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  • Notre sĂ©rie d’épisodes consacrĂ©s Ă  la prĂ©paration des Ă©quipes de France olympiques touche Ă  sa fin. Avant de vous en dire plus sur ce dernier Ă©pisode, je tiens Ă  remercier tout ceux qui ont permis la rĂ©alisation de cette sĂ©rie, et plus particuliĂšrement mes invitĂ©s : Sophie Dubourg, Thierry Touzaint et Michel Asseray, Nicolas Delmotte, François-Xavier Ferey et Éric Favory, Christopher Six, Xavier Goupil, ainsi que tous les partenaires qui ont soutenu chacun leur tour l’un de ces Ă©pisodes.

    Aujourd’hui, pour clore ce thĂšme inĂ©dit, je vous emmĂšne Ă  la rencontre de Maxime Collard. Maxime a 35 ans, elle est cavaliĂšre de dressage et depuis le 2 juillet dernier, son nom figure dans la liste des couples sĂ©lectionnĂ©s pour les Jeux olympiques de Tokyo. L’aboutissement d’un long travail qui a commencĂ© alors qu’elle n’était qu’à poney, qu’elle n’était “qu’une pitchoune” comme elle le dira elle-mĂȘme dans cet Ă©pisode. Elle ne part Ă©videmment pas seule, puisque c’est grĂące Ă  Cupido PB, un Ă©talon KWPN de 14 ans, qu’elle va toucher du doigt son rĂȘve olympique.

    À quelques jours du dĂ©but de sa quarantaine, elle m’a reçu chez elle, en Normandie, pour raconter son histoire, son parcours, sa rencontre avec Cupido, leur progression, leur prĂ©paration pour ces Jeux mais aussi leurs ambitions.

    Je vous souhaite de prendre autant de plaisir Ă  Ă©couter ce podcast que j’en ai eu Ă  l’enregistrer. Bonne Ă©coute.

  • Dans un peu plus de trois semaines s’ouvriront les Jeux olympiques de Tokyo. C’est d’ailleurs demain, vendredi 2 juillet, que doit tomber la liste des couples qui iront dĂ©fendre les couleurs de la France et qui partiront en stage dans les prochains jours pour finaliser leur prĂ©paration. En parlant de prĂ©paration justement, nous avons consacrĂ© le seiziĂšme Ă©pisode de L’Ecoute Ă  la prĂ©paration physique des cavaliers. Cette fois, nous allons aborder le thĂšme de la prĂ©paration des chevaux. Pour parler de ce sujet, j’ai profitĂ© de mon escapade au Grand National de concours complet de Vittel pour aller Ă  la rencontre de Xavier Goupil, le vĂ©tĂ©rinaire affiliĂ© Ă  cette discipline. Avec lui, nous revenons sur l’importance de cette prĂ©paration ainsi que sur le processus mis en place pour les chevaux de l’équipe de France. Il nous explique aussi ce Ă  quoi il veille pour ĂȘtre certain que nos athlĂštes Ă  quatre jambes soient au top de leur forme au moment de prendre le dĂ©part de la compĂ©tition.

    Cet épisode a reçu le soutien de Boehringer Ingelheim.

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  • Pourvoyeuse de deux mĂ©dailles lors de l’olympiade de Rio il y a cinq ans, avec l’or en Ă©quipe et l’argent en individuel pour Astier Nicolas, la discipline du concours complet avait dĂ©bloquĂ© le compteur de la dĂ©lĂ©gation française. Cette annĂ©e encore, les complĂ©tistes bleus rĂȘvent d’un nouveau podium. Parmi eux, Christopher Six. ÂgĂ© de 36 ans, il pourrait cette annĂ©e prendre part Ă  sa premiĂšre olympiade, Ă  Tokyo avec Totem de Brecey, un selle français de 13 ans Ă  l’ascension fulgurante. D’ailleurs, ils viennent de terminer troisiĂšmes de l’étape du Grand National de Vittel, oĂč j’ai enregistrĂ© cet Ă©pisode. Christopher et Totem tracent leur route, et se prĂ©parent pour Ă©ventuellement prendre part Ă  ce grand moment de sport que sont les Jeux olympiques. Serein mais dĂ©terminĂ©, le cavalier installĂ© dans les Yvelines, Ă  cĂŽtĂ© de Rambouillet, revient sur ses expĂ©riences passĂ©es et ce qu’elles lui ont appris. Il livre Ă©galement en toute sincĂ©ritĂ© son plan de bataille pour ĂȘtre d’attaque si Thierry Touzaint faisait appel Ă  lui pour le voyage au Pays du Soleil Levant.

