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Ce jeudi, sur Europe 1, Agnès Verdier-Molinié revient sur les tickets restaurants.
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Ce lundi, sur Europe 1, Olivier Babeau revient sur l'État qui ne fait pas de cadeau pour Noël.
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Agnès Verdier-Molinié décrypte les enjeux politiques et économiques autour de l'adoption d'une loi spéciale pour 2025, en l'absence d'une véritable loi de finances.
Après la censure de Michel Barnier, les oppositions tentent de modifier le barème de l'impôt sur le revenu pour éviter d'augmenter la note d'impôt des contribuables. Cependant, ces amendements sont jugés irrecevables, poussant les oppositions à proposer un nouveau texte avec diverses dispositions économiques et sociales. Ce texte a peu de chances d'être adopté, car il vise à contourner la loi de finances.
Agnès Verdier-Molinié s'inquiète de cette situation, soulignant que l'absence de loi de finances pourrait avoir de graves conséquences pour les finances publiques françaises, risquant un "open bar" qui ferait exploser la dette. Elle insiste sur l'urgence d'adopter un budget en bonne et due forme pour éviter une dérive financière.
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Ce mercredi, sur Europe 1, Olivier Babeau s'intéresse au danger de la dette qui menace de plus en plus la France.
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Agnès Verdier-Molinié questionne l’utilité du Haut-Commissariat au plan, réactivé récemment mais jugé peu efficace. Avec un budget de 1,9 million d’euros pour 14 employés et 18 rapports depuis 2020, son rôle apparaît redondant face à des organismes similaires comme France Stratégie.
Agnès Verdier-Molinié propose une réforme radicale : supprimer ces instances coûteuses (23 millions d’euros par an) pour économiser près de 30 millions d’euros. Une partie des fonds irait au désendettement, l’autre à un organe d’évaluation rattaché au Parlement, comblant ses lacunes en matière d’audit.
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Olivier Babaud explore l'avenir du système de retraite, comparant la retraite par répartition et par capitalisation. Il met en lumière les faiblesses du système actuel, où le nombre de cotisants ne suit pas celui des retraités, et souligne les avantages de la capitalisation pour préserver le niveau de vie des futurs pensionnés.
Olivier Babaud déconstruit les préjugés entourant la capitalisation, souvent vue comme une menace pour la solidarité, et démontre que les deux systèmes peuvent coexister et se compléter. Cet épisode offre une analyse nuancée et perspicace du débat sur les retraites, invitant les auditeurs à se forger leur propre opinion sur cette question cruciale. Que vous soyez passionné d'économie ou simplement curieux des enjeux de société, cette discussion éclairante est à ne pas manquer.
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Agnès Verdier-Molinié analyse les répercussions économiques de l'instabilité politique en France. Le CAC 40 souffre, les investissements stagnent et la consommation baisse, alimentant les risques de récession. Les querelles politiques fragilisent l'économie, avec des entreprises réticentes à investir et des ménages plus enclins à épargner. L'experte alerte sur les graves conséquences possibles : chômage, déficit accru et fermetures d'usines, soulignant l'urgence de stabiliser la situation.
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Olivier Babaud propose des réformes économiques pour la France. Il vise à réduire les déficits publics, moderniser la fonction publique et maîtriser les dépenses sociales. Parmi ses propositions : limiter le statut de fonctionnaire aux fonctions régaliennes, introduire l'intelligence artificielle, supprimer un échelon territorial, simplifier l'administration, et rééquilibrer le financement de la protection sociale. Pour la santé, il suggère une carte vitale biométrique et une franchise proportionnelle aux revenus. Pour les retraites, il préconise l'augmentation du taux d'activité et une dose de capitalisation. Babaud défend une approche rigoureuse, basée sur l'évaluation objective des politiques publiques, et un rapprochement entre la Cour des comptes et le Parlement.
