Folgen

  • Nous rencontrons l'autrice et scénariste Sarah Berthiaume, à qui on doit la pièce Wollstonecraft, qui s'inspire autant du roman Frankenstein que de la vie de Mary Wollstonecraft Shelley.

    Médiagraphie

    ASIMOV, Isaac, "Préface", dans Les Robots (1950)

    AZIZA, Claude, Dictionnaire Frankenstein (2018)

    BERTHIAUME, Sarah, Wollstonecraft (2023)

    CARON, André, Frankenstein lui a échappé. Les tourments cinématographiques d'un mythe moderne (2018)

    CHASSAY, Jean-François et Elaine DESPRÉS, Frankenstein et sa créature, d'hier à aujourd'hui. La puissance d'une double figure (2023)

    GLUT, Donald F., The Frankenstein Catalog (1984)

    HÉSIODE, Théogonie ; Les travaux et les jours ; Le bouclier, textes établis et trad. par Paul Mazon (1951)

    MANGUEL, Alberto, La Fiancée de Frankenstein (2008)

    PEREZ, Frédéric, "Le complexe de Frankenstein", Dialogue, no. 204

    WINTERSTON, Jeanette, Frankissstein, traduit par Céline Leroy (2021)

    WOLLSTONECRAFT SHELLEY, Mary, Frankenstein, traduit par Jules Saladin, présenté par Annik-Corona Ouellette et Alain Vézina (2009)

     

    Films

    Frankenstein (1931, James Whale, Universal)

    Bride of Frankenstein (1935, James Whale, Universal)

    The Son of Frankenstein ((1939, Rowland V. Lee, Universal)

    Young Frankenstein (1974, Mel Brooks)

    Mary Shelley's Frankenstein (1994, Kenneth Branagh)

    Victor Frankenstein (2015, Paul McGuigan)

    Depraved (2019, Larry Fessenden)

    Poor Things (2023, Yorgos Lanthimos)

  • Le roman de Mary Wollstonecraft Shelley a inspiré trop d'œuvres pour qu'on puisse toutes les lister. Nous nous intéresserons à ce qui appartient à ce mythe, à la figure de Prométhée, à la scène de création dans les différentes versions de cette histoire. Nous reviendrons sur les œuvres cinématographiques Frankenstein et Bride of Frankenstein de James Whale et, plus récemment, Poor Things de Yorgos Lanthimos. Du côté de la littérature, nous reviendrons sur l'essai d'Alberto Manguel La Fiancée de Frankenstein et le roman de Jeanette Winterston, Frankissstein. Le tour de table se conclut sur le fameux «Complexe de Frankenstein».

    Médiagraphie

    ASIMOV, Isaac, "Préface", dans Les Robots (1950)

    AZIZA, Claude, Dictionnaire Frankenstein (2018)

    BERTHIAUME, Sarah, Wollstonecraft (2023)

    CARON, André, Frankenstein lui a échappé. Les tourments cinématographiques d'un mythe moderne (2018)

    CHASSAY, Jean-François et Elaine DESPRÉS, Frankenstein et sa créature, d'hier à aujourd'hui. La puissance d'une double figure (2023)

    GLUT, Donald F., The Frankenstein Catalog (1984)

    HÉSIODE, Théogonie ; Les travaux et les jours ; Le bouclier, textes établis et trad. par Paul Mazon (1951)

    MANGUEL, Alberto, La Fiancée de Frankenstein (2008)

    PEREZ, Frédéric, "Le complexe de Frankenstein", Dialogue, no. 204

    WINTERSTON, Jeanette, Frankissstein, traduit par Céline Leroy (2021)

    WOLLSTONECRAFT SHELLEY, Mary, Frankenstein, traduit par Jules Saladin, présenté par Annik-Corona Ouellette et Alain Vézina (2009)

     

    Films

    Frankenstein (1931, James Whale, Universal)

    Bride of Frankenstein (1935, James Whale, Universal)

    The Son of Frankenstein ((1939, Rowland V. Lee, Universal)

    Young Frankenstein (1974, Mel Brooks)

    Mary Shelley's Frankenstein (1994, Kenneth Branagh)

    Victor Frankenstein (2015, Paul McGuigan)

    Depraved (2019, Larry Fessenden)

    Poor Things (2023, Yorgos Lanthimos)

  • Fehlende Folgen?

    Hier klicken, um den Feed zu aktualisieren.