    Cet Ă©pisode est rendu possible grĂące au soutien de la maison Forestier.

  • Avant de parler de l’épisode d’aujourd’hui, j’aimerais rebondir sur l’actualitĂ© Ă©questre de ces derniers jours. Vous n’avez pas pu passer Ă  cĂŽtĂ© de la victoire de Nicolas Delmotte et Urvoso du Roch dans le Grand Prix du CSIO5* de La Baule, dimanche dernier. Suite Ă  ce rĂ©sultat et leur rĂ©gularitĂ© ces derniers mois, il serait Ă©tonnant que ces deux-lĂ  ne fassent pas partie du voyage pour les Jeux de Tokyo. Nicolas Delmotte Ă©tait Ă  l’honneur dans L'Écoute la semaine derniĂšre, et je vous invite Ă  Ă©couter ou rĂ©Ă©couter son interview oĂč nous avons Ă©voquĂ© sa possible premiĂšre olympiade. Mais pour l’heure, ce podcast aborde un tout autre sujet : celui de la prĂ©paration physique et mĂ©dicale de nos cavaliers français, grĂące Ă  mes deux invitĂ©s du jour. Eric Favory est mĂ©decin et François Xavier Ferey est kinĂ©sithĂ©rapeute et ils font partie de l’encadrement des Ă©quipes de France d’équitation. J’ai profitĂ©, justement, de leur prĂ©sence il y a quelques jours de cela, au Jumping de La Baule, pour savoir quels sont leur rĂŽle, leur mission, leur fonction et ce qu’ils apportent aux cavaliers du team France.

  • Il Ă©tait dĂ©jĂ  du voyage avec l’équipe de France de saut d’obstacles lors des deux derniers championnats. D’abord aux Jeux Ă©questres mondiaux de Tryon, en 2018 avec Ilex VP, puis aux championnats d’Europe de Rotterdam, en 2019, cette fois avec Urvoso du Roch. Je veux bien sĂ»r parler de Nicolas Delmotte. À l’aube de ses 43 ans, le Nordiste fait partie des prĂ©tendants Ă  la sĂ©lection pour les Jeux olympiques de Tokyo. Au micro de L’Ecoute, quelques jours avant son dĂ©part pour le CSIO 5* de La Baule, auquel il prendra part dans l’épreuve par Ă©quipes avec Urvoso, il dĂ©voile son Ă©tat d’esprit, sa prĂ©paration, explique comment il jongle avec les imprĂ©vus de ce dĂ©but d’annĂ©e et comment il aborde cet Ă©vĂ©nement qui serait, s’il y est conviĂ©, sa premiĂšre olympiade.

  • Dans quelques semaines se tiendra l’évĂšnement sportif qui figure parmi les plus attendus du monde : les Jeux olympiques. Si les conditions sanitaires trĂšs particuliĂšres avec lesquelles nous vivons depuis plus d’un an maintenant feront de Tokyo une olympiade bien diffĂ©rente, les Ă©preuves des sports Ă©questres devaient de toute façon faire face Ă  une nouveautĂ© de taille. DĂ©sormais, chaque pays ne peut envoyer que 3 couples cavalier/cheval, contre 4 auparavant. TerminĂ©e donc la suppression du moins bon rĂ©sultat. Cette nouvelle rĂšgle pourrait assurĂ©ment bouleverser les classements. En concours complet notamment, la moindre erreur va coĂ»ter trĂšs cher
 jusqu’à 200 points de pĂ©nalitĂ©s en cas d’élimination d’un des couples par exemple.

