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Qui était vraiment Marina Chafroff, cette jeune mère de famille d'origine russe reposant, décapitée, au cimetière d'Ixelles ? Après deux ans d'enquête et des détours parmi une foule d'autres personnages marquants de la Seconde Guerre mondiale, Myriam propose une hypothèse, et esquisse la possibilité d'une scène de film, flamboyante et violente, pour rendre hommage à une femme d'un courage inouï. En novembre 2020, la Belgique se confine à nouveau.Il est interdit de flâner sans masque dans l’espace public. Alors pour narguer cet obstacle, Myriam Leroy se promène au cimetière d’Ixelles. Quand elle tombe sur le cercle des martyrs de la Seconde Guerre mondiale, peuplé de Lucien et de Raymond, son regard est attiré par une stèle qui porte un nom russe, un nom de femme, Marina. Et par la cause de sa mort, gravée dans la pierre : décapitée.Pourquoi Marina a-t-elle eu la tête tranchée, qui était-elle, qu’en reste-t-il ? Alors qu’elle enquête pour comprendre le destin de cette mère de famille de 33 ans, la journaliste découvre d’autres histoires, liées à son quartier, à ses amis, à sa géographie. Des récits de violence et d’héroïsme se déroulant en arborescence à partir de Marina, depuis le cimetière d’Ixelles. Et alors qu’une nouvelle guerre gronde à nos portes, 2022 et 1942 se superposent en deux calques troublants.« La poupée russe » est un podcast écrit et réalisé par Myriam Leroy et Valentine Penders, produit par la RTBF et Shoot For The Moon.
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Helga Zweig aussi était une balance. Elle était adolescente, et les premiers juifs qu'elle a balancés et envoyés à la mort, avant de dilapider leurs biens et leur argent, c'était ses parents. Elle habitait Ixelles, et elle zonait du côté du 453 avenue Louise, siège de la Gestapo. Helga Zweig est le personnage central de l'épisode numéro 7 de La Poupée Russe. Et c’est sans doute la trajectoire la plus terrible de cette constellation. Elle a fait l'objet d'une détestation fanatique, d'une répugnance qu'on n'a qu'envers les araignées.En novembre 2020, la Belgique se confine à nouveau.Il est interdit de flâner sans masque dans l’espace public. Alors pour narguer cet obstacle, Myriam Leroy se promène au cimetière d’Ixelles. Quand elle tombe sur le cercle des martyrs de la Seconde Guerre mondiale, peuplé de Lucien et de Raymond, son regard est attiré par une stèle qui porte un nom russe, un nom de femme, Marina. Et par la cause de sa mort, gravée dans la pierre : décapitée.Pourquoi Marina a-t-elle eu la tête tranchée, qui était-elle, qu’en reste-t-il ? Alors qu’elle enquête pour comprendre le destin de cette mère de famille de 33 ans, la journaliste découvre d’autres histoires, liées à son quartier, à ses amis, à sa géographie. Des récits de violence et d’héroïsme se déroulant en arborescence à partir de Marina, depuis le cimetière d’Ixelles. Et alors qu’une nouvelle guerre gronde à nos portes, 2022 et 1942 se superposent en deux calques troublants.« La poupée russe » est un podcast écrit et réalisé par Myriam Leroy et Valentine Penders, produit par la RTBF et Shoot For The Moon.
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C'était l'un des salauds les plus terrifiants de la Seconde Guerre mondiale. Il s'appelait Icek Gloglowski mais on le connaît mieux sous le surnom « Le gros Jacques ». Le gros Jacques était un chasseur de juifs. Une balance. Un mouchard. Le Gros Jacques avait un don, un talent infaillible : il parvenait à repérer les juifs, même de très loin. Et il ne se trompait jamais. Nous le découvrons dans l'autobiographie Hélène Moszkiewiez, une jeune juive qui espionnait la Gestapo, et qui a tenté de l'éliminer.En novembre 2020, la Belgique se confine à nouveau.Il est interdit de flâner sans masque dans l’espace public. Alors pour narguer cet obstacle, Myriam Leroy se promène au cimetière d’Ixelles. Quand elle tombe sur le cercle des martyrs de la Seconde Guerre mondiale, peuplé de Lucien et de Raymond, son regard est attiré par une stèle qui porte un nom russe, un nom de femme, Marina. Et par la cause de sa mort, gravée dans la pierre : décapitée.Pourquoi Marina a-t-elle eu la tête tranchée, qui était-elle, qu’en reste-t-il ? Alors qu’elle enquête pour comprendre le destin de cette mère de famille de 33 ans, la journaliste découvre d’autres histoires, liées à son quartier, à ses amis, à sa géographie. Des récits de violence et d’héroïsme se déroulant en arborescence à partir de Marina, depuis le cimetière d’Ixelles. Et alors qu’une nouvelle guerre gronde à nos portes, 2022 et 1942 se superposent en deux calques troublants.« La poupée russe » est un podcast écrit et réalisé par Myriam Leroy et Valentine Penders, produit par la RTBF et Shoot For The Moon.