  • Dès qu'on évoque Frankenstein, il nous vient en tête une image de monstre sanguinaire, stupide et balafré de cicatrices. Même si la culture populaire s’est emparée de la créature, rares sont ceux qui peuvent nous raconter son histoire, qui est aussi celle du créateur, Victor Frankenstein. C'est donc l'histoire de ce dernier, de la création du monstre et la genèse de cette œuvre monstrueuse que nous vous présentons.

    Médiagraphie

    ASIMOV, Isaac, "Préface", dans Les Robots (1950)

    AZIZA, Claude, Dictionnaire Frankenstein (2018)

    BERTHIAUME, Sarah, Wollstonecraft (2023)

    CARON, André, Frankenstein lui a échappé. Les tourments cinématographiques d'un mythe moderne (2018)

    CHASSAY, Jean-François et Elaine DESPRÉS, Frankenstein et sa créature, d'hier à aujourd'hui. La puissance d'une double figure (2023)

    GLUT, Donald F., The Frankenstein Catalog (1984)

    HÉSIODE, Théogonie ; Les travaux et les jours ; Le bouclier, textes établis et trad. par Paul Mazon (1951)

    MANGUEL, Alberto, La Fiancée de Frankenstein (2008)

    PEREZ, Frédéric, "Le complexe de Frankenstein", Dialogue, no. 204

    WINTERSTON, Jeanette, Frankissstein, traduit par Céline Leroy (2021)

    WOLLSTONECRAFT SHELLEY, Mary, Frankenstein, traduit par Jules Saladin, présenté par Annik-Corona Ouellette et Alain Vézina (2009)

     

    Films

    Frankenstein (1931, James Whale, Universal)

    Bride of Frankenstein (1935, James Whale, Universal)

    The Son of Frankenstein ((1939, Rowland V. Lee, Universal)

    Young Frankenstein (1974, Mel Brooks)

    Mary Shelley's Frankenstein (1994, Kenneth Branagh)

    Victor Frankenstein (2015, Paul McGuigan)

    Depraved (2019, Larry Fessenden)

    Poor Things (2023, Yorgos Lanthimos)

  • De quelques passages célèbres : «Something is rotten in the State of Danemark», «The Play’s the thing», «The time is out of joint», «To be or not to be». Hamlet avant Shakespeare (Saxo Grammaticus). Reprises cinématographiques. Hamlet-Machine de Heiner Müller, Hamlet chez les philosophes (Nietzsche, Freud). Enquête sur Hamlet (Pierre Bayard)

    «Être ou ne pas être, telle est la question», qui ne connaît pas cette réplique attribuable au célèbre personnage Hamlet du nom moins célèbre dramaturge Shakespeare ? Personnage principal de la tragédie portant son nom, Hamlet est habité par le désir de venger son père de même que par la folie, si bien qu'on ne sait trop si on doit le croire ou s'en méfier. Hamlet captive son auditoire, et ce, depuis des siècles, donc on le retrouve dans une panoplie d'adaptations, qu'elles soient théâtrales, cinématographiques ou artistiques.

     

    Médiagraphie

    BAYARD, Pierre, Enquête sur Hamlet. Le dialogue de sourds (2002)

    DERRIDA, Jacques, Spectres de Marx (1993)

    DICK, Philip K., Time Out of Joint (1959)

    FREUD, Sigmund, L’interprétation du rêve, trad. fr. François Robert (2010)

    GURIK, Robert, Hamlet, prince du Québec (1981)

    LORANT, André, «Hamlet», dans Dictionnaires des mythes littéraires (1988)

    MÜLLER, Heiner, Hamlet-machine, trad. fr. Jean Jourdheuil et Heiz Schwarzinger (1985)

    NIETZSCHE, Freidrich, La naissance de la tragédie, trad. fr. Geneviève Bianquis (1949)

    SHAKESPEARE, William, The Tragedy of Hamlet, Prince of Denmark (1603)

    SHAKESPEARE, William, Hamlet, trad. fr. François-Victor Hugo (1865)

    SHAKESPEARE, William, Hamlet, trad. fr. André Gide (1946)

    SHAKESPEARE, William, Hamlet, trad. fr. Yves Bonnefoy (1957)

    SHAKESPEARE, William, Hamlet, trad. fr. Jean Malaparte (1991)

    SHAKESPEARE, William, Hamlet, trad. fr. François Maguin (1995)

    SAXO GRAMMATICUS, Gesta Danorum (Geste des Danois), (XIIe siècle)

    * Et les versions cinématographiques de Laurence Olivier (1948), Tony Richardson (1969), Franco Zeffirelli (1990), Kenneth Branagh (1996), Michael Almereyda (2000), ainsi que Le roi lion (1994).

