le et la fiction se nourrit de nosprĂ©dictions inquiĂ©tantes pour imaginer l'apocalypse.Ce n'est pas nouveau, "La Guerre des Mondes"(publiĂ©e en 1898 tout de mĂȘme) qui continue d'ĂȘtreadaptĂ©e et de nous captiver en est un bon exemple.🧟Zombies, catastrophes nuclĂ©aires, dramesĂ©cologiques en pagaille,... les idĂ©es ne manquent paspour raconter des mondes Ă  la dĂ©rive oĂč les clans fontrage. Pas de quartier, pas de solidaritĂ© : lorsque cen'est pas le chaos qui rĂšgne, la dictature est prĂ©sentĂ©ecomme seule rĂ©ponse pour ramener l'ordre.đŸ€” Des reprĂ©sentations oĂč l'arbitraire prime et quidonnent l'impression que les alternatives plus justes etintelligentes ne mĂ©ritent pas leur place.đŸ€·â€â™€ïž Notre sociĂ©tĂ© cynique et libĂ©rale y joue pourbeaucoup. A force de rĂ©pĂ©ter qu'il n'existe pas d'autresystĂšme, nous avons fini par y croire. ProblĂšme : cettevision pessimiste empĂȘche de regarder en face l'Ă©tatde notre planĂšte. À force de reporter la fin du monde Ă demain, nous avons oubliĂ© que tout se joueaujourd'hui.🌍 Si les postures nĂ©gatives, spectaculaires et parfoisanxiogĂšnes dans la fiction ont un intĂ©rĂȘt indĂ©niable,d'autres formes narratives sont possibles pour raconterl'avenir de l'humanitĂ©.âžĄïž Mais pour ça, peut-ĂȘtre faut-il s'interroger Ă comment se dĂ©barrasser collectivement de noslogiques consumĂ©ristes et hyper-individualistes.âžĄïž Peut-ĂȘtre faut-il (aussi) porter un regard critique surnos dĂ©mocraties libĂ©rales actuelles, sans allerchercher du cĂŽtĂ© du pire, de l'inconcevable et del'exacerbĂ© pour commencer Ă  s'inquiĂ©ter.đŸ€” Exercice difficile, alors que du zombie Ă  la dystopie,ces genres que nous affectionnons et leur Ă©volutiondans le paysage culturel disent beaucoup de notrepassĂ© et de nos sociĂ©tĂ©s actuelles.😉 Un Ă©pisode un peu diffĂ©rent, qui amĂšne sĂ»rementplus de questions que de rĂ©ponses. Bonne Ă©coute !___________________________________________________________Je suis Sophie Gliocas, autrice de young adult et bienvenue dans le premier Ă©pisode de "J'ai pas sommeil", le podcast pop-culture et fĂ©ministe.OĂč retrouver le podcast J'ai pas sommeil ?https://anchor.fm/sophie-gliocas1/epi...Spotify : https://open.spotify.com/show/2MDGQNb...Apple : https://open.spotify.com/show/2MDGQNb...Podcket cast : https://pca.st/xd2yu8e4____________________________________________________________Instagram : https://instagram.com/gliocas_Tiktok : https://www.tiktok.com/@gliocas

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  • Extraits utilisés :
    Pretty Little Liars de Marlene King (2010-2015)
    Twilight de Catherine Hardwicke (2008)
    Stoker de Park Chan-Wook (2013)
    FRIENDS de Marta Kauffman et David Crane (1994-2004)
    Modern Family de Christopher Lloyd, Steven Levitan (2009-2020)
    Malcolm & Marie de Sam Levinson (2021)
    A teacher de Hannah Fidell (2020)
    Lolita de Adrian Lyne (1997)
    The graduate de Mike Nichols (1967)
    Contenu du podcast : 
    "The age gap" ou l'écart d'âge, notamment dans une relation romantique, peut prêter à débattre. 
    Encore plus lorsque cet écart d'âge s'intègre à des œuvres que nous consommons. 
    Car loin d'être des cas isolés, les films et séries hollywoodiens ont tendance à nous présenter des couples hétérosexuels où le personnage féminin est souvent (beaucoup) plus jeune que le personnage masculin.
    Plus étonnant encore, ces écarts surprenants ne sont pas du tout représentatifs de notre société occidentale.
    Pourtant, au quotidien, une tendance se dessine tout de même : que les femmes sont souvent plus jeunes que les hommes dans le couple.
    Alors, que faire de cette donnée ? 
    Et comment écrire ces histoires atypiques pourtant normalisées ?
    Doit-on les écrire, justement ?
    Ressources à lire :
    L'article Vulture https://www.vulture.com/2015/05/emma-jlaw-and-scarletts-older-man-problem.html?cx_navSource=top-stories-
    "What is Behind the Age Gap between Spouses? The Contribution of Big Data to the Study of Age Differences in Couples" de Marie Bergstrom 
    "What's behind the age gap ?" de Marie Bergstrom 
    “There Are as Many Kinds of Love as There Are Hearts”: Age-Gap Relationships in Literature and Cultural Attitudes Anna Chesnokova and Willie van Peer
    "I laughed and cringed at the same time": shaping p***philic discourse around American Beauty and Happiness

