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Au menu de l’actualité :🔹Guerre au Soudan : l’ONU juge la première étape des Pourparlers de Genève « encourageante »🔹 Gaza : témoignage de jeunes palestiniennes dans un camp de déplacés🔹 RCA : 44 ex-combattants ont rendu leurs armes cette semaine Présentation : Cristina Silveiro
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A l’occasion de la Journée Nelson Mandela, qui marque notamment l’adoption par l’Assemblée générale des principes Mandela pour le respect des droits humains des personnes en détention, les Nations Unies ont publié un rapport sur les conditions de détention en République centrafricaine.« C'est une image assez sombre que dessine ce rapport sur la situation des lieux de détention en République centrafricaine », a déclaré au micro d’ONU Info Thameen Al-Kheetan, porte-parole du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH), au sujet du rapport conjoint du HCDH et de la Mission de paix de l’ONU en République centrafricaine (MINUSCA).Le rapport signale que des mesures urgentes sont nécessaires pour garantir le respect des droits humains dans les lieux de détention en RCA, où la torture, les mauvais traitements, les arrestations et détentions illégales et arbitraires, la malnutrition, la faiblesse des services de santé, les conditions d’hygiène et la surpopulation sont monnaie courante.« Aujourd’hui c’est la Journée de Mandela et la Centrafrique fait partie de ce continent qui est fier de Nelson Mandela et de ce qu'il a pu réaliser », a expliqué M. Al-Kheetan, ajoutant qu’il est encore « plus nécessaire aujourd'hui pour les autorités en Centrafrique de poursuivre le chemin des réformes et de répondre à ces violations des droits humains dont parle le rapport ».Le porte-parole signale les propos du Haut-commissaire, Volker Türk, qui a appelé à une action « concrète et urgente de la part des autorités en Centrafrique pour répondre à toutes ces violations ».« Il faut aussi tout simplement améliorer les conditions de détention, c’est-à-dire offrir aux personnes en situation de détention leur droit à la santé, à la nourriture, à l’eau, et traiter les lieux insalubres pour qu’ils soient dignes d’accueillir des êtres humains », fait valoir le défenseur des droits humains.(Entretien : Thameen Al-Kheetan, porte-parole du bureau du Haut-Commissaire aux droits de l’homme ; propos recueillis par Cristina Silveiro)
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Fehlende Folgen?
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Au menu de l’actualité :🔹 Gaza : le chef de l’ONU réitère son appel au cessez le feu devant le Conseil de sécurité🔹 Haïti : ONU Femmes appelle à impliquer plus de femmes dans la gestion des sites de déplacés pour veiller à leur sécurité🔹 Journée Nelson Mandela : l’ONU appelle à améliorer d’urgence les conditions dans les lieux de détention en RCA Présentation : Cristina Silveiro
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Au menu de l’actualité :🔹 Les attaques israéliennes contre les écoles sont presque quotidiennes à Gaza (UNRWA)🔹 Afrique de l’Ouest : l’Envoyé de l’ONU salue les succès démocratiques dans plusieurs pays🔹 La Côte d’Ivoire, devient le10e pays africain à adhérer à la Convention sur l’eau Présentation : Cristina Silveiro
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Au menu de l’actualité :🔹 Soudan : la faim pousse la population à fuir vers les pays voisins, alors que les pourparlers de paix se poursuivent à Genève🔹 Haïti : la catastrophe humanitaire nécessite une action internationale urgente, les humanitaires sonnent l’alarme🔹 Le cancer de la peau, 1ère cause de mortalité chez les personnes atteintes d'albinisme en Afrique Présentation : Cristina Silveiro
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Au menu de l’actualité :🔹 Gaza : sur place, un responsable onusien témoigne sur la frappe israélienne à Al Mawasi🔹 La vaccination des enfants dans le monde stagne (UNICEF/OMS)🔹 RCA : les meilleurs élèves récompensés pour leurs efforts académiques – la plupart sont des filles Présentation : Cristina Silveiro