    Dans ce podcast, je donne la parole Ă  deux hommes indispensables Ă  la construction de l’équipe de France de concours complet, ainsi qu’à la mise en place de la stratĂ©gie. Pour L’Ecoute, Thierry Touzaint - sĂ©lectionneur national - et Michel Asseray - DTN adjoint - Ă©voquent les changements impliquĂ©s par cette nouvelle rĂšgle, et expliquent comment adapter toute la stratĂ©gie du team France.

  • J-56 avant le dĂ©but des Jeux olympiques de Tokyo. Avec trois mĂ©dailles, deux en or et une en argent, lors de la derniĂšre Ă©dition Ă  Rio, l’équitation avait grandement apportĂ© sa pierre Ă  l’édifice de l’olympisme tricolore. BoostĂ©es par ces mĂ©dailles, les Ă©quipes de France ont Ă  coeur d’aller en chercher d’autres et de se surpasser pour l’olympiade Ă  venir.

    Pour le premier acte de cette série de podcasts, je suis allée rendre visite à Sophie Dubourg, la DTN des sports équestres, afin de savoir quels sont les objectifs japonais des équipes de France olympiques et paralympiques.

    Au cours de cet entretien, elle nous explique également les conditions si particuliÚres auxquelles les athlÚtes doivent se soumettre et détaille la préparation qui les attend dans les prochaines semaines, avant le grand départ pour le Pays du Soleil Levant.

  • Ah, le printemps ! Pour la majoritĂ© des passionnĂ©s de sports Ă©questres, il sonne la reprise des concours en extĂ©rieur. Mais pour les Ă©leveurs, c’est le moment de faire les bons croisements pour espĂ©rer - peut-ĂȘtre un jour - voir l’un de ses produits briller sur les plus beaux terrains de concours. Si les choix de l’étalon animent nombre de conversations, il ne faut en aucun cas nĂ©gliger la pouliniĂšre, et notamment sa gĂ©nĂ©tique. Nous sommes allĂ©es Ă  la rencontre d’éleveurs particuliĂšrement attachĂ©s Ă  la lignĂ©e maternelle de leurs pouliniĂšres pour comprendre pourquoi la mĂšre compte au moins autant que l’étalon Ă  qui on l’associe.

    La souche maternelle, c’est le fer de lance de l’élevage Fondcombe. Lorsqu’il a lancĂ© son Ă©levage, Philippe PrĂ©vost a tenu Ă  trouver les meilleures mĂšres possibles. Pour lui, la qualitĂ© de la souche maternelle est indispensable et il n’hĂ©site pas Ă  sortir des sentiers battus en utilisant ses juments lorsqu’elles sont toutes jeunes, avant qu’elles n’entament leur carriĂšre sportive. Une vision de l’élevage qu’il nous explique en dĂ©tail.

    Chez les Martinot, l’élevage est une affaire de famille. Le pĂšre, Michel, a crĂ©Ă© l’élevage MerzĂ© dans les annĂ©es 60 avant que son fils, Jean-Michel Martinot, ne le rejoigne dans l’aventure familiale quelques dĂ©cennies plus tard. Une aventure qui a dĂ©butĂ© avec une jument pur-sang anglais, Quornepipe, qui engendra au fil des gĂ©nĂ©rations l’étalon performer If de MerzĂ©, dont presque toutes leurs pouliniĂšres dĂ©coulent de cette lignĂ©e. Les deux hommes partagent les rĂ©flexions de leurs croisements, les qualitĂ©s de cette lignĂ©e maternelle et leur façon d’élever leurs poulains.