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    Je suis Sophie Gliocas, autrice de young adult.
    Bienvenue dans cet épisode de "J'ai pas sommeil", mon podcast pop-culture et féministe.
    Instagram : @gliocas_
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  • Extraits utilisĂ©s :  

    - La traversĂ©e de Paris par Claude Autant-Lara (1956)  

    - La vie est un long fleuve tranquille par Étienne Chatiliez (1988) 

    - Dallas par David Jacobs (1978-1991) 

    - MariĂ©s, deux enfants par Ron Leavitt et Michael Moye (1987-1997)   

    - Malcolm in the middle par Linwood Boomer (2000-2006)   

    _____________________________________________  

    Qu’on se le dise, la richesse fascine.  

    Pas forcĂ©ment par admiration ou par envie, mais peut-ĂȘtre parce que les classes sociales qui la dĂ©tiennent sont si fermĂ©es et si Ă©litistes qu’on essaie de l’atteindre par tous les moyens.  

    La preuve : la richesse est omniprĂ©sente dans la fiction.   

    Si on prend l’exemple des sĂ©ries, on la retrouve autant dans des soap, que des teen drama, des mockumentaires ou encore des sitcom.   

    Et difficile de trouver qu’on reprĂ©sente les riches d’une façon stĂ©rĂ©otypĂ©e, diabolisĂ©e ou simpliste.  Au contraire, Ă  la tĂ©lĂ©, la richesse est diversifiĂ©e, reprĂ©sentĂ©e dans ses nuances et sa complexitĂ©.  

    Si les riches sont donc incontournables Ă  l’écran (et qu’il est impossible d’y Ă©chapper), les ultra-riches (les 1% des 1%) sont Ă©galement prĂ©sents
 peut-ĂȘtre mĂȘme omniprĂ©sents Ă  l’échelle dĂ©mographique.  

    Alors, que faire de cette information ?  

    Pourquoi les riches sont partout alors qu’il y en a en rĂ©alitĂ© si peu ? 

    Quel est l’intĂ©rĂȘt de les mettre autant en scĂšne ?   

    Y en a-t-il un, d’ailleurs ?  

    Si oui, est-il Ă©conomique, moral ?   Politique, dans ce cas ?  

    Et si le riche est autant reprĂ©sentĂ© dans son quotidien, banalisĂ©, normalisĂ©, qu’en est-il de la pauvretĂ© ?  

    Dans cet Ă©pisode, j’explore quelques pistes et j’en arrive Ă  la conclusion, que si les riches n’ont pas prĂ©vu de disparaĂźtre de si tĂŽt (tout comme l’intĂ©rĂȘt qu’on leur porte), la maniĂšre dont on les considĂšre a cependant bien changĂ© depuis les 15 derniĂšres annĂ©es.  

    Bonne ou mauvaise nouvelle ?  

    Je vous laisse en juger ;).  

    TrĂšs bonne Ă©coute !  

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  • Liste des extraits utilisĂ©s : 

    - Girls de Lena Dunham (2012-2017) 

    - Love de Judd Apatow et Paul Rust (2016-2019) 

    - Ruby Sparks de Zoe Kazan (2012) 

    - Fleabag de Phoebe Waller Bridge (2016-2019) 

    - Everything I know about love de China Moo-Young (2022) 

    - Insecure de Larry Wilmore et Issa Rae (2016-2021) 

    _____________________________________________ 

    BiberonnĂ©es aux personnages excentriques crĂ©Ă©es par les hommes dans les annĂ©es 2000 (comme la manic pixie dream girl), fascinĂ©es par d’anciennes sĂ©ries comme FRIENDS et Sex & The City, les annĂ©es 2010 ont permis aux femmes millenials de faire entendre leurs voix
 sans pour autant parvenir Ă  laisser de cĂŽtĂ© des stĂ©rĂ©otypes vus et revus. Entre la sĂ©rie Girls qui a du mal Ă  remettre en question ses privilĂšges et les sĂ©ries Normal People ou Conversation with Friends qui tombent parfois dans le clichĂ© de l’ado torturĂ©e, difficile de trouver sa place. Des sĂ©ries comiques comme Fleabag s’essaient Ă  l’exercice de l’anti-hĂ©roĂŻne, proposant un personnage fĂ©minin subversif
 et ça marche. Si toutes les sĂ©ries ne peuvent pas aller dans l’excĂšs comme cette comĂ©die, les annĂ©es 2020 ont permis l’arrivĂ©e de nouveaux personnages millenials. D’Arabella dans I May Destroy You Ă  Maggie dans Everything I Know About Love, qui a dit que les femmes millenials ne pouvaient pas montrer leur vulnĂ©rabilitĂ© sans tomber dans l’excĂšs ? Qu’attendons-nous de cette nouvelle dĂ©cennie ? De nouvelles reprĂ©sentations sont-elles encore possibles ? 