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Neuf mois après le début du conflit, les bombardements se poursuivent à Gaza et près de deux millions de Palestiniens sont aujourd’hui déplacés au gré des ordres d’évacuation israéliens.Les dernières données des autorités sanitaires de Gaza indiquent que près de 38.000 personnes ont été tuées dans l’enclave et plus de 87.000 blessées depuis le 7 octobre dernier.Maryse Guimond, Représentante spéciale d’ONU Femmes en Palestine est l'invitée d'ONU Info Genève. De retour d’une mission d’une semaine dans la bande de Gaza, elle a été le témoin des conditions de vie extrêmement difficiles auxquelles font face les civils, et de la situation critique des femmes et des filles dans l'enclave palestinienne. Entretien réalisé par Alexandre Carette
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La cheffe de la Mission des Nations Unies en République démocratique du Congo (MONUSCO), Bintou Keita, a fait un exposé lundi devant le Conseil de sécurité sur la situation dans l’est de la RDC, notant la détérioration de la situation sécuritaire ces derniers mois.Elle a salué la trêve humanitaire de deux semaines qui a débuté le 5 juillet et souhaité qu'elle dure plus longtemps et aboutisse à « une vraie cessation des hostilités ».Dans un entretien avec ONU Info en marge de sa rencontre avec le Conseil de sécurité, elle estime également qu’il faut tirer les leçons du départ de la MONUSCO de la province du Sud-Kivu dans la perspective du désengagement progressif de la Mission qui est prévu dans les provinces du Nord-Kivu et d’Ituri, sans que des échéances n’aient été fixées. Entretien réalisé par Jérôme Bernard.
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L'albinisme est une maladie rare qui affecte la production de pigments mélaniques, touchant environ une personne sur 15.000 en Europe, et une personne sur 4.000 dans les pays africains.Les personnes atteintes d'albinisme font souvent face à la stigmatisation et à la discrimination en raison de leur apparence distincte et de leur handicap visuel. Cette discrimination est encore plus accentuée dans certains pays africains où les traditions et croyances exacerbent leur marginalisation.Le 20 juin dernier, les Nations Unies à Genève organisaient un événement autour de l'exposition de photos "White Ebony" de l'artiste belge Patricia Willocq à l'occasion de la Journée internationale de sensibilisation à l'albinisme.Patricia Willocq et Antoine Gliksohn, Directeur exécutif de l'Alliance mondiale de l'albinisme sont les invités d'ONU Info Genève cette semaine. Entretien réalisé par Alexandre Carette
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Au Soudan, ravagé par la guerre civile depuis plus d'un an, le viol est utilisé comme arme de guerre, dénonce Mohamed Lemine, Représentant de l'Agence des Nations Unies pour la santé sexuelle et reproductive (UNFPA) dans ce pays.Dans un entretien avec Reem Abaza d'ONU Info, il souligne les efforts de son agence, de l'UNICEF et d'organisations humanitaires partenaires pour assister les femmes victimes de violences sexuelles et de violences basées sur le genre et les aider à recouvrir leur dignité.
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Il y a deux ans, le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres, lançait le Programme d’action sur les déplacements Internes, qui vise à porter assistance aux personnes qui ont été contraintes de fuir leur foyer en raison des catastrophes naturelles, de conflit ou le changement climatique, sans pour autant traverser une frontière.Le programme cherche notamment à mettre fin aux déplacements internes, à prévenir de futures crises et à assurer une protection et une assistance efficace aux personnes déplacées et en 2023 environ 5 millions de personnes déplacées internes ont bénéficié de l’appui des divers acteurs du programme.Or en l’espace de deux ans et malgré les progrès dans l’attention qui leur est portée, le nombre de personnes déplacées est passé de 59 millions en 2022, à 76 millions en début 2024, notamment en raison du changement climatique et des conflits.A l’occasion du deuxième anniversaire du Programme, Robert Piper, Conseiller spécial du Secrétaire général de l’ONU pour les solutions à apporter à la question des déplacements internes est l'invité d'ONU Info Genève. (Interview : Robert Piper, Conseiller spécial du Secrétaire général de l’ONU pour les solutions à apporter à la question des déplacements internes ; propos recueillis par Alexandre Carette, ONU Info Genève)