  • Si la technique et l’expĂ©rience sont des facteurs clĂ©s dans la carriĂšre d’un sportif, un autre Ă©lĂ©ment peut faire, ou dĂ©faire, la rĂ©ussite d’un athlĂšte : son mental. Autrefois peu courante dans les sports Ă©questres, la pratique du coaching mental est de plus en plus rĂ©pandue, surtout chez les sportifs de haut niveau. Philippe Linget est prĂ©parateur mental et travaille avec tous types de cavaliers, de l’amateur au haut niveau. En janvier dernier, Ă  MĂącon, il s’est joint au champion olympique Philippe Rozier pour un stage mĂȘlant technique Ă©questre et prĂ©paration mentale. Dans ce nouvel Ă©pisode de L'Écoute, les deux hommes nous parlent de l’importance du mental dans un sport oĂč il faut composer avec un ĂȘtre vivant qui ne parle pas le mĂȘme langage que nous, mais qui ressent nos Ă©motions et notre Ă©tat d’esprit mieux que quiconque. Qu’on soit cavalier professionnel ou compĂ©titeur occasionnel, ils nous expliquent pourquoi le travail du mental a au moins autant d’importance que celui de la technique.

  • Le 5 fĂ©vrier dernier sortait la 30Ăšme Ă©dition du Hors-SĂ©rie de l’élevage. Les Ă©quipes de L’eperon vous plongent au cƓur du monde de l’élevage du cheval et du poney de sport.

    C’est pourquoi nous avons nous aussi eu envie de dresser dans ce nouveau podcast les portraits de deux Ă©leveurs de renoms. Jean Drexler Ă  la tĂȘte du cĂ©lĂšbre Ă©levage d’Hurlevent ainsi qu’Eric Levallois, intimement liĂ© Ă  un certain Diamant de Semilly


    À bientĂŽt 58 ans, Eric Levallois n’est plus Ă  prĂ©senter. Indissociable de l’étalon vedette Diamant de Semilly, avec lequel il a dĂ©crochĂ© le titre de champion du monde en 2002 et qui fĂȘte ses 30 ans cette annĂ©e, il gĂšre pleinement depuis une dizaine d’annĂ©es maintenant son propre Ă©levage, l’élevage de Beaufour. S’il produit majoritairement des chevaux de saut d’obstacles, il est Ă©galement un fĂ©ru de courses hippiques. Il possĂšde quelques pouliniĂšres trotteuses et s’est lancĂ© il y a peu dans l’aventure du galop. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’Eric Levallois est un homme habitĂ© par la passion du cheval, qui fonctionne Ă  l’instinct et trace son chemin sans se prĂ©occuper de ce que font les autres. Il nous a reçu chez lui, dans son bureau en Normandie, Ă  quelques pas du box de Diamant de Semilly, pour raconter l’histoire de son haras mais aussi et surtout pour partager sa vision et son amour pour l’élevage.

    Jean Drexler est Ă  la tĂȘte du trĂšs cĂ©lĂšbre Ă©levage poney Hurlevent ! Impossible que vous n’ayez jamais entendu cet affixe si prestigieux.

    Dans ce rĂ©cit, Jean nous parle des dĂ©buts et des clĂ©s qui lui ont permis de construire pas Ă  pas la renommĂ©e que connaĂźt aujourd’hui l’élevage d’Hurlevent ; du premier croisement jusqu’au meilleur produit issu de leur Ă©levage tel que Nils d’Hurlevent, Hurlevent d’Hurlevent ou encore Une Muse d’Hurlement !

    C’est pas moins de 15 poulains qui voient le jour chaque annĂ©e dans cet Ă©levage. Depuis plus d’une dĂ©cennie, Jean Drexler figure en tĂȘte de liste du classement SHF des poneys de CSO.

  • Ce n’est un secret pour personne, en dressage, la France peine Ă  ramener des mĂ©dailles. Pour autant, cavaliers, entraĂźneurs et membres de l’équipe fĂ©dĂ©rale se battent chaque jour pour progresser et faire en sorte que la France rivalise un jour avec les meilleures nations. Nous avons profitĂ© de la finale du Grand National de dressage, au Mans, en dĂ©cembre dernier, pour nous pencher sur les perspectives d’avenir de cette discipline. Nos invitĂ©es, Emmanuelle Schramm, Mado Pinto et Morgan Barbançon-Mestre dressent un Ă©tat des lieux du dressage français et dĂ©voilent leur stratĂ©gie pour les prochaines annĂ©es.