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Il réussit à s'évader de la forteresse allemande la plus imprenable, la plus étanche, Colditz : Peter Allan en est sorti cousu dans un matelas. Pour les Anglais, c'est une légende. Pour Myriam Leroy, c'est le grand-père de son amie Caroline. Elle en découvre le périple en enquêtant sur une femme décapitée, enterrée au cimetière d'Ixelles. Peter Allan a vécu dans l'immeuble de la Gestapo. Un film avec Tom Cruise aurait dû raconter son histoire... Mais les choses ne se passentpas toujours comme prévu.En novembre 2020, la Belgique se confine à nouveau.Il est interdit de flâner sans masque dans l’espace public. Alors pour narguer cet obstacle, Myriam Leroy se promène au cimetière d’Ixelles. Quand elle tombe sur le cercle des martyrs de la Seconde Guerre mondiale, peuplé de Lucien et de Raymond, son regard est attiré par une stèle qui porte un nom russe, un nom de femme, Marina. Et par la cause de sa mort, gravée dans la pierre : décapitée.Pourquoi Marina a-t-elle eu la tête tranchée, qui était-elle, qu’en reste-t-il ? Alors qu’elle enquête pour comprendre le destin de cette mère de famille de 33 ans, la journaliste découvre d’autres histoires, liées à son quartier, à ses amis, à sa géographie. Des récits de violence et d’héroïsme se déroulant en arborescence à partir de Marina, depuis le cimetière d’Ixelles. Et alors qu’une nouvelle guerre gronde à nos portes, 2022 et 1942 se superposent en deux calques troublants."La poupée russe" est un podcast écrit et réalisé par Myriam Leroy et Valentine Penders, produit par la RTBF et Shoot For The Moon.
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Visite au siège de la Gestapo. En enquêtant sur Marina Chafroff, la femme sans tête du cimetière d'Ixelles, Myriam Leroy s'invite dans les caves de la Gestapo, avenue Louise. Et découvre les destin d'une jeune femme incroyable, juive, qui s'était fait engager à la Gestapo pour l'espionner pour le compte des alliés. Une véritable héroïne tarantinesque, du nom d'Hélène Moszkiewiez. Du siège de la Gestapo à Bruxelles, l'Histoire retiendra cependant plutôt Jean de Sélys Longchamps, qui en a mitraillé la façade.En novembre 2020, la Belgique se confine à nouveau.Il est interdit de flâner sans masque dans l’espace public. Alors pour narguer cet obstacle, Myriam Leroy se promène au cimetière d’Ixelles. Quand elle tombe sur le cercle des martyrs de la Seconde Guerre mondiale, peuplé de Lucien et de Raymond, son regard est attiré par une stèle qui porte un nom russe, un nom de femme, Marina. Et par la cause de sa mort, gravée dans la pierre : décapitée.Pourquoi Marina a-t-elle eu la tête tranchée, qui était-elle, qu’en reste-t-il ? Alors qu’elle enquête pour comprendre le destin de cette mère de famille de 33 ans, la journaliste découvre d’autres histoires, liées à son quartier, à ses amis, à sa géographie. Des récits de violence et d’héroïsme se déroulant en arborescence à partir de Marina, depuis le cimetière d’Ixelles. Et alors qu’une nouvelle guerre gronde à nos portes, 2022 et 1942 se superposent en deux calques troublants.« La poupée russe » est un podcast écrit et réalisé par Myriam Leroy et Valentine Penders, produit par la RTBF et Shoot For The Moon.