  • Discussion sur les mythes «littéraires». Présentation de la figure d’Hamlet, le fantôme d’Elseneur, la folie, Ophélie, la pièce dans la pièce, les hésitations du prince, le meurtre de Polonius, la folie et la mort d’Ophélie, la conspiration pour tuer Hamlet, la finale tragique.

    «Être ou ne pas être, telle est la question», qui ne connaît pas cette réplique attribuable au célèbre personnage Hamlet du nom moins célèbre dramaturge Shakespeare ? Personnage principal de la tragédie portant son nom, Hamlet est habité par le désir de venger son père de même que par la folie, si bien qu'on ne sait trop si on doit le croire ou s'en méfier. Hamlet captive son auditoire, et ce, depuis des siècles, donc on le retrouve dans une panoplie d'adaptations, qu'elles soient théâtrales, cinématographiques ou artistiques.

     

    Médiagraphie

    BAYARD, Pierre, Enquête sur Hamlet. Le dialogue de sourds (2002)

    DERRIDA, Jacques, Spectres de Marx (1993)

    DICK, Philip K., Time Out of Joint (1959)

    FREUD, Sigmund, L’interprétation du rêve, trad. fr. François Robert (2010)

    GURIK, Robert, Hamlet, prince du Québec (1981)

    LORANT, André, «Hamlet», dans Dictionnaires des mythes littéraires (1988)

    MÜLLER, Heiner, Hamlet-machine, trad. fr. Jean Jourdheuil et Heiz Schwarzinger (1985)

    NIETZSCHE, Freidrich, La naissance de la tragédie, trad. fr. Geneviève Bianquis (1949)

    SHAKESPEARE, William, The Tragedy of Hamlet, Prince of Denmark (1603)

    SHAKESPEARE, William, Hamlet, trad. fr. François-Victor Hugo (1865)

    SHAKESPEARE, William, Hamlet, trad. fr. André Gide (1946)

    SHAKESPEARE, William, Hamlet, trad. fr. Yves Bonnefoy (1957)

    SHAKESPEARE, William, Hamlet, trad. fr. Jean Malaparte (1991)

    SHAKESPEARE, William, Hamlet, trad. fr. François Maguin (1995)

    SAXO GRAMMATICUS, Gesta Danorum (Geste des Danois), (XIIe siècle)

    * Et les versions cinématographiques de Laurence Olivier (1948), Tony Richardson (1969), Franco Zeffirelli (1990), Kenneth Branagh (1996), Michael Almereyda (2000), ainsi que Le roi lion (1994).

  • Avec sa tête couverte de serpents et son regard mortel, la gorgone Méduse est une figure qui marque les esprits depuis plus de 2600 ans. De monstre à femme fatale, à la fois victime et bourreau, icône féministe, figure apotropaïque et symbole freudien de la castration, le moins qu’on puisse dire, c’est que Méduse fascine. On la retrouve en littérature, dans les arts, au cinéma et même sous les traits d’Hillary Clinton et de Rihanna. Qu’est-ce qui explique sa place dans notre imaginaire collectif et son retour en force depuis une dizaine d’années ?  

     

    Médiagraphie 

    BONNEFOY, Yves (dir.), Dictionnaires des mythologies (1991) 

    CIXOUS, Hélène, « Le Rire de la Méduse », dans Le Rire de la Méduse et autres ironies (2010).  

    DERRIDA, Jacques, Marges – de la philosophie (1972) 

    DERRIDA, Jacques, Glas (1974) 

    DESJARDINS, Martine, Méduse (2020)  

    DIEL, Paul, Le Symbolisme dans la mythologie grecque (1981)  

    DIODORE DE SICILE, Bibliothèque historique, trad. Ferdinand Hoefer (1851) 

    FREUD, Sigmund, « La tête de Méduse », dans Résultats, Idées, Problèmes II (1922) 

    GRAVES, Robert, Les Mythes grecs (Livre de poche, 2002)  

    HAYNES, Natalie, Stone blind (2022)   

    HÉSIODE, Théogonie, trad. fr. Philippe Brunet (1999)  

    HOMÈRE, Odyssée, trad. fr. Victor Bérard (1955)  