  • Le soleil qui se couche en fin d’aprĂšs-midi, les orteils qui se brisent en descendant de cheval, les mains qu’on passe sous les couvertures ou la criniĂšre pour tenter de les rĂ©chauffer
 pas de doute, nous sommes bien en hiver. Ce moment de l’annĂ©e est souvent considĂ©rĂ© comme idĂ©al pour parfaire ses gammes et ajouter de nouvelles cordes Ă  son arc. Mais ce n’est pas toujours facile de dĂ©finir des objectifs quand les concours sont en stand-by - surtout dans le contexte actuel - et que les Ă©lĂ©ments jouent parfois en notre dĂ©faveur.

    Nicolas Delmotte, Olivier Bost et le vétérinaire Christophe Descamps partagent leurs conseils pour passer le meilleur des hivers et en tirer le maximum de bénéfices
 sans mettre en péril la santé de son cheval.

  • Avant d’introduire le premier Ă©pisode de cette nouvelle annĂ©e, nous voulions vous remercier pour vos retours qui font grandir notre podcast et d’ĂȘtre toujours plus nombreux Ă  nous Ă©couter. Toute l’équipe de L’Ecoute vous souhaite une trĂšs bonne annĂ©e 2021. Nous espĂ©rons que cette annĂ©e sera porteuse de vos plus beaux projets et qu’elle vous permettra d’accomplir vos rĂȘves les plus fous.

    Dans ce nouvel Ă©pisode, nous dressons un bilan avec les organisateurs de concours. En 2020, l’arrĂȘt brutal du sport a littĂ©ralement bouleversĂ© leur saison, les poussant Ă  trouver des solutions pour toujours aller de l’avant. MĂȘme si l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente n’a pas toujours Ă©tĂ© simple, nos invitĂ©s restent optimistes quant Ă  leur avenir et accueillent 2021 Ă  bras ouverts.

    Philippe Rossi est directeur du PĂŽle europĂ©en du cheval du Mans. L’organisation de concours reprĂ©sente la trĂšs large majoritĂ© de ses activitĂ©s et il n’a pas Ă©tĂ© Ă©pargnĂ© par la crise sanitaire. À quelques jours de NoĂ«l, nous avons profitĂ© de la double finale du Grand National pour lui rendre visite et nous entretenir avec lui sur cette annĂ©e unique. Il nous explique comment il a vĂ©cu cette pĂ©riode particuliĂšre, avec ses doutes, ses solutions, ses idĂ©es, et nous dĂ©voile ses projets pour 2021.

    À Vernoil-le-Fourrier, dans le Maine-et-Loire, DaniĂšle Doumergue dirige le haras de la Mouline, composĂ© d’un centre Ă©questre et d’une partie Ă©levage, et organise rĂ©guliĂšrement des Ă©preuves de concours complet, allant des Club aux Pros. Si l’organisation de concours n’est pas son cƓur d’activitĂ©, l’arrĂȘt des compĂ©titions, puis leur reprise partielle, ont aussi perturbĂ© son calendrier et l’ont poussĂ©e Ă  se dĂ©mener pour proposer de nouvelles alternatives.

    SĂ©bastien Dauvergne : Sebastien Dauvergne est en charge de l’organisation des Ă©vĂšnements sur le site de MĂącon ChaintrĂ©. SĂ©bastien a vu son programme de compĂ©titions chamboulĂ© Ă  de nombreuses reprises au cours de l’annĂ©e 2020. Entre annulation et rĂ©organisation, il a su faire preuve d’une grande rĂ©silience en organisant des concours Ă  huit clos et notamment une Ă©tape du Grand National de saut d’obstacles ! Au cours de notre Ă©change SĂ©bastien se livre sur ses projets pour l’annĂ©e 2021 !