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Ce mardi 10 décembre 2024, sur Europe 1, Agnès Verdier-Molinié s'intéresse au tripatouillage du barème de l'Impôt sur le revenu.
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Olivier Babaud nous pousse à reconsidérer notre position sur la dette publique française. Contre toute attente, il estime que la France devrait souhaiter une crise de sa dette publique, car cela serait en réalité le meilleur moyen de forcer des réformes profondes et nécessaires.
Selon Olivier Babaud, l'histoire montre que les réformes les plus importantes ne se font que lors de périodes de crise. Or, la France semble incapable de les mettre en place de façon volontaire, que ce soit à cause d'œillères idéologiques, de déficiences cognitives ou d'un jeu politique trop absorbant.
Plus nous attendrons, plus la crise sera douloureuse lorsqu'elle arrivera. Comme dans la vie, plus on remet à plus tard la décision de changer un mode de vie qui dérape, plus cette décision sera difficile à prendre. Il faut donc, selon lui, que la France soit plongée dans l'eau bouillante d'une crise de la dette pour enfin procéder à la grande remise à plat de son système économique et institutionnel.
Olivier Babaud pointe du doigt les travers de la classe politique française et met en garde contre les dangers d'un immobilisme qui coûterait cher à long terme.
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Agnès Verdier-Molinié analyse l'impact potentiel d'une motion de censure sur les finances publiques françaises. Les conséquences seraient graves : augmentation du déficit au-delà de 5,5%, possible hausse jusqu'à 6% en 2025, affaiblissement de la capacité d'emprunt de l'État, et risque pour la solvabilité publique. Ces perspectives soulèvent des questions sur la soutenabilité des finances françaises et les répercussions pour les citoyens (impôts, prestations sociales).
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Olivier Babaud analyse la situation économique et politique de la France. Il soutient qu'une nouvelle élection présidentielle ne résoudrait pas la crise, le problème étant plutôt un deuil collectif de la France prospère d'antan. Selon lui, nous avons vécu au-dessus de nos moyens sans réformes nécessaires. Babaud met en garde contre l'illusion d'un président providentiel et appelle à accepter la réalité actuelle pour adopter des solutions indispensables, comme la réforme de l'État et du système de protection sociale. Cet épisode invite à réfléchir sur les causes de la crise et les véritables solutions à envisager, offrant une analyse clairvoyante des défis économiques et sociaux du pays.
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Agnès Verdier-Molinié analyse l'impact de la crise politique française sur la dette publique. Elle souligne que les déficits chroniques alimentent l'instabilité politique, et non l'inverse. Agnès avertit que la France risque une dégradation par les agences de notation, compromettant sa capacité à financer les 300 milliards d'euros nécessaires en 2025. L'épisode explore les liens entre politique et finances publiques, et interroge les opposants sur leurs solutions pour l'avenir.
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Olivier Babaud analyse sans concession la situation budgétaire de la France, pointant deux décisions majeures à l'origine de la crise : le passage de l'âge de la retraite de 65 à 60 ans en 1983 et l'instauration des 35 heures. Ces mesures ont déséquilibré le système de retraite et alourdi le coût du travail. Babaud critique la lâcheté des responsables politiques qui ont évité les réformes nécessaires, préférant acheter la paix sociale. Il conclut sur une note d'inquiétude, évoquant un possible "trou noir" budgétaire. Un épisode essentiel pour comprendre les enjeux de la crise budgétaire française.
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Agnès Verdier-Molinier discute des conséquences d'une chute du gouvernement Barnier, évoquant deux options pour assurer la continuité des dépenses : ordonnances ou loi spéciale. Le principal risque est l'opposition refusant d'approuver ces mesures, menaçant la stabilité financière. Verdier-Molinier examine les impacts potentiels sur les marchés et la dette, et évoque un possible recours à l'article 16 de la Constitution. Une analyse captivante des défis budgétaires qui pourraient suivre une crise politique majeure.