    KOFMAN, Sarah, Camera Obscura (1973) 

    KOFMAN, Sarah, L’énigme de la femme (1980) 

    KOFMAN, Sarah, Baubô, dans Nietzsche et la scène philosophique (1986) 

    KRACAUER, Siegfried, Théorie du film. La rédemption de la réalité matérielle (2010)   

    MEZAGUER, Sarah, La femme et la mort en Grèce ancienne (2012)   

    OVIDE, Les métamorphoses, trad. fr. Georges Lafaye ( 1992)  

    PALÉPHATOS, Histoires incroyables, trad. Ugo Bratelli (2022) 

    VERNANT, Jean-Pierre, La mort dans les yeux. Figure de l’autre en Grèce ancienne (1998)  

    ZOFFILLI, Ermanno (dir.), Caravaggio, la Première Medusa (2011)  

  • Ce qu’en disent les « myth busters » Paléphatos et Diodore de Sicile, reprises dans les arts visuels (Caravage, Cellini, Klee, etc.), discussion sur la psychanalyse et le féminisme autour de Freud et d'Hélène Cixous, Clash of the Titans, sur les roman Stone Blind de Nathalie Haynes et Méduse de Martine Desjardins.

    Avec sa tête couverte de serpents et son regard mortel, la gorgone Méduse est une figure qui marque les esprits depuis plus de 2600 ans. De monstre à femme fatale, à la fois victime et bourreau, icône féministe, figure apotropaïque et symbole freudien de la castration, le moins qu’on puisse dire, c’est que Méduse fascine. On la retrouve en littérature, dans les arts, au cinéma et même sous les traits d’Hillary Clinton et de Rihanna. Qu’est-ce qui explique sa place dans notre imaginaire collectif et son retour en force depuis une dizaine d’années ?  

     

    Médiagraphie 

    BONNEFOY, Yves (dir.), Dictionnaires des mythologies (1991) 

    CIXOUS, Hélène, « Le Rire de la Méduse », dans Le Rire de la Méduse et autres ironies (2010).  

    DERRIDA, Jacques, Marges – de la philosophie (1972) 

    DERRIDA, Jacques, Glas (1974) 

    DESJARDINS, Martine, Méduse (2020)  

    DIEL, Paul, Le Symbolisme dans la mythologie grecque (1981)  

    DIODORE DE SICILE, Bibliothèque historique, trad. Ferdinand Hoefer (1851) 

    FREUD, Sigmund, « La tête de Méduse », dans Résultats, Idées, Problèmes II (1922) 

    GRAVES, Robert, Les Mythes grecs (Livre de poche, 2002)  

    HAYNES, Natalie, Stone blind (2022)   

    HÉSIODE, Théogonie, trad. fr. Philippe Brunet (1999)  

    HOMÈRE, Odyssée, trad. fr. Victor Bérard (1955)  

    KOFMAN, Sarah, Camera Obscura (1973) 

    KOFMAN, Sarah, L’énigme de la femme (1980) 

    KOFMAN, Sarah, Baubô, dans Nietzsche et la scène philosophique (1986) 

    KRACAUER, Siegfried, Théorie du film. La rédemption de la réalité matérielle (2010)   

    MEZAGUER, Sarah, La femme et la mort en Grèce ancienne (2012)   

    OVIDE, Les métamorphoses, trad. fr. Georges Lafaye ( 1992)  

    PALÉPHATOS, Histoires incroyables, trad. Ugo Bratelli (2022) 

    VERNANT, Jean-Pierre, La mort dans les yeux. Figure de l’autre en Grèce ancienne (1998)  

    ZOFFILLI, Ermanno (dir.), Caravaggio, la Première Medusa (2011)  

     

  • Présentation de la figure de Méduse, les gorgones, rôle du personnage dans la quête de Persée, décapitation, Andromède et Phinée, Athéna et son égide.

    Avec sa tête couverte de serpents et son regard mortel, la gorgone Méduse est une figure qui marque les esprits depuis plus de 2600 ans. De monstre à femme fatale, à la fois victime et bourreau, icône féministe, figure apotropaïque et symbole freudien de la castration, le moins qu’on puisse dire, c’est que Méduse fascine. On la retrouve en littérature, dans les arts, au cinéma et même sous les traits d’Hillary Clinton et de Rihanna. Qu’est-ce qui explique sa place dans notre imaginaire collectif et son retour en force depuis une dizaine d’années ?  