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Ce weekend, le 15 et le 16 juin, la Suisse accueille des chefs d’État du monde entier pour parler de la paix en Ukraine. Plus de 160 pays ont été invités pour ces deux jours de discussions au Bürgenstock.Après les dernières attaques qui ont ciblé des civils et des établissements éducatifs dans la ville de Kryvyï Rih, la question de l’avenir de l’Ukraine n’a jamais été aussi cruciale.Pour mieux comprendre la situation humanitaire sur le terrain, le manque de médiatisation de la crise, et le travail des Nations Unies en Ukraine, ONU Info Genève a reçu dans ses studios, Denise Brown, la Coordinatrice résidente des Nations Unies en Ukraine. (Entretien : Denise Brown, Coordinatrice résidente des Nations Unies en Ukraine ; propos recueillis par Nancy Sarkis, ONU Info Genève)
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La crise au Sahel est l’une des plus inquiétantes et l’une de plus négligées de notre époque, c’est ce qu’avertit ce vendredi depuis Genève le porte-parole régional de l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés (UNHCR) Alpha Seydi Ba.A l’instar de la situation catastrophique au Tchad, où plus de 600.000 Soudanais sont arrivés depuis le début de la crise.« Vous avez vu des gens arriver quotidiennement par dizaines dans un état très, très mauvais, et la plupart d'entre eux sont des femmes, des enfants qui ont vécu un traumatisme inimaginable », a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse.Le Tchad accueillait déjà plus de 400.000 réfugiés soudanais avant cette crise, a expliqué M. Ba, avant d'exprimer l'appréciation de l'agence des Nations Unies pour les réfugiés sur le fait que les autorités « ont gardé leurs frontières ouvertes ». Cependant, répondre aux besoins fondamentaux de ces réfugiés tels que l'hébergement, la nourriture, l'accès à l'éducation pour les enfants et le soutien psychologique est devenu de plus en plus difficile en raison de la pénurie de fonds.Pour en savoir plus sur le sort du Sahel, Adélaïde Choveau d’ONU Genève, a tendu son micro à M. Ba à l’issue de sa conférence de presse.Il est notamment revenu sur le sort des pays du Sahel central, le Burkina Faso le Mali et le Niger, qui comptent à eux seuls 3,3 millions de personnes déplacées qu’ils continuent d’accueillir malgré leur propre lot de défis.(Interview : Alpha Seydi Ba, porte-parole du HCR pour l'Afrique de Ouest et l'Afrique Centrale; propos recueillis par Adélaïde Choveau ONU Genève)
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Haïti traverse une crise sécuritaire et humanitaire que beaucoup estiment être « sans précèdent », sous l’emprise des gangs armés d’une violence brutale à Port-au-Prince.Les biens essentiels et l’aide humanitaire peinent à circuler et les taux de malnutrition sont en hausse. Le système de santé est débordé et au bord de l’effondrement. Des centaines de milliers d’habitants ont été contraints de fuir leurs foyers ou de rester enfermés à la maison. Les enfants ne peuvent pas aller à l’école et beaucoup se retrouvent recrutés par les gangs.Dans cet entretien de notre série Voix d’Haïti, nous avons joint Jean Jean Roosevelt, artiste haïtien engagé.Selon l’Ambassadeur de bonne volonté d’UNICEF, la crise actuelle est « très compliquée » et « sans précèdent » mais « elle ne peut pas rester comme ça ».« Haïti c’est un peuple qui a l’habitude de créer quelque chose à partir de rien, des fois tu ne vois aucune issue, mais à n’importe quel moment peut jaillir la lumière », affirme Jean Jean Roosevelt.Il appelle les gangs à « ne pas mélanger les enfants, qui sont l’avenir du pays, dans les complications d’adulte » et lance un message d’espoir aux enfants et à la jeunesse haïtienne, leur rappelant que beaucoup de gens œuvrent à les sortir de cette situation.Le chanteur remercie l’engagement de la communauté internationale, qui s’engage à aider son pays à sortir de cette crise, tel un voisin qui aide un foyer en difficulté. (Entretien : Jean Jean Roosevelt, artiste haïtien et Ambassadeur de bonne volonté d’UNICEF; propos recueillis par Cristina Silveiro)