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Dans cet épisode de L'Édito Éco, découvrez les bouleversements économiques en Argentine sous la gouvernance de Javier Milei. 🇦🇷
Élu il y a un an, Milei, figure du libéralisme, a engagé une révolution audacieuse pour sortir son pays d'une crise économique profonde. Face à une inflation galopante, un déficit massif et une dette colossale, il a choisi d’agir sans concession, réduisant l’État providence et s'attaquant aux privilèges des élites.
Qu'en est-il des premiers résultats ? Si les réformes sont douloureuses, avec une hausse de la pauvreté, des signes encourageants apparaissent : rééquilibrage budgétaire, baisse de l’inflation et retour des investissements étrangers.
Nos experts, Olivier Babaud et Dimitri Pavlenko, analysent cette politique de rupture et ses enseignements pour la France et l’Europe. La 'voie Milei' pourrait-elle inspirer de nouvelles réformes ? Explorez cette expérience unique et les pistes qu’elle ouvre. 🇫🇷
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Agnès Verdier-Molinier explore le défi de la simplification des normes en France. Malgré des années de promesses pour alléger la bureaucratie, le pays compte 69 codes totalisant 32 000 pages de réglementations, freinant l'activité économique. Chaque nouvelle loi semble aggraver cette complexité. Agnès propose une révision profonde des normes adoptées depuis 2017, en ne conservant que celles ayant un impact économique avéré. Elle suggère aussi d'instaurer un organisme de surveillance des normes, comme le font d'autres pays. Une réflexion essentielle pour libérer l'économie française. 🔍
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Le Bitcoin, souvent surnommé « l’or numérique du XXIe siècle », suscite débat et fascination. Dans cet épisode de l'Édito Éco, Olivier Babaud explique ses principes novateurs, tels que la blockchain et sa rareté programmée, qui le distinguent des monnaies classiques. Alors que certains le considèrent comme une réserve de valeur face à l’hyperinflation, ses détracteurs critiquent son impact écologique et ses usages illicites. La question demeure : bulle spéculative ou monnaie mondiale de demain ?
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Dans cet édito, Agnès Verdier-Molinier analyse la décision du gouvernement d'augmenter les droits de mutation à titre onéreux (DMTO), autrement appelés "frais de notaire". Cette mesure survient dans un contexte déjà difficile pour le marché immobilier, avec une baisse des transactions.
Les recettes de DMTO, qui étaient de 21 milliards d'euros en 2022, devraient tomber à 15 milliards en 2024, soit une baisse de 30%. Cela s'explique par la diminution des transactions, qui pourrait dépasser 10% cette année.
Agnès Verdier-Molinier souligne que la France a déjà des frais de notaire élevés, représentant entre 7 et 8% du prix d'un logement ancien. Avec cette hausse, un ménage achetant un bien de 250 000 euros devra payer 1 250 euros de plus.
Les départements, ayant obtenu une hausse de leur part dans les DMTO, risquent de fragiliser encore plus le marché immobilier. Les experts estiment que cette mesure pourrait annuler une partie de l'effet positif de la baisse des taux d'intérêt observée depuis septembre.
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Olivier Babaud soutient l'accord de libre-échange entre l'Union Européenne et le Mercosur, malgré les critiques.
Il s'attaque aux idées reçues sur les dangers de cet accord. Il balaie les craintes sur l'importation de viande bovine traitée aux hormones, rappelant que les normes européennes l'interdisent. Il souligne que les quotas d'importation sont limités et que l'accord respecte l'Accord de Paris sur le climat.
Olivier Babaud voit cet accord comme une opportunité pour développer les exportations dans des secteurs clés (vins, spiritueux, produits laitiers, automobile, chimie). Il rappelle que la France a déjà une balance commerciale excédentaire avec le Mercosur.
Pour lui, rejeter cet accord serait un signe de déclin et de repli sur soi. Il plaide pour une posture offensive, pour éviter de perdre des parts de marché face à la concurrence, notamment chinoise, en Amérique du Sud.
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