     

    Médiagraphie 

    BONNEFOY, Yves (dir.), Dictionnaires des mythologies (1991) 

    CIXOUS, Hélène, « Le Rire de la Méduse », dans Le Rire de la Méduse et autres ironies (2010).  

    DERRIDA, Jacques, Marges – de la philosophie (1972) 

    DERRIDA, Jacques, Glas (1974) 

    DESJARDINS, Martine, Méduse (2020)  

    DIEL, Paul, Le Symbolisme dans la mythologie grecque (1981)  

    DIODORE DE SICILE, Bibliothèque historique, trad. Ferdinand Hoefer (1851) 

    FREUD, Sigmund, « La tête de Méduse », dans Résultats, Idées, Problèmes II (1922) 

    GRAVES, Robert, Les Mythes grecs (Livre de poche, 2002)  

    HAYNES, Natalie, Stone blind (2022)   

    HÉSIODE, Théogonie, trad. fr. Philippe Brunet (1999)  

    HOMÈRE, Odyssée, trad. fr. Victor Bérard (1955)  

    KOFMAN, Sarah, Camera Obscura (1973) 

    KOFMAN, Sarah, L’énigme de la femme (1980) 

    KOFMAN, Sarah, Baubô, dans Nietzsche et la scène philosophique (1986) 

    KRACAUER, Siegfried, Théorie du film. La rédemption de la réalité matérielle (2010)   

    MEZAGUER, Sarah, La femme et la mort en Grèce ancienne (2012)   

    OVIDE, Les métamorphoses, trad. fr. Georges Lafaye ( 1992)  

    PALÉPHATOS, Histoires incroyables, trad. Ugo Bratelli (2022) 

    VERNANT, Jean-Pierre, La mort dans les yeux. Figure de l’autre en Grèce ancienne (1998)  

    ZOFFILLI, Ermanno (dir.), Caravaggio, la Première Medusa (2011)  

  • Les métamorphoses, du poète latin Ovide, sont une source incontournable et inépuisable pour quiconque est, comme nous, passionné de mythologie. Nous vous présentons ici six récits, six « mini miettes de mythes », tirées de cette œuvre monumentale : Prométhée, le sanglier de Calydon, Narcisse et Écho, Phaéton, Arachné et quelques épisodes de la guerre de Troie.

    Cet épisode spécial de Mythes de rien a été enregistré devant public le 25 mars 2024 dans le cadre du « Printemps de la culture », événement organisé par le Cégep Édouard-Montpetit autour du thème « Métamorphoses ». Invités : Alexandre Bleau et Benoît Moncion, professeurs au cégep Édouard-Montpetit.

    Médiagraphie

    CARAVAGE, Narcisse (v. 1598)

    CARLIER, Jeannie, « Narcisse », dans BONNEFOY, Yves (dir.), Dictionnaires des mythologies (Flammarion, 1991)

    COLLOGNAT, Annie (dir.), Dictionnaire de la mythologie gréco-romaine (Omnibus, 2016)

    DERRIDA, Jacques, Répondre – du secret. Séminaire 1991-1992 (Seuil, 2024)

    HAMILTON, Édith, La mythologie. Ses dieux, ses héros, ses légendes (Marabout, 1997)

    HÉSIODE, La Théogonie, Les Travaux et les Jours et autres poèmes, trad. Fr. Philippe Brunet (Livre de poche, 1999)

    MYAZAKI, Hayao, Princesse Mononoké (Studio Ghibli, 1997)

    OVIDE, Les amours, suivi de L’art d’aimer, Les remèdes d’amour, De la manière de soigner le visage féminin, trad. Fr. Émile Ripert (Librairie Garnier Frères, 1957)

    OVIDE, Les métamorphoses, trad. fr. Georges Lafaye (Gallimard, 1992)

    PERRAULT, Charles, Contes (Gallimard, 1999)

    ROUDINESCO, Élisabeth, « Narcisse », dans Dictionnaire de la psychanalyse (Fayard, 1997)

    SCHMIDT, Joël, Dictionnaire de la mythologie grecque et romaine, (Larousse, 1996)

    SERS, Olivier, « Introduction », dans Les métamorphoses d’Ovide (Les Belles Lettres, 2001)

  • Tirésias est un personnage parfois méconnu, bien qu’il soit omniprésent dans la mythologie grecque. Il intervient dans les destins d’Hercule, d’Œdipe et d’Ulysse, et on le retrouve plus tard dans le cinéma des frères Cohen et celui de Bertrand Bonello, le théâtre d’Apollinaire et la poésie de Kae Tempest (entre autres !).