    Promis, on parlera de la série Insecure dans un prochain épisode ! ;)

     _____________________________________________ 

    Sources : 

    à retrouver dans la description de la vidéo Youtube (désolée je manque de caractÚres !) : https://youtu.be/Erba6af8dJQ

    _____________________________________________ 

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  • Liste des extraits utilisĂ©s :

    -La citĂ© de la peur d’Alain Berberian (1994)

    -The Staircase de Jean-Xavier de Lestrade (2004)

    -Le silence des agneaux de Jonathan Demme (1991)

    -American Vandal de Dan Perrault et Tony Yacenda (2017)

    -Black bird de Dennis Lehane (2022)

    _____________________________________________

    Le « true crime » n’a jamais Ă©tĂ© aussi populaire dans la popculture : films, sĂ©ries, podcasts, il ne se passe pas une annĂ©e sans qu’une production de ce type ne fasse le tour des rĂ©seaux sociaux.

    Genre documentaire souvent décrié comme voyeuriste et complaisant, le true crime est devenu un pan à part entiÚre de notre paysage culturel


    ...au point qu’il en vient à inspirer la fiction.

    De Ted Bundy Ă  Norman Bates en passant par Hannibal Lecter ou encore Jeffrey Dahmer, les serial killers -qu’ils soient rĂ©els ou fictifs- fascinent le public.

    Un public par ailleurs largement féminin
 pourtant premiÚres victimes de ces bourreaux !

    Mais, pourquoi ?

    Faut-il y voir une fétichisation du serial killer ?

    Est-ce qu’on glamourise ces figures de l’horreur ?

    Qu’est-ce que cet intĂ©rĂȘt dit des femmes et de leur rapport face aux violences masculines ?

    Des psychologues se sont penchĂ©es sur le sujet et nous donnent quelques pistes, tout comme les critiques qu’énoncent certaines fĂ©ministes depuis dĂ©jĂ  plusieurs dĂ©cennies.

    _____________________________________________

    Sources : 

    Captured by True Crime: Why Are Women Drawn to Tales of Rape, Murder, and Serial Killers? Amanda M. Vicary and R. Chris Fraley http://www.amandavicary.com/VicaryTrueCrime.pdf

    True Crime: The Origins of Modern Sensationalism de Joy Wiltenburg

    Dystopian Romance: True Crime and the Female Reader de Laura Browder

    "May We Be Buried Alive Be Together": Towards an Intersectional Feminist True Crime Praxis de Alexandra White https://scholarship.claremont.edu/cgi/viewcontent.cgi?article=1252&context=pomona_theses

    The Bloody History of the True Crime Genre https://daily.jstor.org/bloody-history-of-true-crime-genre/ 

    A brief history of the rise - and evolution - of true crime books https://crimereads.com/a-brief-history-of-the-rise-and-evolution-of-true-crime-books/

    Here’s Why Women are Obsessed With True Crime, According to an Expert https://www.slice.ca/why-women-are-obsessed-with-true-crime-according-to-an-expert/

    _____________________________________________

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  • Liste des extraits utilisĂ©s : 

    -You par Greg Berlanti et Sera Gamble (2018 / en cours)

    -Sex & The City par Darren Star (1998 / 2004)

    -FRIENDS par Martha Kauffman et David Crane (1994 / 2004) 

    - Breaking Bad par Vince Gilligan (2008 / 2013) 

    -Good Girls par Jenna Bans (2018 / 2021)

    _____________________________________________

    Les mecs toxiques sont omniprésents dans la fiction.

    Rust Cohle (True Detective), Rio (Good Girls), Chuck Bass (Gossip Girl), Ezra (Pretty Little Liars), Joe (You), Edward Cullen (Twilight), Mister Big (Sex&TheCity), Walter White (Breaking Bad), Christian Grey (50 shades of grey)... difficile de nier qu'ils sont partout.

    Souvent considĂ©rĂ©s comme un personnage central des rĂ©cits Ă  destination des (jeunes) femmes, leur charisme a de quoi faire tourner les tĂȘtes.

    Pourtant, c'est oublié tout l'aspect nocif qu'ils représentent : manipulateur, menteur, possessif, violent...

    Ces hommes toxiques qui font souffrir les femmes sont souvent glamourisés ou romanticisés.

    Pire encore, les rapports femmes-hommes, les relations qu'ils entretiennent avec les femmes, sont idĂ©alisĂ©es dans la majoritĂ© des fictions ! 

    Alors, pourquoi cette complaisance ?

    Pourquoi cette fascination ?

    Que cherchent les femmes qui apprécient ces personnages ?

    Qu'en tirent-elles ?

    Et qu'est-ce que cela dit de notre société ?

    La réponse se trouve-t-elle dans la sociologie du genre ?

    Penchons-nous sur le travail autour des masculinités de la sociologue Connell, qui a notamment conceptualisé la masculinité hégémonique (dont découle la notion de masculinité toxique) ou encore sur le travail de Janice Radway autour de la romance à l'eau de rose comme genre littéraire prisé par les femmes, malgré les schémas de violences patriarcales qu'on y retrouve.

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