Folgen
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14 avril 1919. La guerre est finie, il est temps pour Louise de refermer son journal. Mais avant, elle raconte la dernière épreuve qu’elle doit surmonter : celle du retour à Sedan. Va-t-elle y retrouver sa famille ? Dans quel état se trouve la ville de son enfance ?
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30 mars 1918. Personne ne sait ce qu’est devenu un cousin de Louise. Il a disparu sur le front ! Sa mère, sans nouvelles, remue ciel et terre pour connaître la vérité… Pendant ce temps, à Paris, le danger se rapproche.
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Fehlende Folgen?
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5 octobre 1917. Alexandre, le frère de Louise, est blessé ! Heureusement, une infirmière de l’hôpital américain de Paris veille sur lui, comme le découvre la jeune fille.
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16 juillet 1917. Pour la Fête Nationale, les soldats ont défilé avec les drapeaux déchirés par la guerre. Devant ce spectacle, le cœur de Louise se déchire, lui aussi, puis il s’emplit d’espoir. Et c’est dans cet état d’esprit qu’elle reçoit une lettre…
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15 mai 1917. “On veut nos vingt sous !”. Les couturières manifestent contre la vie chère et pour un meilleur salaire en plein cœur de Paris. Louise, stupéfaite et admirative, décide de les rejoindre.
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9 novembre 1916. En feuilletant les journaux, Louise découvre des caricatures d’ouvrières. Ces fameuses “munitionnettes” fabriquent des obus dans des conditions particulièrement éprouvantes.
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12 mars 1916. Sur le chemin de la maison, Louise s’arrête chez les commerçants du quartier. L’occasion d’échanger quelques mots avec madame Guérin, qui gère seule sa boutique depuis le départ de son mari…
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29 octobre 1915. Le voyage en train a été éprouvant et angoissant, mais il a permis à Louise de découvrir un visage insoupçonné de sa mère. Depuis, la vie à Paris, chez l’oncle Fernand, se met peu à peu en place.
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5 mai 1915. Pour éviter la famine, car la nourriture est réquisitionnée, les Allemands évacuent les "bouches inutiles" en train vers les pays neutres. Les parents de Louise veulent en profiter…
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16 mars 1915. Obligés de cultiver des légumes par les Allemands, les parents de Louise partent à la recherche de semence. L’occasion de sortir de Sedan pour la première fois depuis le début du conflit.
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28 janvier 1915. Sedan vit à l’heure allemande. Certains protestent contre cette occupation. Un soldat est ainsi blessé par un jet de pierre anonyme. Louise le rencontre lorsqu’il reçoit des soins chez son père.
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24 septembre 1914. Louise sait maintenant que la victoire éclair promise par son frère n’arrivera pas. Les Allemands occupent Sedan depuis un mois, ce qui terrorise la jeune fille.