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Les services de protection sur les routes migratoires de l’Afrique vers l’Europe « font cruellement défaut », a affirmé ce mardi l'Envoyé spécial du HCR pour la situation en Méditerranée centrale, Vincent Cochetel, lors de sa présentation du dernier rapport de l’Agence de l’ONU pour les réfugiés (HCR) sur ces périples.Selon le rapport, la plupart les réfugiés et les migrants qui empruntent ces itinéraires subissent de graves violations des droits de l’homme en cours de route, notamment des violences sexuelles et sexistes, des enlèvements contre rançon, des tortures, des violences physiques, des détentions arbitraires, des trafics d’êtres humains et des expulsions collectives, alors que les services de protection pourraient contribuer à offrir des alternatives aux voyages dangereux ou à atténuer les souffrances de ces réfugiés et migrants.Aussi le HCR signale que le manque de services de protection sur ces routes s’est aggravé au cours des dernières années. Pour en savoir plus Adélaïde Choveau, d'ONU Info à Genève a tendu son micro à M. Cochetel à l'issue de sa présentation, qui appelle l'Europe à « regarder plus loin que le bout de son nez ». La gestion des frontières est insuffisante pour répondre à ces défis : il faut des alternatives proposées le long de la route avant même d'arriver en Europe.(Interview : Vincent Cochetel, Envoyé spécial du HCR pour la situation en Méditerranée centrale ; propos recueillis par Adélaïde Choveau)
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Très cher(e)s auditeurs, auditrices et partenaires, En raison de ressources réduites, nous devons suspendre la production du Bulletin d’ONU Info jusqu’à la mi-juillet. Entretemps, nous continuerons de partager avec vous nos diverses productions audios.Nous sommes désolés de tout inconvénient et vous remercions de votre compréhension.Rendez-vous en juillet !L’équipe d’ONU Info
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Les petits États insulaires en développement sont parmi les premières victimes du changement climatique.Pour l’affronter, ces îles doivent s’appuyer sur des solutions innovantes et des partenariats, y compris en matière de santé, où la télémédecine, les équipes de santé mobiles et les alliances sont la clef.A l’instar de la solution mise en place par la Commission de l’océan Indien. Précisions de Lovena Preeyadarshini Mangroo, médecin épidémiologiste au sein du réseau de santé publique SEGA de cette Commission. (Entretien : Lovena Preeyadarshini Mangroo, médecin épidémiologiste au sein du réseau de santé publique SEGA de la Commission de l’océan Indien; propos recueillis par Matthew Wells ONU Info)
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La quatrième Conférence des petits Etats insulaires en développement (PEID4) s'est terminée jeudi, avec l’adoption de l'Agenda d'Antigua-et-Barbuda, connu sous l’acronyme ABAS, une feuille de route qui décrit les mesures à prendre au cours des 10 prochaines années pour parvenir à une prospérité résiliente en partenariat avec la communauté internationale. Pour Frédéric Degret, fondateur de Noah ReGen et conseiller pour l’Organisation mondiale du tourisme, cette conférence a été marquée par un sentiment d’urgence, qui a nourri un élan particulier de solidarité et de dynamisme.Selon lui, le marché de crédit du carbone bleu, soit le carbone retiré de l'atmosphère par les écosystèmes océaniques côtiers, est indispensable pour l’avenir des îles. M. Degret est d’ailleurs venu présenter une solution pour le monétiser.(Entretien : Frédéric Degret, fondateur de Noah ReGen et conseiller pour l’Organisation mondiale du tourisme ; propos recueillis par Matthew Wells et Alban Mendes de Leon)
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Au menu de l’actualité : 🔹 Le chef du HCR réclame le respect du droit humanitaire international à Gaza🔹 Burkina Faso : l'ONU gravement préoccupée par l'augmentation des meurtres de civils 🔹 Les petits Etats insulaires forment des alliances sanitaires face au changement climatique Présentation : Cristina Silveiro
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Au menu de l’actualité : 🔹 Gaza : les humanitaires demandent l’ouverture de tous les points d’accès, alors que l’exode de Rafah accentue la faim🔹 L’ONU plaide pour le renforcement du rôle des femmes et des jeunes dans les processus de paix🔹 PIED4 : la monétisation du « carbone bleu », outil indispensable pour l’avenir des îles Présentation : Cristina Silveiro
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