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Elle a tué 122 allemands. La tante de Marina Chafroff, la femme décapitée du cimetière d'Ixelles, est beaucoup plus connue qu'elle. Elle était snipeuse dans l'armée rouge. À 48 ans, elle était vieille – du moins pour l'époque : on l'appelait « Grand-Maman snipeuse ». Est-ce grâce à cette femme prodige, prof de tir et patriote enragée, que Marina Chafroff est devenue une héroïne, à une époque où la résistance n'existait pas encore vraiment en Belgique ? Lui a-t-elle servi de « role model » ? C'est l'hypothèse que creuse cet épisode.En novembre 2020, la Belgique se confine à nouveau.Il est interdit de flâner sans masque dans l’espace public. Alors pour narguer cet obstacle, Myriam Leroy se promène au cimetière d’Ixelles. Quand elle tombe sur le cercle des martyrs de la Seconde Guerre mondiale, peuplé de Lucien et de Raymond, son regard est attiré par une stèle qui porte un nom russe, un nom de femme, Marina. Et par la cause de sa mort, gravée dans la pierre : décapitée.Pourquoi Marina a-t-elle eu la tête tranchée, qui était-elle, qu’en reste-t-il ? Alors qu’elle enquête pour comprendre le destin de cette mère de famille de 33 ans, la journaliste découvre d’autres histoires, liées à son quartier, à ses amis, à sa géographie. Des récits de violence et d’héroïsme se déroulant en arborescence à partir de Marina, depuis le cimetière d’Ixelles. Et alors qu’une nouvelle guerre gronde à nos portes, 2022 et 1942 se superposent en deux calques troublants."La poupée russe" est un podcast écrit et réalisé par Myriam Leroy et Valentine Penders, produit par la RTBF et Shoot For The Moon.
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Emma-Claire Backhaus identifiait les cadavres des Belges morts en Allemagne durant la Seconde Guerre mondiale. Elle comptait les dents, fouillait les cheveux (...), parfois à mains nues, à la recherche d'indices, dans la glaise allemande. C'est elle qui devait renvoyer le bon corps à la bonne famille. Elle aussi, qui a rendu la résistante Marina Chafroff à sa mère. Et à la Belgique. En novembre 2020, la Belgique se confine à nouveau.Il est interdit de flâner sans masque dans l’espace public. Alors pour narguer cet obstacle, Myriam Leroy se promène au cimetière d’Ixelles. Quand elle tombe sur le cercle des martyrs de la Seconde Guerre mondiale, peuplé de Lucien et de Raymond, son regard est attiré par une stèle qui porte un nom russe, un nom de femme, Marina. Et par la cause de sa mort, gravée dans la pierre : décapitée.Pourquoi Marina a-t-elle eu la tête tranchée, qui était-elle, qu’en reste-t-il ? Alors qu’elle enquête pour comprendre le destin de cette mère de famille de 33 ans, la journaliste découvre d’autres histoires, liées à son quartier, à ses amis, à sa géographie. Des récits de violence et d’héroïsme se déroulant en arborescence à partir de Marina, depuis le cimetière d’Ixelles. Et alors qu’une nouvelle guerre gronde à nos portes, 2022 et 1942 se superposent en deux calques troublants.« La poupée russe » est un podcast écrit et réalisé par Myriam Leroy et Valentine Penders, produit par la RTBF et Shoot For The Moon.
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Myriam Leroy découvre la tombe d'une femme décapitée, au cimetière d'Ixelles. Marina Chafroff avait 33 ans, elle était mère de deux enfants, et elle a été exécutée en 1942 sur ordre de Hitler. Qui était-elle ? Pourquoi cette fin atroce ? Myriam Leroy débute une enquête, pleine de coïncidences et d'impasses, où deux époques se superposent en deux calques troublants. Deux époques reléguant toujours les femmes à l'arrière-plan. En novembre 2020, la Belgique se confine à nouveau.Il est interdit de flâner sans masque dans l’espace public. Alors pour narguer cet obstacle, Myriam Leroy se promène au cimetière d’Ixelles. Quand elle tombe sur le cercle des martyrs de la Seconde Guerre mondiale, peuplé de Lucien et de Raymond, son regard est attiré par une stèle qui porte un nom russe, un nom de femme, Marina. Et par la cause de sa mort, gravée dans la pierre : décapitée.Pourquoi Marina a-t-elle eu la tête tranchée, qui était-elle, qu’en reste-t-il ? Alors qu’elle enquête pour comprendre le destin de cette mère de famille de 33 ans, la journaliste découvre d’autres histoires, liées à son quartier, à ses amis, à sa géographie. Des récits de violence et d’héroïsme se déroulant en arborescence à partir de Marina, depuis le cimetière d’Ixelles. Et alors qu’une nouvelle guerre gronde à nos portes, 2022 et 1942 se superposent en deux calques troublants.« La poupée russe » est un podcast écrit et réalisé par Myriam Leroy et Valentine Penders, produit par la RTBF et Shoot For The Moon.
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