  • La saison des concours complets a beau ĂȘtre terminĂ©e, nous profitons de la trĂȘve hivernale pour parler dans ce podcast de gĂ©nĂ©tique et de concours complet. Ces derniĂšres annĂ©es, l’évolution des chevaux de CCE a suivi celle de la discipline. Plus que jamais, ils doivent afficher des qualitĂ©s Ă©videntes dans les trois tests. De belles allures, du courage, de l’endurance et un excellent coup de saut sont autant de critĂšres qu’il est parfois difficile de rassembler en un seul cheval. Nous avons profitĂ© du Mondial du Lion pour rencontrer nos invitĂ©s et parler avec eux de gĂ©nĂ©tique, de croisements et de l’avenir du cheval de concours complet. Nous espĂ©rons que vous allez prendre autant de plaisir Ă  Ă©couter ces discussions que nous en avons eu Ă  les enregistrer.

    Jean-Pierre Cosnuau est juge aux Espoirs du complet, une compĂ©tition d’élevage qui se tient en parallĂšle du Mondial du Lion, et qui a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e pour dĂ©nicher les futures stars du concours complet. Des croisements rĂ©alisĂ©s sur les derniĂšres dĂ©cennies Ă  la labellisation des Ă©talons “CCE”, en passant par l’intĂ©rĂȘt grandissant des Ă©leveurs pour la discipline, il revient avec nous sur l’évolution des chevaux de concours complet
 Et vous allez voir que la langue de bois, Jean-Pierre Cosnuau ne la connait pas !

    Et si on partait de l’expĂ©rience de la gĂ©nĂ©tique agroalimentaire pour crĂ©er des cracks de concours complet ? Olivier Grard n’est pas un Ă©leveur comme les autres. Lui est ingĂ©nieur agroalimentaire et son travail consiste Ă  crĂ©er de nouvelles variĂ©tĂ©s de pommes. PassionnĂ© de chevaux depuis sa plus tendre enfance, et aprĂšs avoir trouvĂ© LE croisement idĂ©al chez les pommes, il a dĂ©cidĂ© d’utiliser ses connaissances en gĂ©nĂ©tique pour produire les futurs cracks de demain. Au cours de cet entretien passionnant, il livre une vision totalement inĂ©dite de l’élevage, mais Ô combien rĂ©flĂ©chie, et nous parle de Honey Crunch du Caire, l’un des poulains qu’il a fait naĂźtre et en qui il fonde de grands espoirs dans la discipline du concours complet.

  • Le haut niveau, c’est la vitrine des sports Ă©questres, oĂč les meilleurs chevaux et les meilleurs cavaliers Ă©voluent dans un monde Ă  part. Un monde de compĂ©titions, parsemĂ© de dĂ©placements parfois Ă  l’autre bout du monde. Nombreux sont ceux qui veulent y accĂ©der, et y rester. Mais il arrive que les prioritĂ©s changent, que l’adrĂ©naline se transforme en routine, que les voyages deviennent de plus en plus lourds et de moins en moins enthousiasmants, que les chevaux d’exception ne se rarĂ©fient
 et que le haut niveau ne fasse plus rĂȘver.

    Dans ce podcast, nos trois intervenants ont décidé de renoncer au haut niveau, ou de le vivre autrement. Ils expliquent les raisons qui les ont poussés à changer de voie, voire de vie.

    Maud Ligouzat a passĂ© huit ans aux cĂŽtĂ©s de Philippe Rozier, mais surtout de ses chevaux puisqu’elle Ă©tait leur groom. Tout au long de sa carriĂšre, elle a dĂ©diĂ© ses journĂ©es, ses nuits et ses week-ends Ă  ces cracks. Avec eux, elle a fait plusieurs fois le tour du monde et est passĂ©e par toutes les Ă©motions. DĂ©sormais, elle est en reconversion professionnelle pour travailler dans la petite enfance. Elle raconte ce virage Ă  180 degrĂ©s.