    Tirésias, le devin aveugle à l’identité sexuelle fluide, avait tout vu venir, pourquoi dès lors n’était-il écouté par personne ?

    Tirésias 3/3 – Discussion sur le film Tirésia de Bertrand Bonello avec Alice Michaud-Lapointe : Exploration plus en profondeur d’une des réinventions de la figure de Tirésias dans le cinéma contemporain, vingt ans après la parution d’un film qui a marqué les esprits.

    Médiagraphie

    APOLINAIRE, Guillaume, Les mamelles de Tirésias (1917)

    BORGES, Jorge Luis, « Cécité », dans Conférences (1977)

    BONELLO, Bertrand, Tiresia (2003)

    BRISSON, Luc, Le sexe incertain (1997)

    BRISSON, Luc, Le Mythe de Tirésias. Essai d’analyse structurale (1976)

    GENET, Jean, Lettres à Roger Blin (1966)

    POULENC, Francis, Les mamelles de Tirésias : opéra-bouffe (1947)

    TEMPEST, Kae, Hold your own (2014)

    WOOLF, Virginia, Orlando (1928)

  • Tirésias est un personnage parfois méconnu, bien qu’il soit omniprésent dans la mythologie grecque. Il intervient dans les destins d’Hercule, d’Œdipe et d’Ulysse, et on le retrouve plus tard dans le cinéma des frères Cohen et celui de Bertrand Bonello, le théâtre d’Apollinaire et la poésie de Kae Tempest (entre autres !).

    Tirésias, le devin aveugle à l’identité sexuelle fluide, avait tout vu venir, pourquoi dès lors n’était-il écouté par personne ?

    Tirésias 2/3 –Le tour de table : Comment la figure de Tirésias a-t-elle été reprise, réinterprétée ou réinventée jusqu’à aujourd’hui ? Tirésias peut-il être notre contemporain ?

    Médiagraphie

    APOLINAIRE, Guillaume, Les mamelles de Tirésias (1917)

    BORGES, Jorge Luis, « Cécité », dans Conférences (1977)

    BONELLO, Bertrand, Tiresia (2003)

    BRISSON, Luc, Le sexe incertain (1997)

    BRISSON, Luc, Le Mythe de Tirésias. Essai d’analyse structurale (1976)

    GENET, Jean, Lettres à Roger Blin (1966)

    POULENC, Francis, Les mamelles de Tirésias : opéra-bouffe (1947)

    TEMPEST, Kae, Hold your own (2014)

    WOOLF, Virginia, Orlando (1928)

  • Tirésias est un personnage parfois méconnu, bien qu’il soit omniprésent dans la mythologie grecque. Il intervient dans les destins d’Hercule, d’Œdipe et d’Ulysse, et on le retrouve plus tard dans le cinéma des frères Cohen et celui de Bertrand Bonello, le théâtre d’Apollinaire et la poésie de Kae Tempest (entre autres !).

    Tirésias, le devin aveugle à l’identité sexuelle fluide, avait tout vu venir, pourquoi dès lors n’était-il écouté par personne ?

    Tirésias 1/3 – Le mythe : Présentation de Tirésias, rôle du personnage dans différents récits et mythes de l’antiquité.

    Médiagraphie

    APOLINAIRE, Guillaume, Les mamelles de Tirésias (1917)

    BORGES, Jorge Luis, « Cécité », dans Conférences (1977)

    BONELLO, Bertrand, Tiresia (2003)

    BRISSON, Luc, Le sexe incertain (1997)

    BRISSON, Luc, Le Mythe de Tirésias. Essai d’analyse structurale (1976)

    GENET, Jean, Lettres à Roger Blin (1966)

    POULENC, Francis, Les mamelles de Tirésias : opéra-bouffe (1947)

    TEMPEST, Kae, Hold your own (2014)

    WOOLF, Virginia, Orlando (1928)

  • Mythes de rien est un balado sans prétention où Julie Côté, Nicholas Cotton, Frédéric Julien et Maxime Lecompte s’intéressent aux grandes et moins grandes figures de toutes les mythologies. Notre mission : explorer, comprendre et redécouvrir ces « petits riens » que sont les mythes et voir comment ceux-ci façonnent, encore aujourd’hui, notre culture.