    Avec Thor des Chaines, Thierry Pomel a pris part Ă  deux championnats d’Europe, une Olympiade et a mĂȘme dĂ©crochĂ© le titre de vice-champion du monde individuel Ă  Rome, en 1998. Un beau palmarĂšs qui ne l’a pas empĂȘchĂ© d’avoir l’envie de dĂ©couvrir un autre aspect du haut niveau, plus en coulisses. Il explique comment il a, au fil des annĂ©es, amorcĂ© cette transition qui l’a progressivement menĂ© Ă  son poste actuel : celui de sĂ©lectionneur de l’équipe de France.

    À 37 ans, Thomas LevĂȘque a dĂ©cidĂ© d’opĂ©rer un changement de cap dans sa carriĂšre. Alors qu’il tournait encore rĂ©guliĂšrement sur des CSI 3, 4, voire 5*, il a choisi de dĂ©laisser le haut niveau et de se concentrer sur la valorisation et le commerce de jeunes chevaux. Il nous expose les raisons de cette dĂ©cision.

  • Et si on prenait un grand bol d’air ? En ces temps perturbĂ©s oĂč voyager est presque impossible, Gaspard Koenig nous emmĂšne avec lui sur les traces de Montaigne.

    Un voyage de 2500 kilomĂštres qu’il a dĂ©cidĂ© de faire avec Destinada, une jument espagnole de six ans avec qui il a tissĂ© une relation toute particuliĂšre.

    Tout au long de son pĂ©riple, ponctuĂ© de rencontres, de discussions et de partages, il recueille les dolĂ©ances des uns, Ă©coute les opinions des autres, prend conscience du fossĂ© qui sĂ©pare citadins et campagnards. Il aborde avec intelligence et ouverture d’esprit les sujets du moment, comme l’écologie ou le bien-ĂȘtre animal.

    Dans le hall de ce petit hîtel de Mulhouse, il nous raconte tout. Une rencontre aussi passionnante qu’inspirante.

  • Ces quatre jeunes constituent sans doute l’avenir du CSO français.

    Leurs points communs : ils sont talentueux, ont dĂ©jĂ  fait partie d’une Ă©quipe de France jeunes et ont participĂ© avec brillot Ă  plusieurs coupes des nations.

    Ils ont entre 16 et 22 ans mais sont déjà trÚs lucides sur le sport de haut niveau et sur le systÚme à mettre en place pour y accéder.

    DĂ©couvrez dans cet Ă©pisode Rose de Balanda, LĂ©ona Mermillod, Antoine Ermann & MĂ©gane Moissonnier Ă©voquer leurs parcours et leur envie d’accĂ©der au haut niveau.

  • Qui n’a jamais rencontrĂ© un cheval qu’il n’oubliera pas de si tĂŽt ?

    Celui dont la personnalitĂ©, les origines ou encore le charisme lui donnent ce "petit truc en plus”. Nos trois invitĂ©s de la semaine sont Ă©leveurs ou cavaliers et vont vous raconter l’histoire de ce cheval grĂące Ă  qui ils ont participĂ© cette annĂ©e Ă  la Grande Semaine de Fontainebleau.

    Le jeune et talentueux Paul Delforge nous parle de Festival du Banney, un cheval en qui il fonde de grands espoirs.

    Yannick Fardin, fondateur de l’élevage du Rouet nous prĂ©sente Ginko du Rouet, un cheval promis Ă  un brillant avenir !

    Enfin, le cavalier JérÎme Coulombier nous présente sa jeune recrue : Eulalie de Vesquerie.

    Belle Ă©coute Ă  tous đŸŽ™ïž

  • L’info n’aura Ă©chappĂ© Ă  personne, cette annĂ©e 2020 a Ă©tĂ© bouleversĂ©e par la crise sanitaire qui a paralysĂ© le monde entier. La filiĂšre Ă©questre n’a pas Ă©tĂ© Ă©pargnĂ©e et il a fallu composer avec une saison de concours Ă©courtĂ©e.

    À l’occasion de la Grande Semaine de l’Elevage de Fontainebleau, nos quatre invitĂ©s, Jean-François Morand, Christophe Grangier, Olivier Le Vot et Marie Bourdin, nous Ă©voquent les consĂ©quences de cette crise dans la formation des jeunes chevaux.

    Voici leurs réponses.